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L'éducation libertine de ma nièce.

Chapitre 2

Premiers jeux coquins ...

Hétéro
Ce mardi matin au réveil, je me love contre Océane sous la couette et je lui dis à l’oreille-    J’ai adoré notre petit câlin hier soir. Mais en fin d’après-midi je vais te faire découvrir d’autres jeux. Elle m’embrasse sur la bouche, glisse sa langue entre mes dents et joue ainsi quelques secondes. Puis elle me dit-    J’ai hâte que tu m’apprennes de nouvelles choses. Tu sembles être une professeure particulièrement douée !Je lui rétorque-    J’espère que tu sauras être une bonne élève !puis j’ajoute-    Pour aujourd’hui, tu peux remettre ta lingerie de bonne sœur. On ne les jettera à la poubelle qu’en fin d’après-midi.Tout en finissant de me maquiller devant mon miroir, je ne cesse de regarder son reflet dans la glace. Oui, elle a vraiment un superbe corps ; de la tête au pieds elle n’est que perfection. Elle enfile sa lingerie de coton Petit Bateau, je souris. J’imagine déjà ce que je vais lui faire essayer dans une boutique de Pigalle que je connais bien. Non seulement j’y vais pour acheter ma lingerie coquine mais aussi pour jouer avec des inconnus.
Durant toute la journée, qui nous parait bien longue à toutes les deux, j’entretiens son excitation par de petits sms.-    Moi : [color=#FF0000] « Je me languis de toi ! Très envie de te voir nue ! » [/color]-    Elle : [color=blue] « Tu m’excites ! J’ai hâte ! » [/color]-    [color=#FF0000] « Je vais faire de toi une vraie femme. » [/color]-    [color=blue] « Mais je le suis déjà ! » [/color]-    [color=#FF0000] « Alors disons que je vais faire de toi une vraie femelle ! » [/color]-    [color=blue] « Oh, tu veux dire une salope ! » [/color]-    [color=#FF0000] « Oui, c’est ça ! » [/color]-    [color=blue] « Tu crois que je vais aimer ? » [/color]-    [color=#FF0000] « Toutes les femmes aiment ! Toi aussi, sans le savoir ! » [/color]Excitée comme pas une, je suis obligée d’aller aux toilettes pour me calmer. En acceptant d’héberge ma nièce pour quelques jours, je faisais initialement une bonne action malgré l’envie de lui répondre que c’était impossible. Mais là, je me rends compte que c’est une bénédiction d’avoir accepté car cela va être une véritable cure de jouvence avec elle.
Comme je sais qu’elle termine sa seconde journée de stage à 17h00, je reprends notre petit jeu de sms vers 16h30.-    Moi : [color=#FF0000] « A midi, je me suis caressée en pensant à toi » [/color]-    Elle : [color=blue] « Moi je n’ai pas tenu si longtemps ! A 10h00, c’était fait ! » [/color]
-    [color=#FF0000] « Serais-tu déjà une salope en devenir ? » [/color]-    [color=blue] « Je ne sais pas ! Peut-être que je te ressemble malgré les apparences. » [/color]-    [color=#FF0000] « Oui, pas la même couleur de peau mais même couleur de cœur ! » [/color]-    [color=blue] « On se retrouve où tout à l’heure ? » [/color]-    [color=#FF0000] « Tu m’attendras au Mac Do, à la sortie de la station de métro Pigalle. » [/color]-    [color=blue] « Mais c’est un quartier chaud !» [/color]-    [color=#FF0000] « Bien plus que tu ne penses ! » [/color]-    [color=blue] « Je suis timide tu sais, même si je ne le montre pas ! [/color]-    [color=#FF0000] « Sois tranquille, je serai avec toi ! Bises !» [/color]Alors que je termine d’habitude ma journée de travail à 18h00, je prétexte un rendez-vous médical pour quitter à 17h00. Je saute dans la ligne 13 qui va me conduire jusqu’à Place de Clichy puis la ligne 2 me mènera à Pigalle. Je suis aussi impatiente que lors de mes premières aventures de jeune divorcée !
A 17h30, je sors de la station Pigalle et traverse le boulevard de Clichy ; un froid piquant me saisit. Vite, je me précipite à l’intérieur du MacDo et y retrouve Océane qui patiente en savourant un chocolat chaud. Je bois un peu de sa boisson pour me réchauffer puis je lui dis-    Allez ma belle, nous y allons !Je lis un peu de crainte dans ses yeux. Elle me répond-    Tu es sûre que c’est raisonnable ?Je me penche vers elle et l’embrasse dans le cou-    Oui, et c’est très bon !Nous retraversons le boulevard et j’entraîne Océane en direction du Sexodrome, un immense sex-shop parisien installé sur trois niveaux. Avant d’y entrer, nous tenant par le bras comme le ferait deux copines intimes, nous nous attardons devant la superbe vitrine dressée pour les fêtes de Noël. Bien évidemment, sur les mannequins, le blanc et le rouge sont de rigueur en version string, nuisette, guêpière et autres porte-jarretelles et cuissardes. J’attire Océane tout contre moi et je lui dis-    Tu ferais une bien jolie mère Noël pour ton mari avec cet ensemble sexy rouge et blanc.Et avant qu’elle ne puisse répondre, je lui prends la main et nous pénétrons dans les lieux.
Nous commençons par faire le tour des rayons au rez-de-chaussée. Il n’y a là que livres et DVD érotiques, sex-toys en tous genres, huile de massage et autres gels lubrifiants. Alors que nous passons devant une véritable exposition de vibromasseurs, Océane me dit à voix basse-    Oh là là, tu as vu comme ils sont gros ! Surtout les noirs !Je me saisis de l’un des phallus en silicone noir et le montre à Océane en lui disant-    Regarde les nervures et le gland, on dirait une vraie queue de black !Timidement, en faisant attention à ne pas être entendue, elle me demande-    Tu crois vraiment qu’ils l’ont aussi grosse ? C’est énorme !Avec un grand sourire je lui réponds-    Oui, c’est aussi gros. Et crois moi, ils savent s’en servir.A son air gêné, je comprends qu’elle n’a pas dû connaitre d’autres queues que celle de son mari. Reposant le vibromasseur parmi les autres, je dis à Océane-    Sois tranquille, cela fait partie des choses que je veux te faire découvrir pendant ces quelques jours.
Il est maintenant temps de descendre au sous-sol de l’établissement où sont exposés les vêtements sexy et la lingerie. Nous déambulons dans les rayons et au fur et à mesure, je prends par-ci par-là quelques effets que je compte bien faire essayer à ma nièce.Nous nous glissons toutes les deux dans la cabine d’essayage et je lui dis-    Tiens, retire ta lingerie Petit Bateau et met cela à la place.Elle se déshabille et enfile un soutien-gorge blanc demi-balcon qui laisse voir la pointe de ses seins. Elle enfile ensuite une paire de fin bas gris qu’elle fixe au porte-jarretelles que je viens de lui attacher autour la taille. Enfin, elle remonte le long de ses jambes un petit string blanc qui épouse parfaitement son mont de vénus et sublime ses fesses.Je lui dis-    Viens te voir dans un grand miroir, tu es superbe !Avec un peu de difficulté, j’arrive à l’entraîner vers le grand miroir fixé au mur. Elle ne s’est même pas regardée qu’elle voudrait déjà repartir dans la cabine. Je lui dis-    Ma chérie, leçon numéro 1 : Ne pas avoir peur du regard des hommes !Et je l’oblige à se regarder dans le miroir, à tourner sur elle-même et à faire quelques pas pour sentir combien elle est à l’aise dans ses nouveaux dessous.Bien évidemment, quelques hommes se rapprochent de nous et matent ma jolie nièce avec des regards particulièrement appuyés. Je félicite Océane pour son comportement et je lui dis-    Maintenant, rejoins la cabine d’essayage en ondulant bien de la croupe pour les exciter un peu plus.Elle s’exécute avec application et, en la regardant disparaître derrière le rideau, je me dis qu’elle a un cul à faire sauter tous les boutons de braguettes.
Je me précipite à mon tour vers la cabine d’essayage pour retirer les étiquettes de prix et lui dire de garder sa nouvelle parure sexy. Bien évidemment, nous laissons la lingerie Petit Bateau dans la cabine.Alors qu’Océane pense que nous allons payer nos achats et quitter l’établissement, je l’entraîne vers le premier étage. Elle me demande-    Mais, nous ne partons pas ?Je lui réponds-    Ma chérie, nous devons d’abord éteindre le feu que tu as allumé !Les trois hommes qui ont assisté aux essayages nous suivent dans l’escalier. Je les regarde fixement tout en me léchant ostensiblement les lèvres de ma langue.Comme je connais les lieux, je n’ai aucun mal à retrouver la petite pièce sombre où je me glisse avec Océane. Je referme à clé derrière nous et lui dis-    Deuxième leçon : Ne jamais gâcher l’occasion de faire une bonne action.Comme elle ne me comprend pas, je me mets à genoux face à l’un des murs et l’invite à faire de même. Nous sommes comme deux pénitentes, l’une face à l’autre. Je l’attire à moi et lui dis-    Embrasse-moi en attendant que le petit oiseau apparaisse.Elle ne comprend toujours pas mais me tend ses lèvres. Je l’embrasse fougueusement. A ce moment-là, une queue déjà bien bandée apparait dans l’un des trous pratiqués dans le mur.Je souris à Océane et lui lance-    Tu vois, tout vient à point à qui sait attendre !
Je passe une main derrière la nuque d’Océane et l’oblige à se pencher vers cette belle bite qui nous attend. Je l’embrasse de nouveau et en même temps j’attire sa bouche contre le mur. Nous nous embrassons de nouveau tout en gobant de nos bouches le gland turgescent qui n’en espérait pas tant. Océane comprend bien vite le fonctionnement de ce glory hole et nous voici toutes les deux en train de lécher, titiller, aspirer et sucer cette bite inconnue. Deux autres queues se présentent dans deux autres orifices et nous les prenons en main sans cesser notre travail de pompeuses avides. Bien vite, sous nos efforts, la première queue se vide en longs jets crémeux et de longues traces blanchâtres viennent dégouliner sur le joli minois de ma nièce.Je lui dis-    Nous en avons fini avec celui-ci. Occupons-nous des deux autres !Elle me répond-    J’aime bien ce jeu !Je lui rétorque-    Voyons laquelle de nous deux va être la plus rapide !
Nous voici maintenant toutes les deux le visage collé contre le mur. Pour un observateur qui ne saurait pas ce qui se passe de l’autre côté du mur, nous ressemblons à deux collégiennes consignées au coin !Mais quelle douce punition que de prendre cette queue en bouche tandis qu’Océane fait de même juste à côté. Pour en avoir sucé plus d’une, je sais comment m’y prendre pour faire cracher une queue. Je l’enserre entre mes lèvres, je joue avec ma langue, je la prends en fond de gorge, je l’aspire, je la suce, je la ressors et ainsi de suite. En jetant un coup d’œil de côté, je vois qu’Océane est bien moins experte que moi. Elle a vraiment besoin d’être prise en main cette petite ! Celui que je suce se raidit, colle son bas-ventre encore plus près du mur pour aller plus loin dans ma bouche. Il jouit enfin, je savais bien que j’allais gagner !Je me rapproche d’Océane et lui donne quelques conseils qu’elle applique aussitôt. C’est vraiment une bonne élève. Lorsque l’inconnu jouit dans sa bouche, je l’oblige à rester le nez collé contre la paroi pour récupérer tout le foutre sans en perdre la moindre goutte. Puis, je me penche vers elle et l’embrasse à pleine bouche. Nous étions parentes de sang, nous voici maintenant sœurs de foutre !
Une fois nos achats payés, nous reprenons le métro et rentrons à mon appartement. Je sais qu’après le dîner nous allons nous glisser au lit et jouir de nouveau entre filles. Je ne suis pas une grande disciple de Sappho mais ces jeux lesbiens avec Océane me plaisent bien.Pour demain matin au réveil, je lui réserve une belle surprise …
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