Il est 20h30 et je suis déjà au lit. Dans la salle de bain, j’entends Océane prendre sa douche ; j’ai donc quelques minutes avant qu’elle vienne me rejoindre au lit. Vite, je prends mon téléphone, sélectionne « Ali » dans mon répertoire et pianote rapidement quelques mots.Une fois mon sms expédié, je glisse une main sous la couette jusqu’à mon entrejambe. Mon sexe est déjà moite ; oui, penser à Ali me donne des bouffées de chaleur. Cela fait déjà trois ans que je le connais et notre rencontre tient vraiment du hasard. C’était un soir de novembre et mon petit lave-vaisselle s’est soudain mis à fuir. Paniquée et ne sachant pas quoi faire, je téléphone à Aïcha ma femme de ménage qui vient une fois par semaine à l’appartement pour faire un peu d’entretien et de repassage. Je lui dis- Bonsoir Aïcha, j’ai un gros souci de fuite et je ne sais absolument pas quoi faire.Avec son accent elle me répond- Ne vous inquiétez pas madame, je vais appeler mon cousin qui habite à Asnières et lui demander s’il peut passer en urgence.Je l’interroge- Il est plombier votre cousin ?Avec un grand rire elle me rassure- Vous verrez, il sait tout faire ! Il travaille comme réparateur chez Darty !puis elle poursuit- Si je ne vous rappelle pas, c’est qu’il passe dès ce soir. Je lui donnerai votre adresse !Avant qu’elle raccroche, j’ai le temps de lui demander- Et il s’appelle comment votre cousin.Elle me répond- Ali ! Ali Boufarid ! Il doit être 21h45 lorsque l’on sonne à ma porte. Je sors de mon lit, enfile une robe de chambre et me dirige vers la porte d’entrée. Par le judas, je vois un homme, la petite cinquantaine, propre sur lui avec une sacoche à la main. Sans ouvrir je demande- C’est à quel sujet ?L’homme me répond- Je suis Ali le cousin d’Aïcha !Je lui ouvre, le remercie de passer si tard et je le guide jusqu’à la cuisine. Je lui montre le lave-vaisselle et lui dis- Dès que je l’ai mis en route, ça s’est mis à couler en dessous. J’ai donc coupé l’arrivée d’eau pour éviter de tout inonder.Il me félicite- Très bonne réaction madame ! Je vais regarder ça, ne vous inquiétez pas !Il se met à genoux, tire vers l’avant l’appareil et regarde avec une lampe torche à l’arrière. Il sort ensuite quelques outils de sa sacoche ainsi que ce qui ressemble à des joints. Il s’active une bonne dizaine de minutes puis remet la machine en place, ouvre l’arrivée d’eau et relance le lave-vaisselle. Il me dit
- Voilà madame, c’est réparé ! C’est juste un joint qui a séché et une durite un peu dévissée. Vous pouvez dormir tranquille !Je lui demande combien je lui dois pour le dépannage et il me répond- Rien madame. Je suis ravi de vous avoir rendu service et Aïcha m’a dit que vous êtes toujours très gentille avec elle. Je lui propose alors de prendre un thé ou un café avant de repartir. Il me dit- C’est pas de refus car il fait vraiment un temps de chien ce soir ! Quelques instants plus tard, nous sommes assis dans le salon, lui sur le canapé et moi dans un petit fauteuil. Je sers les deux tasses de thé et lui passe la sienne. Il m’explique alors qu’il travaille effectivement chez Darty au service après-vente et est régulièrement en dépannage dans Paris et la proche banlieue.De fil en aiguille, il m’explique qu’il a une femme et un fils et qu’ils retournent environ tous les deux ans voir sa famille en Algérie. Je finis par me confier en lui racontant mon divorce il y a déjà huit ans et mes deux grands garçons mariés et casés en province.Je remarque alors qu’en croisant mes jambes pour m’asseoir, les deux pans de ma robe de chambre se sont ouverts et que ma petite nuisette noire ne cache rien du haut de mes cuisses. Mon dépanneur jette régulièrement des regards appuyés à mes cuisses et un simple coup d’œil à son pantalon suffit à me prouver que je lui fais de l’effet. Comme cela doit bien faire trois semaines que je n’ai pas fait l’amour, je me prends au jeu de la séduction et décroise les jambes sans refermer ma robe de chambre.Mon cœur commence à battre la chamade, je dois vraiment être folle ou vraiment en manque pour me comporter comme une moins que rien. Soudain Ali se lève et vient se mettre à genoux devant moi. Il soulève mes jambes, les passe sur ses épaules et plonge son visage entre mes cuisses. Bien évidemment, une fois bien chauds tous les deux, nous nous sommes dirigés vers ma chambre et nous sommes glissés au lit. Pendant une bonne heure, il m’a besognée et lutinée comme un dieu. Il était infatigable, me dévorait la bouche et les seins, variait les positions sans s’arrêter.A un moment il me dit- Vous m’excitez grave ! Il a longtemps que je n’ai pas rencontré une femme aussi chaude.Je lui demande- Votre femme n’aime pas faire l’amour ?Il me répond- Elle n’aime pas vraiment ça et moi j’ai de gros besoins.Puis il m’explique qu’il lui arrive parfois en dépannage, comme ce soir, de tomber sur des femmes en manque de sexe. Tout en continuant à me baiser en levrette, il me raconte qu’un jour c’est le mari qui lui a offert sa femme.Lorsqu’il me dit qu’il va jouir, je lui demande de se retirer car dans le feu de l’action je n’ai pas eu le temps de lui donner un préservatif. Il m’arrose copieusement les fesses dans un véritable feu d’artifice.Avant de partir, il me donne son numéro de téléphone en me disant de ne pas hésiter en cas de nouvelle panne. Bien évidemment, depuis ce premier soir, je l’ai revu de temps en temps non sans lui avoir demandé un test VIH car je préfère le sexe au naturel. Parfois, je l’invite à passer au petit matin, avant de se rendre à son travail, pour me prendre au réveil. Lorsqu’Océane sort de la salle de bain et me retrouve dans la chambre, je suis en train de me masturber violemment. Elle ne dit rien et sa main remplace la mienne. Elle se love contre moi, ses seins s’écrasent contre les miens, ses lèvres se soudent aux miennes tandis que son index se glisse un peu plus profondément dans ma chatte. Elle me demande- Tu te caressais en pensant à nous deux tout à l’heure dans le glory hole ?Volontairement, pour ne pas dévoiler mes plans, je lui mens- Oui ma chérie, j’ai adoré partager cet instant avec toi !puis je poursuis- J’aurais bien aimé faire entrer l’un des hommes avec nous pour qu’il s’occupe de toi !Un peu choquée, ma nièce me répond- Mais je suis mariée ! Je n’ai jamais trompé Daniel mon époux et je n’ai connu que lui !Je lui dis alors- Il ne s’occupe plus de toi et je ne suis pas certaine que tu aies déjà joui ! Tu es une femme et comme toutes les femmes tu as besoin d’une sexualité épanouie. Faire l’amour avec un autre homme ce n’est pas trompé son mari. C’est prendre du plaisir !Elle hésite quelques secondes - Euh ! Si tu le dis, je veux bien te croire.Je me tais car l’orgasme qui m’emporte me laisse sans voix. Lorsque j’ai récupéré je lui dis- Je ne m’occupe pas de toi ce soir car j’ai prévu une petite surprise demain matin.Elle me sourit- J’adore tes surprises. Vivement demain matin !Quelques minutes plus tard elle est endormie. J’ai l’entrejambe encore tout moite, quelle salope je fais ! Le jour n’est pas encore levé que mon téléphone vibre ; il est 6h45. Je lis le sms « Suis en route. Je serai là vers 7h00 ». Je réponds « Fais comme d’habitude, la porte d’entrée ne sera pas verrouillée ». Puis rapidement je me lève, vais déverrouiller la porte d’entrée et reviens me mettre au lit. Océane ouvre un œil et me demande- Il est déjà l’heure de se lever ?Je me rapproche d’elle, l’embrasse sur la bouche et lui réponds- Non ! Nous allons traîner un peu au lit car j’ai envie de jouer avec toi.J’ouvre le tiroir de mon chevet et en sors un foulard et un sex toy. Je lui bande les yeux et lui susurre à l’oreille- Tu es ma chose ce matin ! Et j’ai bien l’intention d’en profiter !Comme de nombreuses femmes délaissées par leur mari, je me doute qu’Océane cache un tempérament de soumise. Je la devine coquine et joueuse mais soumise tout de même.Je rejette la couette au pied du lit, allume la radio pour diffuser un peu de musique et je m’allonge entre ses jambes. Tout en lui caressant les seins et le ventre, je lui embrasse le sexe et ma langue s’insinue lentement dans sa fente. Elle se cambre et gémit. Je jette un coup d’œil à mon radio-réveil, mon complice ne devrait plus tarder à arriver. Je ralentis mes jeux de langue car je ne veux pas la faire jouir. Je préfère que ce soit un peu plus tard. J’entends la porte d’entrée s’ouvrir puis se refermer. Ouf, plongée dans le plaisir, Océane n’a rien entendu. Comme il le fait chaque fois que je lui demande de passer me baiser au lit de bon matin, Ali se rend à la salle de bain, se déshabille et se fait une petite toilette. Lorsqu’il rentre dans la chambre, je réussis dans la pénombre à lui faire comprendre de ne pas faire de bruit.Le coquin comprend vite et je lui laisse ma place entre les jambes d’Océane. Pour en avoir souvent profité, je sais combien sa bouche est experte. Pendant ce temps, je porte le sex toy aux lèvres de ma nièce et je lui dis- Allez ma chérie, suce cette belle queue avant d’en profiter ailleurs !Elle ouvre la bouche et j’y glisse le sexe factice. Je poursuis- Allez, suce bien comme si c’était une vraie queue !La voici qui s’applique comme je l’ai vu faire dans le glory hole hier après-midi. Elle a vraiment du talent et ce serait vraiment dommage de ne pas l’exploiter.Pour accentuer son plaisir, je lui titille les seins du bout de mes doigts. Elle réagit tout de suite et son ventre est secoué de spasmes.Je tape sur l’épaule d’Ali et je lui fais comprendre que nous allons changer de position. Océane est toujours les yeux bandés et je l’aide à se positionner en levrette en travers du lit. Silencieux comme un chat, Ali vient se positionner devant elle. Je dis à ma nièce- Allez ma chérie, continue à sucer ton jouet comme tu l’as fait hier !Elle ouvre de nouveau la bouche mais cette fois, c’est la queue d’Ali qui s’y glisse. Océane marque sa surprise mais ne peut se soustraire à cette belle queue qui lui remplit la bouche. Ali n’est pas monté comme un âne mais moi j’adore sa bite, longue et fine !Maintenant qu’Océane a pris son rythme avec Ali, je me glisse derrière elle et glisse le sex toy dans sa chatte. La coquine, elle aime ça car la voilà qui remue du popotin ; j’enfonce le gode un peu plus profondément en elle.La situation m’excite au plus haut point et je décide de ne pas me priver. Je retire le sex toy de la chatte de ma nièce et le plonge dans la mienne. Ma bouche se colle aux fesses d’Océane et ma langue s’insinue dans son sexe. Elle mouille drôlement la petite jeune ; il faut dire qu’avec son mari ça ne doit pas être tous les jours qu’elle jouit ainsi. Cela confirme mon intention de poursuivre son éducation jusqu’au dernier jour de son séjour parisien. Il est maintenant temps de retirer le foulard qui lui bande les yeux. Tandis qu’elle continue à sucer la queue d’Ali, je lui dis à l’oreille- Ce matin je t’apprends à recevoir un homme comme il le mérite. Ali me visite régulièrement au lit et j’aime ça. Tu dois aussi savoir profiter des bonnes choses de la vie sans remettre en cause ta vie de couple.Je demande à ma nièce de s’allonger sur le lit et Ali vient se positionner sur elle. Pour avoir maintes fois subi ses assauts, je sais combien mon amant va lui donner du plaisir. Comme avec moi, il l’embrasse à pleine bouche, lui dévore les seins, glisse ses mains sous ses fesses et la besogne avec vigueur.D’une main, j’excite le bourgeon d’Océane et de l’autre je malaxe les bourses d’Ali. Ma nièce gémit de plus en plus fort et elle me dit- Oh tata, comme c’est bon ! J’adore prendre des cours avec toi !J’insiste un peu plus fort de mon index sur son bourgeon bien dur, son ventre est parcouru d’ondes de plaisir et elle se mord les lèvres pour ne pas hurler. J’encourage Ali- Vas-y Ali, remplis là de bon foutre bien frais !et je dis à Océane- Je suis sûre que c’est ton premier beur. Sois certaine que maintenant que tu y as goûté tu ne pourras plus t’en passer !Ali pousse un long râle et s’immobilise sur Océane en la remplissant de son sperme. Je sais que sa femme ne baise pas beaucoup et qu’il a toujours les bourses bien remplies. Je suis ravie que ma gentille nièce puisse en profiter ! Dix minutes plus tard, Ali est reparti et je traîne encore un peu au lit avec Océane. Nous nous caressons et nous embrassons comme deux gamines d’un pensionnaire de jeunes filles. Océane me demande- Tu vois souvent Ali ? Il a l’air de bien te connaître !Je lui réponds- On se voit une ou deux fois par mois. J’adore quand il me visite au réveil ! Elle me rétorque- Si mon mari savait que j’ai baisé avec un beur, il demanderait le divorce !Je suis surprise- Pourquoi, il est raciste ? Elle me rassure- Non, je ne crois pas. Il a des amis blacks et beurs mais il dit que les arabes ne pensent qu’à baiser les femmes des français. Pour se venger de ce que faisaient nos soldats en Algérie avec leurs femmes.Je lui réponds- Tout ça c’est des foutaises ! Moi j’aime bien baiser avec Ali car il est un peu macho et il me baise comme j’aime, sans sentiments mais avec fougue. Et j’adore ça !Elle m’embrasse sur la bouche et me dit- Oui tu as raison. Moi aussi j’ai adoré ça ! puis elle poursuit- Tu vas m’apprendre d’autres chose avant mon départ en fin de semaine ?Je glisse ma main entre ses jambes et glisse mon index dans sa fente. Je lui réponds- Tu es prête à suivre toutes les leçons que je vais te proposer ?Elle réfléchit, hésite un court instant puis me réponds- Si tu es avec moi à chaque leçon, je suis prête à tout !Nos lèvres se soudent, sa chatte trempée se frotte à la mienne. Mais je suis déjà en train de penser à la suite …
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