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L'éducation de Juliette

Chapitre 12

Sylvie continue son éducation

Inceste
Une douce sensation m’envahit. La chaleur se répand dans mon ventre, je rêve ? Non, Sylvie, qui décidément apprend vite est en train de me faire minette. Sa langue parcourt ma moule, écarte les lèvres, s’introduit dans ma chatte. Que c’est bon d’être réveillée de cette manière. Sylvie s’aperçoit que je suis réveillée. Elle abandonne mon con pour s’emparer de mes lèvres dans un baiser torride.
-       Je t’aime Juliette.-       Moi aussi, mais dépêchons-nous, nous avons plein de choses à faire. 
Sylvie à toujours le gode dans son cul. Je lui retire non sans avoir effectué quelques aller-retour dans son rectum. Elle apprécie.Nous filons vite fait sous la douche, que nous prenons ensembles, prétexte à de nouvelles caresses. Axel essaye de nous rejoindre, mais ce n’est pas le moment. Séance d’habillage. Sylvie n’est pas équipée en tenue sexy, je lui prête une mini-jupe et un débardeur, pas de culotte ni de soutien-gorge, des bas autofixant complètent la tenue. Sylvie se contemple dans le miroir. Jupe au raz des fesses, le débardeur, ample, laisse apercevoir les seins par les emmanchures. Je suis, bien sûr, habillée pareil. Ma cousine a un peu de mal avec sa nouvelle tenue.
-       On va voir mon cul dès que je marche.-       C’est le but ma chérie, il faut que tu apprennes à t’exhiber.
Pour compléter cette tenue de parfaite salope, je lui mets un rosebud dans le cul. Je lui demande de m’en mettre un.Nous voilà parti. En bas des escaliers se tient un pépé.
-       C’est le pervers du troisième, me murmure Sylvie, il attend toujours en bas pour essayer de voir sous les jupes.-       Attend, il va être servie, à trois on soulève nos jupes.
Aussitôt dit aussitôt fait. Le pépé n’en revient pas, il vire au rouge, frise l’apoplexie. En passant devant lui nous lui lançons « Bonne journée ». Mortes de rire, nous rejoignons l’arrêt du bus.Sylvie n’est pas très à l’aise. Elle est née ici, a été à l’école et au collèges ici, elle connait beaucoup de monde. Curieusement, elle ne m’a toujours pas demandé où nous allons. Mon idée, est de lui faire épiler la chatte et le cul, qu’elle soit toute lisse. J’ai trouvé un institut spécialisé dans ce genre de travail. De plus il est tenu par un homme. J’en joui d’avance. Il faut que ma cousine arrive au mariage complétement désinhibée, prête à toutes les folies. Jean sera fière de moi.Dans le bus, je décide de pousser mon avantage, Sylvie a accepté beaucoup de choses depuis ce matin, je lui en impose d’autres. Je la prends dans mes bras et la plaque contre moi. Ma bouche cherche la sienne, elle essaye de se dégager, mais ne résiste pas longtemps. Elle m’offre ses lèvres, les écarte, ma langue va au-devant de la sienne, la caresse, la lèche. Elle s’abandonne complètement. J’en profite pour glisser ma main sous sa jupe, un doigt dans le minou. Elle mouille. Autour de nous, les gens nous regardent, offusqués (du moins pour certains) les commentaires vont bon train.Nous arrivons à destination. Devant la boutique Sylvie s’étonne. Je lui explique que je vais la faire épiler. Elle est d’accord, mais quand elle voie le patron, elle a un mouvement de recul.
-       N’ayez pas peur Mademoiselle, nous avons l’habitude, notre clientèle ne s’est jamais plainte.
Ce n’est pas son professionnalisme qui l’inquiète, mais le fait de s’exposer complètement à un homme qui la perturbe. Elle finit par céder. Elle est vite nue, n’ayant que sa jupe et son débardeur à ôter (et oui, le patron la veut toute nue). Elle s’étend sur la table. Le patron commence à dégager la touffe au ciseau, puis il étale une couche de cire à épiler. Il lui écarte les cuisses pour s’occuper de sa chatte. Sylvie se laisse faire. Elle a fermé les yeux. Ses tétons ont durci. Ils bandent. Ma cousine apprécie la situation. Sa chatte s’ouvre, elle mouille. Le patron s’en rend compte, il passe un doigt sur ses lèvres.

-       Elle mouille, ça t’excite ?
Sylvie ne répond pas, mais il n’y a pas besoin de réponse. Le patron décolle la cire. La voilà avec un minou imberbe. Sylvie se retourne sur le ventre, le patron lui écarte les fesses.
-       Oh le beau plug.
Il s’amuse avec, le faisant coulisser dans les entrailles de ma cousine. Elle jouit, pousse de petits cris de jouissance. Le patron sort sa bite, il veut l’enculer.
-       Non, lui dis-je, elle est encore vierge des deux côtés. Par contre elle pourra vous sucer si vous le désirez.-       Ok, continuons le désherbage.
Même manip sur la raie culière, l’anus. Quand la séance est terminée, Sylvie est lisse de partout. Une petite chatte et un cul toute lisse, et comme elle ne fait pas ses 18 ans, on dirait une gamine.Le patron s’installe sur une chaise, bite à l’air. Ma cousine est encore nue.
-       Vient me sucer
Elle hésite, me regarde. Je l’encourage. Alors, résignée, elle s’approche du mec, s’agenouille devant lui, s’empare de sa bite. Elle pose quelques baisés sur le gland, sa langue glisse le long de la hampe, mais l’homme en veut plus. Il lui saisit la tête, sa bite se colle à ses lèvres, il force. Sylvie ouvre la bouche et engloutir le braquemard. Le mec baise sa bouche comme une chatte. Il fait coulisser sa bite très rapidement, il est pressé. Soudain il se fige, il envoie de longue giclées de foutre au fond de la gorge de ma cousine qui est obligée d’avaler.
-       Merci Mademoiselle.
Retour à la maison. Dans le bus, comme à l’aller, je caresse ma cousine, lui roule des pelles. Ma main se glisse sous sa jupe pour taster sa minette toute lisse. Sylvie se laisse faire. Finie les réticences de l’aller. Il faut croire que le fait de se faire rater l’a désinhibé.  Je pense que s’être exposée nue aux yeux d’un inconnu, et lui avoir fait une pipe, y a contribué aussi. 
-       Ça t’a plus cette petite séance ?-       Au début j’ai eu honte, mais après j’étais toute excitée.-       Et la pipe-       J’ai adoré, j’aime de plus en plus le gout du foutre.-       On va faire de toi une belle petite salope.-       Et mon fiancé ?-       T’inquiète, je vais m’occuper de lui.
Nous voilà à la maison. Alex est dans le salon, mon parrain n’est pas encore arrivé. Sylvie est toute excitée.
-       Regarde Alex
Elle soulève sa jupe. Double surprise pour son frère. Elle n’a pas de culotte et sa chatte est toute lisse. Alex se laisse tomber à genoux devant sa sœur. Il colle sa langue au sexe de Sylvie, la lèche, ma cousine gémit de plaisir, elle écarte les cuisses pour mieux sentir la langue la pénétrer. Alex boit la cyprine de sa sœur. Il se relève. Il bande. Il sort sa trique et s’adresse sa jumelle :
-       Suce-moi
Je me précipite sur son chibre.
-       Ah non elle a déjà eu sa dose de foutre aujourd’hui, à mon tour.
J’engloutis la belle bite de mon cousin. Mes lèvres glissent le long de sa hampe, ma langue caresse le membre, ma bouche remonte vers le gland que je lèche avec amour, je le mordille. J’abandonne la bite pour m’attaquer aux couilles que je prends dans ma bouche, lèche, suce. Je reviens à la bite, ma bouche coulisse sur ce beau braquemard. A ce régime, Alex ne résiste pas longtemps, sa liqueur vient m’emplir la bouche. J’avale avec délectation.Mon parrain est arrivé. En attendant le repas, il nous offre l’apéro dans le salon. Fauteuils bas où l’on s’enfonce. Nos jupes ne cachent pas grand-chose. Mon parrain est assis en face de nous. Son regard va de sa fille à moi. J’écarte légèrement les cuisses, comme par inadvertance. Je vois mon parrain se tortiller sur son fauteuil. Sylvie écarte également les cuisses. Mon parrain ne sait plus où regarder, sa fille, sa filleule. Il ne peut ignorer notre absence de culotte, et la chatte toute lisse de sa fille. Je sais qu’il est plutôt attiré par les minettes, selon les bruits qui courent dans la famille, et là, il en a deux pas du tout farouche. Est-ce qu’il va oser franchir le pas et nous baiser ?
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