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L'éducation de Juliette

Chapitre 7

Jean m'offre à un ami

Divers
Jean me téléphone au salon. Un de ses vieux amis est de passage, il vient dîner ce soir. Je passe commande d’un bon repas chez le traiteur.Jean me demande de me préparer, mais de ne pas m’habiller, il m’apporte de quoi le faire.Douchée, maquillée, j’attends.Mon époux arrive, seul, il me tend un paquet.
— Va t’habiller, mon pote arrive dans 10 minutes.
Je file dans la chambre, ouvre le paquet. Il contient un ensemble en cuir blanc, très fin. Une combinaison short et un plastron, muni d’une fermeture éclair, qui s’attache derrière le cou.Des attaches pour des bas sont fixées au short.J’enfile ma tenue avec difficulté. C’est hyper-moulant. Par derrière, le cuir pénètre entre mes deux fesses, les écartant. Devant, ma chatte est moulée par cette matière souple et très fine. On la distingue parfaitement. Le plastron moule mes seins, mes tétons pointent à travers. Je remonte la fermeture éclair, c’est pire, mes seins semblent vouloir jaillir à travers le cuir. De plus, la matière est si fine qu’elle est translucide, on devine mes formes à travers. C’est pire que si j’étais nue. Je complète cette tenue par une paire de bas fixés aux jarretières qui pendent du short, et une paire d’escarpins avec un talon de 15 centimètres.
On sonne à la porte. Jean m’envoie ouvrir. Mais avant, il descend la fermeture éclair de quelques centimètres.Devant moi, un mec d’1 m 90, baraqué. Il marque un temps d’arrêt quand il me voit. Ses yeux se baladent de ma poitrine à ma chatte, sans oublier ma bouche. Je sens le vicelard, sous son regard, mes tétons bandent, bien moulés par le cuir, ma chatte s’ouvre encore, je sens mon clito qui pointe.
Raul, c’est son nom, se penche pour me faire la bise, il effleure mes lèvres, je tourne la tête et lui offre ma joue. Mais ce simple effleurement m’a fait tressaillir. Je le précède vers le salon. Je sens son regard sur mes fesses. J’accentue le balancement de mes hanches.Pendant toute la soirée, Raul ne cesse de me fixer. Sous son regard, je me liquéfie littéralement.Mon short est trempé, à chaque fois que je me lève, Raul peut constater que je mouille.Norbert ne dit rien, se contentant de sourire. La conversation roule sur leurs souvenirs, je suis un peu perdue. Jean lui propose de regarder la vidéo de notre mariage. A l’idée de ce que notre invité va découvrir, je mouille. Mais je ne veux pas assister à ce spectacle. Je vais me coucher. Excitée.
La chambre n’a pas de porte. Nue dans mon lit, je les entend rire. Au début, je n’entend que le son de la vidéo. Je peux suivre toutes les étapes du film de notre mariage. La vente aux enchères de mes dessous, le bal, avec moi, nue, dansant avec tous ceux qui désirent se frotter conte mon corps. Raul s’exclame « La salope, putain elle doit mouiller, se frotter comme ça à tous ces mecs ». Puis le moment fatidique arrive, mon dépucelage en public.
Raul n’en revient pas. Il commente la soirée en s’excitant.Silence. La vidéo est terminée. J’entends Jean chuchoter quelque chose. Raul accepte avec enthousiasme. Il entre dans la chambre. Je suis nue, allongée sur le ventre, cuisses écartées. Un drap recouvre ma nudité. On s’approche du lit. Quelqu’un écarte le drap. Je suis là, offerte, je ne bouge pas, faisant semblant de dormir.

J’entends Jean :
— Viens, viens caresser ses fesses, elle a la peau douce.
Raul s’approche, sa main frôle mon cul, je tressaille, mais ne bouge pas, offrant ma chatte et ma rosette.J’entends des frôlements, puis le lit s’affaisse sous le poids d’une personne qui se couche. Ce n’est pas Jean, il est venu s’installer dans un fauteuil face à moi.Raul reprend ses caresses, sa main s’empare de ma chatte, il enfonce un doigt dans mon con. Je sens sa bite sur mes fesses, elle est de belle taille. Je fais toujours semblant de dormir, mais sous son doigtage, je ne tiens pas longtemps. Je pousse un soupir et me retourne. Je m’empare de son braquemart. J’arrive à peine à en faire le tour. Je le branle.
— Suce-moi salope.
Je me penche sur sa queue, lèche le gland, j’ai une grande bouche (de pipeuse comme on me dit), mais j’ai du mal à l’engloutir. Mes lèvres coulissent le long de son vit. Ma langue le lèche sur toute sa longueur. Je sens sa bite grossir, je m’applique, je veux lui montrer toute ma science de pipeuse.Raul n’en peut plus, il lâche son foutre. Il veut se retirer, mais je le retiens et avale toute sa purée.
— Oh la salope, en plus elle avale. C’est vraiment une bonne chienne.
Raul s’écroule à côté de moi.Je ne suis pas satisfaite. J’ai envie de sa queue dans tous mes trous. Alors je m’attaque à sa bite pour lui redonner de la vigueur.Jean n’a toujours pas bougé. J’ai un peu honte de m’être laissé aller, mais il m’encourage du regard.Raul est de nouveau en forme, il m’écarte et m’installe à quatre pattes.Jean intervint :
— Tu as déjà goûté sa bouche, il te reste sa chatte et son anus. Choisis. Un détail, elle adore se faire enculer, n’est-ce pas ma chérie ?
Rouge de honte, je ne peux qu’acquiescer.Alors Raul mouille son doigt avec ma cyprine, il se met à me travailler le cul. Il me pénétre de plus en plus profond, faisant des cercles avec son doigt, quand il me sent assouplie, il entre un second doigt, puis un troisième.
Pendant ce temps, comme pour donner raison à mon époux, je gémis de plaisir, tendant mon cul pour qu’il me pénètre encore plus.Puis Raul remplaçe ses doigts par sa bite, son gland appui sur ma rosette, bien qu’assouplie, la taille de son engin rend la pénétration difficile. Je me décontracte le plus possible, poussant pour faciliter le passage.
Le gland franchit enfin ma rosette, déclenchant un léger cri de douleur.Raul  entame un lent va-et-vient, sa bite m’emplit toute, il me ramone le conduit anal, le plaisir a remplacé la douleur. Ma chatte coule en permanence, malgré mes réticences du début, je me sens devenir salope, je voudrais une deuxième queue dans la chatte, une autre dans la bouche.
Mais Jean ne bouge pas, se contentant de regarder. Il a quand même sorti sa bite et il se branle. Je ne peux m’empêcher de comparer sa petite bite avec celle qui me défonce le cul.Raul ayant déjà joui une fois, fait durer le plaisir. Je n’en peux plus, je hurle ma jouissance sous les yeux de mon époux.Raul finit par m’envoyer son foutre dans les entrailles, déclenchant un autre orgasme.
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