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L'éducation de Marie

Chapitre 6

Erotique
L’éducation de Marie: - Chapitre 6 :
03 :17, c’est ce que je lis sur le réveil en rejoignant Marie, après m’être débarbouillé de mon sperme sur le torse. Alors que je m’allonge à son coté, Marie dépose une bise furtive sur mon téton, puis vient loger sa tête au creux de mon épaule pour un câlin.
Tout en me caressant le ventre, sous le nombril, Marie me dit :— Tu es vraiment génial !— Pourquoi ?— Nous nous connaissons depuis moins de deux jours et tu as réussi à me donner un plaisir incroyable à chaque fois. Du plaisir comme je ne l’avais jamais éprouvé auparavant !— Tu ne te donnes jamais de plaisir… en solitaire ?— Euh, si… Mais…
Marie ne va pas plus loin dans son explication et je n’insiste pas. Je dépose une bise affectueuse sur ses cheveux et nos mains se lient quand elle se serre contre moi, amoureusement. Après cette journée mouvementée, nous n’avons aucun mal à nous endormir l’un contre l’autre.
10 :58, c’est ce qu’indique la pendule quand j’ouvre l’œil. Les rayons du soleil diffusent à travers la persienne une lumière tamisée. Marie dort profondément, elle est allongée sur le coté presque sur le ventre. Son dos, découvert jusqu’aux fesses, me fascine !
J’adore le dos des femmes ! Qu’elles soient jeunes ou vieilles, obèses ou anorexiques, j’aime regarder leur dos. C’est aussi probablement pour ça que j’aime les prendre en levrette.
Celui de Marie est particulièrement agréable à admirer. Que se soit la finesse de ses muscles, la proportion parfaite entre sa taille et ses hanches. J’aimerais glisser ma langue sur son échine, du bas des reins à la nuque, faire courir mes mains sur ses dorsaux, mais elle dort si bien que j’aurais des scrupules à la réveiller.
Je sors de ma rêverie pour relever le drap et recouvrir délicatement ses épaules, puis me lève sans bruit. Après m’être lavé, rasé et habillé, je dépose un petit mot près de son oreiller avant d’aller faire quelques courses à proximité.
Il ne reste que deux croissants et une petite baguette à la boulangerie, et encore ! C’est bien parce que la boulangère a le béguin pour moi, que celle-ci accepte de me donner ce pain réservé à une autre personne. D’une œillade complice, je l’en remercie. La bouche en cœur mimant un bisou, qu’elle m’adresse furtivement, est clairement une invitation à un autre service en échange.
Je passe au petit magasin d’à coté pour acheter un pot de pâte à tartiner et en profite pour prendre quelques fruits et légumes.
À mon retour, je prépare thé, café, oranges pressées… et tout ce qu’il faut pour un petit déjeuner au lit. En allant vers la chambre, je remarque que Marie s’est levée. Cela à plusieurs indices comme : la porte des toilettes soigneusement refermée, alors que je suis plutôt négligeant pour le faire d’ordinaire.
Le petit mot que j’avais laissé près de son oreiller est désormais sur la table de nuit. De plus, dans la chambre, il y a une odeur de dentifrice qui m’indique qu’elle a désiré rafraîchir son haleine récemment.
Marie fait semblant de s’éveiller et un sourire radieux éclaire son visage.Je pose le plateau au pied du lit, l’embrasse tendrement, avant de me déshabiller prestement pour la rejoindre dans le lit, complètement nu.
Elle aussi est nue depuis qu’elle s’est débarrassée de sa nuisette, lors de sa chevauchée sur mon sexe, cette nuit. A ce propos, je me dis qu’elle a intuitivement découvert la position idoine pour se stimuler. Ou bien, peut-être est-ce en feuilletant le Kama-Sutra, quelques heures auparavant, qu’elle a trouvé de l’inspiration?
Marie ne cherche plus à masquer sa poitrine et laisse glisser le drap qui la recouvre, lors de ce petit déjeuner qui nous ravit tous les deux. Nous pouffons de rire sans raison à tout bout de champ, je me sens si bien en sa compagnie.
Alors que nous terminons de nous restaurer, mon téléphone sonne, puis re-sonne, puis re re-sonne. Résigné, je me lève pour aller le chercher. Marie, appuyée sur un coude, me regarde m’éloigner dans le couloir. Nul doute qu’elle mate mon cul ! Les femmes adorent regarder et toucher les fesses des hommes, elle n’échappe pas à la règle, la coquine !
Je reviens à la chambre et, cette fois, c’est mon sexe qu’elle regarde balancer à chacun de mes pas. Marie me sourit sans être gênée de détailler ainsi mon anatomie. Je trouve qu’elle se libère bien de ses préjugés. Elle se décoince enfin !
Je lui dis en m’allongeant près d’elle :— C’est Carole qui vient de m’appeler avec cette insistance …— Tu crois que c’est pour le boulot ?— Ça m’étonnerait beaucoup ! Je pense plutôt à autre chose— Elle voudrait faire l’amour avec toi, c’est ça ?— Probablement. Je vais la rappeler, ça ne te dérange pas ?— Bein… non… (Dit-elle, peu convaincue) — Attention Marie, je vais très certainement dire des choses qui pourraient te choquer, si c’est le cas n’hésites pas à t’éloigner.
Marie ne semble pas décidée à le faire, au contraire, elle se love contre moi et met une jambe entre les miennes. Son pubis s’écrase sur ma cuisse et la belle commence à faire un léger balancement du bassin d’avant en arrière. Sa main caresse doucettement mon torse quand elle me répond : « Vas-y, appelle-la, ça m’intéresse… »
Après avoir mis le haut-parleur, j’appelle Carole, qui en décrochant me dit :— Ah ! Enfin ! Tu en as mis du temps à me répondre ! Je suis énervée ! Mon gamin me prend la tête sans arrêt. Là, il vient de partir chez un copain, bon débarras ! Mais j’ai besoin de décompresser !— En ce moment, je suis dans mon lit avec Marie, la fille dont je t’ai parlée et qui entend tout en ce moment— Bonjour Marie, je suis désolée de vous déranger si vous étiez en train de baiser.
J’enlace Marie et appuie sur sa fesse pour qu’elle presse davantage sa chatte sur ma jambe. Sa cuisse entre mes jambes effleure mon sexe agréablement.
Je réponds à Carole :— Non, mais ça ne saurait tarder ! Par contre, toi la grosse salope, tu vas te branler comme je vais te l’indiquer !— Oh oui ! Dis-moi ce que je dois faire…
J’improvise rapidement un scénario, car elle me prend au dépourvu, et lui demande :— Tu portes quoi en ce moment?— Une jupe. — Très bien ! Tu vas avoir besoin d’une chaise avec un coussin— C’est bon— Il te faudra une bouteille en verre avec un bouchon— J’ai ça. Et encore ?— Tu as des glaçons ?— Oui, j’en ai au congélateur ! Qu’est-ce que tu vas me faire faire avec, mon salaud !— Ta gueule sale pouffiasse ! Tu verras bien !— Oui, oui !— Tu prendras aussi : une capote, ton gode, un plug et un bout de ficelle.— Lequel de plug ?— Le dernier que je t’ai fait acheter ! — Mais… Il est vraiment gros celui-là. Je n’ose pas l’essayer.— Tu prépares tout ça et tu me rappelles en vidéo ! Grouilles-toi !

Je coupe la communication, alors que Marie fait courir son doigt sur mon pubis, effleure ma hampe qui grossit à vue d’œil. Ses doigts glissent sur mon gland et l’enserrent délicatement. Elle applique de petites pressions si agréables que mon sexe se tend presque immédiatement.
Très innocemment, elle me demande :— C’est quoi un « pleugue » ?— C’est un anglicisme, littéralement ça veut dire « un bouchon, une bonde ». Le verbe « to plug », lui, signifie « brancher ». — Ça sert à quoi ?— On le met dans derrière et on le garde le plus longtemps possible. Tu vas voir celui dont dispose Carole, il est vraiment imposant.
Mon smart phone sonne quelques minutes plus tard, c’est Carole qui rappelle …Je lui demande :— Tu es prête ?— C’est bon ! — Tu vas aller dans la cuisine et poser le téléphone de telle manière que l’on puisse bien te voir.Ensuite, tu vas remplir la bouteille d’une eau chaude, pas bouillante, mais chaude et tu boucheras la bouteille !
Pendant que Carole opère, Marie a glissé vers le bas et frotte plus ostensiblement son clito sur ma cheville. Tous ses doigts s’affairent à manipuler mon système trois pièces. Tout en écoutant avec curiosité les consignes que je donne à Carole, elle se révèle très douée pour me faire bander comme un âne.
Carole revient et dit :— Voilà !— Maintenant, tu vas mettre 4 glaçons dans la capote, que tu noueras correctement, puis tu y accrocheras la ficelle.
Marie reste perplexe en regardant opérer Carole sur l’écran de mon smart phone. Cela ne l’empêche pas d’avoir deux mains qui m’enserrent le membre en le masturbant lentement.
Je demande à Carole de tout disposer sur la table devant elle et de bien orienter son téléphone afin de la voir opérer. Elle obtempère et m’attend assise sur la chaise que je lui ai recommandée.
Marie a porté ses lèvres sur mon gland et le mitraille de petits coups de langue, bon gang comme c’est bon ! Je ne sais pas comment lui vient ces initiatives, mais elle se débrouille plus que bien pour charmer mon serpent.
Je m’adresse à Carole et lui dit :Je vais te conter une histoire dont tu seras l’héroïne, tu es prête ? Oui, oui, vas-y…
Je lui narre :« Comme une grosse salope que tu es, tu cherches un mâle pour te baiser, tu te dis que dans ce bois, tu vas trouver ton bonheur, comme tu l’as déjà fait souvent ! Tu marches dans les fourrés à la nuit tombée, ta robe s’accroche aux branches et se déchire.Tout à coup, tu entends du bruit derrière toi, mais tu n’as pas le temps de réagir, quelqu’un s’est saisi de toi et t’enserre dans ses bras. Tu tentes de te dépêtrer, de te dégager de cette emprise, mais… »
Marie m’écoute attentivement et voit comme moi sur l’écran de mon téléphone, Carole se caresser la chatte en haletant. La jolie brune m’adresse un sourire complice et me gobe presque entièrement, pince fort les lèvres et remonte sur ma verge, très lentement…
Carole attend la suite et je la lui délivre :
« Tu sais que tu ne peux rien faire, que tu es bloquée. Le gars qui te tient à une main très froide qui court sur ton ventre pour effleurer ta poitrine avant de glisser dans ton corsage pour vérifier la taille de tes tétons… »
Carole comprend vite ce que je demande. Elle se saisit du préservatif gelé qu’elle tient par la ficelle, puis le fait courir contre son torse. Je remarque la grimace qu’elle fait quand elle ouvre son décolleté pour y glisser les doigts froids de l’inconnu qui va effleurer sa poitrine.
Marie pendant ce temps me suce admirablement, en glissant une main entre mes jambes, pour soupeser mes bourses avant de s’aventurer sur mon périnée.
Je reprends mon récit à Carole :« Tu t’abandonnes à ses caresses, mais le gars veut autre chose et glisse ses doigts gelés dans ta culotte pour toucher ton pubis. Il effleure ton bouton et veut te doigter. Non, te fister ! »
Marie, intriguée regarde Carole s’évertuer à rentrer chaque glaçon dans son antre. Pour cela elle a posé un pied sur la chaise et fait face à l’objectif. Elle grimace, soupire, geint, tremble mais entre en elle, tous les cubes gelés, il ne reste que la ficelle qui dépasse de ses lèvres, mais je sais qu’elle est actuellement pénétrée d’un froid glacial. Toutefois, le préservatif évite que la glace adhère à sa muqueuse vaginale.
Elle pose les mains sur la table et émet un long soupir pour s’adapter non seulement au froid, mais aussi aux arêtes des cubes qui meurtrissent son ventre. Avant qu’elle ne reprenne place sur sa chaise, je lui dis :
« Alors que le gars t’a pénétrée, deux types surgissent à moitié à poil, la bite en l’air. Le plus proche de toi te contourne et sans demander son reste, force ton cul qui ne demande que ça ! »
Carole me regarde, effarée, mais se résigne, puis positionne le plug lubrifié sur la chaise et s’assied dessus. L’objet est très gros et elle a beau le pousser avec la main, la pénétration de son œillet se révèle délicate.
« Pendant que le mec t’encule, l’autre s’est rapproché et te demande de le sucer »
Carole pose un coude sur la table et s’applique à sucer le gode alors que son anus est distendu. Ses gémissements de douleur font redresser Marie, qui délaisse sa pipe, mais continue à me branler lentement, tout en regardant avec fascination cette scène étrange. Le bout de ses doigts me taquine l’anus et elle remarque vite que je suis réceptif à sa caresse.
Quand Carole expurge un long soupir, je sais que tout est rentré, elle se frotte le clito quelques secondes pour se remettre de ses émotions, mais je n’en lui laisse pas le temps !
« Le mec que tu suces s’allonge sur le dos et t’oblige à venir te frotter la chatte sur sa bite brûlante, les deux mecs qui te baisent suivent le mouvement ! »
Carole touche la bouteille chaude du bout des doigts et ça semble encore très chaud, elle me regarde, hésitante et je lui ordonne :« Le mec s’impatiente ! Dépêche-toi ! »
Elle soulève les fesses et glisse entre les jambes la bouteille avant de poser son pubis sur le verre. Elle crie et se relève brusquement avant de renouveler l’expérience.
Le cri de douleur de Carole, ainsi que sa posture stimule Marie qui, comme déchaînée, se redresse, me chevauche pour frotter son clitoris sur ma hampe. Elle soupire, geint, halète en allant et venant sur mon sexe, alors que Carole fait de même sur la bouteille de l’autre coté du téléphone.
Puis Marie, n’en pouvant plus, se soulève et s’embroche d’elle-même et d’un seul coup. Une nouvelle fois, elle balance le bassin avec force et ma queue croque quand elle la plie pour mieux appuyer là où elle aime le plus.
J’ai relâché mon appareil pour me libérer les mains et les utiliser à meilleur escient. Je m’attarde à pétrir sa poitrine alors qu’elle monte et descend de plus en plus vite. Elle est en furie, elle se relève soudainement et cherche à s’empaler l’anus, mais je l’en dissuade et elle revient vite s’asseoir sur ma bite luisante de mouille pour reprendre son train d’enfer.
Les cris de jouissances de Carole se font entendre et stimulent d’autant plus Marie, qui elle, geint de plus en plus fort. D’un geste désespéré, j’enserre la base de ma queue pour éviter d’éjaculer en elle. Mais mon poignet interposé écrase son clitoris, ce qui la stimule davantage encore.
Je n’en peux plus et elle non plus ! Ses cris déchirent le silence de la chambre.
Alors que nous reprenons notre souffle l’un et l’autre, nous entendons Carole me dire :- J’ai la chatte en feu maintenant !— Comme d’habitude Salope ! Je suppose que les glaçons ont tous fondu.— En tout cas de ce que j’ai pu voir et entendre, ça s’est bien passé pour vous aussi. Au fait, Marie est très jolie. Vous allez très bien ensemble…— Merci Carole, tu es gentille !
Ses mots m’ont sincèrement touchés et je n’ai plus envie d’être grossier à ce moment là— Lui as-tu montré l’atelier ? Me demande-t-elle— Non, pas encore…— Comme tu veux… Moi, je vais essayer de me retirer ce truc que j’ai dans le cul— Pas question, dans une heure, pas avant !— Mais… mon fils risque de rentrer bientôt !— Si tu protestes, je te rajoute une heure !— Ok, ok je le garde une heure. Bises, à demain
Marie me demande alors :« C’est quoi, l’atelier ? »
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