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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 4

Journée de surprises pour Jessica

Divers
En se réveillant le lendemain matin, Jessica repensa à l’échange qu’elle avait eu avec Aleksandra au sujet de leurs frères respectifs. En y réfléchissant, la jeune femme avait pensé à interroger Fabien directement sur ses absences du centre mais, de crainte de l’offenser, elle avait abandonné cette option. Après s’être habillée, Jessica descendit prendre son petit-déjeuner. La jeune femme trouva Linda en train de savourer une tasse de café. 
— Bonjour, maman. — Bonjour, ma chérie. Bien dormi ?— Oui. — Et ces cours, ça se passe bien ?— Quels cours ? Ceux de l’université ou ceux du centre ?— Les deux.— À l’uni, ça va. Ce n’est pas toujours évident mais je m’accroche. Au centre, on a appris de nouvelles choses par rapport à la dernière fois.— Bien. Et lesquelles, si je puis me permettre ?— On a appris à mettre une cage de chasteté à un homme et on s’est essayées au trampling. J’ai trouvé ça plutôt sympa.— Intéressant. J’en déduis que tu te plais au centre.— Pour le moment, oui.
Mère et fille finirent leur collation sans échanger d’autres mots puis Jessica remonta dans sa chambre. La jeune femme ralluma son téléphone puis, après en avoir déverrouillé l’écran, constata qu’elle avait reçu un message de la part de sa cousine.
[SMS, Aleksandra]<Salut, cousine ! Je n’ai pas pu attendre. J’ai envoyé directement un mail à la directrice, hier soir, pour lui poser la question par rapport à ce qu’on s’est dit. Je viens de recevoir sa réponse. Elle nous attend en début d’après-midi dans son bureau. À plus !
Jessica répondit avoir pris note de l’information. Elle consulta ensuite l’heure affichée sur son téléphone. Dix heures. Cela lui laissait quelques heures à occuper avant la rencontre prévue avec Laetitia Vaney. La jeune femme décida de profiter de ce laps de temps pour réviser ses cours. Au bout de deux heures et demie à tenter de se mettre dans la tête les leçons d’anatomie et de virologie, elle s’arrêta là et alla prévenir sa mère de son absence, lui expliquant que la directrice l’attendait dans son bureau pour lui parler de quelque chose en lien avec une question posée. Linda demanda à sa fille de lui raconter son entrevue lorsqu’elle fût terminée puis, après avoir acquiescé, Jessica sortit de la maison pour prendre la direction du centre.
À la fois impatiente et anxieuse à l’idée de ce qu’elle allait apprendre au sujet de son frère par Laetitia Vaney, la jeune femme marcha d’un pas plus pressé qu’elle ne l’aurait souhaité. Parvenue devant la porte principale de l’établissement, elle fut plus rassurée en croisant Aleksandra.
— Salut, Aleks ! Comment ça va ?— Ça va. Désolée d’avoir fait ça toute seule mais je ne pouvais pas attendre.
— Ce n’est pas grave. Au fait, pendant un instant, je me suis dit que j’aurais pu interroger Fabien mais je pense qu’il l’aurait mal pris. Je ne l’ai donc pas fait.— Tu as bien fait. J’ai songé à faire la même chose avec Kamil mais je suis arrivée à la même conclusion que toi. Bon, on y va ?— Oui.
Les deux cousines montèrent les escaliers sur les six étages qui les séparaient du bureau de leur directrice. Dès qu’elles eurent frappé à la porte, une voix calme mais autoritaire leur répondit d’entrer. Jessica et Aleksandra ressentirent pendant quelques instants une certaine sidération à la vue de Laetitia Vaney. Approchant la soixantaine, la directrice du centre avait fait preuve de plusieurs stratagèmes ingénieux pour dissimuler cet état de fait. La teinture masquait les cheveux grisonnants, les faisant apparaître d’un roux flamboyant. Concernant le visage, les crèmes antirides et autres produits de beauté avaient eu pour effet de donner à sa peau un aspect plus juvénile. À la vue de tout cela, Jessica se dit qu’elle ne lui aurait donné qu’une quarantaine d’année, tout au plus.Cette première surprise passée, Aleksandra et Jessica observèrent la présence de trois autres jeunes femmes. L’une d’elles, d’origine asiatique, leur adressa un sourire radieux. Les deux autres, sœurs jumelles, se contentèrent de leur adresser un geste de la main en guise de salutations. 
— Bon, maintenant que vous êtes toutes là, il est temps de vous dire pourquoi j’ai décidé de vous convier. Vous m’avez toutes posé la même question, à savoir pourquoi vos frères et cousins respectifs ne se sont pas présentés au centre depuis le début des cours. La raison est toute simple.
Laetitia fixa d’abord la jeune asiatique puis poursuivit.
— Kim Chi, tu es ma fille. Quant à vous, Aleksandra et Jessica, vous êtes les petites-filles de Manon. Et vous deux, Joanna et Salomé, vous êtes les petites-filles de Rosalie. Etant donné vos liens de parenté avec les fondatrices de ce centre, j’ai décidé d’un programme spécial pour Kim Son, Fabien, Kamil, Alphonse et Maxence, qui sont, eux aussi, enfants et petits-enfants de fondatrices. Ils sont, pour le moment, exemptés de se présenter aux cours, mais ils auront leur utilité à un moment donné. Vous aurez plus d’informations, le moment venu.— Si je comprends bien, ils ne subissent pas ce qu’on a fait aux autres jusqu’à maintenant ?— Exactement, Jessica. Je perçois comme du soulagement dans cette question. Je me trompe ?— Non, Madame la directrice. — Appelle-moi seulement Laetitia.— Très bien, Laetitia. Pour répondre à votre question, oui, un peu. Je ne tiens pas à ce que cette expérience finisse par le détruire.— Je comprends ton inquiétude. C’est précisément pour cela que je les ai mis, lui et les autres, à l’écart de nos activités.— D’accord. Merci pour vos informations.— Avec plaisir. En ce qui me concerne, je vous ai dit ce que j’avais à dire. Est-ce que vous avez des questions ? Si ce n’est pas le cas, vous êtes libres de partir, mesdemoiselles.
Les cinq jeunes femmes prirent congé de la directrice puis firent route ensemble en discutant de leurs cursus respectifs.
— Vous en êtes où, dans les pratiques, Joanna ?— Pour l’instant, on n’a pas touché un seul soumis, Salomé et moi. Notre instructrice est à fond sur la théorie et elle veut qu’on la maîtrise toutes sur le bout des doigts. Donc, la pratique, ce ne sera pas pour tout de suite. Et toi, Jessica ?— Avec Aleksandra, on a eu plus de chance. Au début, on s’est amusées à trouver des surnoms bien méchants pour notre soumis et on a pu lui marcher dessus avec nos talons.— Trop de chance ! Et toi, Kim Chi, tu as déjà fait quelque chose depuis que tu es ici ?— Disons que, pour ma part, mon instructrice n’est pas du genre à blablater. Depuis le début des cours, avec les filles de ma classe, on a beaucoup enculé notre esclave. Ça fait du bien de se défouler mais j’aimerais ajouter d’autres cordes à mon arc.— Tu n’as pas eu l’occasion de demander à ta mère de t’enseigner un ou deux trucs ?— J’ai bien essayé mais elle est intransigeante sur ça : toutes les élèves sont logées à la même enseigne.
Le groupe finit peu à peu par se séparer puis Jessica reprit seule le chemin de son domicile, un sentiment étrange l’habitant. Une fois rentrée, elle dîna en compagnie de sa mère qui lui expliqua que son frère et son père étaient partis au stade pour voir un match de football. 
— Alors, cet entretien avec la directrice, ça s’est bien passé ?— Oui. Elle n’a fait que répondre à la question que je lui avais posée, c’est-à-dire pourquoi Fabien ne venait jamais au centre. Elle m’a expliqué qu’elle lui réservait un programme spécial et que j’en saurais plus le moment venu. J’ai aussi rencontré Aleksandra, les filles d’Axel, le cousin de papa, et Kim Chi, la fille de la directrice. On se posait toutes la même question.— Les grands esprits se rencontrent, on dirait. Satisfaite, sinon ?— Oui, mais, en sortant de l’entretien, j’ai eu un sentiment bizarre.— Bizarre ? Comment ça ?— Eh bien, je me suis demandé quelque chose et je voulais en parler avec toi.— Bien sûr, ma chérie. Je t’écoute.— Est-ce que tu crois que je devrai toujours être dominatrice avec les hommes ?— Bien sûr que non, ma chérie. Ce n’est pas parce que tu auras appris l’art de la domination que tu devras t’en servir systématiquement. Dis-toi que c’est juste un atout en plus pour toi.— D’accord. Merci, maman.— C’est normal, ma chérie. D’ailleurs, puisqu’on parle de ton frère, j’ai quelque chose à te montrer.
Linda posa son téléphone sur la table et ouvrit une application de messagerie. La mère de famille démarra la lecture d’une vidéo et Jessica fut surprise de constater qu’il s’agissait d’un message de la part de Fabien.
— Bonjour, maman. Voilà deux mois que je me suis inscrit au centre Laetitia Vaney, en croyant que cet endroit allait aider Jessica à être à même de se défendre contre les mauvaises personnes. Lors de la visite guidée, j’ai vu ce à quoi je m’engageais en m’inscrivant. Comme tu le sais, je n’étais pas très emballé par cette idée, au début. Mais, à la réflexion, je me suis dit que je pouvais endurer quelques souffrances si cela pouvait aider ma sœur. Je me suis donc inscrit mais, au début de l’année, j’ai reçu un message de la directrice me disant que je ne devais pas venir aux cours et qu’elle me réservait un programme spécial. Je ne sais pas ce qui m’attend mais je veux être prêt, le moment venu. Tu es la seule femme qui puisse m’aider à y arriver. C’est pourquoi je te vais te faire cette demande : traite-moi comme ton esclave, jusqu’à ce que je sache ce qui m’attend. Si tu soutiens ma démarche, je me ferai un plaisir et une obligation de te satisfaire.
La vidéo toucha à sa fin, laissant Jessica surprise.
— Ça fait beaucoup de révélations pour une seule journée… — Je comprends que cela puisse te surprendre mais les intentions de ton frère sont bonnes.— Tu lui as donc dit oui ?— Bien sûr !— Et papa est au courant de tout ça ?— Évidemment. Il nous a même aidé à mettre sur papier le cadre de notre relation. Ce papier est conservé précieusement dans son cabinet. J’attendais juste le bon moment pour te l’annoncer.— Ça fait longtemps que ça dure ?— Non, juste depuis le début de tes cours au centre.— Bon, et quel rapport avec moi ?— À ton avis ? Ce serait dommage de manquer une occasion de mettre en pratique ce que tu as appris jusqu’à maintenant.— Je ne veux pas faire de mal à Fabien.— Ne t’en fais pas pour ça, ma chérie. Tu l’as entendu : il est prêt à endurer quelques souffrances. Mais, si tu veux, tu pourrais nous observer discrètement une première fois, pour te faire une idée, puis on en rediscute. Il va faire plutôt chaud, ces prochains jours. Je pourrais m’amuser avec ton frère dans le jardin pendant que tu nous regardes par la fenêtre de ta chambre. Qu’est-ce que tu en dis ?— On peut faire comme ça, oui.— Très bien. Je t’informerai par message, en temps voulu.
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