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L'éducation de Marie

Chapitre 5

La fellation

Erotique
L’éducation de Marie: - Chapitre 5 :La fellation
Marie reste perplexe quand je lui demande si elle veut apprendre à sucer. J’y vais un peu fort en osant lui demander ça, alors qu’elle vient juste de découvrir les bienfaits du cunnilingus.Elle est encore toute échevelée et le front perlé de transpiration après avoir joui intensément.
Je la rassure en lui disant :— Ne t’inquiètes pas Marie, je ne te demande pas ça pour t’embarrasser. Il n’y a aucune urgence !— Ce n’est pas ça…— C’est quoi qui te gêne ?— Je crois pouvoir surpasser mes préjugés, mais surtout je ne sais pas comment m’y prendre.— Ne te tracasse pas ! Je propose que l’on s’installe confortablement dans le canapé et que l’on se regarde un film tranquillement. Je vais nous chercher à boire, du champagne, ça te dit ?— Bon allez ! Ok pour du champagne, c’est la fête ce soir. Mais juste une coupe et un grand verre d’eau avant !
Marie s’épanouit d’heure en heure, outre les vapeurs d’alcool qui l’euphorisent, elle a constaté qu’en lâchant prise, elle pouvait trouver du plaisir. Ne voulant pas la brusquer, je pense qu’un petit moment de détente lui sera profitable.
Alors que je lui tends son verre d’eau, elle me demande :— Que veux-tu regarder comme film ?— Nous sommes samedi, il est minuit passé, je te propose de regarder une chaîne cryptée à laquelle je suis abonné.— C’est un film porno je suppose ?— Si ça ne te plait pas, ce n’est pas grave, on peut regarder autre chose… — Non, je suis d’accord, si tu le veux… à vrai dire, je n’ai jamais osé en regarder. Une fois des copains de ma promo avaient organisé une soirée « film X », mes copines y sont allées, mais pas moi. Je trouvais ça sans intérêt !— Je te l’accorde, les scénarii sont minces, les personnages peu crédibles, mais il y aussi des choses intéressantes.— Comme quoi par exemple ?— À toi de me le dire… si tu acceptes de regarder, au moins une fois, un film cochon avec moi. Je te propose de cocouner sous le plaid que je vais aller chercher. Ça te dit ?
— Tu me prends par les sentiments, vas chercher le plaid. Je vais goûter à ton champagne pendant ce temps.
Les pieds sur la table du salon, main dans la main, nichés sous le plaid, nous sommes biens pour regarder le film qui commence. Dès les premières images, je suis rassuré par sa qualité. En effet, décors et costumes sont au rendez-vous. Les acteurs ne collent pas très bien aux personnages, il y a des anachronismes, mais bon ! Ce n’est pas ça qui est exigé par le public de ce genre de films.
Le scénario est presque crédible, en résumé :
 L’action se passe dans la haute bourgeoisie, vers les années 1930. Le châtelain, un vieux en fauteuil roulant aime le candaulisme. Sa femme bien plus jeune que lui, étant insatisfaite sexuellement, se tourne vers ses gens de maison. La bonne tout d’abord, puis le jardinier, le chauffeur, le majordome finit par se joindre à l’orgie finale. A chaque fois le mari impotent se complaît à regarder sa femme dans d’autres bras.

Plus que le film, je m’intéresse aux réactions de Marie aux différentes scènes érotiques ou franchement pornographiques. Curieusement, elle n’éprouve pas le dégoût que je craignais. Au contraire, elle semble très intéressée, voire passionnée.
Elle est particulièrement fascinée par la bite des acteurs, par la façon dont s’y prennent les filles pour les sucer, mais aussi par les caresses que s’échangent les femmes entre-elles.A la première sodomie, je sens sa main se crisper sur la mienne, elle se couvre la bouche en faisant un « oh ! » de surprise, mais ne lâche pas l’écran des yeux pour autant.
Elle change alors de posture, repose les pieds au sol, se penche en avant les coudes sur les genoux et serre son visage dans les mains. Elle est à moitié effarée et à moitié fascinée, mais regarde avec une grande attention cette scène anale.
Bien sûr, quand arrive un troisième partenaire et la double pénétration qui s’en suit, Marie regarde ça avec curiosité, mais je remarque qu’elle se projette dans la scène, car elle se tortille sur le canapé et semble réagir comme si elle était à la place de l’actrice.
Je glisse une main le long de son dos et elle me redonne, distraitement, sa main à tenir, sans même me regarder, tant elle est prise dans l’action.
— À l’orgie finale, Marie semble paniquée. Je lui demande : — Veux-tu que l’on arrête ?— Non, non souffle-elle dans un soupir.
Au générique de fin, je coupe la télévision et attends son commentaire.Qui ne vient pas !
Je lui propose d’aller nous coucher et après un brin de toilette, je l’attends nu dans le lit.Elle me rejoint plus tard, nue elle aussi mais sous sa nuisette légèrement transparente.Je remarque qu’elle a bien retenu ma leçon sur la suggestion car je ne peux que deviner ses tétons ou sa toison.
Elle adopte une attitude féline pour me rejoindre et je m’étonne de ce comportement charmeur. Alors que je l’enlace, elle me souffle à l’oreille : « Je veux te donner du plaisir à mon tour, mais dis-moi ce que je dois faire »
Je dépose une bise affectueuse sur sa joue et lui dis :— Tu sais, l’érection ne se commande pas. Cela demande un minimum de préliminaires. Ce peut-être juste une pensée érotique, mais souvent il faut une stimulation. Le baiser par exemple… Veux-tu que je t’indique mes zones sensibles ?— Oui, j’aimerais savoir…— Mes tétons par exemple, mais un petit peu. Sous le nombril, le pubis, l’intérieur des cuisses, l’aine. En revanche, sous les genoux ça ne me fait rien de particulierBien sûr, il faut converger vers le sexe qui arrivera en dernier, en caressant délicatement les testicules et le périnée. Il y a aussi le dos, plutôt le creux des reins, un peu les fesses et beaucoup la raie.— Oui, mais après ?— Le pénis va changer de taille progressivement en fonction des caresses. Le gland décalotté est extrêmement sensible, il faut y apporter beaucoup de douceur. La hampe peut-être serrée fermement, même à deux mains. — Et pour la fellation ?— Tu as vu l’essentiel avec le film. Tu peux lécher, aspirer, passer la langue, gober ce que tu peux avec on sans masturbation. Il faut t’adapter aux réactions de l’autre.
Marie ne répond pas, mais plonge pour m’embrasser avec passion. Sa main glisse sur mon torse, s’arrête sous le nombril, effleure le pubis et de son petit doigt effleure la base de mon sexe encore mou. Sa maladresse se transforme vite en geste plus précis et sait tourner autour du pot pour m’exciter.
Sans interrompre son baiser, ses doigts se transforment en plumes pour effleurer mes testicules, mais aussi s’aventurer entre mes jambes à la limite de mon anus.
La précision de ses gestes est telle, désormais, que j’en oublie qu’elle est peu expérimentée. Je crois qu’en retour, elle perçoit très bien mes réactions pour ajuster chacun de ses gestesJe sens sa main m’enserrer la hampe qui commence à gonfler. Spontanément, elle trouve une façon nouvelle pour moi qui consiste à étrangler très fortement la base et de relâcher la pression sur un rythme rapide. Elle fait courir le bout d’un doigt de son autre main sur le gland et taquine le frein par des petits mouvements tournants.
Mon sexe se redresse spontanément en remerciement de cette stimulation. Elle entreprend ensuite de me branler à deux mains l’une sur l’autre en serrant très fort.
Putain ! Qu’est-ce que c’est bon !
Elle s’arrête, contemple mon totem et… plonge pour enserrer mon gland de ses lèvres. Elle garde la pause une seconde afin de réaliser ce qu’elle vient de faire, car oui elle vient de franchir une sacrée limite.
De mon coté, je caresse son dos, puis ses seins. Elle s’approche de moi quand je veux atteindre sa chatte pour y glisser mon doigt. Tout va très vite alors !
J’ai trop envie de goûter à nouveau sa liqueur, je l’invite à me chevaucher le visage. Elle a repris mon sexe en bouche et me caresse délicatement les testicules, tout en pompant mon gland. Sa langue titille périodiquement mon méat et ça me fait un sacré effet. Moi, je m’applique à faire grossir son clitoris à longs coups de langue.
A peine ai-je mis ma langue dans son fourreau pour en pourlécher le bord, qu’elle prend l’initiative de changer de position pour venir s’asseoir sur ma bite. Elle me tourne le dos et par petits mouvements hésitants s’enfonce quelques centimètres, ressort et revient s’empaler pour quelques centimètres de plus.Puis tout à coup, dans un long soupir s’assied complètement afin que mon sexe l’envahisse profondément. Après une seconde ou deux sans bouger, elle se met à faire coulisser en elle mon bâton en feuElle y va très lentement et je remarque les frissons qui parcourent son corps.
Elle recule un peu ses jambes vers mon visage et trouve une meilleure position pour accélérer progressivement le rythme. Je lui caresse le bas du dos alors qu’elle monte et descend en se penchant de plus en plus vers mes pieds. Je prends appui sur le dos pour me cambrer et le bout de mon gland vient au contact de son utérus.Elle échappe un petit cri, mais revient se frotter très profond la partie postérieure du vagin. Nous sommes presque tête bêche son visage près de mes pieds, et son rythme devient endiablé. Elle cherche à sentir une nouvelle fois une douleur utérine, puis une autre un peu plus tard.
Dans cette posture mon sexe est parfois plié en deux et j’espère qu’il ne va pas se casser !
Elle y va de plus en plus fort dans sa chevauchée. Elle a glissé une main entre ses jambes pour pincer son clitoris avant de hurler son orgasme en se matraquant la matrice.
Elle s’affale moins d’une minute entre mes jambes et se relève brusquement pour se retourner vers moi et me masturber à deux mains comme rarement on me l’a fait.
Je la laisse totalement faire et m’abandonne au plaisir. Mon premier jet de sperme m’arrive sur la joue. Les autres un peu partout sur mon torse.
Je suis obligé de l’arrêter de me masturber, car elle continuerait encore, tant elle semble prise dans une frénésie incontrôlée.
Wouah ! C’est qu’elle est douée cette fille ! Plus que je ne le pensais…
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