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L'éducation de Juliette

Chapitre 4

Déflorage anal

Voyeur / Exhibition
Jean m’a annoncé qu’il a fixé la date de notre mariage. Je suis folle de joie. Enfin, je vais lui appartenir entièrement. Nos rencontres dans son appartement deviennent de plus en plus dures à gérer. Je ne veux pas qu’il me prenne avant le mariage, c’est bête, mais c’est une question de principe. Seulement quand je suis nue contre lui, que je sens sa grosse bite sur mon ventre, j’ai du mal à me retenir. Il m’a fait franchir un nouveau pas. Un jour, alors que je lui suçais le zob (j’adore ça, sentir une belle pine dans ma bouche, la lécher, la faire cracher son foutre que j’avale avec délice), il me saisit la tête et la recula.   — J’ai envie d’autre chose. — Je ne veux pas que tu me baises avant le mariage. Je t’en prie mon chéri, tu m’as promis de ne pas le faire. — Chérie, tu as trois trous, tu m’as déjà donné ta bouche, tu ne veux pas que je prenne ta chatte, je te l’ai promis, je ne le ferais pas. Mais il reste ton cul. — Oh non ! tu vas me faire mal, tu es trop gros. — N’aie pas peur mon amour, tu es souple et je vais encore te l’assouplir. Tu verras, tu vas aimer cela. D’ailleurs si tu veux être prise par trois mecs en même temps, il faut que tes trois trous soient disponibles. — Je ne veux pas être prise par d’autres que toi. — On verra, et pour ton cul c’est d’accord ? — D’accord, mais si j’ai mal, tu arrêtes tout de suite. — OK.    Jean se dirige vers un placard et en sort un objet comme je n’en ai jamais vu.    — Qu’est-ce que c’est ? — C’est un gode pour t’assouplir le cul. Tu vois, il va en s’évasant vers la base. Mes-toi à quatre pattes sur le lit.    Je fais ce qu’il me dit.   — Non pas comme cela, mets ta tête sur le lit, tourne ton cul vers la fenêtre, notre spectateur est là.    Là encore, j’obéis, j’aime quand il me dirige ainsi, qu’il m’exhibe. Mon voyeur est là, comme à chaque fois. Je soupçonne Jean de le prévenir les jours où je viens. Jean m’enduit la rosette d’une crème lubrifiante, puis il appuie le gode sur le cul et commence à l’enfoncer. Je sens les sphincters céder sous la poussée, je ressens une légère douleur, mais très supportable. Il est vrai qu’il m’a déjà bien préparée avec ses doigts. Il pousse toujours et mon cul s’ouvre de plus en plus, la forme de ce gode est vraiment bien étudiée.   — La, il est au fond. Tu vas rester quelques minutes comme cela.  
  J’imagine la vue que j’offre à notre voisin. Les cuisses écartées, la chatte ouverte et ce gode dans le cul, il doit se branler en me matant. A cette idée, ma chatte se met à couler. Jean s’est servi un whisky, il revient vers moi et passe sa main sur ma moule.   — Mais tu mouilles ma salope, ça te plaît ce gode dans le cul. — Oh oui ! mais ce n’est pas ça qui me fait mouiller. — C’est quoi alors ?    Je n’ose lui répondre.   — vas-y, dis-le. — C’est l’idée du voisin qui me mate. — Salope, tu es vraiment une pute, je vais lui dire de venir, il va pouvoir profiter de toi lui aussi, depuis le temps qu’il se branle en te regardant. — Non, je t’en prie, exhibe-moi tant que tu veux, mais je ne veux pas qu’un autre homme me touche. — Pourtant l’autre fois, à la boîte et dans le métro, tu t’es bien laissée faire. — Oui, mais je n’étais plus moi-même. Je ne veux plus recommencer. — Bon d’accord. On en reparlera. Fais voir ton cul !     Il retire le gode.   — OK, t’es bien ouverte. Je vais pouvoir t’enculer. Mais avant, tu vas me faire une pipe pour me mettre en forme.    Il s’installe devant moi. J’ai toujours le cul tourné vers le voisin. Maintenant, il peut voir ma chatte et mon cul ouvert. Je me saisis du braquemart de Jean et l’engloutis jusqu’aux couilles. Après quelques instants, il m’arrête.   — Allez, viens te faire enculer pouffiasse.    Jean m’attire vers lui.   — Mets-toi face à la fenêtre, que notre voisin en profite puisque tu ne veux pas qu’il vienne.    Je me tourne face à la fenêtre. Maintenant, je vois notre voyeur. Il me fait un petit signe et me montre sa bite. Elle est énorme, il bande comme un âne.   — Viens t’asseoir sur ma queue.    Je me laisse descendre. Quand je sens le gland appuyer sur ma rosette, j’ai un instant d’hésitation, mais Jean qui me tient aux hanches appuie. Le gland m’écarte les sphincters. C’est vrai que je n’ai pas mal, il m’a bien ouverte avec son gode. Je sens la bite m’envahir, m’écarter le cul. C’est une sensation extraordinaire.   — C’est bon ? — Oui mon amour. — Descends encore, je vais te la mettre jusqu’aux couilles.    Quand je me retrouve assise sur ses cuisses, je pousse un soupir. Sa bite m’emplit d’une manière extraordinaire, c’est formidable. Elle me défonce, mais me sentir emplie comme cela c’est un tel bonheur que j’accepte la souffrance toute relative.   — Branle-toi.    Mon doigt se porte sur mon clitounet que je caresse doucement. Ainsi prise, la bite de Jean me défonçant la rosette, mes cuisses largement écartées, j’offre à notre voisin un spectacle qu’il a l’air d’apprécier beaucoup. Ses yeux exorbités se fixent, sur ma chatte que je branle et ma rosette défoncée par la bite de Jean. Il se masturbe lentement lui aussi, j’ai déjà remarqué qu’il fait toujours durer sa branlette pour jouir en même temps que nous. Dans cette position, je profite pleinement de la situation puisque je peux le voir me mater, se branler. Cela m’excite encore plus. Mon doigt s’agite sur mon clito, de mon autre main, je maintiens ma chatte bien écartée afin que le voyeur n’en perde pas une miette. Jean me pince les tétons, les tord, tire dessus.   — Tu me fais mal. — Mais tu aimes ça salope. Je sens ta mouille qui me coule sur les cuisses.    C’est vrai que j’aime ça.   — Coulisse sur ma bite chérie.    Prenant appui sur mes mains, je remonte le long de sa colonne jusqu’à ce que le gland atteigne ma rosette, puis je me laisse retomber d’un seul coup. J’ai l’impression que le zob va me ressortir par la gorge. C’est encore meilleur que la première fois. Je continue à m’empaler de plus en plus vite. Soudain, sans souci de la fenêtre ouverte, je pousse un hurlement de jouissance, Jean vient de me lâcher son foutre dans le cul. Je vois en même temps le voisin diriger sa pine vers moi et cracher à son tour.   — Ben ma salope, on peut dire que ça te fait de l’effet d’être enculée. — C’était merveilleux mon chéri. J’ai joui comme une folle. — Tu vois, je te l’ai dit. Et crois-moi, à trois, c’est encore mieux. — Non chéri, pas question. — Tu y viendras, tu verras.    Il se fait tard. Je courre dans la salle de bain me laver la moule. Je me rhabille. C’est vite fait, car comme Jean me l’impose, je ne porte ni slip ni soutien-gorge. Juste un pull très moulant qui laisse deviner mes seins et un mini-kilt très très court. Au moment de dire au revoir à Jean, il me dit :   — Penche-toi en avant et écarte les fesses. — Non chéri, je n’ai plus le temps. — Ce n’est pas pour te baiser.    Je fais comme il me demande, l’habitude aidant, je mets mon cul vers la fenêtre.   — Bien petite salope, je vois que tu y prends goût.    Il s’approche de moi et m’enfonce dans le cul un objet bizarre.   — Qu’est-ce que c’est ? — Un plug, c’est pour t’élargir. Viens voir.    Il m’amène devant son armoire. Une collection de godes de toutes tailles sont alignés, certains avec des courroies dont je devine l’utilité. A côté, une dizaine d’objets de forme conique et plus étroit à la base.   — Tu vois la partie renflée va t’élargir, et ta rosette en se resserrant sur la base va l’empêcher de tomber. Quant à cette partie plate, elle l’empêche de remonter dans ton rectum. Tu vas le garder une semaine sans l’enlever. La semaine prochaine, je te mettrai la taille au-dessus. Regarde, il y a toutes les tailles. — Mais mon chéri, avec mes jupes courtes, on me voit l’anus en permanence. Les gens vont s’apercevoir que j’ai cet objet dedans. — Ce n’est pas grave, et ne me dis pas que tu n’aimes pas ça. — Et maman ? Elle n’a déjà rien dit quand elle s’est aperçue que je ne porte plus de culotte. C’est bizarre d’ailleurs, ça a l’air de l’amuser. A chaque fois qu’elle invite notre voisin, elle en profite pour m’asseoir en face de lui. Ce vieux salaud n’en perd pas une miette. Il ne se cache même plus pour me mater. Quand je monte les escaliers, il me fait passer devant pour reluquer mes fesses. Il va tout de suite comprendre en voyant le plug. — Et alors ça te gêne ?    Je dois avouer que non.   — Alors, garde-le et rentre vite. Au revoir ma chérie. — Au revoir mon amour.    Je me retrouve dans le métro, la sensation du plug dans mon cul n’est pas désagréable. Il n’y a qu’un inconvénient, ça me fait mouiller en permanence. J’ai l’impression que tout le monde est au courant. Il est vrai que la présence de cet objet me force à marcher le cul légèrement écarté, et puis avec mes yeux cernés, ma bouche gonflée par les pipes, bien mise en valeur par le rouge à lèvres qui l’agrandit encore, mes tétons qui pointent à travers mon pull tant la présence du plug les fait bander et ma mini qui arrive au ras des fesses, j’ai l’air de ce que je suis, une salope qui vient de se faire enculer.  ------------------------------------  Dans deux jours, je me marie. Ce soir, mes copines ont décidé de m’emmener au bain turc pour me préparer. Devant mon étonnement, elles me déclarent vouloir faire une surprise à Jean, quelque chose qui lui fera très plaisir.    Huit heures. Rosine sonne à la porte, à son habitude, elle est vêtue très court, porte un chemisier transparent. Mon frère se précipite pour l’embrasser et en profite pour lui glisser une main sous la jupe. Rosine se marre et lui roule un patin. Nous sortons. Notre succès dans le métro est fou. Nous sommes le point de mire de tous les mâles présents. Nos tenues provocantes, notre attitude, excitent tous ces mecs. Rosine m’embrasse de temps en temps, les gars n’en peuvent plus. Bien que le métro ne soit pas bondé, elle s’est plaquée contre un mec et agite son cul sur sa bite. Le pauvre type est tout excité.    Nous sommes arrivées. Rosine me fait entrer dans le bain turc. Elle a l’air d’y être connue, la réceptionniste lui roule un patin. Elle nous tend nos serviettes. Dany et Julie sont déjà là. Elles nous attendent. Nous nous déshabillons et les rejoignons.    Mes trois copines me font entrer dans l’eau qui est très chaude, elles me lavent. C’est bon de se laisser faire ainsi. Je me détends. Ces mains qui parcourent mon corps, me caressent plus qu’elles ne me lavent, me font du bien. C’est la première fois que je suis caressée par des filles, à ma grande surprise, je ne déteste pas.    Rosine me prend par la main et me fait sortir de l’eau. Elle en profite pour me serrer contre elle et me rouler une pelle. Après un instant de surprise, je réponds à son baiser. Ses mains parcourent mon corps, me caressent les seins, elle s’empare de ma chatte, son doigt glisse sur mon clitoris, le titille. Je pousse un gémissement de plaisir.   — Vous avez vu les filles, on nous a changé notre Juliette.    Rosine m’entraîne vers la table de massage. J’ai un recul, un beur d’une vingtaine d’années nous y attend. C’est le masseur.   — Allonge-toi, me dit-il.    Je m’étends sur le dos.  Dany prend la parole :   — Attends, avant de la masser, il y a une petite formalité à accomplir.    Elle s’empare d’un sac sous la table de massage et sort un nécessaire à épiler.   — Mais que fais-tu ? — Nous allons t’épiler la chatte, ainsi tu seras complètement nue pour ton mariage. — Mais ça va faire mal. — Mais non ma chérie, je le fais régulièrement.    Dany fait chauffer la cire qu’elle étale ensuite sur mon pubis. Le masseur immobile me contemple. Dany me fait écarter les cuisses pour m’épiler partout. Puis elle me demande de me retourner pour m’épiler également la rosette. Brusquement, je songe au plug que j’ai toujours (j’en suis à l’avant-dernière taille), et je rougis. Je me mets cependant sur le ventre, les fesses écartées.   — Regardez. Quelle salope cette Juliette, elle nous a caché ça. Quel braquemart ! Tu vas avoir le cul le plus accueillant de Paris.    Ahmed, le masseur, s’est approché, très intéressé. Il a sorti sa bite et la caresse.   — Je ne veux pas qu’il me touche. Il regarde tant qu’il veut, mais c’est tout. — Ne t’en fais pas, on va s’occuper de lui.    Dany enlève le plug pour m’enduire de cire. Ma rosette reste béante, offerte. Cette situation commence à m’exciter sérieusement. Ma chatte coule, mes tétons bandent, ainsi que mon clito. Je n’ose me branler à cause de la cire. Rosine se rend compte de mon état.   — Attends ma chérie, dès que tu seras épilée, on va s’occuper de toi.    Dany, jugeant que la cire est assez prise, tire dessus. Je pousse un cri de douleur, mais c’est fini. J’ai la moule et le cul aussi lisse qu’une gamine. Julie m’amène devant un miroir.   — Regarde chérie, tu es encore plus excitante comme cela. On dirait une gamine vicieuse avec ta moule toute lisse, ta bouche à pipe et tes yeux cernés, tu vas faire bander tous les mecs. Regarde Ahmed, il n’en peut plus.    C’est vrai que l’effet est saisissant. Mes grandes lèvres sont gonflées par le désir, elles s’écartent d’une manière obscène, laissant pointer mon clitoris.   — Viens te faire masser.    Ahmed s’approche de la table où je suis allongée. Il s’enduit les mains d’huile odorante et commence à me masser. La sensation est extraordinaire. Ses mains sont douces, légères. Elles parcourent toutes les parties de mon corps sans s’attarder nulle part, du moins au début. Peu à peu, il se met à insister sur mes seins qui durcissent, les tétons gonflés par le désir me font mal. Puis il descend vers la chatte, masse mon pubis glabre, me force à m’écarter, il me masse l’entrecuisse remontant vers la moule qu’il effleure sans jamais s’y arrêter. Puis il me retourne sur le ventre, m’écarte les fesses, me masse la rosette, l’écartant. Je n’en peux plus. Mes bonnes résolutions s’envolent. Il est vrai que depuis quelques mois, Jean a tout fait pour cela, me révélant peu à peu mon goût pour l’exhibitionnisme, la jouissance, la bite. Je ne veux plus qu’une chose, qu’on me bouffe la chatte, qu’on m’encule.     Je suis trop excitée. Je me saisis de sa bite qui est énorme. Je le masse à mon tour. Ma main n’en fait pas le tour. Ahmed se présente devant mon visage, sa bite à hauteur de mes lèvres. Je caresse le gland avec ma langue, puis toute la longueur de la pine. Je lui lèche les couilles, j’ouvre grand la bouche pour l’engloutir. Il s’enfonce jusqu’aux couilles. Je manque d’étouffer, mais que c’est bon cette grosse bite. J’ai les mâchoires écartées au maximum. Je remonte le long de sa colonne, creusant les joues pour mieux le caresser. Je joue avec son gland, le léchant, faisant glisser ma langue autour, le mordillant. Soudain, une langue s’empare de ma chatte, la léchant sur toute la longueur, aspirant mon clitoris, je ne sais pas qui a entrepris de me bouffer la moule, mais c’est une (ou un) experte. La bite d’Ahmed me ramone toujours la bouche, je la relâche que pour lui lécher le gland. Julie en profite pour l’avaler.    La salope, elle me laisse sur ma faim. Me voyant déçu, Dany s’installe devant moi, la chatte à hauteur de ma bouche.   — Suce-moi ma chérie, il y a longtemps que j’en ai envie.    C’est la première fois que je bouffe une moule, j’hésite un instant, puis me décidant, je pointe ma langue dans sa vulve béante, la lèche, je lui attrape le clitoris et me mets à le sucer, il est long, et je peux lui appliquer le même traitement qu’à une bite. Ma bouffeuse soudain abandonne ma chatte. Je pousse un gémissement de frustration. Mais Dany me tient la tête, m’empêchant de me retourner. Soudain, deux mains se posent sur mes fesses, les écarte, un gland se pose sur mon cul qui est bien lubrifiée par le massage. Je sens le gland appuyer sur la rosette, je m’écarte au maximum pour faciliter la pénétration. D’un coup, il force mes sphincters et s’enfonce sur toute sa longueur. Quelle sensation, la bite est énorme, bien que mon cul soit très souple depuis les séances de plug, j’ai la sensation d’être ouverte en deux, mais c’est une sensation merveilleuse.    La bite commence à me ramoner les intestins, à chaque fois qu’elle atteint ma rosette, je recule mon cul pour qu’elle revienne, et mon enculeur me l’enfonça d’un grand coup de reins m’arrachant des hurlements de plaisir. Je mords la chatte de Dany sous l’emprise du plaisir, mais celle-ci, loin de protester, semble apprécier le traitement, sa mouille me coule dans la bouche, je la bois avec un plaisir immense. Je fourre ma langue partout où je peux, l’enfonçant dans sa chatte, dans son cul. Lui bouffant le clito. Elle jouit en permanence. Julie continue sa pipe sur Ahmed qui ne me quitte pas des yeux. Ses yeux exorbités sont fixés sur le braquemart qui me défonce le cul.   — vas-y encule-la, bourre-lui le cul, elle aime ça cette chienne, regarde comme elle remue son cul pour que tu actives. Elle aime se faire défoncer.    Soudain, Ahmed ne peut plus se retenir, la pipe savante de Julie et le spectacle que nous lui offrons viennent à bout de sa résistance. Il crache tout son foutre. Julie se précipite vers moi, et me roule un patin, recrachant dans ma bouche le sperme d’Ahmed que j’avale avec délice. Ceci déclenche mon orgasme. Mais mon enculeur est infatigable, il ne décharge toujours pas. Je comprends soudain pourquoi, quand Ahmed dit :   — Allez les filles, on ferme.    La bite libère mon cul qui reste béant. Une sensation de vide m’envahit. Je me retourne et à ma grande surprise, je constate que mon enculeur est Rosine qui s’est harnachée avec un gode ceinture. Le spectacle est troublant. Cette belle fille, dotée d’une poitrine magnifique, avec ce zob. Elle ressemble à un transsexuel.  J’arrive chez moi, épuisée par cette soirée. Je me déshabille, éteint la lumière. Je m’endors en rêvant à Jean et à ma séance au hammam, revivant toutes les séquences, ce qui m’a encore fait mouiller.  Le grand jour est arrivé. C’est aujourd’hui que je me marie, et que je vais perdre mon dernier pucelage. Je suis tout excitée à cette idée. Mes copines ont dit qu’elles me prépareraient pour cette soirée.  A quatorze heures, Rosine, Julie et Dany sont là. La maison est en effervescence. Mes copines s’enferment avec moi dans la chambre.   — A poil, me dit Rosine, et allonge-toi sur le lit je vais te maquiller.    Étonnée de devoir me déshabiller et m’allonger pour cette opération, j’obéis. Rosine sort de son sac un bocal qui contient un liquide rouge sang. Elle s’empare d’un pinceau et me peint les lèvres, elle me dessine une bouche plus large que la mienne, une vraie bouche d’avaleuse de bites. Puis quand la bouche est terminée, elle entreprend le même travail sur mes tétons, puis sur ma chatte, peignant les grandes lèvres, dégageant bien mon clitoris pour le recouvrir également de ce liquide dont j’ignore la destination. A mes questions, Rosine se contente de sourire en me disant :   — Il faut que tu sois belle pour ta nuit de noces.    Elle me fait replier les cuisses pour bien dégager ma rosette qu’elle maquille également.  Son travail terminé, elle m’ordonne de ne pas bouger avant que le liquide ne sèche. Étendue sur mon lit, j’attends. Mes trois copines me regardent en souriant. Je me demande bien pourquoi. Au bout d’un quart d’heure, une sensation étrange m’envahit. Mes tétons se mettent à bander, ils gonflent, durcissent, se tendent. Mes grandes lèvres suivent le même chemin, doublant de volumes, mon clito s’allonge, ma bouche me démange, ma rosette est en feu, ma chatte s’ouvre et commence à mouiller.   — Que se passe-t-il ? Que m’as-tu fait ?    Rosine éclate de rire.   — C’est un liquide excitant, au fur et à mesure que la journée va avancer, tu vas être de plus en plus excitée. Tu ne vas vouloir qu’une chose, te faire baiser. Ta chatte sera ouverte en permanence. Regarde déjà le résultat.    Elle tend un miroir devant ma chatte. Quel spectacle ! Mes grandes lèvres gonflées et écartées laissent voir ma vulve. Mon clitoris, qui n’a jamais atteint cette taille, même au cours de mes branlages les plus furieux, pointe d’une manière indécente, comme un doigt qui indiquerait le chemin à suivre. Le rouge qui les enduit les rend encore plus obscènes. Je mouille comme une chienne sans même me toucher.   — Debout maintenant, il faut t’habiller.    Rosine m’attache un porte-jarretelles blanc auquel elle fixe des bas de même couleur, puis elle me présente un slip brésilien très échancré que j’enfile. Rosine me remonte le slip très haut pour qu’il pénètre bien dans ma raie culière, puis, écartant mes grandes lèvres, elle glisse sa main sur ma vulve pour qu’il pénètre bien ma chatte. Celle-ci dépasse sur les côtés du slip. Elle m’enfile ensuite un soutien-gorge si fin et si transparent que mes tétons, qui il est vrai ont doublé de volume et de longueur, pointent à travers. J’enfile ensuite ma robe de mariée. Les tétons continuent leur percée. On dirait qu’ils veulent se retrouver à l’air libre. Chaussures à très hauts talons, coiffure. Me voilà prête. Quand j’apparais dans le salon, un sifflement admiratif m’accueille.    La journée s’est déroulée d’une manière merveilleuse. Le soir est arrivé. Comme l’ont prévu mes copines, je suis dans un état d’excitation comme je n’en ai jamais connu. Le frottement du slip sur mon clitoris et ma vulve me fait mouiller en permanence. Je ne compte plus mes orgasmes. Mon slip est trempé. Les mâles présents, qu’ils soient de la famille ou non, ont tous la même attitude. Quand ils dansent avec moi, ils se collent contre mon corps, je sens leurs bites qui bandent contre mon ventre. Ils me sentent en chaleur, comme les chiens flairent les chiennes, et puis danser avec une jeune pucelle qui va y passer ce soir, ça les excite. Ce n’est pas fait pour me calmer. Jean a demandé à notre voisin d’assurer l’animation. Celui-ci avec quelques amis brésiliens et antillais a formé un orchestre. Samba, lambada, toutes ces danses sud-américaines sensuelles ont fait monter la fièvre dans la salle. Tout le monde est chauffé à blanc.    A minuit, Arsène, notre voisin et voyeur, prend le micro.   — Mesdames et messieurs, nous allons passer à la cérémonie traditionnelle. La mise aux enchères de la jarretière de la mariée. Mais pour faire quelque chose de plus original, le mari a décidé de mettre aux enchères les dessous de son épouse.    Un tonnerre d’applaudissements éclate dans la salle. Rouge de honte, je hurle :   — Non pas ça.    Je m’enfuis dans une pièce voisine.
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