Le soleil vient réchauffer nos corps. Sylvie et moi sommes enlacées. Il est 9 heures. Mon parrain doit être parti. Je pose un baiser sur les lèvres de Sylvie. Elle s’étire, m’offrant son corps dénudé.Ma bouche se saisit de son téton, le mordille. Sylvie est définitivement réveillée. Sa main file vers ma chatte. Elle me pénètre avec deux doigts.Je me dégage, la met à genoux, le torse sur le matelas. - Écarte tes fesses. Le gode est toujours là, distendant sa rosette. Je le fais coulisser, Sylvie agite ses fesses, venant au-devant du phallus artificiel. Ma petite cousine s’est bien dévergondée, je suis assez fière du résultat obtenu. Jean va être satisfait, il va pouvoir la baiser.Cependant il faut poursuivre son éducation. Sa rosette est bien détendue, il est temps pour elle de prendre une vraie bite.D’abord, préparation de son petit cul. Un lavement fera le nécessaire, la rendant parfaitement propre. Je vais chercher mon gode à lavement. Sylvie est toujours dans la même position, cul tendu, chatte écartée. - Qu’est-ce que c’est. Me demande-t-elle en voyant l’engin. C’est vrai qu’il a de quoi impressionner. D’une bonne taille (20 cm x 6) il est muni de deux grosses couilles qui contiennent le liquide à injecter. - C’est une poire à lavement. Je vais te nettoyer les entrailles. Je rempli l’engin avec de l’eau, je pose le gland sur l’anus de Sylvie, j’appui légèrement. Ma cousine se crispe, il est vrai que le gland qui se présente à l’entrée de la porte de derrière est plus impressionnant que le gode qu’elle avait cette nuit, c’est fait normalement pour une habituée de la sodomie. - Détend toi, tu vas voir, cela va entrer sans problème. Dès que le gland sera passé, le reste suivra. Sylvie se relâche, le gland écarte la rosette, il passe, il est passé. Le reste suit sans problème. Je fais coulisser cette bite pour bien élargir ce petit cul, puis j’appuie sur les couilles, inondant les entrailles de l’enculée. Je fis attendre ma cousine 10 minute avant de la laisser aller se vider.La voilà toute propre, la rosette un peu bâillante après avoir subi cette pénétration. - Maintenant ma chérie, il te faut une vraie bite.
- Oh oui, mais qui ?- Eh ben, Alex- Mais c’est mon frère, ce n’est pas bien.- Ne joue pas les saintes nitouches, tu l’as sucé, tu as bu son foutre, il peut bien t’enculer. Sylvie ne dit plus rien, je sens qu’elle a envie de sentir la bite de son frère lui percer le cul. Je vais chercher ce dernier.Quand il entra dans la chambre de sa sœur, il marqua un temps d’arrêt. Il faut dire que le spectacle vaut le coup d’œil. Face à la porte, Sylvie est à genoux sur le lit. La tête appuyée sur le matelas, elle offre son cul et sa chatte sans pudeur. On peut voir la rosette légèrement ouverte et la chatte qui baille, suintante de cyprine. - Qu’est-ce que …..- C’est pour toi, un petit cul à enculer, vient je vais te préparer. Je m’empare de la bite de mon cousin, je l’engloutis, la couvrant de salive, ma bouche coulisse le long de cette belle hampe, la rendant encore plus dure, plus mouillée. Quand je la sens prête, je l’approche du cul de sa sœur. J’appuie le gland sur l’œillet qui n’attend que cela. - Pousse doucement Mon cousin pousse, la rosette s’entrouvre, le gland franchit la porte étroite, la hampe suit, mon cousin est au fond du cul de sa sœur, ses couilles battent contre la chatte.Sylvie a poussé un léger cri, je fais signe à Alex d’attendre un peu, le cul s’habitue à cette intrusion. Le visage de ma cousine se détend. - Vas y Alex, doucement pour commencer. Alors mon cousin commence un lent vas et vient dans les entrailles de sa sœur. Celle-ci ne tarde pas à sentir un début de jouissance. Je vois ses yeux s’agrandir, sa bouche s’ouvre pour laisser passer un gémissement, ce n’est plus de douleur mais de plaisir. Je fais alors signe à Alex d’accélérer.S’agrippant aux hanches de sa sœur, Alex se met à la défoncer à grands coups de bite. Sylvie hurle son plaisir. - Oh oui petit frère, défonce moi, encule bien ta sœur, c’est bon, c’est merveilleux.- Salope, il y a longtemps que je me branle en pensant à ton petit cul, enfin je t’encule. Les deux frangins délirent, crient leur bonheur.Soudain j’entends la porte couiner doucement. Je jette un œil discret. Mon oncle est là, à demi caché dans l’entrebâillement. Je m’apprête à alerter mes cousins, mais quelque chose me retient. Je me penche à l’oreille de ma cousine. - Ton père est là, il nous regarde Sylvie à un mouvement pour interrompre Alex. - Continue, n’ai pas peur, il se branle en nous regardant, il a une belle bite, je suis sûre qu’il aimerait être à la place d’Alex. Montre-lui que tu es une vraie salope, bouffe moi la moule. Je m’installe cuisses écartées devant ma cousine, offrant par la même occasion une vue sur ma chatte que Sylvie s’empresse de lécher. Sa langue s’introduit entre mes lèvres, léchant ma vulve, je mouille déjà, ma cousine se délecte de ma cyprine, elle s’empare de mon clito qu’elle suce comme une petite bite. Elle fait des progrès, elle va être une vraie suceuse, aussi bien de bite que de chatte. Un regard discret, mon oncle est toujours là, les yeux rivés sur ses enfants qui baisent. Il se branle toujours. Soudain Alex se raidit, Sylvie ouvre la bouche en grand, elle suffoque. Son frère est en train de lui inonder les entrailles ; il n’en finit pas. - Oh c’est bon frérot, ton foutre qui m’inonde, je jouiiiiiiiiiis. Mon oncle crache son foutre également, de longues giclées sur la porte de la chambre, puis il s’éclipse discrètement. - Alors mes cochons, cela vous a plus ?- Oh oui, c’est formidable. S’exclament-ils ensemble. - Mon père est resté jusqu’au bout. Demande Sylvie. - Oui, regarde sur la porte. Sylvie s’approche de la porte, elle voit le foutre de son père qui coule le long du panneau, alors elle se penche et lèche cette liqueur paternelle, nettoyant toute la porte. - Hum il a bon goût.- Ton père se branle pour toi, je crois que l’on peut essayer d’aller plus loin avec lui. Tu as envie qu’il t’encule ?- Oh non, pas mon père.- Je suis sûr que lui en a envie. On sait dans la famille qu’il est attiré par les minettes, et là, il vous a regardé sans broncher, et puis moi j’ai envie qu’il me baise. J’expose alors mon plan à ma cousine, plan qui nous permettra d’arriver à nos fins
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