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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 3

Deuxième leçon

SM / Fétichisme
Le jour tant attendu de sa deuxième leçon au centre Laetitia Vaney arriva enfin pour Jessica. Le matin même, elle avait reçu un SMS de la part de Séverine, lui indiquant l’équipement à prendre avec elle pour le cours.[SMS, Séverine] <Bonjour, Jessica ! J’espère que tu vas bien et que tu es prête à avancer davantage sur le chemin qui te conduira à l’art de la domination. Pour le cours de ce soir, je te demanderai de prendre avec toi un tube de rouge à lèvres et des chaussures à talons. N’hésite pas à me contacter si tu as des questions. À bientôt. Séverine
Prévoyante, la jeune femme avait pris soin d’emporter les objets demandés dans son sac avant de se rendre à l’université. Comme la semaine précédente, Jessica ne prêta qu’une oreille distraite aux diatribes de ses professeurs, ne prenant des notes que lors de moments de regain d’attention. Le temps finit par passer jusqu’à la pause de midi. En sortant du bâtiment, Jessica fut surprise de trouver Aleksandra devant l’entrée.
— Aleks ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Je ne m’attendais pas à te voir avant ce soir.— J’ai un cours qui a été annulé ce matin. Je me suis donc dit qu’on pouvait passer ce bel après-midi entre cousines.— Euh, oui. Enfin, j’ai encore des cours, cet après-midi.— Tu n’as qu’à sécher, pour une fois. De toute façon, je parie que tu es trop excitée par ce qu’il va se passer ce soir pour te concentrer sur tes cours.— Tu n’as pas tort. Pour la première fois de ma vie, je vais faire ma rebelle.
Les deux jeunes femmes quittèrent le campus et se dirigèrent vers un fast-food. Tout en bavardant gaiement au sujet de leurs cursus scolaires respectifs, Jessica et Aleksandra finirent leur repas en un peu moins d’une heure puis prirent le parti de se balader dans le centre-ville. Au bout d’une demi-heure de marche, leurs pas les menèrent à la devanture d’un sex-shop. Les deux cousines marquèrent un temps d’arrêt.
— Ça te dit d’y faire un tour, Jess ?— Euh… Je n’avais pas vraiment prévu de visiter ce genre d’endroit aujourd’hui mais j’avoue que j’ai des souvenirs qui refont surface, là, maintenant.— Pas besoin de te demander lesquels.
Elles rirent toutes deux de cette allusion au rapport qu’elles avaient entretenu quelques jours plus tôt puis poussèrent la porte du magasin. La vendeuse les accueillit en souriant et leur demanda si elle pouvait les renseigner. Aleksandra lui répondit qu’elle et Jessica souhaitaient d’abord jeter un œil à l’assortiment. Les deux cousines se promenèrent entre les rayons, se laissant surprendre par la panoplie d’articles exposés. Leur regard finit par être happé par le rayon des sextoys. Des godes-ceintures de différentes tailles, largeurs et couleurs avaient été soigneusement placés dans des emballages sophistiqués, à hauteur de leurs yeux.
— Eh ben dis donc… Ils sont énormes, ces machins ! — Ils sont gros, oui, mais il y en a qui m’ont l’air un peu plus réalistes. Qu’est-ce que tu en penses ?— J’en pense que, vu qu’on a commencé avec un gros calibre, autant continuer comme ça. — On en achète un chacune ?— Bah oui ! On ne pourra pas toujours prendre celui de ma mère sans qu’elle ne le remarque et puis on ne passera pas toujours notre temps ensemble. Donc, il y aura des moments où il faudra prendre plaisir en solitaire.
— Oui, tu as raison.
Aleksandra jeta rapidement son dévolu sur un sexe factice de plus de vingt centimètres de long et d’une largeur plus que respectable. La jeune femme opta pour la couleur rouge, expliquant que cela lui rappelait sa Russie natale. Jessica mit plus de temps à se décider. Souhaitant initialement un gode-ceinture aux dimensions plus représentatives de la norme, elle finit par être séduite par le choix de sa cousine et acheta un engin aux dimensions semblables à celles qu’avait choisies Aleksandra. Jessica expliqua à cette dernière qu’elle avait choisi le noir comme couleur afin d’assortir le gode-ceinture à sa chevelure. Cette sortie les fit sourire toutes deux puis, après avoir réglé leurs achats, elles sortirent à nouveau dans la rue et décidèrent de passer le temps qui leur restait avant le cours de Séverine en prenant un café dans un bar des environs.
— Au fait, pourquoi Séverine nous a demandé de prendre des talons et du rouge à lèvres, d’après toi ?— Aucune idée. J’espère juste qu’on s’amusera un peu plus que la dernière fois.— J’espère aussi.
Les deux jeunes femmes payèrent l’addition en laissant un pourboire à la serveuse puis prirent la direction du centre Laetitia Vaney. En entrant dans le bâtiment, elles saluèrent la réceptionniste puis profitèrent de leur légère avance pour troquer leurs baskets contre les talons qui leur avaient été demandé par leur instructrice. Aleksandra et Jessica gagnèrent ensuite leur salle de cours. En les voyant, Séverine leur adressa un sourire chaleureux et elles attendirent que les dernières aspirantes arrivassent. Dès que toutes les jeunes femmes eurent été appelées, l’instructrice débuta son cours.
— Bonsoir, mesdemoiselles ! Vous vous souvenez certainement de notre soumis.
Séverine fut interrompue par la réponse affirmative lancée à l’unisson par l’ensemble de sa classe.
— J’espère aussi que vous n’avez pas oublié non plus les surnoms que vous lui avez trouvé, la dernière fois. Bon, je vois que mon message a bien été reçu puisque vous portez toutes des talons. Vous avez pris du rouge à lèvres, aussi ?
Les douze apprenties montrèrent leurs tubes à la vue de leur instructrice.
— Parfait. Nous allons pouvoir entrer dans le vif du sujet. La dernière fois, je vous ai expliqué que les trois parties du corps de son esclave avec lesquelles une dominatrice aime jouer sont le sexe, le cul et la bouche. Nous avons commencé par le sexe, la dernière fois, et nous allons poursuivre là-dessus ce soir. Une chose que vous devez savoir est qu’il faut partir du principe que, excité par le fait que vous le remettiez à la place qui est à la sienne, votre soumis risque de se faire du bien en solitaire pendant que vous aurez le dos tourné. Pour éviter qu’un tel scénario ne se produise, il existe un objet très utile que l’on appelle une cage de chasteté. Il est important de savoir en équiper son esclave et de conserver la clé en lieu sûr. Petite démonstration.
L’instructrice s’empara de la cage et en équipa l’esclave d’un tour de poignet expert avant de la lui retirer.
— Comme vous le constatez, il est très simple d’affubler son esclave d’un tel dispositif. Il suffit simplement de s’assurer que toute sa verge soit bien entrée puis refermer le tour d’un tour de clé. À vous de jouer, maintenant. Qui veut commencer ?
Jessica fut la première à lever la main. Séverine lui remit la cage de chasteté puis, sur ses conseils, la jeune femme parvint sans difficulté à y enfermer le sexe de l’homme. Elle lui retira la cage puis ce fut au tour d’Aleksandra de se plier à l’exercice. L’opération fut réalisée sans peine par cette dernière, également. Les dix autres aspirantes suivirent leur exemple sous l’œil ravi de leur instructrice.
— Excellent ! Maintenant que vous savez freiner les ardeurs masturbatoires d’un soumis, je vais vous enseigner une première pratique. Vous allez vite comprendre pourquoi je vous ai demandé de porter des talons ce soir. Le trampling, ou piétinement, en français, consiste à marcher sur le corps de son esclave. Attention toutefois à ne pas appuyer trop fort.
Séverine ordonna au soumis de s’allonger sur le dos puis, une fois que ce dernier eut adopté la posture exigée, posa un talon sur son torse puis l’autre sur son nombril, lui arrachant un gémissement de douleur. L’instructrice ramena son deuxième talon au niveau du nombril de l’homme puis leva un pied pour le faire lentement se poser sur ses bourses. Les hurlements de l’esclave se perdirent dans les rires des aspirantes.
— La douleur doit demeurer supportable. N’y allez pas trop fort avec le trampling, sous peine de voir votre esclave s’évanouir à cause de la douleur. Qui se lance, cette fois ?
Aleksandra fut la prompte à lever la main. La jeune femme s’avança vers l’homme. Comme Séverine l’avait fait quelques instants auparavant, elle posa un talon après l’autre sur son torse puis avança à petits pas jusqu’à son nombril pour finir par lui écraser les testicules. Jessica et les autres aspirantes s’adonnèrent à leur tour à cette activité puis Séverine finit par signaler la fin du cours.
— Bon, mesdemoiselles. L’heure tourne et il est temps de nous arrêter là pour aujourd’hui. Cependant, avant que vous ne partiez, je souhaiterais savoir avec quelle partie du corps de notre esclave vous souhaitez continuer, la prochaine fois. Qui vote pour la bouche ?
Plusieurs aspirantes levèrent la main. L’instructrice compta les voix.
— Huit sur douze pour la bouche. Parfait. Dans ce cas, nous allons poursuivre sur ce thème la prochaine fois. N’oubliez pas de dire au revoir à notre soumis en lui écrivant le surnom que vous lui avez donné, la fois passée, sur son corps, avec votre rouge à lèvres. Sur ce, bon week-end et à la semaine prochaine.
Jessica et Aleksandra inscrivirent leurs surnoms au niveau du ventre de l’homme puis s’en allèrent en saluant leur instructrice. Sur le chemin, les deux cousines échangèrent sur leurs impressions concernant la leçon.
— Alors, Aleks ? Tu t’es plus amusée que la dernière fois ?— Oui, il y a eu un progrès. J’ai hâte de voir ce qu’on va faire de sa bouche, la prochaine fois.— Moi aussi. Au fait, puisqu’on parle de notre esclave, ça me fait penser que je n’ai jamais vu mon frère venir ici alors qu’il est inscrit.— Le mien non plus n’est jamais venu et il est inscrit aussi.— Bizarre. Tu crois qu’on devrait se renseigner auprès de la directrice à ce sujet ?— On peut toujours essayer. — Très bien. Dans ce cas, je propose qu’on lui écrive un mail demain.— Ça marche. À demain !— À demain !
Les deux cousines se séparèrent après quelques minutes de route commune. Désormais seule, Jessica essaya d’élaborer des hypothèses plausibles pour expliquer les absences de Fabien du centre. Ne trouvant aucune explication vraisemblable, la jeune femme se dit qu’elle n’allait pas oublier de contacter Laetitia Vaney, la directrice du centre.
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