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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 2

Séance de révisions entre cousines

Inceste
Au terme d’une nuit rythmée par des rêves liés à la leçon qu’elle avait suivie la veille, Jessica se réveilla péniblement en ce samedi matin. Par habitude, elle alluma son téléphone et consulta sa messagerie. La jeune femme constata qu’Aleksandra lui avait écrit environ deux heures plus tôt. 

[SMS, Aleksandra]<Hello, cousine ! Ça te dirait qu’on révise nos cours ensemble, aujourd’hui ? Tes tantes et mon frère partent en virée toute la journée. Nous aurons la maison pour nous toutes seules.
Jessica garda en tête la proposition de sa cousine puis alla faire un tour sur ses réseaux sociaux. N’observant aucune nouvelle digne d’intérêt, elle s’habilla puis descendit à la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. En arrivant, elle croisa Linda. Épuisée par la journée de la veille, la jeune femme n’avait même pas pris la peine de saluer sa mère avant d’aller se coucher.
— Bonjour, maman !— Bonjour, ma chérie ! Tu ne m’as pas dit bonne nuit, hier soir. Longue journée ?— Oui, désolée, maman. J’étais vraiment trop fatiguée pour pouvoir faire quoi que ce soit.— Il n’y a pas de mal. Alors, comment se sont passés tes cours ?— Comme d’habitude. J’ai dû me concentrer pour comprendre ce que disaient les profs. Avec tous les bavardages qu’il y a dans ces amphithéâtres, ce n’est pas gagné.
Linda émit un petit rire, suscitant l’incompréhension de sa fille.
— Je ne parlais pas de l’université, Jessica, mais du centre.— Ah, ces cours-là… Eh bien… On n’a pas fait grand-chose, en fait. On était douze élèves et l’instructrice nous a demandé de trouver des surnoms à un type qui nous a servi de soumis. On lui ensuite serré les bourses pour lui dire au revoir et c’est tout. Je suis quand même contente parce qu’Aleksandra est dans la même classe que moi. D’ailleurs, elle me propose qu’on se voie chez elle pour réviser nos cours. — Tu sais, ma chérie, la domination, c’est comme tout. On apprend en commençant doucement. Ne sois pas trop pressée.— Oui, je sais, maman. Et pour la proposition d’Aleksandra, ça ne te dérange pas si j’y vais ?— Non, pas de problème. Ton père et ton frère ont décidé de passer la journée « entre hommes », comme ils disent. Ça me laissera un peu de temps pour me reposer. Au fait, simple curiosité, quel surnom as-tu trouvé pour le soumis d’hier ?— Je l’ai surnommé « Pauvre impuissant ».
Linda éclata de rire. 
— C’est sûr que, pour un homme, ça doit faire drôlement mal d’entendre ça. Et ta cousine ?— Elle l’a traité de sous-homme.— Eh bien, vous n’y êtes pas allées de main morte, toutes les deux. 
Les deux femmes gloussèrent de cette remarque puis Jessica termina sa collation en silence. Elle remonta ensuite dans sa chambre et répondit au message d’Aleksandra.
[SMS, Aleksandra]<Hello, cousine ! Ça te dirait qu’on révise nos cours ensemble, aujourd’hui ? Tes tantes et mon frère partent en virée toute la journée. Nous aurons la maison pour nous toutes seules.>Salut, cousine ! Il n’y a pas de problème pour aujourd’hui. On se voit tout de suite ou un peu plus tard dans la journée ?
La réponse ne se fit pas attendre. Aleksandra venait de lui répondre par l’affirmative. Jessica prépara son sac puis alla dire au revoir à Linda en lui annonçant son retour en fin d’après-midi. Elle marcha d’un pas hâtif en direction du domicile de sa cousine. Ce rendez-vous fixé à la dernière minute lui fit revenir en mémoire les différents évènements de la veille et les sensations qui s’en étaient suivies. Jessica arriva à destination au bout d’une vingtaine de minutes puis sonna à la porte. Elle n’eut pas à attendre longtemps avant de voir Aleksandra lui ouvrir, le sourire aux lèvres. 
— Salut, Jess ! Trop contente que tu sois là !— Moi aussi, Aleks. Où est-ce qu’on se met pour réviser ?— Hum… Je vois que tu as pris ton sac de cours avec toi. Mon message était peut-être un peu trop subtil. — Tu voulais qu’on révise nos cours, non ?— Oui, mais je ne parlais pas des cours de l’université. — Ceux du centre ? Il n’y a pas grand-chose à réviser. On doit juste se souvenir du surnom qu’on a donné au type et comprendre leur utilité.— Tu as raison. Je me suis mal exprimée. J’aurais peut-être dû écrire « instruire ».— Tu veux qu’on s’instruise ? À propos de quoi ?— Bah… À ton avis ?— Tu veux dire regarder des vidéos sur internet ?— Tu comprends vite, cousine.— Je ne suis pas sûre que ce soit vraiment un bon exemple. On verrait peut-être des choses qu’on ne nous montrera pas au centre.— Raison de plus pour nous cultiver et montrer que nous sommes des élèves sérieuses.— Pas faux. Bon, je marche.— Parfait. J’ai déjà trouvé ce que nous allons regarder. Viens.
Aleksandra guida sa cousine jusqu’à sa chambre puis déverrouilla l’écran de son ordinateur. La jeune femme tapa l’adresse d’un site internet dans le navigateur puis elle lança une vidéo. Dès le début de la séquence, Jessica et Aleksandra virent un homme cagoulé, à quatre pattes, pieds et poings liés à une table. Trois femmes vêtues de corsets noirs en cuir le rejoignirent à l’écran. Bien que l’anglais fût la langue de la vidéo, les deux cousines comprirent aisément que l’homme entravé et masqué essuyait des insultes et des brimades de la part des trois femmes. Deux d’entre elles s’équipèrent de godes-ceintures aux dimensions qui les impressionnèrent. La troisième se contenta de s’emparer d’un fouet. De nouvelles attaques ad hominem se firent entendre puis les trois dominatrices se placèrent autour de leur esclave. Rapidement, les femmes s’étant équipées de verges factices investirent la bouche et le rectum de ce dernier, lui arrachant des gémissements étouffés qui provoquèrent leur hilarité. La femme au fouet fit doucement glisser les lanières de son outil sur le dos de l’homme avant de le faire claquer dans un mouvement brutal. 
Au bout de quelques minutes, le film finit par montrer les protagonistes dans une nouvelle position. Entretemps, l’homme avait été détaché mais avait conservé sa cagoule. À quatre pattes devant lui, les trois femmes lui ordonnèrent de leur lécher les orifices à tour de rôle. L’homme s’exécuta sous les moqueries de ses dominatrices puis il finit par être tenu en laisse par l’une d’entre elles et escorté jusqu’à une cage dans laquelle il finit par être enfermé. Le générique défila, signifiant la fin de la séquence. 
— Waouh ! J’avoue que ce qu’on a vu là, c’est bien différent de ce qu’on a appris hier au centre.— C’est ça qu’on devrait nous apprendre, Jessica ! Trouver des surnoms débiles et écraser des couilles, c’est trop peu.— Je pense que ça va venir. Un peu de patience.— Je n’aime pas attendre. Je pense qu’on devrait prendre un peu d’avance sur le programme.— Comment ça ?— On va s’entraîner. — S’entraîner à quoi ?— Bah… À se servir d’un gode-ceinture.— Oui, mais on n’a pas de soumis sous la main.— On n’a qu’à le faire entre nous.— Quoi ?! Tu n’es pas sérieuse, Aleks ? On est cousines !— Sur le papier, seulement. Biologiquement, on n’a aucun lien de parenté. — Oui, mais quand même… Ce serait bizarre pour moi qu’on fasse ça toutes les deux. — Pour moi aussi, mais je pense qu’on va s’habituer avec le temps. — Peut-être bien mais on n’a pas de gode non plus.— Je pense savoir où en trouver un mais, pour l’instant, je propose qu’on commence doucement.— Oui, allons-y doucement.
Jessica et Aleksandra se dévêtirent en se regardant l’une l’autre. La gêne et l’hésitation se firent sentir, dans un premier temps, puis l’excitation liée au visionnage de la vidéo finit par l’emporter progressivement et les deux cousines finirent par se retrouver entièrement nues. Elles se contemplèrent pendant quelques minutes. Leurs sexes suintaient déjà de cyprine et l’odeur liée à cet état de fait leur fit comprendre qu’elles éprouvaient toutes deux le même désir. 
Aleksandra s’avança vers sa cousine et l’enlaça tendrement. Dans les bras l’une de l’autre, elles firent chacune voyager leurs mains sur le corps de l’autre en s’attardant sur les seins et les fesses. Jessica finit par entraîner sa cousine sur le lit puis la fit allonger sur le dos. Elle plongea ensuite son visage entre les cuisses d’Aleksandra et savoura avidement le jus qui s’écoulait au rythme de ses coups de langue. Ce plaisir finit par trouver une expression vocale au travers de gémissements et de soupirs. 
Jessica finit par sentir la main de sa cousine caresser ses cheveux puis repousser lentement son visage de son intimité, lui faisant comprendre que c’était à son tour de prodiguer un cunnilingus. La jeune femme prit la position initialement adoptée par Aleksandra puis profita des léchouilles de celle-ci durant quelques instants, avant qu’elle n’y mît fin.
— Prête à aller plus loin, Jess ?— Oui, Aleks. Je ne m’y attendais pas mais je me sens tellement bien avec toi. — Moi aussi, je me sens bien avec toi, cousine. Je reviens.
Aleksandra sortit de la chambre puis revint quelques minutes plus tard, un gode-ceinture de couleur rouge à la main. Jessica faillit s’étrangler à la vue des mensurations du sexe factice.
— Où est-ce que tu as trouvé ce truc ? Il est gigantesque ! On va se faire mal !— Ne t’inquiète pas, Jess. On est bien mouillées et puis, on va lubrifier celui-là autant qu’on le pourra. Et, pour répondre à ta question, je l’ai trouvé dans la chambre de ma mère, enfin, ta tante Alice. Je la suspecte de s’en servir de temps en temps pour se faire du bien.— Alice a plus d’expérience que nous. Même si on couvre ce monstre de salive, je ne suis pas sûre que ça nous aidera beaucoup.— On va essayer quand même et, si on a vraiment trop mal, on arrêtera. D’accord ?— D’accord.
Les deux cousines posèrent le gode-ceinture entre elles et le sucèrent à tour de rôle afin de le lubrifier au mieux de leur salive. Dès qu’elles eurent estimé en avoir mis suffisamment, Aleksandra fut la première à s’en parer.
— Prête ?— Oui.
Jessica s’allongea sur le dos en écartant ses jambes autant que possible afin de faciliter l’accès de son intimité à sa cousine. Aleksandra poussa prudemment, faisant s’enfoncer le sextoy, centimètre par centimètre, en elle. Dès qu’elle fut arrivée au bout, la jeune femme s’arrêta, guettant une réaction de sa part. Un hochement de tête la convint d’entamer une série de lents va-et-vient. Au rythme de ces mouvements, Jessica ressentit une chaleur envahir son bas-ventre. Cette manifestation du plaisir ressenti la poussa à encourager sa cousine à la prendre avec plus de force. Aleksandra accéda à cette requête et la jeune femme finit par jouir sous ses coups de butoir. 
— À ton tour.
Aleksandra retira le gode-ceinture et le tendit à Jessica pour qu’elle s’en équipât. Tout comme sa cousine l’avait fait avec elle quelques instants plus tôt, Jessica pénétra lentement ses chairs intimes, scrutant son visage en quête d’une approbation ou d’une réprobation. Le sourire d’Aleksandra fit comprendre à Jessica qu’elle pouvait continuer. La jeune femme fit lentement onduler son bassin d’avant en arrière, suscitant l’extase de sa cousine qui se traduisit par des feulements et une respiration saccadée. Jessica finit par réaliser des gestes plus rapides et plus puissants jusqu’à ce qu’Aleksandra atteignît l’orgasme. 
Lorsqu’elle se fut retirée, Jessica ôta la verge factice et les deux cousines se couchèrent côte à côte en reprenant leur souffle. 
— Je ne m’attendais pas à ce qu’on prenne autant de plaisir avec ce gode. — Moi non plus mais force est de constater que c’est un jouet bien utile. — C’est vrai. D’ailleurs, ça me fait penser qu’on a oublié notre autre trou, Aleks. — Je pense que c’est mieux de le laisser pour une prochaine fois. C’est déjà pas mal, ce qu’on a pu faire aujourd’hui.— Oui, tu as raison. Au fait, par rapport à ce que tu as dit sur les cours au centre, il m’est venu une idée.— Laquelle ?— On pourrait demander à Séverine de nous donner des cours particuliers, en dehors des heures habituelles.— Elle n’acceptera pas, je pense. Elle ne voudrait pas qu’on l’accuse de favoritisme. — On peut toujours lui poser la question. Je suis sûre qu’en nous montrant bonnes élèves, on la poussera à nous en montrer plus. — On essaie au prochain cours, alors ?— Non, je pense qu’il vaut mieux pour nous de monter suffisamment dans son estime, avant.— Bonne idée. Bon, on se revoit au centre ?— Oui, il est temps pour moi d’y aller. Merci pour ce bon moment, Aleks.— Merci à toi, Jess. À la semaine prochaine. 
Après avoir rangé le gode-ceinture où elle l’avait trouvé, Aleksandra raccompagna Jessica jusqu’à la porte puis les deux cousines se séparèrent en se promettant de pratiquer ensemble de nouvelles expériences aussi vite que possible.
[ À suivre ]
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