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L'éducation de Juliette

Chapitre 16

une famille glisse vers la débauche

Trash
Comme promis, je vais rejoindre Sébastien. Sylvie est partie rejoindre Carole, Alex est avec son pèreSébastien m’attend, il est allongé, nu, il se caresse en douceur. Sa bite est déjà bien dure, dressée, c’est un beau morceau.Je m’approche du lit. Je suis nue, bien sûr, toujours prête. Je m’empare du chibre de Seb, ma bouche s’approche du gland, je le lèche, puis l’engloutis. Je ne n’ai pas l’intention de le faire juter dans ma bouche, mais j’aime bien son goût, alors un petit plaisir ne se refuse pas.Seb lâche un gémissement, sa main s’approche de ma chatte, il tente maladroitement de me caresser.J’abandonne sa bite
-       As-tu déjà vue une chatte ?-       Jamais en vrai
Je m’allonge sur le lit, écarte les cuisses, moule offerte.
-       Viens
Sébastien s’agenouille entre mes cuisses
-       Approche, viens me lécher
Il s’avance, pose sa bouche sur mon con, sort la langue, il me lèche.
-       Oui, comme cela, écarte mes lèvres, lèche bien, oh oui, enfonce ta langue. Monte un peu plus haut, tu vois ce bouton, c’est mon clito, tu me fais bander, suce-le.
Sébastien suit mes instructions, il est encore un peu maladroit, mais sa langue me fait de l’effet, ma cyprine coule abondamment. Quand il s’empare de mon clito, je jouis, poussant un gémissement. Il s’arrête.
-       Je t’ai fait mal.-       Mais non idiot tu m’as fait jouir. Viens maintenant, baise moi.

Sébastien s’allonge sur moi, il essaye de me pénétrer, il n’y arrive pas, je m’empare alors de son chibre, le place à l’entrée de ma vulve. Il pousse d’un coup. Sa bite force ma moule, s’enfonce en moi, écartant mes chairs. Elle est énorme, je suis habituée aux gros calibres, mais là, c’est un réel plaisir de se faire envahir par ce monstre. Mon baiseur donne de grands coups de rein, sa bite coulisse en moi à toute allure. S’il continu comme cela il va jouir trop vite.
-       Attend mon chéri, ralenti, doucement.
Il prend un rythme plus calme. Il se retire presque complètement, puis me pénètre à nouveau jusqu’aux couilles que je sens battre sur mes fesses. A chaque fois, je pousse un gémissement de plaisir.
-       C’est bon ta grosse bite, ma cousine va être gâtée, retient-toi, baise moi longtemps.
Sébastien a pris la cadence, sa bite semble enfler au fur et à mesure de ses pénétrations. Je sens mes chaires se dilater. Je décide de changer de position. Après-tout, je suis là pour faire son éducation.
-       Arrête mon chéri, on va changer.
Il se retire à regret. Au passage je pose un baisé sur ce merveilleux engin qui me donne tant de plaisir.Me voici à quatre pattes, les cuisses largement écartées. La chatte offerte.
-       Viens mon chéri, prend moi comme une chienne.
Sébastien ne se fait pas prier. Cette fois, il n’a pas besoin de mon aide pour m’enfiler. Sa bite trouve ma moule toute seule, il s’enfonce jusqu’à la garde. Il a repris ses mouvements de va et vient, la tête sur l’oreiller, les reins cambrés, je m’offre sans retenu à mon baiseur. J’aimerais que mon homme soit là pour voire sa petite femme se faire prendre comme une pute. Les coups de boutoir de Sébastien m’emmènent rapidement au 7ème ciel (sans ascenseur) je ne peux ni ne veux me retenir. Je hurle ma jouissance.
-       Oh oui mon chéri, défonce moi avec ta grosse bite, plus fort, je te sens bien, tu me fais du bien.-      Chut, tais-toi, toute la maison va t’entendre.
Pauvre Seb, il ne sait pas que c’est mon but, Sylvie est prévenue, elle sait que, au premier hurlement elle doit rappliquer avec Carole.La porte s’ouvre, Sylvie et Carole entre.
-       Ben mon salaud, tu ne t’embête pas, et avec ma cousine en plus.
Sébastien essaie de se retirer, il bafouille, mais je le retiens.
-       Continue, tu ne vas pas me laisser dans cet état.
Sylvie renchérit.
-       Oui, finis la
Carole ne dit rien, le regard effaré, elle regarde. Ses yeux sont braqués sur la bite de Seb. C’est la première fois qu’elle en voit une.Seb, cédant à nos paroles, se remet à me pilonner. La jouissance monte, mais j’ai envie d’autre chose, je fais signe à Sylvie. Elle sait ce que j’attends. Elle prend Carole par les épaules, la couche devant moi, sa chatte sous ma bouche.Carole est complètement hypnotisée, elle se laisse faire, je l’attire, ma bouche se pose sur sa chatte, ma langue écarte ses lèvres, s’introduit dans son con. Elle mouille la salope, je bois son jus avec délice, je la pénètre de ma langue, léchant sa chatte, ma bouche remonte vers son clito que j’aspire, elle laisse échapper un gémissement, elle s’avance au-devant de mes lèvres, elle en veut plus. Mes doigts s’enfoncent dans sa vulve. Je fais attention, elle est vierge et elle doit le rester, pour l’instant.Seb continue de me démonter, je jouis comme une folle. Une bite dans la chatte, une chatte sous les lèvres, le pied.Sylvie n’est pas restée inactive, accroupie sur le visage de Carole, elle se fait bouffer son abricot. Décidément Carole s’est vite dévergondée. Nous allons en tirer quelque chose de cette petite. Mon cousin va être content, et mon tonton aussi.Seb ne peut résister longtemps. Voir sa future femme se faire bouffer la moule par sa future belle-sœur, elle-même jouissant sous les coups de langue de la cousine, il n’en peut plus. Je sens sa bite gonfler encore, et de puissants jets de foutre viennent frapper ma matrice, déclenchant un orgasme fulgurant.Seb se retire, Sylvie s’empresse de venir me bouffer la chatte, elle boit le foutre de son futur mari.Celui-ci n’en revient pas, il essaye de la caresser, mais elle se rebiffe.
-       Pas avant le mariage.
Puis se tournant vers Carole
-       Suce-le.
Cette dernière hésite. Elle ne se rebiffe pas, non, mais elle ne l’a jamais fait. Je l’entraîne vers Seb.Il n’a pas bougé, surpris par l’ordre de Sylvie. Carole est à genoux devant le mâle, alors il approche sa bite des lèvres encore vierge de toutes pénétration phallique. Une bite encore un peu molle, souillée de ma cyprine et des traces de sperme. Carole écarte les lèvres, Seb s’enfonce.
-       Lèche-la, comme un bonbon, caresse la en même temps.
Elle s’exécute, peu à peu elle s’enhardit, ses lèvres coulissent le long de la bite qui reprend de l’ampleur, Seb gémit de plaisir
-       La salope, on dirait qu’elle a fait cela toute sa vie. Putain elle est douée.
Regardant Sylvie
-       Tu n’es pas jalouse ?-        Non mon chéri, il faut savoir partager.
Seb la regarde l’air ahuri
-       Comment ça ?-       Tu te fais sucer, tu baise ma cousine, je ferais pareil, cela n’a rien avoir avec notre amour, ma cousine vit comme cela avec son époux, ils sont très heureux.
Seb et Caroline nous regardent, une petite lueur s’est allumée dans leurs yeux. Caro arrête de sucer
-       Alex est d’accord ?-       Et toi, tu serais d’accord ?-       Oh oui, ça serait sympa, tous les 4… oh mais c’est ton frère, tu ne peux pas
Dit-elle à Sylvie
-       Ne t’en fais pas
Et sous les yeux de son futur époux
-       Il m’a déjà enculée.
A ces mots, Seb enfonce à nouveau sa bite dans la bouche de Carole, mais il ne peut plus se retenir et lâche son foutre au fond de la gorge de sa future belle-sœur et compagne de partouzes.Comme il lui tient la tête, elle ne peut qu’avaler.Pour une première pipe, elle est gâtée.Il est tard, nous allons nous coucher. Sylvie entraîne Carole avec elle. Je sens qu’elle n’en a pas fini avec sa belle-sœur. Seb part tout seul dans sa chambre, il m’aurait bien suivi, mais j’ai envie d’être seule.Je suis couchée depuis quelque temps déjà, mais je n’arrive pas à m’endormir. Les derniers évènements se bousculent dans ma tête. Seb avec sa grosse bite, Carole qui est en bonne voie pour devenir une vraie salope. Ma cousine qui devient de plus en plus chienne. Toutes ces pensées me font à nouveau mouiller. Chatte écartée, je me doigte lentement.On frappe à ma porte, elle s’entrouvre
-       Tu dors ?
C’est Alex, mon cousin.
-       Non rentre.
Il pénètre dans ma chambre, nu, comme nous avons pris l’habitude de vivre dans cette maison.
-       Qu’est-ce que tu as ?-       Je peux venir avec toi ?-       Oui, mais qu’est-ce que tu as ? Tu es bizarre
Alex s’allonge à côté de moi. C’est un lit d’une place, il est tout contre moi. Je sens sa bite qui prend de l’ampleur.
-       Raconte.
Alors il éclate en sanglot et d’une voix entrecoupée me déballe tout. ?.« Quand je suis arrivé dans la chambre de mon père, il est à poil, sur le lit, il se branle doucement.
-       Viens me Sucer
Je reste là, interdit.
-       Mais papa …-       Ne discute pas, viens 
Alors je m’approche, m’agenouille sur le lit. Je prends sa bite, je suis bizarre. D’une part ce que je suis entrain de faire me dégoute, d’autre part je suis attiré par ce monstre de chair. J’ouvre la bouche et l’engloutit. Instinctivement je fais coulisser ce braquemard entre mes lèvres, je le lèche, je suce le gland, mes mains le caresse, mon père gémi.
-       C’est bon fiston, tu suce comme une bonne petite pute.
Loin de me dégoutter, ces paroles m’encourage à faire mieux. J’accélère mes mouvements. Et je m’aperçois que je bande, cette pipe m’excite. Soudain mon père me bloque le crâne, sa bite enfle ente mes lèvres, il me lâché son foutre que je suis obligé d’avaler, ce que je fais sans dégoût, avec un grand plaisir.
-       Tu vois fiston, ce n’est pas si terrible. Tu suce aussi bien que ta sœur et ta cousine. J’ai adoré, viens près de moi, on en a pas fini.
Blotti dans les bras de mon père, comme une amoureuse, je me pose des questions. Est que je suis gay ? Mon père a pris ma main qu’il a posé sur son chibre. Inconsciemment je le caresse. Sa bite prend de l’ampleur.
-       Aller mon gars on continue, à genoux, offre-moi ton cul, écarte bien.
Non, ce n’est pas possible, il veut m’enculer maintenant.
-       Non papa, je t’en prie, pas cela.-       Ne discute pas, en position.
Alors, malgré moi, je m’installe. A genoux, la tête sir l’oreiller, les cuisses bien écartées. Dans la position de la pute soumise. Mon père a pitié de ma rondelle vierge, il l’enduit de crème lubrifiante. Ce simple attouchement me fait bander. Son gland appuie sur ma rosette, il force.
-       Détend toi, ça va renter tout seul. Tu sens to cul s’ouvrir ?
Effectivement je sens mes chairs lâcher sous la poussée du mandrin paternel.Et Alors….
-       Oh oui papa, prend moi, défonce moi.
D’un coup il est au fond de moi. Sa bite m’emplit, je ne suis plus qu’une salope heureuse d’être enculée. Mon père entame son va et vient. Je n’ai qu’une envie, qu’il aille plus vite, qu’il m’éclate le cul. Je suis sa salope. Mon père ayant déjà joui dans ma bouche fait durer le plaisir pour son bonheur et pour le mien. Mais la jouissance finie par l’emporter, son foutre envahit mes entrailles, déclenchant mon orgasme, mais bizarrement, je ne crache pas mon jus. Mon père décule.
-       Tu vois mon gars, ce n’est pas si terrible de se faire défoncer la rondelle. Aller, va te coucher maintenant.>>
 
-       Voilà ce qui m’arrive. Je suis gay. -       Mais non, est ce que ta sœur et moi nous sommes des gouines ? -       Non -       Eh bien toi non plus, tu es bi comme nous comme ton père, comme mon époux. -       - Avec tout cela, je n’ai pas juté moi. 
Alex est là, sa bite toujours gonflée, alors, comme une bonne cousine, je lui taille une turlute pour le soulager.
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