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L'éducation de Marie

Chapitre 2

Erotique
L’éducation de Marie: - Chapitre 2 :
Sur la route du retour chez moi, après avoir quitté Marie, cette jeune et jolie brune que j’ai dépannée et qui m’a offert un baiser, je m’étonne d’être aussi impatient de la revoir.
Pour le moment, je suis surtout impatient d’arriver, tant mes vêtements trempés par la pluie me collent à la peau. J’ai demandé à Carole de me préparer un bon bain chaud et j’en ai bien besoin tant je suis transi de froid.
Si Carole est ma supérieure hiérarchique, dure et intransigeante avec son équipe ainsi qu’en affaires, elle sait aussi prendre du plaisir et m’utiliser à ses fins ! En effet, tout a commencé, lors d’un déplacement en Andalousie que nous avions fait ensemble, elle avait su jeter efficacement son grappin sur moi.
Comme elle dispose d’une sexualité débridée, nous y trouvons notre compte, l’un comme l’autre.Par contre, j’ai souvent remarqué qu’après une journée difficile, elle avait besoin de compenser son stress en me demandant, soit beaucoup de tendresse, soit au contraire d’être bestial ! C’est toujours une surprise avec elle, je ne sais jamais ce qui m’attend !
Comme je lui ai donné une clé de mon appartement, il lui arrive parfois de débouler à l’improviste pour me demander de l’honorer, avant de repartir une heure plus tard. Notre relation personnelle est uniquement basée sur le sexe. Du coté de notre relation professionnelle, je n’en tire aucun avantage, elle me traite comme les autres, ce qui a vite fait taire les premières railleries et insinuations de mes collègues.
Quand j’ouvre la porte de mon appartement, je remarque vite le jeu de piste qu’elle me destine. En effet, dès l’entrée, je vois traîner ses souliers, un bas jeté négligemment, puis un autre un peu plus loin, puis sa robe, sa culotte, son soutien-gorge tracent le chemin vers la salle de bain où, comme je lui ai demandé, elle m’attend dans un bain chaud.
Quand elle me voit apparaître, tel un noyé, son sourire s’estompe et elle ne peut que s’étonner de me voir dans cet état. — Eh bien Benoît, que t’est-il arrivé ?— J’ai pris une pluie d’enfer en dépannant quelqu’un— Une fille, je suppose…— Exact !— Jolie ?— Très !— Allez, viens me rejoindre dans l’eau, tu vas me raconter tout ça, pendant que je te savonne.

Carole est du genre direct, elle ne tourne jamais autour du pot ! D’autre part, elle n’est pas d’un naturel jaloux. Elle-même n’hésite pas à me confier les aventures qu’elle peut avoir, mais ne donne jamais le noms de ses partenaires, par discrétion. Elle me précise juste si c’est un homme ou une femme, avec qui elle a fait ses galipettes, me donnant parfois des détails croustillants qui m’inspirent.
L’un comme l’autre, nous avons une relation basée sur une confiance mutuelle, et surtout, dépassionnée. C’est ce qui me plaît chez elle ! Il n’y a jamais de chichi entre nous.
Je me déshabille prestement et la rejoins dans cette eau chaude qui me fait le plus grand bien.Si elle me savonne lentement, elle ne me laisse pas le temps de me prélasser et m’offre un téton à déguster.
Malgré ses quarante-cinq ans, sa poitrine est restée bien ferme et je me régale à suçoter son mamelon. Ses mains courent sur mon corps et convergent vers mon entrejambe. Moi-même, j’ai déjà un doigt qui a trouvé son clitoris pour le taquiner.Carole est très chaude ! Elle se relève soudainement, pose un pied sur le rebord de la baignoire et m’offre sa chatte à manger.J’adore lui faire un cunnilingus, à elle plus qu’à d’autres je crois. Outre qu’elle est hyper réactive à mes coups de langue, j’aime beaucoup le goût de sa cyprine.
Elle a maintenant posé les mains sur le carrelage du mur, ses jambes tremblent de façon incontrôlée et ses soupirs se transforment vite en gémissements, quand j’explore ses profondeurs d’une langue fureteuse.
Très vite, alors que son plaisir croît de plus en plus, je sens mon corps se réchauffer et mon sexe se gonfler d’envie. Je la tiens par les fesses pour déguster son nectar, alors qu’elle est maintenant au bord de l’extase. Mais elle en veut plus ! Elle me prend alors par le poignet, pour diriger ma main vers son sillon fessier.
Il lui est inutile de parler, nous sommes trop complices pour cela. Mon majeur franchit sa corolle sans difficulté et s’active pour la sodomiser, alors que j e mordille son petit bouton. Et… son orgasme éclate peu après !
Quand elle retrouve son souffle, ses premiers mots sont : — Tu me bouffes vraiment bien la chatte, toi ! Mieux que beaucoup de filles !— Merci ! Toi aussi tu suces bien et je crois que j’ai là, un gros sucre d’orge à t’offrir. — Plus tard, si tu veux bien, j’aimerais bien grignoter quelque chose avant, j’ai très faim !— Séchons nous et je vais nous préparer à manger.
En guise de repas, je décongèle une pizza que nous dévorons, tous deux nus sur le canapé. Elle profite de l’instant pour m’interroger à propos de Marie et je lui raconte tout.
Carole me fait un grand sourire et me demande :— Tu ne serais pas un peu amoureux d’elle ?— Je le crois bien !— Ça m’étonne de toi, je te pensais blindé contre l’amour…— Cette fille est différente, elle dégage un truc qui m’attire— Ouh là là, tu deviens romantique ! Je crois que tu as besoin de jouer au petit train, pas vrai ?— Bonne idée !
C’est un jeu entre Carole et moi, qui consiste à faire un parcours dans la pièce d’une façon très particulière. Elle, à quatre pattes et moi qui la pousse à coups de bite dans le cul. C’est elle qui aime beaucoup ce jeu et prétend ne le faire qu’avec moi.
Elle choisit avant de commencer ce qui sera « la gare », souvent un coin de la pièce où je pourrai me vider en elle. Elle me demande alors d’être dominateur et surtout… brutal envers elle.
Comme elle est experte pour me redonner vigueur avec ses mains et sa bouche et qu’elle s’est déjà mise en position en m’exposant son anus, j’ai tôt fais de l’embrocher… pour réaliser un parcours plus long que d’habitude.
Alors que je la pistonne, elle se complaît à faire de nombreux détours et même à refuser d’avancer pour m’obliger à lui claquer les fesses ou pour lui donner des coups de reins plus prononcés.
Ce soir, elle s’affale à plat ventre sur la moquette, avant d’atteindre la gare, et son deuxième orgasme monte quand je tire fort sur sa queue de cheval. Je continue malgré ses gémissements d’orgasme, à la labourer sauvagement, jusqu’à éclater en elle.
Alors que je m’allonge sur son dos, elle souffle :— Comme tu sais bien me baiser, mon salaud, tu sais que je n’ai pas envie de te lâcher, toi !— Et moi… j’adore te bourrer le cul, espèce de grosse salope !
Cette grossièreté fait partie de notre relation intime. Elle adore réellement quand je l’insulte ou la maltraite !Si Carole est ma cheffe, nous ne parlons jamais du boulot à la maison et inversement, au travail je reste très courtois avec elle, comme s’il s’agissait de deux personnes différentes.Il y a la « Carole Jekyll » la sérieuse, et la « Carole Hyde » totalement débridée.
Plus tard dans la soirée nous remettons le couvert, mais cette fois, elle préfère être au-dessus pour entamer une sacrée chevauchée sur mon sexe.
Le lendemain matin, samedi, je rêve de Marie et, en m’éveillant, je bande comme un âne. Je comprends vite que Carole s’est penchée sur moi pour me sucer à fond de gorge.
Ses caresses et sa maîtrise technique sont tellement efficaces que je ne tarde pas à lui remplir la bouche de ma semence. Elle se redresse fièrement en déglutissant mon jus, puis me dit très sérieusement :— J’avais besoin de tes vitamines ! Maintenant, je dois aller chercher mon fils chez mon ex. J’ai préparé ton petit déjeuner. A lundi…— Tu pars déjà ?— Oui, je veux que ce connard puisse sentir mon haleine parfumée au sperme. Au fait, tu as beaucoup parlé cette nuit— Ah bon ?— Oui, une dénommée Marie revenait souvent. C’est la fille dont tu m’as parlée ?— C’est bien elle !— Espèce de salaud ! Tu me trompes dans tes rêves !— Et toi, grosse pute, tu ne trouves rien de mieux que me sucer pour te venger ! Espèce de pourriture !— Humm ! J’adore quand tu me dis des mots tendres.— Dégage poufiasse !— Tout de suite, mon chéri. A lundi donc !Elle arbore un large sourire, puis nous pouffons de rire tous les deux en même temps.
Je me sens de bonne humeur ce matin, non pas d’avoir passé la nuit avec ma maîtresse, mais plutôt de savoir que je vais retrouver Marie.Après ma toilette, je prépare le nécessaire au remorquage de sa voiture.
Marie répond à mon texto, presque immédiatement, qu’elle est prête. Et me voilà en route pour la retrouver…
Elle porte un pantalon qui moule avantageusement ses jambes, son buste est mis en valeur par son haut, même si il est peu sexy.
Alors qu’elle me fait entrer dans son studio, je lui tends les bras dans lesquels elle se précipite.Notre baiser est tendre au début, puis rapidement devient plus passionné. Embrasser cette fille m’embrase, à tel point que, je suis si excité, que mon sexe se gonfle entre nos corps serrés l’un contre l’autre.
Cela n’échappe pas à Marie qui se détache de moi pour regarder ma braguette déformée, en souriant. — Eh bien Benoît, je te fais de l’effet à ce que je vois !— Tu peux toucher si tu veux ! — Non je préfèrerais que l’on aille d’abord récupérer ma voiture.— D’accord ! Mais au retour, je te propose de venir chez moi, je te montrerai ma collection d’estampes japonaises— C’est suranné ce truc ! Dis plutôt que tu as envie de coucher avec moi — Ok, je n’ai pas d’estampes, mais par contre on m’a offert récemment un livre sur le kamasutra qui peut être source d’inspiration— Tu me sembles bien pressé ! Bon, on y va maintenant ?

Sur le trajet, elle me confie qu’elle a eu quelques aventures avec des garçons, mais rien de sérieux. Le dernier passait son temps à jouer en réseau et ne s’occupait jamais d’elle. Elle prétend même que la seule fois qu’elle ait connu l’orgasme, c’était avec un très beau garçon de sa classe qu’elle avait pratiquement violé, mais qui lui a avoué plus tard son penchant homosexuel.
Je ne peux m’empêcher d’être étonné et lui demande :— Tu prétends qu’à ton âge, tu n’as éprouvé du plaisir qu’une seule fois avec des mecs ?— Avec un mec seulement. Sinon, je me fais plaisir toute seule. Mais je ne sais même pas pourquoi je te confie tout ça, alors que l’on ne se connaît même pas !— Merci pour ta confiance Marie. Je sais rester discret et puis …— Et puis ?— J’éprouve des sentiments pour toi, même si on ne se connaît pas, comme tu dis. Même si nous n’avons pas le même âge, je t’avoue que tu me plais beaucoup !— Toi aussi tu me plais, depuis que je t’ai aperçu à vrai dire. J’ai remarqué que tu n’avais pas d’alliance et …qu’il y avait quelque chose entre nous ! Dis Benoît,… tu n’as pas envie de t’arrêter pour m’embrasser ?— Bien sûr que si ! Je n’osais pas te le proposer !
A suivre…
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