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L'éducation de Juliette

Chapitre 5

Mon dépucelage

Orgie / Partouze
Jean vint me rejoindre.
— Eh bien ma chérie ! qu’est-ce qui t’arrive ?— Je ne veux pas que tu vendes mes dessous, mon slip est trempé, que va penser ma famille ?— Elle pensera que la jeune mariée est très excitée, ce qui est vrai non ?— Oui, mais j’ai honte, il y a mes oncles mes cousins, et puis tous tes amis, ils vont voir ma chatte, que vont-ils penser ?— Que tu es une belle salope, ce dont ils se doutent déjà. Vrai ou faux ?— C’est vrai mon chéri.— Alors arrête de jouer les jeunes filles effarouchées et vient. D’ailleurs si tu as peur de ta mère, je vais te raconter ce qui m’est arrivé avec elle. Tu te souviens quand je suis venu manger chez toi pour la première fois.— Oui.— Quand tu es repartie travailler, j’ai voulu te suivre, mais ta mère m’a retenu.— Oui c’était convenu entre nous, elle voulait te sonder.— C’est plutôt elle qui voulait se faire sonder.— Comment cela ?
Jean entreprit alors de me raconter ce qui suit :
"Ta mère me conduisit au salon et alla chercher le café à la cuisine. Elle se pencha pour servir mon café. Dans le mouvement, son chemisier s’écarta et je pus voir que ses seins n’avaient nul besoin de soutien-gorge. Elle s’installa en face de moi dans l’autre fauteuil et replia ses jambes sous elle. La pose était agréable à regarder. Son chemisier dont un autre bouton avait lâché, baillait sur sa poitrine, ses jambes découvertes par la minijupe, me laissaient voir le haut de ses bas retenus par un porte-jarretelles. Elle semblait ne pas s’apercevoir de sa tenue pour le moins provocante.
- Alors Jean, vous permettez que je vous appelle Jean ? Quelles sont vos intentions vis-à-vis de Danielle ? Vous savez qu’elle est très timide malgré ses allures affranchies. Et elle est encore vierge.
- J’ai remarqué sa timidité. Je sais qu’elle est encore vierge, bien qu’elle ne m’ait rien dit. Je l’aime beaucoup et je n’ai que des intentions sérieuses à son égard. Cependant, je ne suis pas de bois et je sens qu’avec elle, je vais être obligé de me mettre la ceinture. Or sans être un obsédé sexuel, j’aime bien baiser, et la vue d’une jolie fille, surtout si elle est provocante comme vous l’êtes en ce moment me met dans tous mes états. Regardez.
Me levant brusquement de mon fauteuil, je baissai ma fermeture éclair et sortis ma bite qui bandait dur.Ta mère ne s’offusqua pas de ce geste, bien au contraire. Saisissant ma pine, elle passa sa langue sur le gland qu’elle humecta abondamment tout en me branlant la colonne. Puis ses lèvres s’ouvrirent et elle engloutit mon dard jusqu’aux couilles. Sa bouche était chaude, sa langue semblait se multiplier tant elle virevoltait avec agilité le long de ma pine, autour du gland. De temps en temps, elle remontait ses lèvres jusqu’à la collerette, elle aspirait mon gland comme si elle voulait l’avaler, sa langue caressait le méat, puis elle me reprenait jusqu’au fond de la gorge, faisant aller et venir ses lèvres sur ma bite, caressant mes couilles. Au bout de quelques instants de ce régime, je ne pus me retenir et je partis à longues giclées qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte.

- Je crois que Juliette a fait une bonne affaire, ta bite est belle, ton sperme a bon goût, voyons voir si tu es capable de faire jouir une femme.Et disant cela, elle passa ses jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil. La salope n’avait pas de culotte. J’avais sous les yeux une chatte splendide, bien ourlée, déjà ouverte. La pipe lui avait fait de l’effet, car elle était toute mouillée.
- Viens me lécher, viens boire ma mouille.Je ne me fis pas prier. M’agenouillant à ses pieds, je lui saisis les cuisses pour les écarter encore plus et je plongeais ma tête dans sa fourche. Ma langue s’enfonça dans sa chatte pour boire le jus de sa jouissance. J’adore cette liqueur de femme, ça me fait bander comme un âne. Je lui aspirai les grandes lèvres, le clitoris qui avait déjà atteint une taille très appréciable. Ma langue se faisait agile pour lui apporter cette jouissance que son corps réclamait. Je parcouru son entrecuisse, m’égarant parfois vers son anus où je m’attardai. Loin de lui déplaire, cette caresse semblait la mettre dans tous ses états. Elle s’avança au bord du fauteuil pour que je puisse atteindre mieux sa rondelle. Ce que je fis, lui enfonçant la langue le plus loin possible. Cet enculage lingual lui fit pousser des cris de jouissance.
Abandonnant son cul, je remontai vers sa chatte, la récurant de ma langue râpeuse, puis je remontai vers son clitoris que je mordillai, elle se mit à éjaculer comme un mec, sa mouille jaillissait de sa chatte à grands jets. Je n’avais jamais vu ça. Je collais ma bouche sur sa fente pour la boire. Quel délice.

- prends-moi maintenant, je t’en prie, défonce-moi.Je me redressai, je n’attendais que cela, malgré sa pipe de tout à l’heure, mes couilles étaient douloureuses. Je m’apprêtai à lui emmancher la chatte quand elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le fauteuil.
- Je ne prends plus la pilule alors j’aime mieux que tu m’encules.Je ne me le fis pas répéter deux fois. Je pointai mon gland sur sa rosette. Elle était tellement mouillée et avait sûrement une telle habitude que je m’enfonçai d’un coup jusqu’aux couilles. Elle poussa un hurlement.
- Je t’ai fait mal ?- Non, mais c’est trop bon ; j’adore me faire enculer. Vas-y, fais-moi mal, défonce-moi. Plus fort.Puisqu’elle en voulait, je n’allais pas la contrarier. Je la travaillai à grands coups, sortant presque de son cul pour me renfoncer d’un coup, mes couilles claquant sur sa moule. En même temps, je lui tordais les tétons. Elle, elle se branlait le minou. A ce rythme-là, elle jouit trois fois avant que je lui lâche la purée dans les entrailles.
J’étais repu et ta mère aussi.- Tu sais, je crois que Juliette va faire une bonne affaire avec toi. Si tu sais t’y prendre, tu en feras ce que tu voudras.Je me demande encore aujourd’hui si elle avait deviné mes intentions. Ça n’avait pas l’air de l’affoler outre mesure, il est vrai qu’avec son tempérament, elle devait trouver sa fille un peu trop sage.
- Comment se fait-il que Juliette te ressemble si peu ? Tu as le feu au cul et elle, elle est d’une sagesse exemplaire.- Détrompe-toi. Elle aussi a du tempérament. J’ai remarqué plusieurs fois que ses slips étaient trempés. Elle est aussi un peu exhibitionniste. Elle ne demande qu’à être révélée. D’ailleurs, mon autre fille me ressemble aussi. Bien qu’elle soit plus jeune, je l’ai déjà surprise en train de se branler. Tu vois elle promet.
- Juliette se branle ?- Je ne crois pas, mais elle mouille très facilement. Ainsi l’autre jour, un ami était là pour l’apéritif, j’ai remarqué que Juliette avait ôté son slip, je me suis arrangée pour qu’elle soit assise en face de Roger. Celui-ci était assis par terre, il s’est régalé. J’ai fait faire le service à Danielle, à chaque mouvement qu’elle faisait, il pouvait voir sa chatte. Quand je l’ai enfin laissée partir, le fauteuil était trempé à l’endroit où elle était assise.
- Tu es une vraie salope, ça te plaît d’exhiber ta fille ?- Oui, beaucoup. Parlons sérieusement, n’essaye pas de baiser Juliette tout de suite. Si tu es en manque, je serais toujours là.- OK, j’attendrais le mariage. Et je compte bien profiter de ta proposition. Tu es vraiment bandante pour une vieille.- Salaud. Je sais que je pourrais être ta mère, mais ne me le fais pas trop remarquer."
— Tu vois, ta mère ne va pas s’affoler de te voir à poil en public, puisqu’elle t’exhibait à ton voisin.
J’étais sidérée par ce que venait de me raconter Jean. Ainsi il avait baisé ma mère, et celle-ci prenait un malin plaisir à m’exhiber. Quelle salope !
— Au fait ajouta Jean, c’est Arsène qui sera le meneur de jeu. Je veux que tu lui obéisses en tout. D’accord ?
Après ce que je venais d’apprendre, je n’avais plus qu’à m’incliner.
— D’accord mon amour.
Mon retour dans la grande salle fut accueilli par un soupir de soulagement. Les salauds avaient peur que je me défile. Eh bien ils allaient voir ! Arsène prit la parole.
— Je vais vous expliquer la règle des enchères. La robe de la mariée comporte soixante boutons. A chaque fois qu’un homme portera une enchère, un bouton sera déboutonné, en partant du bas. Si c’est une dame, il sera reboutonné, et ceci jusqu’à ce que tous les boutons soient déboutonnés. Ensuite ce sera le tour des dessous, sauf le porte-jarretelles qu’elle conservera. Juliette vient sur cette table, la vente va commencer.
Après un dernier regard à Jean, je me dirigeais vers Arsène et la table, où il me fit monter. Les enchères commencèrent. Au bout d’une demi-heure, je n’avais toujours qu’une dizaine de boutons de défaits. Les femmes se battaient avec acharnement pour que je conserve ma robe. Certaines, comme mes copines, ou ma mère jouaient avec les mâles, laissant Arsène me déboutonner jusqu’au pubis, elle lançait plusieurs sommes à la file, et Arsène reboutonnait. Car c’était lui le meneur de jeu qui faisait tout. Moi je devais rester immobile. Un objet. Au bout de deux heures enfin le dernier bouton céda, ma robe gisait à mes pieds. Un cri de victoire partit du côté des hommes. Arsène me prit par la main et me fit faire quelques pas sur la table. Je gonflais la poitrine, cambrais les reins, me déhanchais d’une manière provocante. Puis me faisant écarter les cuisses, il me fit pencher en avant.
— Admirez messieurs dames ce joli slip. Il est trempé, il sent bon la jeune pucelle excitée (il me caressa l’entrecuisse). Voyez comme elle jute, c’est un plaisir.
Rouge de honte, je me laissai faire, comme Jean me l’avait ordonné.Les mâles allaient se battre maintenant pour mes dessous. Arsène changea la règle ; nous passâmes aux enchères à l’américaine. Une bougie fut allumée. La dernière enchère, au moment où elle s’éteindra, remportera d’abord le soutien-gorge, puis le slip. J’étais de plus en plus excitée, par la séance de déshabillage d’abord, puis maintenant par tous ces regards braqués sur moi, sur ma chatte qui ne pouvait dissimuler son excitation, avec ses grandes lèvres boursouflées qui débordaient de chaque côté du slip, et le clitoris qui tendait le tissu. Personne ne pouvait ignorer mon état. Les mecs placés en contre-bas ne pouvaient pas ne pas voir que je mouillais de plus en plus, car j’avais gardé les cuisses écartées. Mes oncles et cousins n’étaient pas les derniers à me reluquer. Les enchères allèrent beaucoup plus vite pour mes dessous. Un de mes oncles emporta mon soutien-gorge, et Arsène se battit comme un diable pour obtenir mon slip, qu’il gagna de haute lutte contre mon patron.
Il m’enleva lui-même son trophée qu’il porta aussitôt à son nez pour humer mon odeur. Quand je fus nue, un grand silence s’installa dans la salle. Tout le monde pouvait admirer ma chatte rasée, mon clito, mes grandes lèvres gonflées qui trahissaient mon excitation. Je voulus remettre ma robe. Arsène intervint aussitôt.
— Non, tu restes comme cela.
Je regardais Jean qui approuva de la tête. Arsène me fit descendre de la table, ce qui m’obligea à écarter les cuisses, offrant ma moule à tous les regards. La musique reprit. La soirée continuait. Nue à l’exception de mon porte-jarretelles, de mes bas et de mes chaussures à hauts talons, j’étais un appel au viol. Tous les mâles présents voulurent danser avec moi. Le premier à obtenir cette faveur fut mon oncle. Depuis toujours, il s’était intéressé à moi, me prenant sur ses genoux, me caressant la poitrine sans que j’ose protester. Il ne pouvait manquer cette occasion de me serrer nue contre lui. Les musiciens avaient abandonné l’estrade, et des disques avaient remplacé l’orchestre. Bien sûr, on ne mettait plus que des slow ou tango. Les hommes voulaient profiter des danses pour se frotter à leurs partenaires. Mon oncle me serra contre lui. Je me laissais aller.
— Tu sens ma bite petite salope.— Oui tu bandes fort.
Il me tenait par les fesses pour me plaquer contre son zob. Mon clito frottait sur sa bosse déclenchant des spasmes.
— Mais tu jouis.— Oui mon oncle, c’est au moins la vingtième fois aujourd’hui, sens comme je mouille.
Sa main se glissa sur ma chatte. J’écartais les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je n’en pouvais plus. J’aurais voulu que Jean me baise, là, tout de suite. Mon oncle branlait mon clito. Je regardais avec inquiétude du côté de ma tante, elle dansait avec Arsène et ne songeait sûrement pas à nous. Celui-ci la tenait plaquée contre lui, les deux mains sur ses fesses, il lui murmurait je ne sais quoi à l’oreille.Après être passée entre les bras de tous les mâles présents, mon excitation avait atteint son paroxysme. Je me précipitais vers Jean.
— Chérie, je veux que tu me baises.— La soirée n’est pas finie, nous ne pouvons pas abandonner nos invités.— j’ai trop envie.— Il y a bien une solution, mais je ne suis pas sûr que tu acceptes.— Laquelle ?— Que je te baise là, devant tout le monde.
Après une courte hésitation, mon envie fut plus forte que tout.
— D’accord mon chéri.— Tu es sûr de le vouloir ?— Oui mon chéri, j’ai trop envie.— OK, mais à une condition, tu feras tout ce que je voudrais.— Tout, d’accord.— Tu vas monter sur l’estrade et annoncer toi-même que tu veux être dépucelée en public.
Sans hésitation, et malgré la honte qui s’emparait de moi, je me dirigeais vers l’estrade, et me saisissant du micro, réclamais le silence.
— Mesdames, messieurs, je viens vous annoncer que Jean va me baiser devant vous. Vous allez assister en direct à la perte de mon pucelage. Je suis trop excitée pour attendre d’être à la maison.
Les invités me regardèrent sans oser y croire. Jean s’approcha de l’estrade, il se déshabilla. S’allongeant sur le sol, il me tendit sa bite.
— Suce salope.
Je m’agenouillais et engloutis son zob. Un lourd silence régnait dans la salle. Tout le monde s’était rapproché de l’estrade pour jouir du spectacle.
— Écarte les cuisses que nos invités puissent admirer ta chatte.
J’obéis.
— Branle-toi.
Ma main se dirigea vers ma moule, je m’astiquais le clito, qui n’avait pas besoin de ça. Il n’avait pas débandé depuis le début de l’après-midi. Je m’appliquais à sucer la pine de Jean, celui-ci commentait ma prestation pour nos amis.
— La salope, elle suce comme une reine. Elle me caresse le gland avec sa langue, elle l’aspire, elle m’avale tout entier. Je sentis quelqu’un se glisser sous moi. Une bouche s’empara de mon clito, l’aspira, le lécha, je m’écartai davantage pour lui faciliter la tâche.
Jean me fit allonger sur le dos, il s’installa sur moi, son gland se plaça à l’orée de mon minou. Il appuya. J’étais tellement trempé que sa queue s’enfonça comme dans du beurre. Une légère douleur et ça y était. Je n’étais plus vierge. Sa bite m’emplissant la chatte, il commença à limer doucement, mais j’étais trop excitée pour me contenter de ce rythme, je lançai ma chatte à la rencontre de sa bite.
— Oh mon chéri ! C’est bon, plus fort plus vite, défonce-moi.
Mais Jean conservait la cadence qu’il avait adoptée. Il me mordillait en même temps les tétons. Soudain, il m’abandonna.
— Oh non ! Continue chéri.
Il se coucha sur le dos et me fit m’empaler sur lui. Dans cette position, tout le monde pouvait voir sa bite défoncer mon minou. Soudain, je sentis deux mains se poser sur mes fesses. Un gland se présenta à l’orée de ma rosette. Je voulus protester, mais Jean m’en empêcha. Il écarta mes fesses, le gland força mon anneau ; mon cul ayant été assoupli depuis de longs mois ; mes sphincters s’ouvrirent et la queue me pénétra jusqu’aux couilles. Elle était énorme, j’eus l’impression d’être ouverte en deux. J’étais prise en sandwich. Une bite dans la chatte, une dans le cul, j’étais comblée. Malgré ma honte, ou à cause d’elle, ma jouissance atteignit un paroxysme. Mes deux baiseurs accordant leur cadence me limaient les deux trous. Je jouissais sans arrêt. Soudain, Jean cria.
— Alors les mecs, il lui reste un trou à combler, n’y a-t-il pas de volontaires ?
Ahmed se précipita, la bite à la main, et se présenta devant ma bouche.
— Suce salope, suce la bonne bite d’Ahmed.
Au point où j’en étais, je l’engloutis. J’étais prise par tous les trous. Vous parlez d’un dépucelage. Des mains s’emparèrent de mes seins, tirèrent sur les tétons, les pinçant, je jouissais comme une folle. Ma chatte était une fontaine. Après de multiples orgasmes, je n’en pouvais plus. Soudain, je sentis mon enculeur se contracter, d’un coup, il me lâcha son foutre au fond des intestins en longues giclées chaudes. Cela déclencha un orgasme supplémentaire. Jean suivit de près et m’inonda la chatte, puis ce fut le tour d’Ahmed que j’avalais jusqu’à la dernière goutte. Mes trois baiseurs se dégagèrent. Je pus enfin voir celui qui m’avait comblé le cul. C’était Arsène. Quand je vis sa bite qui, bien qu’au repos avait une taille impressionnante, je me demandais comment il avait pu m’enculer. Allongée sur le dos, la chatte ouverte, je récupérai. Jean s’adressa aux femmes.
— Il faudrait faire la toilette de la mariée !
Les femmes se précipitèrent et entreprirent de me lécher la chatte et le cul, avalant le sperme qui coulait, et déclenchant de nouvelles jouissances.Puis ce fut aux hommes présents de vouloir profiter de ma petite chatte juste déflorée. Je les reçus tous les uns après les autres, ou en même temps.Au matin, épuisée, Jean me ramena à la maison.Quelle nuit de noces !
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