Après avoir initié ma jeune épouse à la pluralité de bon aloi lors de soirées mondaines, il me semble que l’heure est venue de lui faire connaître le monde un peu glauque des soirées gang bang. Cela ne semble pas la ravir de devoir fréquenter la racaille des quartiers mal famés de notre capitale mais elle sait qu’elle n’a pas son mot à dire. Un rapide coup de fil à Youssef me permet d’organiser cette première partouze initiatique.Le rendez-vous est fixé à 22h00 rue de Ribaucourt à proximité de la mosquée Mouslimine chez un vieil ami de Youssef. Pour la circonstance, Elodie porte un foulard sur la tête et une longue robe. Le bâtiment est vieillot, des boites à lettres sont éventrées, il n’y pas d’ascenseur, ma tendre épouse est un peu angoissée car cela la change des hôtels particuliers et immeubles de style art nouveau où j’ai l’habitude de l’exhiber et l’offrir à quelques notables bruxellois.Au second étage, je frappe au numéro 25 et c’est Youssef qui vient m’ouvrir. Il nous guide ensuite vers une grande pièce meublée à l’orientale. Il y a là sept ou huit hommes en djellaba installés dans des canapés et fauteuils répartis autour la pièce. Le reste du mobilier est constitué de plusieurs tapis colorés qui jonchent le sol et de trois ou quatre tables basses décorées de grands plateaux argentés gravés de signes arabes. Pas de lumières ou de spots au plafond, seulement une lampe tamisée de couleur rouge dans chaque coin. Youssef me fait asseoir à sa droite et me sert une tasse de thé à la menthe. Elodie n’a pas le temps de prendre place près de moi que deux vieilles femmes, coiffées du hidjab et revêtues d’un caftan coloré, entrent dans la pièce et entraînent avec elles ma jeune épouse. Cette dernière me jette un regard inquiet mais je ne lui dis rien tandis qu’elle disparait derrière une tenture qui donne accès à une salle contigüe au salon où nous nous tenons. Youssef échange quelques mots en arabe avec les autres hommes puis se tourne vers moi. Il me dit- Mes amis trouvent ta jeune épouse particulièrement désirable et te remercient de leur faire l’honneur de la partager avec eux. Ils espèrent être à la hauteur de tes attentes.Je lui demande- Où les deux femmes l’ont-elles emmenée ?Il me répond- Dans la pièce d’à côté, pour la préparer ! Mais sois tranquille, cela ne va pas être très long !Alors que je termine ma tasse de thé à la menthe, l’une des deux femmes passe la tête derrière la tenture et dit quelques mots incompréhensibles pour moi à Youssef. Ce dernier se lève et me fait signe de le suivre. Nous passons derrière la tenture et je découvre alors Elodie transformée en Shéhérazade des milles et une nuit. Elle se tient debout entre les deux femmes qui sont en train de lui passer des bracelets argentés aux poignets et aux chevilles. Ses cheveux sont enserrés dans un foulard noué derrière sa nuque. Ses yeux et ses lèvres sont outrageusement fardés ; elle porte une longue tunique de tulle rose semi-transparente à travers laquelle je devine de fines arabesques et des motifs arabes sombres dessinés sur tout son corps à l’exception de son visage. Youssef m’explique- Sois rassuré, ce ne sont pas des tatouages à l’encre mais au henné ; cela disparaitra d’ici deux ou trois semaines.Puis il poursuit- Le henné a un double langage, celui de la séduction et de la magie. De plus il sert de parure et embellit la femme qui le porte. Je lui demande- Ma femme est un peu rebelle, je souhaiterais qu’elle ne puisse pas se soustraire aux envies de tes amis.Youssef me regarde fixement et me demande- Je n’y vois aucun inconvénient, bien au contraire ! Mais en es-tu certain ?Je lui réponds- Oui, je préfère qu’elle soit entravée comme une jeune pouliche que l’on mène pour la première fois à la saillie. Il ne faut pas qu’elle se dérobe aux étalons qui vont l’honorer devant moi. Lorsque les amis de Youssef sont enfin invités à pénétrer dans la pièce, les deux vieilles femmes ont disparu et la scène qui s’offre à eux est des plus obscènes. Elodie est installée à cheval sur un énorme pouf en cuir. Ses bras et ses jambes, qui pendent de chaque côté, sont attachés par des liens de cuir à des anneaux incrustés à la base du pouf. Les entraves qui la maintiennent en place lui imposent d’avoir les jambes écartelées et le ventre bien collé sur le pouf. Youssef défait le nœud qui retient la tunique d’Elodie et retire le léger voile de tulle. Ma belle épouse se dévoile alors dans toute sa splendeur. La croupe bien surélevée et le visage penché vers l’avant dans la position d’une pénitente dévote, elle semble prier je ne sais quel Dieu. Mais avec la raie de ses fesses et la fente de sa chatte offertes à tous les regards ; on comprend vite qu’il s’agit là d’une grand-messe dédiée à Himéros, le dieu du désir passionné, ardent, physique et sexuel dans la mythologie grecque. Dans l’une des sourates du Coran, Mahomet écrit à propos des croyantes musulmanes « …, qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. » Je ne doute pas un seul instant que les arabes présents avec moi dans cette pièce me remercient infiniment de mettre ainsi à leur disposition une jeune femelle impie qui n’est pas tenue de respecter les préceptes de leur Prophète, bien au contraire !
Youssef s’adresse de nouveau à ses amis qui se tenaient jusque-là à distance d’Elodie ; aussitôt il se rapprochent et commencent à lui palper les seins et lui flatter la croupe comme s’ils étaient au marché des esclaves. Satisfait de ses premières constations, l’un vient se placer devant le visage de mon épouse, soulève sa djellaba et présente sa bite déjà bien raide devant les lèvres fardées de rouge. La belle semble refuser cette offrande, obligeant l’homme à lui donner une bonne claque sur les fesses et à lui pincer le nez pour qu’elle ouvre grand la bouche. Aussitôt, il y glisse sa bite et tire Elodie par les cheveux pour qu’elle relève un peu plus la tête.Pendant que le premier va et vient entre les lèvres d’Elodie, un second se place derrière elle et soulève sa longue tunique. La hauteur du pouf doit être étudiée pour de telles cérémonies car la queue de l’homme est juste au niveau des deux orifices que tous convoitent. Tenant fermement son sexe d’une main, l’homme frotte son gland circoncis sur la chatte d’Elodie. Compte tenu de sa position et des liens qui la maintiennent immobile, ma femme ne peut même pas tenter un geste pour refuser l’accès à son intimité. Elle ne peut même pas pousser un cri de rébellion car le premier assaillant l’oblige à lui prodiguer une gorge profonde tellement son sexe est glissé loin dans la gorge.La place est enfin conquise sans la moindre lutte et le sourire qui se dessine sur le visage du second assaillant témoigne du plaisir qu’il est en train de prendre. Tenant fermement Elodie par les hanches, il la besogne à grands coups de boutoir en ahanant et en transpirant. Pendant près de trois heures, en se relayant, les amis de Youssef vont profiter comme bon leur semble, et avec ma bénédiction, de ma jeune et docile épouse. Même si l’adultère et la fornication sont formellement prohibés par le Coran, ces arabes ne semblent pas avoir peur du châtiment qui les attend. Mais pour eux, forniquer avec une femme impie ou baiser la femme d’un incroyant n’est peut-être pas un péché ; peut-être est-ce simplement une bonne action !Toujours est-il que ces hommes se succèdent dans la bouche d’Eloise, certains vont même s’y répandre sans la moindre retenue. Ils vont aussi visiter maintes fois la chatte si accueillante et si chaude de ma douce moitié ; là aussi, le sperme va couler à flots. Enfin, et je crois que cela a été le moment de gloire de chacun, ils vont tous profiter longuement de ce petit cul qui fait la réputation d’Eloise dans notre petit cercle privé libertin bruxellois. Comme tous ceux qui en ont profité avant, comme Youssef il y a quelques jours au restaurant, ils vont découvrir combien il est bon de s’exciter en faisant coulisser son gland entre les deux fesses bien musclées d’Elodie. Puis lentement, lorsqu’on pénètre dans son étroit boyau culier, on apprécie la souplesse et la douceur de son œillet qui vous enserre la hampe jusqu’à ce que vous ayez entièrement glissé votre bite dans ce havre de plaisir. Puis, selon les envies de chacun, on peut la besogner avec une infinie lenteur en la tenant fermement par les hanches pour mieux l’attirer contre soi et tenter ainsi d’aller visiter encore plus profondément sa grotte. On peut aussi la défoncer avec vigueur en lui claquant les fesses comme s’il s’agissait d’une bonne pouliche que l’on souhaite voir prendre le galop pour augmenter la sensation de plaisir. On peut également rester bien planté au fond de son cul en ondulant du bas-ventre et en lui mordillant la nuque comme le ferait un étalon en train d’ensemencer une jument en chaleur. Entre les mains de ces arabes matures et vicieux, ma jeune épouse n’est qu’un vulgaire jouet sexuel dont ils peuvent user et abuser. Oui, je dois bien l’avouer, j’aime voir ainsi ma femme se faire saillir à la chaîne par de vieux goujats pervers. Je ne comprends pas le moindre mot des propos qu’ils échangent entre eux mais j’imagine que ce ne sont que des éloges comme- Quelle belle salope, merci Youssef !- La femme de cet homme est une vraie chienne. Nous avons vraiment de la chance !- Elle est encore plus chaude qu’une pute de la rue d’Aerschot. Et avec elle, pas besoin de payer !- Et ce cul ! Un bonheur pour mon gros zob !Elodie n’arrive plus à avaler tout le sperme qu’elle a en bouche et de longs flets de salive et de foutre coulent à la commissure de ses lèvres. Sa chatte et son cul ne sont plus que deux orifices « à ciel ouvert » dont s’échappent également des filets blanchâtres et visqueux qui dégoulinent le long de ses jambes et s’entremêlent avec les arabesques tracées au henné.Alors que ses amis viennent de quitter la pièce, les couilles aussi desséchées que des raisins de Corinthe après de si nombreuses éjaculations, Youssef me dit- Ta jeune épouse a fait l’admiration de mes amis car ils n’avaient jamais eu l’occasion de baiser une jeune salope aussi docile. Tu dois être un mari heureux avec une telle femme !Je lui réponds- Oui, j’ai beaucoup de chance et je suis fier de l’éducation que je lui donne.puis je lui demande- Tu n’as pas envie d’en profiter à ton tour ?Il me répond avec un grand sourire- Allah est grand et Allah me dit que nous nous reverrons bientôt ! Pendant trois jours, je laisse Elodie au repos car son corps a besoin de souffler après une telle débauche. Cependant, je ne cesse de penser à cette soirée avec Youssef et ses amis ; le comportement d’Elodie me confirme qu’elle est une excellente élève et qu’elle est capable de faire encore de gros progrès même s’il faut parfois la contraindre et la faire souffrir un peu. Mais à chaque fois que cela lui arrive, elle sait qu’elle le mérite et elle sait que je lui ai enseigné que de petites souffrances débouchent toujours sur de grandes jouissances. Il y aura donc d’autres rencontres de ce type afin de parfaire l’éducation de ma jeune épouse.Au cours des mois qui suivent, avec ou sans moi mais toujours avec mon accord, Elodie va se perfectionner avec les beurs mais aussi les blacks de Bruxelles et de ses environs. Bien qu’elle soit docile, j’exige qu’elle soit à chaque fois attachée pour subir les assauts des mâles auxquels elle est offerte. Je sais toutefois qu’en mon absence, on doit très certainement défaire ses liens pour varier les positions et les possibilités. Peut-être est-ce d’ailleurs ce que je souhaite ! Ce soir, j’ai confié Elodie à deux sénégalais contactés sur internet et je suis rentré seul à notre appartement. Alors que je sirote une excellente Chimay Bleue bien fraiche en rédigeant une nouvelle histoire érotique, j’imagine ma jeune épouse empalée sur la bite d’un black couché sur le sol. Sa grosse queue d’ébène, glissée bien profondément dans la chatte d’Eloise, lui écartèle les chairs et je ne doute pas qu’un petit rictus de douleur déforme son si joli visage. De ses grosses mains calleuses, plus habituées à tenir un marteau-piqueur qu’une aussi jeune femme, le black lui écarte outrageusement les fesses dévoilant ainsi le trou du cul que convoite son copain en train de se positionner à genoux derrière cette petite salope qui ne semble pas avoir froid aux yeux. Les deux hommes se souviennent de ce que leur a dit le mari de la jeune femme avant de quitter la chambre d’hôtel miteuse du quartier Matongé – le quartier africain de Bruxelles - où ils se sont retrouvés vers 22h00- C’est la première fois que j’offre ma femme à des blacks et je sais qu’elle n’est pas très volontaire. Je vais l’attacher pour que vous puissiez en profiter.Puis, après avoir dénudé et entravé sa femme aux barreaux du lit, il a ajouté- Je reviendrai demain matin vers 07h00. D’ici là vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.Sur le coup, les deux blacks n’en revenaient pas mais maintenant, ils doivent bien se rendre à l’évidence, cette jeune bruxelloise blonde est à eux pour la nuit. Bien évidemment, ils l’ont tout de suite détachée pour justement en profiter comme ils le souhaitent, c’est-à-dire en même temps.C’est donc avec un plaisir non dissimulé que le second black pointe son gros champignon vers le petit trou que son copain lui prépare. Elodie tente de se débattre mais elle ne peut rien contre ces deux gros gaillards qui doivent bien faire entre quatre-vingts dix et cent kilos chacun. L’un des deux hommes lui donne une bonne claque sur les fesses et, malgré les petites larmes qui perlent aux coins de ses beaux yeux verts, elle se laisse enculer par le gros mandrin qui lui déchire les reins. Vers 07h00 le lendemain matin, l’un des deux hommes m’ouvre la porte de la chambre lorsque j’y frappe discrètement. Elodie est attachée sur le lit à plat ventre dans la position où je l’ai laissée la veille. Le second black est sur elle et d’où je suis, il m’est impossible de savoir s’il la baise ou l’encule. Mais qu’importe !Tandis que son copain continue de besogner ma femme avec vigueur, l’homme me dit- Ta femme suce comme une reine et elle encaisse sacrément bien ! Je lui réponds- Super, j’avais peur qu’elle ne soit pas à la hauteur pour cette première avec des africains.L’homme me rétorque- Oh non, t’en fais pas ! Si tu la ramènes dans le quartier, elle va avoir un sacré succès ! Elle est encore plus chaude que les jeunes putes nigérianes de la rue des Plantes. A ce moment là nous sommes interrompus par Elodie qui pousse un long gémissement et crie à l’homme- Oui vas-y Oumar, donne-moi encore tout ton foutre.Le gars me dit alors- Oui, lui c’est Oumar et moi c’est Adama. Avec ta femme, on a eu le temps de bien faire connaissance.Le dénommé Oumar doit s’être vider les couilles car il se relève et me dit avec un grand sourire- Patron, ta femme m’a vidé ! C’est une sacrée femelle !Pour moi c’est le plus beau compliment que l’on puisse faire sur Elodie et je lui réponds- Merci ! Je suis ravi qu’elle se soit bien comportée ! Comme je le disais à ton copain, j’avais peur qu’elle ne s’applique pas pour vous satisfaire.Quelques minutes plus tard, Elodie est assise près de moi dans la voiture et je la ramène à la maison. Une fois qu’elle m’a raconté en détail sa nuit, je la laisse prendre une douche et se coucher pour prendre du repos.Elle m’a avoué qu’au cours de la nuit les deux sénégalais ont fait venir d’autres africains dans la chambre et qu’elle est quasiment certaine qu’ils les ont fait payer pour la baiser. Ce sont là d’excellentes nouvelles qui me laissent entrevoir quelques perspectives intéressantes …
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