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L'éducation de Juliette

Chapitre 8

Promenade aux bois

Avec plusieurs hommes
Ce dimanche d’été, le temps est splendide, Jean se sent d’humeur bucolique, il a prévu un pique-nique en forêt. Nous nous préparons tôt le matin. Comme à son habitude, il assiste à ma toilette, c’est son grand plaisir de voir mes mains pleines de savon (les gants de toilette sont formellement interdits) courir sur mon corps, caressant mes seins, ma chatte, mon cul, s’attardant sur les points sensibles. Au début de notre mariage, j’étais un peu gêné de devoir me laver devant mon époux, puis je m’y suis habituée, trouvant cela follement excitant. Je vais pour sortir de la douche, quand Jean intervint.
— Attends, chérie, ta toilette n’est pas terminée.
Il se saisit de mousse à raser et de son rasoir et entreprend d’enduire ma chatte. Il me veut lisse comme une fillette. La lame du rasoir parcourant mon pubis, puis ma chatte et ma rosette m’excite au plus haut point. Jean me rince, puis il me fait mettre à quatre pattes. Je me demande bien pourquoi, mais j’ai vite compris. Son but est de me nettoyer partout, donc... il me fait un lavement.
— Attends un peu avant d’aller te vider.
Pendant ce temps, lui-même se douche, il prépare également le pique-nique.
Jean aime que l’on m’admire, il veut que je fasse bander les mecs, aussi, chemisier transparent, sans soutien-gorge, largement déboutonné pour faire entrevoir mes seins, mini-jupe à boutons, également déboutonnée, pas de slip bien sûr, il fait chaud.
Comme à chaque fois que nous sortons, Jean se tient à distance, il marche derrière moi, regardant l’effet produit. Les mecs se retournent sur mon passage, me sifflent, j’ai honte, mais imperturbable, je poursuis mon chemin vers la gare. A chaque pas, ma mini s’écarte un peu, découvrant mes cuisses, mes hauts talons ; eh oui même pour un pique-nique, il faut que je mette mes hauts talons ; me font balancer l’arrière-train, mes tétons pointent à travers le chemisier, je sens l’envie de tous ces mecs et cela me fait mouiller. Nous arrivons à la gare, en ce beau dimanche ensoleillé, le train est bondé. Mon arrivée dans le compartiment ne passe pas inaperçue, c’est un de ces vieux wagons avec les marches très hautes, quand j’ai levé la jambe pour monter, ma jupe a glissé sur mes cuisses, découvrant ma chatte, sous les regards ébahis des voyageurs. Je suis debout, derrière moi un homme, devant, un autre.
Le grand nombre de voyageurs fait que nous sommes serrés les uns contre les autres, ce qui ne semble pas gêner ceux qui sont collés contre moi. Ils bandent tous les deux. Je sens une bite dure s’appuyer sur mes fesses, un autre sur mon pubis. Derrière moi, l’homme s’agite pour caler sa pine entre mes fesses, ses mains tentent de les écarter. Il sait que je suis à poil sous mes vêtements ; pour lui je suis une fille facile (il n’a pas tort) ; et il veut en profiter. Je regarde Jean affolée, il me sourit et met un doigt sur ses lèvres. Compris, mon seigneur et maître en a décidé ainsi, je dois me soumettre, j’écarte les jambes, mes deux « colleurs » me regardent, surpris, je leur souris, encouragé, celui de devant passe sa main sous ma jupe, il empaume ma chatte, déjà tout humide.
— Salope, tu mouilles, t’aimes ça te faire tripoter en public.
Je lui souris en hochant la tête. Il me branle le clito, son autre main se glisse entre nos corps et remonte vers ma poitrine. Nous sommes tellement serrés qu’il a du mal à l’atteindre, mais cela a un avantage, les autres voyageurs ne peuvent pas voir, du moins je l’espère. Il a enfin atteint son but, il me triture un téton, son autre main s’active, il me pénètre d’un doigt, puis deux. Je me mords les lèvres pour ne pas crier mon bonheur. Pour lui faciliter la tâche, je déboutonne deux boutons de plus, ma jupe est ouverte presque jusqu’à la taille. Les doigts me branlent la chatte, je suis bien, à chaque nouvelle expérience imposée par mon amour, je me sens un peu plus salope, et j’aime ça. Derrière moi on s’impatiente, je me cambre pour appuyer mes fesses sur la bite de mon autre voisin, je passe ma main derrière mon dos pour tâter ce braquemart, oh quelle belle pièce, dommage que le pantalon le protège. Je soulève un peu ma jupe pour encourager ce monsieur qui a l’air bien timide.
Non, je me suis trompée, un doigt s’insinue dans ma raie culière, appui sur ma rosette, je me cambre un peu plus pour lui faciliter la pénétration. Il a un peu de mal, alors, son doigt va recueillir la mouille qui coule en abondance de ma chatte toujours pénétrée par mon voisin de devant. La cela va mieux. Un doigt, puis deux me perforent, me fouillent, me sodomisent. Je suis au septième ciel, mes voisins doivent être un peu frustrés, mais moi je jouis.
— Chérie on arrive.
C’est Jean qui me rappelle à l’ordre, nous allons arriver à destination. Mes deux « baiseurs » regardent ahuris mon époux qui leur fait un petit signe.

— Tu pourrais leur dire au revoir, me dit-il, alors que je roulais un patin à chacun des deux.
— Alors tu es contente de ton voyage.— Oui mon chéri, mais je suis resté sur ma faim, et toi ?— J’ai adoré te voir branlée, mais attends, la journée n’est pas finie, me dit-il d’un air mystérieux.
Jean avance dans le bois comme s’il recherche un endroit précis. Je traîne derrière, mes souliers à talons ne facilitant pas ma marche. Jean s’enfonce de plus en plus dans les bois. Profitant de cette solitude, je déboutonne complètement mon chemisier, laissant ma poitrine à l’air. J’aime de plus en plus me promener nue, m’exhiber.
Jean trouve enfin ce qu’il cherche. Une petite clairière entourée de buissons, bien à l’abri des regards, du moins je le croyais.
— Nous serons très bien ici ! dit-il.
Il déballe le pique-nique et une nappe qu’il étend par terre. Le repas fut merveilleux : champagne, foie gras, caviar, un repas digne d’un grand restaurant.
Après manger, Jean s’appuie contre un arbre, il me prend dans ses bras, me caresse les seins, la chatte. Mon désir était juste endormi ces simples caresses le réveillent.
— Prends-moi mon amour, j’ai trop envie.— Attends ma chérie, ne sois pas pressée. Tu as déjà joui, pas moi. Suce-moi d’abord !
Je m’installe entre ses cuisses, accroupie. Je m’empare de son zob et entreprends de le lécher sur toute la longueur. Depuis le train, j’ai envie de sentir une bonne bite, de l’avaler. Je l’engloutis, ma bouche la cajole, la langue formant une gaine où elle se développe.
D’instinct, j’ai pris la position que Jean m’impose à la maison, devant la fenêtre, quand Arsène nous mate : cuisses écartées, cambrée, le cul et la chatte offerts, sans penser que des voyeurs puissent être embusqués derrière les buissons, ou, peut-être dans l’espoir qu’il y en ait.
Ma bouche coulisse le long de la pine de Jean. Il m’a fait découvrir combien j’aime sucer une belle bite, avaler le foutre qui en jaillit. Je m’applique de tout mon cœur pour faire plaisir à mon amour, celui-ci glisse un doigt sur ma chatte, écartant mes lèvres, branlant mon clito, je m’offre encore plus, m’écartant au maximum.Soudain, deux mains se posent sur mes fesses, les écartant encore, je veux protester, Jean m’en empêche, me bloquant pour que je ne puisse pas bouger. Une langue râpeuse parcours ma raie culière, s’attardant sur ma rosette, la léchant, la pénétrant. Sous l’effet de cette caresse, toute velléité de révolte m’abandonne, Jean veut m’offrir, et bien laissons faire. La langue continue son travail. Dans le même temps, un doigt s’agite sur mon clitoris, un autre dans ma chatte. Je suis trempée, au bord de la jouissance, je n’en peux plus, il me faut une bite ! Je trémousse mes fesses pour faire comprendre mon envie, je m’ouvre encore plus, me cambrant au maximum.
— Ne t’impatiente pas ma chérie, tu vas être comblée ! me dit Jean.
Soudain, mon lécheur me lâche, j’entends un zip de bon augure, une bite mafflue s’approche de ma chatte, je sens la tête forcer mes lèvres vaginales. Mon Dieu c’est un monstre ! La bite m’envahit peu par peu, me coupant le souffle.
— Alors ma chérie, qu’est-ce que tu en penses ?— C’est merveilleux, ma chatte est comblée, merci mon amour, pour m’avoir offert cette merveilleuse pine.— Attends, tu vas en avoir une autre à sucer.
Jean s’écarta, laissant la place à un autre mec, en qui oh surprise je reconnais mon branleur du train. Celui-ci s’installe à la place de Jean et sort sa bite, de belle taille elle aussi, que je m’empresse d’engloutir.
La scène du train se reproduit, un devant un derrière, mais cette fois, j’ai deux belles bites à ma disposition. Mon baiseur a trouvé ses marques ; ma chatte s’est adaptée à cette bite hors norme ; je n’ai toujours pas vu celui qui me baise, mais il sait y faire. Il se retire presque complètement, puis m’empale d’un grand coup, à chaque fois, j’ai l’impression qu’il va me transpercer. Sa bite m’envahit la chatte, me faisant jouir en permanence. Devant, le mec du train se sert de ma bouche comme d’une chatte, il me tient par les joues et coulisse entre mes lèvres, il me baise littéralement la bouche. Pour eux, je ne suis qu’une petite pute bourgeoise à la recherche de sensations fortes.
Mes baiseurs sont doués d’une résistance extraordinaire, malgré leurs grands coups de bites, ils ne jouissent toujours pas. Moi, j’en suis à mon quatrième orgasme, Jean me regarde jouir en se caressant la bite, doucement, lui non plus ne veut pas jouir, il se réserve.
Soudain, je sentis la pine que je suce frémir, le sucé veut se retirer, je le retiens.
— Reste, lui dit Jean, elle suce jusqu’au bout, elle adore sentir le sperme envahir sa bouche, couler dans sa gorge, c’est son dessert préféré.
L’homme ne se fait pas prier, il se déverse à grands jets, je m’efforce d’avaler sans en perdre une goutte, c’est vrai que j’aime le sperme, il n’y en a pas un qui a le même goût, c’est bon.Mon baiseur, me voyant me délecter du sperme de son complice ne peut résister plus longtemps, sa bite gonfle encore et déverse un flot de sperme qui m’inonde la chatte, déclenchant un cinquième orgasme. Mes deux baiseurs se retirent, me laissant à plat ventre sur le sol, cuisses grandes ouvertes, la chatte dégoulinante de foutre.
— Alors ma chérie, ça t’a plu ? me demande Jean, la bite toujours à l’air.— Oh oui mon chéri, c’est merveilleux, à toi maintenant, viens me baiser !— Attends petite pute, ce n’est que le premier round, regarde ce qui arrive.
Je tourne la tête, cinq ou six mecs, la bite à l’air, s’avancent vers moi.
— Oh non mon chérie, c’est trop, cela suffit.— Non petite salope, ça ne suffit pas, ne fais pas ta mijaurée, je suis sûr que tu n’attends que ça. Souviens-toi, tu m’as promis d’être mon esclave, de faire tout ce que je veux, et bien je veux que tu te fasses baiser par tous ces mecs, par tous les trous.
Mon maître a décidé. Il est vrai qu’après mes séances au cinéma et avec Raul, je lui ai promis tout ce qu’il voulait pour qu’il me garde, sachant au fond de moi que c’est aussi ce que je veux : être son esclave, sa pute. Alors je m’assois pour accueillir mes nouveaux baiseurs, ces nouvelles bites qui vont encore me combler, me faire jouir.
Les nouveaux venus ne s’embarrassent pas de préliminaires. Ils m’ont vue à l’œuvre. Un premier présente sa bite devant ma bouche, qui s’ouvre pour l’engloutir. Deux autres s’attaquent à mes seins, mordant les tétons, les tordants sans retenue. Un autre s’occupe de ma chatte, la ramonant de ses doigts agiles. Les deux derniers se branlent mollement en attendant leur tour. Je suis aux anges, devenue une vraie pute, je jouis comme une dingue, mariée et salope, poussée par mon époux, le pied. Je m’abandonne complètement, m’offrant au maximum, m’appliquant pour faire jouir mes baiseurs.
Les mecs me retournent, me mettent à quatre pattes, les jambes écartées, offertes. Trois d’entre eux me présentent leur bite. Je vais de l’une à l’autre, les léchant, les suçant. Un autre s’est glissé sous moi, il me lèche la chatte, insistant sur mon clito qui bande comme une petite pine. Derrière moi, un autre « visiteur » me lèche la rondelle, pendant qu’il me baise avec deux doigts, il m’enfonce un doigt dans le cul. Jean s’approche.
— Cela te plaît salope ?— Oui mon chéri, c’est bon sa langue rappeuse me fait du bien, j’aime ses doigts dans le cul, dans la chatte, je mouille.— Je suis sûr que tu attends autre chose n’est-ce pas ?— Oui mon amour, une belle bite, bien grosse qui m’envahit, qui m’écartèle la rondelle.— Alors, qu’est-ce que tu attends, demande !— Qui vient m’enculer, venez, bourrez-moi, défoncez-moi la rondelle.
Et pour montrer ma soumission, je me cambre encore plus, écartant les fesses. Ma rondelle est là, offerte, n’attendant que l’intrusion d’une belle bite.
Un gland mafflu appuie sur ma rosette, mon enculeur me saisit aux hanches, il commença à forcer sur ma rondelle, bien que lubrifiée, et déjà bien rodée, le gland a du mal à passer, il est énorme, je m’ouvre au maximum pour lui faciliter la tâche.
La porte étroite s’ouvre doucement, j’ai arrêté de sucer pour jouir pleinement de cet enculage. Soudain, la porte est franchie, le gland puis tout le reste suit. Mon enculeur me pénètre lentement, me faisant déguster le moindre centimètre de sa belle pine, j’ai l’impression qu’il ne va jamais s’arrêter, sa bite m’emplit peu à peu. Je me retrouve avec une pine qui comble mes intestins. Le gars commence à me ramoner les entrailles, doucement.
— Alors ma chérie, c’est bon cette grosse pine dans ton cul ? me demanda mon époux.— Oh oui mon amour, elle m’emplit toute, je la sens bien, je veux qu’elle me défonce, qu’elle m’éclate la rondelle, une autre bite dans ma chatte vite.
Un autre mec se glisse sous moi, sa queue force ma moule, je suis comblée, prise en sandwich. Malgré ma honte, je dois avouer que j’adore cela, être prise par deux mecs, sentir leurs bites me ramoner la chatte et le fondement. Le pied c’est quand j’ai en plus des bites à sucer, sachant qu’à leur tour ils me baiseront et m’enculeront. Mes six admirateurs jouissent en moi, m’emplissant de foutre.Pour obéir aux ordres de mon époux, je leur nettoie consciencieusement la queue avec ma langue. Mes six baiseurs me remercient et s’éclipsent.
Jean me tend une culotte.
— Tu veux que je la mette ?— Oui, pour ne pas semer le foutre qui t’emplit.
Je le remercie pour cette magnifique journée. Il s’empare de ma bouche encore pleine de foutre et me roule un patin.Le retour à la maison fut plus calme...
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