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L'éducation de mon frère se fait en famille

Chapitre 2

J'enseigne à mon fils une autre voie

Inceste
Je m’appelle Lucie, 21 ans. Thomas, mon frère âgé de 18 ans m’a avoué ce matin être toujours puceau et, manifestement, il vit mal la situation. Aussi, j’ai décidé d’être sa première expérience et son professeur dans la découverte du plaisir. Nous étions justement en pleine action quand maman nous a surpris. Mais le mieux est qu’elle vous raconte la suite…
Je viens de rentrer à la maison, exténuée après une matinée à faire les courses, et de poser ces dernières dans la cuisine afin de les ranger, mais l’aide de mes enfants me serait bien utile. Ne sachant pas où ils sont, je monte à l’étage pour les chercher. En arrivant sur le palier, j’entends soudainement le cri de ma fille provenant de la chambre de Tom. Inquiète, j’ouvre la porte et là… je découvre un spectacle de débauche : Lucie et Tom, tous les deux nus, ma fille à quatre pattes alors que mon fils est derrière elle, la prenant en levrette. A mon arrivée, ils stoppent immédiatement leurs ébats, me regardent et restent cois.
— Lucie, Tom… mon Dieu ! Ce n’est pas possible… Dites-moi que cela n’est pas vrai... — Attends, maman, s’il te plaît, je vais tout t’expliquer, me rétorque Lucie, toute penaude.— Il n’y a rien à expliquer ! Vous étiez en train de baiser, un frère et une sœur !
Alors que je parle, ou plutôt que je crie, Tom se retire de l’antre de sa sœur sans oser dire un mot. Je m’aperçois qu’il portait une capote, c’est déjà ça. Ils ont, malgré tout, eu au moins un léger grain de bon sens.
— Lucie, c’est toi l’ainée, rejoins-moi immédiatement dans ma chambre. Et toi Tom, enlève-moi ce préservatif et on parlera ensuite.
Je sors de la chambre en claquant la porte. Je ne comprends pas, je devrais être outrée et pourtant ce n’est pas le cas, j’ai même beaucoup surjoué ma colère. Je n’arrive pas à leur en vouloir comme on l’attendrait d’une mère confrontée à une telle situation. Arrivée dans ma chambre, je m’assois sur le lit pour reprendre un peu mes esprits. Peu de temps après, Lucie entre.
— Lucie… encore à poil ! Tu ne pouvais pas te rhabiller ?— Mais tu m’as demandé de venir immédiatement dans ta chambre…— C’est vrai que cela prend beaucoup de temps de remettre sa culotte ! Passons, viens t’assoir et maintenant j’attends tes explications sur ce que je viens de voir, ce spectacle inqualifiable, une honte !— Maman, je vais tout t’expliquer, mais ne te mets pas en colère. C’est arrivé comme ça.— Comme ça ? Ne me prends pas pour une idiote, ne me dis pas que ton frère t’a prise en levrette comme ça ! — Non, bien évidemment. Ce matin, après ton départ pour les courses, je suis montée dans sa chambre pour le réveiller et je l’ai trouvé effondré suite à sa soirée d’hier. Et là, il m’a avoué être toujours puceau. Il m’a fait de la peine, tu aurais dû voir sa tête, alors j’ai décidé de l’aider, d’être son professeur pour sa première expérience. Voilà, c’est très simple. Et tout est de ma faute, c’est moi qui l’aie forcé.— Forcé ? Ce n’est pas l’impression que j’ai eu en vous voyant. Tom avait plutôt l’air au septième ciel. Au moins, tu ne rejettes pas la faute sur lui, c’est déjà bien. Et vous avez fait quoi ?— Ben, on a fait l’amour, tu l’as vu…— Oui, mais décris-moi. Je veux savoir précisément ce que vous avez fait.— Maman, quel intérêt et puis, c’est gênant ta question…— Ce qui est gênant, c’est votre comportement à tous les deux, pas ma question. Alors, si tu veux que j’essaye de ne pas vous punir, j’ai besoin d’en savoir plus pour comprendre.
— Tu veux savoir… bon, ok mais ne me dis pas ensuite que tu es offusquée. Et bien… j’ai commencé par lui faire une bonne pipe jusqu’à ce qu’il éjacule sur mon visage. Et j’en ai profité pour avaler tout son foutre et j’ai adoré. Puis il s’est occupé de mon clito avec sa bouche tout en me fouillant. Et putain, il est doué Tom. C’était sa première fois mais j’ai eu un super orgasme et j’ai même squirté. Cela va maman, tu as l’air bizarre soudainement…— Oui, oui, cela va mais je suis tellement surprise de tes paroles… Tu te rends compte que tu me parles de ton frère…— Mam, faudrait savoir ce que tu veux ! Tu viens de me demander de te décrire ce que nous avons fait, alors je décris ! Et puis arrête, tu sais bien que nous avons toujours eu des relations très fusionnelles, voire trop, avec Tom, cela devait arriver un jour. Maintenant laisse-moi reprendre… donc, pour terminer, on a baisé mais c’est lui qui a voulu me prendre en levrette. Et c’est à cet instant que tu nous as découverts.— Merci de cette précision, je m’en rappelle ! Seul point positif, j’ai vu qu’il avait mis un préservatif. — Non, autre point très positif, j’ai eu deux orgasmes et cela fait longtemps que je n’avais pas autant joui. Rien que d’y repenser, ma chatte est toute mouillée !
Je suis sans voix. Ma fille me parle comme si j’étais une copine et non sa mère et plus incroyable, elle me décrit avec détails sa baise avec son frère. Je devrais la gifler ou me lever en criant mais je n’arrive pas à en vouloir à mes deux chéris. Il est vrai aussi que j’ai fauté étant jeune, avec un oncle, donc je ne suis pas la mieux placée pour donner des leçons de morale. Et bien pire, avoir ma fille nue, assise à côté de moi, me racontant ses ébats incestueux en me précisant qu’elle mouille, me procure une sensation très étrange au niveau de mon entrejambe. Moi aussi, je sens que je suis toute humide mais impossible de me confier à Lucie, j’ai trop honte. Pourtant, j’ai une terrible envie de me masturber.
— C’est bon Lucie, j’ai besoin de réfléchir à tout ça. Pour l’instant, va dans ta chambre et habille-toi. Tu ne vas pas rester toute la journée à poil.— Tout de suite, maman.
Quand ma fille se lève pour sortir, je ne peux m’empêcher de l’admirer. Elle a une poitrine parfaite avec des seins fermes, de grandes jambes, elle mesure quand même 1,75 m, et son fessier bien rebondi est magnifique. J’ai vraiment deux beaux enfants, la seule bonne chose que m’aura laissée mon ex-mari. Allez, je vais prendre une douche pour me détendre et essayer de penser à autre chose.
Quelle sensation très agréable de sentir l’eau couler sur ses cheveux et son corps. Pourtant j’ai du mal à chasser de mon esprit la vision de mes deux enfants faisant l’amour en levrette. Et comme Lucie ne regrette rien, bien au contraire, tout cela me trouble d’une manière totalement anormale. J’en suis consciente mais impossible de lutter. Je sens une douce chaleur ma gagner et enflammer mon intimité. Je descends ma main vers mon entrejambe, elle glisse entre mes cuisses pour venir au contact de mes lèvres intimes. Mon sexe est trempé par ma cyprine et j’entre deux doigts dans mon vagin pour fouiller mon antre en feu. Je ferme les yeux alors que les premières ondes de plaisir parcourent déjà tout mon corps. Puis mes doigts s’emparent de mon clitoris qui très vite gonfle sous mes attouchements. Le plaisir qui me gagne est si fort que je dois m’adosser contre le carrelage de la cabine pour ne pas chanceler.
Mon autre main vient caresser ma poitrine puis pincer mes tétons afin d’accentuer l’intensité de cette jouissance qui monte en moi. Incapable de contrôler mes pulsions, je me masturbe sous la douche en imaginant les ébats incestueux de mes deux enfants. Mon Dieu, quelle mère indigne je suis, j’ai honte mais c’est si bon…
Au bout de quelques minutes, une vague orgasmique me traverse et je jouis violemment. Je m’écroule assise sur le sol de la cabine. Et une idée me traverse l’esprit, mais une idée folle, amorale. Lucie s’est parfaitement occupée de Tom et lui a fait découvrir les premiers plaisirs, mais reste à mon fils une voie à découvrir. Et qui mieux qu’une femme d’une expérience certaine pourrait lui faire apprécier cet autre plaisir.
Je sors de la douche et me rhabille pour descendre à la cuisine. Je suis seule, les enfants doivent être dans leur chambre en attendant ma réaction. Après avoir rangé les courses, car je les avais oubliées, je décongèle un plat. Nous déjeunons tous les trois sans échanger beaucoup de mots. Je me doute que Lucie a dû informer Tom de notre discussion et de ma réaction plutôt mesurée. Ils attendent certainement que je prenne la parole et n’arrêtent pas de se regarder. Pourtant, je reste muette, mais que pourrais-je dire ? Impossible de leur avouer que je ne leur en veux pas, que j’ai follement joui seule sous la douche en pensant à eux et surtout que j’ai eu cette idée très perverse de me donner à Tom. Nous poursuivons le déjeuner dans un silence pesant jusqu’au dessert. Et c’est Lucie qui brise la glace.
— Mam, on ne va pas continuer comme cela sans rien dire. Tu nous as vus et tu sais ce qu’on a fait. Mais on en avait envie depuis si longtemps avec Tom sans oser franchir le pas que, ce matin, quand l’occasion s’est présentée, nous n’avons pas pu résister. Nous n’avons rien fait de mal, nous nous sommes seulement procurés du plaisir mutuel. Je t’ai déjà tout expliqué tout à l’heure. Et puis pour Tom, c’était la première fois, alors c’était important pour lui. Dis-nous que tu nous comprends et que tu ne nous en veux pas…— Lucie, vous êtes frère et sœur, votre relation était tout sauf normale. Mais…— Mais ?— Mais tes explications m’ont convaincue, Lucie, je vous comprends et je vous pardonne mes chéris. Allez, venez m’embrasser.
Tom, un peu surpris mais tout heureux que cela en reste là, est le premier à venir.
— Alors dis-moi, Tom, j’espère que ta première expérience sexuelle te laissera un très bon souvenir, c’est important. Et tu peux remercier ta sœur.— Maman, c’est gênant ta remarque, mais oui, cela a été un merveilleux moment.— Qui n’est peut-être pas terminé… Et toi Lucie, tu ne viens pas me faire une bise.
Alors que Lucie se penche vers moi, je lui glisse doucement à l’oreille que je dois lui parler sans son frère. Elle me regarde un peu étonnée mais acquiesce. Aussi, après avoir débarrassé la table et tout rangé au lave-vaisselle, je demande à Tom de nous laisser seules avec sa sœur.
— Tout d’abord, assieds-toi car je pense que tu vas être plus que surprise de mes propos. Ecoute Lucie, tu m’as décrit vos ébats avec Tom et je pense qu’il serait utile pour parfaire son éducation qu’on lui enseigne la possibilité, lors d’un rapport, de choisir, comment dire… une autre voie pour la pénétration. Et je pense que pour ce nouvel apprentissage, il vaudrait mieux que cela soit une personne expérimentée qui soit son professeur.— Mam, tu veux me dire quoi, là ? Ne me dis pas que tu penses à … toi ?— Si, tu l’as dit, une première, c’est important et il faut de l’amour et qui peut mieux apporter un tel amour à son fils qu’une mère. — On ne parle pas du même amour… et il y a à peine deux heures, tu me faisais la morale et là tu me parles de baiser avec Tom, ton fils !— Oui, ton frère que tu as dépucelé ce matin même, je te rappelle. Serais-tu jalouse ?— N’importe quoi !— Alors aide-moi.
J’explique alors à Lucie comment je pense m’offrir à Tom. Il n’y a pas vraiment de plan, il suffira qu’elle demande à son frère de me rejoindre dans la chambre quand je lui indiquerai, puis qu’elle nous laisse seuls. Même si Lucie fait la moue, elle accepte de m’aider, la connaissant je me dis qu’elle a d’autres idées, encore plus sulfureuses.Nous remontons et je demande à ma fille de m’envoyer Tom d’ici une dizaine de minutes, le temps de me préparer. J’enlève mes vêtements pour passer une petite nuisette transparente, s’ouvrant sur le devant et très courte, cachant à peine le bas de mes fesses. Je m’allonge sur le lit en attendant mon fils.
— Me voilà mam, Lucie m’a dit que tu voulais me voir.
Tom s’arrête net sur le pas de la porte et me regarde la bouche ouverte. Il faut dire que ma nuisette ne cache pratiquement rien de mon anatomie. C’est la première fois qu’il me voit ainsi et dans une posture sans équivoque.
— Oui, entre Tom, Lucie m’a raconté en détails vos ébats. Alors, comme vous avez déjà dépassé les limites de la morale, j’ai décidé de compléter ton éducation. J’espère que tu es d’accord.
Je pose cette question pour la forme car j’ai la meilleure des réponses en contemplant l’énorme bosse qui déforme son boxer. Je lui demande de s’approcher, ce qu’il fait sans dire un mot. Il est maintenant debout face à moi. Je m’assois sur le bord du lit et lui descends son sous-vêtement sans qu’il montre le moindre signe de refus. Sa queue est raide et me fait face, impossible de résister.
Une de mes mains enserre sa verge et commence à le masturber tandis que ma langue lèche son gland. Je regarde rapidement son visage, il a les yeux fermés. Je suis sûre qu’il apprécie cette gâterie et qu’il se laisse gagner par le plaisir. C’est maintenant une grande partie de son sexe que je prends en bouche. Je continue ma fellation, en alternant entrées et sorties alors que ma main caresse maintenant ses bourses avant de les attraper et de les serrer doucement. Je prends mon temps et je vais pour lui faire une gorge profonde quand je l’entends gémir de plus en plus fort. Et alors qu’il pousse un râle, il éjacule subitement dans ma bouche. Même si je suis surprise de la rapidité de son orgasme, j’avale avec avidité son foutre.
— Désolé mam, ta pipe était trop bonne, impossible de me retenir.— Heureuse de constater que tu as retrouvé ta langue... Pas de problème, j’ai adoré ton explosion dans ma bouche. Et si tous les foutres ont un goût différent, je dois t’avouer que j’apprécie beaucoup le tien. Mais je t’ai fait venir pour autre chose...— Quoi ?— Il serait bien que, pour ton éducation, tu découvres le plaisir qu’il y a dans la sodomie et cette jouissance, je veux te l’offrir.— Euh... tu me demandes de...— De me prendre par le cul, oui. Vu ce que tu as déjà fait avec ta sœur et ce qui vient de se passer entre nous, autant poursuivre et se donner encore plus de plaisir. Pour commencer, lèche-moi la rosette, n’aies pas honte et tu vas voir, c’est très agréable et un très bon prélude à la pénétration.
Je m’installe à quatre pattes, offrant mon cul à la bouche de Tom. Celui-ci hésite un peu avant que je sente sa langue se poser sur mon œillet, en faire le tour puis me lécher avec avidité le centre. Et déjà je sens mon intimité mouiller. Après quelques instants, je demande à Tom de reculer afin de me mettre un peu de lubrifiant pour faciliter la pénétration. J’indique à mon fils que je suis prête et presque immédiatement il me pénètre. Ma gaine anale accepte cette intrusion sans difficulté particulière. Pourtant je pousse un léger cri, sa verge étant d’un beau diamètre. Je lui indique d’y aller progressivement et comme un bon élève il suit à la lettre mes recommandations. Puis peu à peu il se lâche et ses mains empoignent alors fortement mes hanches pour mieux me posséder. Il augmente en cadence et en force ses mouvements. A chacune de ses poussées, j’éprouve la sensation d’être remplie et comme il est bien monté, mon plaisir ne fait que croître. Je n’arrête pas de gémir.
— Oui, Tom, continue de bien me défoncer le cul, j’adore. Je suis d’accord avec ta sœur, tu es doué et tu apprends très vite. C’est clair, tu n’as plus besoin de cours, c’est parfait ! Mais attends, retire-toi que nous changions de position.
Je m’allonge sur le côté, Tom derrière moi afin qu’il me prenne en cuillère. Il recommence à me besogner, avec toute la vigueur de ses dix-huit ans. J’ai l’impression que chacun de ses coups de boutoir va m’éclater le cul mais la sensation est divine. Il en profite pour me peloter les seins tandis qu’une de mes mains est venue au contact de mon clitoris pour accroître mon plaisir. Notre corps à corps dure ainsi pendant plusieurs minutes avant que l’orgasme me terrasse. Tom se retire alors de mon antre anal, se masturbe par quelques mouvements rapides en se plaçant au-dessus de moi et éjacule sur ma poitrine et mon visage, tout en poussant un cri bestial. Il nous faut quelques instants à tous les deux pour retrouver notre calme.Tout en récupérant avec mes doigts le foutre qui recouvre en partie le haut de mon corps, pour le prendre dans ma bouche, je m’adresse à Tom :
— Dis donc, tu prends même des initiatives, qui plus est fort agréables ! Tu vois, je t’avais dit que tu ne le regretterais pas. Il aurait été vraiment dommage de ne pas te faire profiter de cette autre voie si jouissive. — Oh que oui, maman, c’était... parfait. Encore mieux que ce matin.— Merci, mais ne le dis pas à ta sœur, elle apprécierait moins. Et un plaisir partagé, crois-moi ! Tu dois être plus que satisfait de cette journée avec nos cours particuliers, à ta sœur et moi, des travaux dirigés… beaucoup plus sympas que ceux de la fac, non ?
A cet instant, la porte de la chambre s’ouvre et apparaît Lucie, nue.
— C’est bon, tous les deux, je vous entends crier depuis ma chambre. Pas de problème, mais là c’en est trop, laissez-moi profiter avec vous, j’ai ma chatte trempée !
(A suivre, peut-être)
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