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L'éducation de la Frangine !

Chapitre 3

Inceste
L’éducation de la frangine !
chapitre trois
Une nuit au bivouac (suite)


Alain et Romy se sont installés, toujours nus, devant le feu de bois. Ils dévorent à belles dents la saucisse de Morteau qui, dès déballée de l’alu, a embaumé l’espace.
— C’est sympa comme ça non ?
Romy ne répond pas.
— Tu es bien silencieuse !— Non, je déguste, tu devrais en faire autant surtout que quand j’aurai terminé, j’aurai une autre saucisse à me mettre sous la dent.— Tu es gourmande en sexe toi ?— Oui, j’avoue ! C’est une chose dont j’ai du mal à me passer. Mais quand tu auras tout découvert, tu deviendras comme moi frangin.
Alain ne saurait dire si c’est le fait de la discussion, mais son sexe se raidit déjà.
— Tiens, y a pas que moi alors... je vois que ta bistouquette commence à retrouver du poil de la bête ! (rires)
Romy se lève :
— Bon tu as retrouvé une jolie forme... acte deux de ton éducation !
Elle va vers son sac, en sort l’huile de massage puis revient vers Alain.

— Je vais te tailler une pipe, mais cette fois, juste pour te mettre en super condition, après je t’expliquerai ce qu’il faut faire.
Elle n’a pas encore fini sa phrase qu’elle est déjà agenouillée devant la queue de son frère. Délicatement, elle saisit le sexe et commence une branlette.
— Bon, c’est bien ça répond déjà !
Alain ne dit rien. Il a compris que ce n’était pas la peine de discuter et que même s’il essayait, il n’aurait pas le dernier mot.
— Je sais qu’on aime pas trop le langage cru frangin, mais si tu veux tu peux me traiter de chienne ou de salope, pour moi, jusqu’à présent, tu restes mon petit puceau adoré.
Ceci dit, elle prend la queue de son frère en bouche et commence une lente fellation. Elle même, sent bien qu’elle mouille... surtout qu’elle a son idée derrière la tête et qu’elle sait qu’elle aura bientôt cette belle bite au fond du cul.Durant de longues minutes elle joue ainsi avec la verge de son frère qui serre les poings.
— Si tu continues Romy, je ne tiendrai pas !
Romy relève la tête :
— Je t’ai dit qu’il faut apprendre, la jouissance, ça se contient si non tu ne satisferas jamais aucune femme. Tiens, on va changer de position.
Romy étend une couverture au sol, puis, ventre contre terre, s’allonge dessus.
— Tiens Alain, prends l’huile et n’hésite pas à en mettre partout sur mon dos, mes fesses et entre.— Entre quoi ?— Entre les fesses, t’es lourd quand tu veux !
Alain se sent con d’un coup, en lui même il pense :
— Qu’est-ce qu’elle entend par là ? Je vais pas lui tripoter le cul.
Tout à sa réflexion, il consent cependant à obéir et enduit le dos de sa sœur de l’huile parfumée.
— N’oublie pas mon étoile, je veux que tu me prennes par là maintenant !
Alain se dit qu’il a vu juste, elle veut se faire sodomiser. Avec beaucoup plus d’attention, il commence à enduire l’intérieur des fesses de Romy. Son majeur passe délicatement sur la rosace.
— Tu peux y aller frangin, ce soir mon cul est à toi.
Il bande comme jamais. L’idée de sodomiser sa sœur lui procure une érection comme il a rarement connu.
— Tu me fais bander à mort Romy, mais ... comment on fait ?
Romy retourne son bras et de sa main attrape le sexe de son frère.
— Je vais te guider, tu n’as pas à avoir peur ce n’est pas la première fois pour moi. Tu vas voir comme tu vas être bien à l’intérieur !
Alain se couche sur le dos de Romy. Leur corps, peau contre peau l’émoustille encore plus, surtout quand il sent la main de sa frangine guider son pénis vers l’entrée de son petit trou.
— Tu peux t’enfoncer maintenant, en y allant doucement tu vas ressentir une super sensation et... moi aussi.
Alain ne se fait pas prier. Doucement il force le passage et sa queue pénètre l’antre de sa sœur. Petit à petit, il finit par entrer complètement.
— Putain, c’est bon.— Ben t’arrête pas, défonce moi et n’oublie pas, retiens toi ! Faut faire durer le plaisir.
Alors Alain fait son va et vient, un va et vient qui devient de plus en plus rapide. Il sait bien qu’il ne résistera pas longtemps, l’endroit et si étroit que sa queue est serrée et que l’excitation est à son comble. Il tente de penser à autre chose, mais comment faire devant ce merveilleux cul offert.
— Caresse moi les seins, tire sur les tétons, fais moi jouir comme un vrai mâle !
Il s’exécute et prend les seins de Romy d’une main, passant de l’un à l’autre. Il joue avec les tétons dressés, lui baise le cou.
— Qu’est-ce que tu es belle !— Chut, continue à me défoncer, va à fond et plus vite.
D’un coup de rein il obéit, ses bourses sont à présent en contact avec le corps de sa sœur. Il est tout entier dedans.
— Je vais jouir !— Non attend, retiens toi, s’il te plaît, c’est trop bon, continue, t’arrête pas.
Romy se caresse le clitoris, elle aussi ne va pas tarder à jouir.
— Ça vient pour moi aussi Alain, décharge, libère ta semence dans mon cul, donne moi tout !
L’effet est immédiat, dans de longs jets de sperme, Alain jouit dans Romy, qui, à son tour, est prise de spasmes frénétiques. C’est un hurlement de bonheur qui sort de sa gorge.Les amants d’un soir s’écoulent littéralement. Ils ont atteint en ce qui les concerne, le sommet du plaisir. Dans un murmure Romy l’avoue.
— Purée Alain, tu m’as fait grimper au septième ciel. Je n’ai jamais joui comme ça avant.
Alain ne répond rien. Il n’en revient pas du plaisir qu’il vient d’éprouver.
— Tu ne dis rien ? Comment t’as trouvé ça toi ?— Attends... je récupère.— Récupère vite mon chéri, la leçon n’est pas finie.— Je m’en doute, mais là faut que je fasse une halte. Tu m’as tué !— Non ! Je t’ai fait vivre nuance ! On se repose un moment, et on finit de manger, y a encore du fromage et des fruits.— A vrai dire je n’ai pas vraiment faim, et le fruit que je voudrais il est entre tes jambes.— Gros imbécile, tu vas l’avoir tout à l’heure, je te gardais le meilleur pour la fin. Mais, je vais aller me laver à la rivière. L’eau ne doit plus être chaude mais je ne peux pas rester avec ton sperme dans les fesse, je veux être toute propre pour la prochaine fois et tu devrais bien aller te laver la queue aussi.— Oui, ben on va attendre, là je te dis je suis mort.
Il montre son sexe à Romy. Il pend lamentablement entre ses jambes.
— Tu vois, tu m’as vidé complètement !— T’inquiète, ça va revenir, on a toute la nuit devant nous.
Romy se lève, s’étend les bras.
— On est bien là non ?— Oui, super bien, et je n’ai même pas honte ! Je ne pensais pas que baiser ma sœur me laisserait un tel sentiment de satisfaction. — Ben tu vois, tu n’auras plus à te branler en pensant à mon cul... tu l’as eu et tu l’auras encore temps que tu es à la maison. Après on reprendra notre vie.— C’est bien ça qui est con ! Je ne sais pas si je retrouverai une partenaire comme toi et maintenant que tu m’as mis le pied à l’étrier j’aurai du mal à me passer de ces moments. Pour le coup, l’université ne m’attire plus du tout... on va être séparés de longs mois !— Tu reviendras bien de temps en temps, et puis, tu feras des rencontres. C’est le premier pas qui était le plus dur. Je suis heureuse de te l’avoir fait faire, maintenant, tu sais bien qu’entre nous ce n’est pas ... comment dire... tout à fait normal.— Où est la normalité si ce n’est celle que les hommes ont établi ? Tu es belle, j’ai envie de toi, j’espère vraiment que c’est réciproque.— Oui frangin ! Si je n’avais pas eu envie de te sentir en moi, même en t’aimant beaucoup je n’aurais pas fait ça sans sentiments. Y a bien longtemps moi aussi que je tente à chaque fois de te voir à poil à la maison, et quand ça arrive, j’ai toujours envie que tu me fasses l’amour. Après, on ne pourra pas continuer tous les deux. Imagine si les parents venaient à apprendre ça.— Pourquoi veux-tu qu’ils l’apprennent ?— Ils peuvent nous voir si on recommence à la maison. Je ne serai jamais tranquille. Bon... ne pensons pas à ça pour le moment, je vais me laver et on finit de manger.— Je peux te demander quelque chose ?— Ben oui Alain, demande on ne va plus se gêner entre nous !— Tu as aimé toi ?— Aimé quoi ?— Ce qu’on a fait ou du moins ce que je t’ai fait !— Gros bêta tu ne m’as pas entendu ?— Si ... Si mais j’ai cru que tu avais mal !— Non, j’ai pris mon pied.— J’ai encore un truc à te demander tu vas trouver ça con, mais je voudrais que ce soit toi qui me lave la queue.— Gros cochon (rires) - OK, je vais te laver ta petite chose toute molle.
Les deux vont à la rivière, la nuit est à présent totale.
— On y voit rien !— Pour te laver la queue j’ai pas besoin de voir clair, je sais où elle est !
Effectivement, Romy ne cherche pas longtemps, et elle asperge d’eau le sexe de son frère qui rentre encore plus dans sa coquille.
— Putain, c’est froid, j’ai l’escargot qui se tire (rire)— Je vois... du moins je sens il est pas plus gros que mon petit doigt et encore, il est même plus petit. Mais au moins il a servi (rires)
De retour auprès du feu de camp, les deux jeunes remettent du bois. Les flammes s’activent et la chaleur leur fait du bien.
— On est quand même mieux près du feu non Romy ?— Oui ! Tu veux du fromage ou pas ?— Un petit bout oui mais... tu n’avais pas pris une bouteille de rouge ? On aurait bien pu arroser mon dépucelage.— Il n’est pas fini... mais oui, j’ai pris une bouteille après je ne suis pas certaine que tu puisses bander si on se tape la bouteille à deux !— Ne t’en fais pas pour ça, je me suis déjà branlé après une cuite et ça a bien fonctionné. — OK mais alors c’est toi qui la débouche.
En disant cela Romy se lève, va jusqu’au sac et sort la bouteille et le tire-bouchon.
— Tiens, fais toi plaisir !— Merci frangine.
En trois minutes la bouteille est débouchée et les gobelets sont servis.
— Un beaujolais, tu ne t’es pas foulée !— Moi c’est mon vin préféré, mange ton fromage, tu vas voir comme il passe bien avec !— Dis moi, ça serait con de dormir chacun de notre côté non ? On pourrait prendre le même hamac !— Oui, surtout que tu ne vas pas passer ta nuit à dormir, autant être côte à côte tous les deux. Et franchement, j’ai envie de te sentir tout contre moi.

***

La soirée est bien avancée lorsque Romy et Alain prennent place dans le hamac. Toujours nus tous les deux, ils se couvrent d’une simple couverture. Au loin, une chouette commence à chanter. Elle accompagne le chant de la rivière. Le ciel totalement illuminé d’étoiles, le frère et la sœur le contemple, silencieux, main dans la main.
A suivre ...
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