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L'éducation de Juliette

Chapitre 3

Exhibition

Divers
Le trajet en métro loin de me calmer augmenta mon excitation. Le compartiment était bondé. Nous étions collés les un contre les autres. J’étais plaquée contre un mec d’une quarantaine d’année qui me regardait avec un petit sourire. Il faut dire qu’après mes deux heures de jouissance j’avais les yeux au milieu de la figure, mon visage sentait le foutre et ma chatte, nue, puisque Jean avait gardé mon slip, étais encore humide de ma jouissance toute récente. Je sentais la queue du mec appuyée sur mon ventre, mes seins s’écrasaient sur sa poitrine et il ne pouvait ignorer que je ne portais pas de soutien-gorge. Jean, derrière moi avait sa bite collée à mes fesses, j’avais l’impression qu’il accentuait sa pression pour me forcer à m’appuyer encore plus contre l’homme. Soudain il remonta ma jupe. Mon ventre était nu contre mon voisin. Celui-ci s’en rendit compte, sa main se saisit de ma chatte et il commença à la branler. J’écartais les cuisses pour lui faciliter le branlage. Je ne me reconnaissais plus. Le compartiment était occupé par une majorité d’hommes, ceux qui étaient près de moi ne pouvaient ignorer le manège, surtout quand Jean, glissant ses mains sous mon pull commença à me peloter les seins. C’était trop, un doigt dans la chatte, mes tétons branlés, je ne pus contenir un gémissement. Mon voisin de droite, un grand noir baraqué, me prit la main qu’il posa sur son braquemart qu’il venait de sortir. Il était énorme, ma main n’en faisait pas le tour. Je commençais à le branler, voyant cela, mon voisin de gauche, un jeune arabe en fit autant. Je sentis un doigt s’enfiler dans mon cul. Comme Jean avait ses deux mains sur ma poitrine, j’en conclus qu’un autre de mes voisins voulait profiter de mon corps. L’homme qui étais en face de moi était un expert de la branlette, il avait pris mon clito entre deux doigts et le fit rouler, ses caresses m’arrachaient des gémissements de plaisir. Pendant ce temps un deuxième doigt était venu rejoindre le premier dans mon cul. Je me cambrais pour sentir encore mieux cette pénétration. Le propriétaire des doigts les faisait aller et venir dans un mouvement lent et profond, je m’écartais de mon mieux pour lui faciliter la tâche. Mes deux branleurs se mirent à faire des commentaires. - Comment trouvez-vous sa chatte ? Demanda mon enculeur. - Divine, elle est trempée, ouverte, elle a sûrement été branlée avant d’arriver ici. Et son cul? - Un morceau de roi, souple, ouvert et étroit en même temps, ça doit être bon d’enfoncer sa bite dans ce conduit brûlant. Devant ces propos tenus à haute voix, je ne pus m’empêcher de rougir, mais cela ne gênait en rien la branlette que j’appliquais à mes deux autres voisins. Soudain leurs bites se contractèrent et ils se mirent à éjaculer, m’arrosant le ventre de leur foutre. Décidément c’était la journée. Après le visage, le ventre. Jean pris la parole. - Messieurs, il est temps de vous quitter, nous sommes arrivés. J’espère que ce petit intermède a rendu votre voyage agréable.  Une fois descendu, il me demanda. - Alors chérie, ça t’a plu ? - J’ai honte, je me suis conduite comme une pute. Que vont penser tous ces hommes; Le mec qui m’a branlé aurait pu être mon père. - Tu n’as pas aimé ? - Si.  - Alors n’y pense plus. Quant au mec, en rentrant chez lui, je suis sûr qu’il va regarder sa fille d’un autre œil, se demandant si elle aussi se fait branler dans le métro et il va courir au chiotte cracher son foutre. Je m’étais conduite comme une salope, j’avais branlé deux mecs pendant qu’un troisième me branlait la chatte, et un autre le cul, et j’avais aimé cela. Jean aussi semblait aimer m’offrir. Je lui avais dit que j’étais prête à tout, mais j’avais quand même un peu peur. Nous sommes arrivés chez Jean. Dès la porte fermée, il me saisit dans ses bras et me fourre la langue dans la bouche. Je réponds à son baiser avec fougue, sa langue s’enroule autour de la mienne, il se colle contre moi. Il me saisit les fesses pour me plaquer contre sa bite. - Tu sens comme je bande ? Je rougis et ne me répond pas. C’est marrant cette tendance à rougir alors que je viens de montrer mon cul à des dizaines de gars.  Jean se dégage et commence à se déshabiller. - Qu’est-ce que tu fais ? - Tu vois je me mets à l’aise, fais-en autant. - Tu promets que tu ne me baiseras pas ? - N’ai pas peur je sais que tu tiens à ton pucelage, mais on peut faire plein de choses sans y toucher. Déshabille-toi. N’ayant que mon pull et ma jupe, ce fut vite fait. Je suis nue, mes tétons bandent déjà, Je suis tellement excitée que mon clito pointe comme une bite. Jean me pousse vers le lit
 - Met tes pieds sur le lit et écarte les cuisses. J’ouvris les jambes, ma chatte encore excitée par les deux séances de branlage, s’ouvrit sans difficultés. - Branle toi Ma main descendit vers ma moule pour astiquer mon clito, de mon autre main j’écartais les lèvres, les pinçais, mon doigt titillait le clitoris de plus en plus vite, mon ventre se tendait à la recherche d’autres caresses, la vision de cette moule qui coulait comme une fontaine faisait bander Jean.  Sa bite se dressait fièrement, longue, dure avec son mufle épais. - Chéri je t’en prie vient me lécher, j’ai trop envie. Il se laissa tomber devant ma chatte béante, m’écartant les lèvres. Il m’aspira le clito, le suçant, le mordillant, le léchant, puis il me bouffa la chatte, buvant toute ma mouille qui coulait sans arrêt. Sa langue se glissa dans ma rosette, la forçant, je frémis à cette caresse que je commençais à apprécier. - Oh oui ! Mon chéri, c’est bon enfonce encore, je jouis. Jean remplaça sa langue par un doigt, puis deux. Je me saisis de mes fesses à pleine main pour mieux les écarter. Pendant ce temps Jean continuait à me bouffer  la chatte. Sous l’effet de ces deux caresses, je ne tardais pas à jouir pour la énième fois.  Jean se redressa la bite tendue. - Regarde dans quel état je suis il faut faire quelque chose. - Pourquoi tu ne te branles pas ? - Non j’ai une meilleure idée, depuis que je te connais ta bouche me fait envie, tu as des lèvres de suceuse, alors tu vas me faire une pipe. - Mais je ne sais pas et puis ce n’est pas bien (je jouais les hypocrites, mais j’avais follement envie de sentir son gros zob dans ma bouche, mes copines, pour qui c’était une des distractions favorites, prétendaient que c’était merveilleux de sucer une belle bite, alors maintenant je voulais essayer). - Viens je vais t’apprendre.
Il s’installa sur le lit, il me fit mettre à quatre pattes le cul tourné vers la fenêtre, et me tendit sa bite.
 - Prends la entre tes mains et lèche le gland pour commencer.
 Obligée de me pencher en avant, j’écarte les cuisses.
 - Prends la dans la bouche maintenant, avale profond, suce le gland, fais-le rouler sous ta langue, puis tu fais glisser tes lèvres le long de ma bite, avale jusqu’au bout. Oh que c’est bon ! Cette grosse bite. J’ai eu du mal à l’avaler. Maintenant j’en ai plein la bouche. C’est chaud, c’est doux. Sur les indications de Jean mes lèvres glissent le long du zob, je fais tourner ma langue autour de son gland, je lui caresse les couilles. C’est la première fois qu’une bite viole mes lèvres et ça me fait mouiller ; Je suis trempée, ça coule le long de mes cuisses.  C’est alors que Jean me dit :
 - Ecarte-toi mieux il y a un mec qui te regarde. 
 Mon premier réflexe et de resserrer mes cuisses, mais Jean me claque les fesses.
 - Ecarte-salope !
 Je fis alors ce qu’il me dit, m’écartant au maximum. Ma chatte et ma rosette, offerte au regard du voyeur, mouillaient de plus en plus sans que je puisse savoir si c’était la pipe ou mon exhibition qui me faisait mouiller.
 - Il est en train de se branler, attend chérie on va corser le spectacle.
 Jean se glissa sous moi, sa tête vers ma chatte, il me saisit les fesses les écartant encore plus et entrepris de me lécher.
 - Mais tu es trempée ma salope, tu aimes te faire mater ma parole.
 Sa langue glissait sur toute ma fente, buvant la mouille, me mordillant le clitoris, l’absorbant, le suçant. Il m’enfonça trois doigts dans le cul et me branla. Soudain je le sentis se raidir, sa bite sembla grossir encore et il me lâcha son foutre. Après la première surprise, je me mis à déglutir et j’avalais tout son sperme. C’était bon, et cela déclencha un autre orgasme. Je me redressais, le voyeur voulut se cacher, mais devant mon sourire, il n’hésita plus et se découvrit complètement. C’était un magnifique Antillais, grand, baraqué. Sa bite me semblait énorme. Il l’astiquait avec fougue. Il ne tarda pas à jouir lui aussi. J’étais épuisé. Pour une première, j’avais joui tout l’après-midi sans arrêt. Je pris une douche, me rhabillais et Jean me raccompagna chez moi. 
 Le trajet en métro fut plus reposant que celui de l’après-midi. Nous avions trouvé des places assises, il y avait moins de monde. Jean me demanda comment m’était venu ce goût pour l’exhibitionnisme.
Un jour, j’étais dans la salle de bain en train de me laver, j’étais seule à la maison aussi j’avais laissé la porte ouverte. Debout dans la baignoire je me faisais un shampoing. Quand je rouvris enfin les yeux après m’être rincée la tête je vis mon frère en face de moi qui me détaillais sous toutes les coutures.
 - Petit vicieux, ferme cette porte, je vais le dire à maman.
 Mais mon frère ne m’écoutait pas et il continuait à me fixer. Sa main était enfoncée dans sa poche et je la voyais s’agiter. Je ne pouvais imaginer qu’il se branlait. Je protestais encore, mais sans conviction. J’étais là, debout devant lui, je ne pensais ni à m’accroupir dans la baignoire pour me cacher, ni à cacher mes seins, , ni ma chatte. Au contraire, les mains toujours sur la tête je lui offrais un spectacle auquel il n’était pas insensible. Un bruit de clé dans la serrure le fit détaler vers sa chambre. C’était ma mère qui rentrait. Je m’empressais de revêtir un peignoir de bain et filais vers ma chambre. Là je me mis nue à nouveau et devant mon miroir j’essayais d’imaginer ce que pouvais ressentir un mec  devant une fille nue. La porte de la chambre s’ouvrit doucement et je vis mon frère qui entra, un doigt sur les lèvres.
 - Chut maman est au téléphone laisse-moi te regarder encore. - Non va-t- en ce n’est pas bien, je vais le dire à maman. - Arrête tes simagrées, tu ne diras rien parce que ça te plaît de te montrer nue. J’ai bien vu tout à l’heure tu n’as rien fait pour te cacher.
 Il avait raison le petit salaud. Je sentais une douce chaleur envahir mon ventre. Et un liquide chaud coulait le long de mes cuisses, je crus que je pissais. 
 - Fais-moi voir ta chatte.
 J’écartais les cuisses.
 - Non mieux que ça, couche toi et écarte bien les cuisses.
 Subjuguée  par son ton de commandement, je fis ce qu’il dit, m’allongeant sur le lit et écartant les cuisses. Il sortit son zob et me le montra tout en le caressant. C’était la première fois que j’en voyais un. Très intéressée par ce morceau de chair qui semblait procurer beaucoup de plaisir à mon frère je me pris à regretter de ne pas avoir le même. Je ne savais pas encore que j’avais moi aussi un instrument de jouissance, mon clitoris. Ma mère nous appela pour nous mettre à table.
Ce petit jeu a duré un certain temps, sans jamais aller plus loin. Mais depuis un an il préfère ma sœur. Je crois qu’elle est plus coopérative.
Ce qui amplifia cependant ce côté exhibitionniste, ce fut mon entrée en apprentissage. j’étais timide. Mon patron tenait un salon de coiffure mixte. Dès le premier jour il me fixa les conditions de mon embauche. Je devais me maquiller, changer de coiffure, et m’habiller beaucoup plus court. Une coiffeuse disait-il doit être provocante, excitante. Sa femme m’apprit à me maquiller en accentuant encore l’épaisseur de mes lèvres et elle m’accompagna dans les boutiques pour m’aider à choisir ma nouvelle garde-robe. Mini-jupes qu’elle faisait encore raccourcir, pulls et tee-shirts moulants et très échancrés, quand au-dessous ce n’était que strings, porte-jarretelles, bas, pas de soutien-gorge comme tu as pu le constater.Les chaussures à hauts talons étaient bien sûr de rigueur. La première fois que je sortis habillée comme cela, je ne savais pas où me mettre. Dans la rue les hommes me sifflaient. Dans le métro, je n’osais pas m’asseoir car mes jupes découvraient jusqu’à mon slip, et quand je montais les escaliers, il y avait toujours des mecs derrière moi pour admirer mon cul tout en faisant des commentaires plus ou moins flatteurs. Quant aux femmes, si leurs yeux avaient été des revolvers je serais déjà morte. Au salon les clients voulaient tous passer avec moi. Ce qu’ils préféraient c’était les manucures car j’étais assise sur un tabouret qui me forçait à remonter mes cuisses, ma jupe glissait, dévoilant mon slip. Cette situation me faisait mouiller, et quand je me relevais le tabouret était humide, ce qui faisait sourire les clients. Ces exhibitions, involontaires au début mais que je finis par faire sciemment, me rapportaient de gros pourboires. Peu à peu je m’habituais à cette nouvelle garde-robe. Je me sentais bien dans ces nouvelles tenues, et les regards des mecs m’excitaient. Je n’avais plus peur de m’asseoir, ni même de montrer mon slip. Tu vois je crois que j’étais prédisposée. Notre voisin d’en face n’en pouvait plus en écoutant mes confidences. Comme inconsciemment j’avais écarté les cuisses il avait une vue superbe sur ma chatte, car Jean ne m’avait pas rendu mon slip. Il se tortillait sur son siège, sa bite devait le gêner, mais il n’osait pas la rajuster.
 - Tu vas franchir un pas de plus. A partir de maintenant tu ne mettras plus de slip. - Mais mes jupes sont trop courtes, on va me voir la chatte. - Tu aimes ça, ne dis pas le contraire, tu es en train de la montrer à monsieur.
 Jean avait raison. J’aimais ça. Nous étions arrivés. Après un dernier baiser, nous nous quittâmes.
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