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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 8

Jessica soumet son frère

Inceste
En ce samedi matin plutôt ensoleillé pour la saison, Jessica se leva aux environs de huit heures. Une fois habillée, la jeune femme descendit dans la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. Une fois de plus, elle y trouva Linda en train de boire son café.
— Bonjour, maman.— Bonjour, ma chérie. Bien dormi ?— Oui. Et toi ?— Très bien, aussi. — Au fait, maman, il y a quelque chose que je voulais te dire hier. C’est à propos de mes cours au centre.— D’accord. Qu’est-ce que c’est ?— À la fin du cours, Séverine, notre instructrice, nous a dit, à Aleksandra et moi, qu’elle était disposée à nous accorder des cours particuliers. La directrice a déjà donné son accord. — C’est super, ça, Jessica ! Avec ça, tu seras bien préparée pour ton examen.— Oui, c’est bien mais…— Mais ?— Je me dis qu’entre mes études et les cours particuliers de Séverine, le fait de m’occuper de Fabien en plus serait peut-être de trop.— Pour l’instant, à ce que je sache, tu n’as pas encore d’horaire précis pour tes cours particuliers et, en ce qui concerne tes études, tu me semblais plutôt être à jour. Et pour ce qui est de ton frère, n’oublie pas que je serai aussi là pour lui. Ne t’en fais donc pas pour tout ça.— Oui, tu as raison. Je suis un peu chamboulée avec tout ce qu’il s’est passé dernièrement. Je n’ai plus vraiment les idées en place, parfois.
Jessica finit sa collation et annonça à sa mère qu’elle sortait prendre l’air. Elle marcha sans but pendant près d’une heure, ses pensées se dispersant entre les prochaines leçons particulières de Séverine et les conversations qu’elle avait eues avec sa mère concernant son frère. Lassée de ses errances, la jeune femme s’arrêta dans un café des environs et y commanda de quoi boire. Tout en savourant sa boisson, elle se perdit à nouveau dans ses pensées. Alors qu’elle songeait à nouveau à l’échange qu’elle avait entretenu avec Linda peu de temps auparavant, elle fut ramenée à la réalité par une sonnerie de son portable. Jessica le sortit machinalement de son sac. 

[SMS, Maman]<Ton frère vient de se lever. Je vais le préparer pour notre séance. Dis-moi si tu te sens de participer ou si tu préfères te laisser encore un peu de temps.
À la vue de ce message, l’esprit de Jessica se focalisa à nouveau sur le moment présent. La jeune femme s’empressa de répondre au message de Linda.
[SMS, Maman]<Ton frère vient de se lever. Je vais le préparer pour notre séance. Dis-moi si tu te sens de participer ou si tu préfères te laisser encore un peu de temps.>Je suis prête. J’arrive.

Jessica régla l’addition et quitta le café d’un pas pressé, mue par l’impatience et l’excitation. Elle regagna son domicile en un quart d’heure de marche. Dès qu’elle eut franchi le seuil de la porte, elle fut accueillie par sa mère, déjà entièrement nue. 
— Notre séance se déroulera dans le garage. Va te mettre à l’aise dans ta chambre et prends ton engin avec toi. Nous descendrons ensuite rejoindre ton frère. Fais-toi aussi discrète que possible.— D’accord.
Jessica monta dans sa chambre et s’y dévêtit intégralement avant de retrouver Linda, un étage plus bas, son gode-ceinture à la main. Les deux femmes descendirent les escaliers menant au garage. Le spectacle auquel elle assista fit comprendre à Jessica la raison pour laquelle sa mère lui avait recommandé de faire preuve de discrétion. Agenouillé, nu, à l’endroit habituellement occupé par la voiture familiale, utilisée par leur père pour ses déplacements professionnels, Fabien lui faisait face. Aveuglé par un bandeau placé sur ses yeux, ce dernier ne pouvait la voir. En constatant la dureté de la verge de son frère, Jessica en déduisit qu’il trouvait une certaine excitation à la situation.
— Aujourd’hui, mon petit, tu vas avoir droit à une surprise. Je ne serai pas seule pour te donner ce que tu mérites. Je serai assistée par une personne auprès de laquelle j’ai vanté tes mérites. Je compte sur toi pour ne pas la décevoir.— Oui, Maîtresse Linda.
Linda et Jessica se placèrent de part et d’autre de Fabien puis la mère de famille lui fit tourner la tête en direction de sa mystérieuse surprise.
— Commence par faire du bien à ma surprise, mon petit.— Oui, Maîtresse Linda.
Dès les premiers coups de langue de son frère sur son intimité, Jessica se dit que celui-ci avait déjà acquis une bonne expérience en la matière. Submergée par le plaisir et l’excitation que lui procurait la situation, la jeune femme voulut l’extérioriser mais les instructions de Linda la forcèrent à se mordre la lèvre pour réprimer les gémissements qu’elle aurait voulu laisser sortir. Après quelques instants, elle fut délivrée de la langue habile de Fabien qui s’appliqua à réserver le même traitement à sa mère. À la vue du calice maternel habilement caressé et à l’écoute des feulements de Linda, Jessica fit doucement jouer sur son sexe en prenant garde de ne pas trop agacer son clitoris afin de conserver la discrétion qui lui avait été demandée.
Linda finit par mettre fin au cunnilingus de son fils. En se positionnant à quatre pattes, elle le somma d’adopter la même posture en se plaçant derrière elle. Fabien obtempéra et Jessica vit sa mère lui adresser un signe dont elle comprit tout de suite la signification. Tandis que son frère s’appliquait déjà à faire jouer sa langue sur le petit trou de Linda, la jeune femme s’équipa de son gode-ceinture. Dès qu’elle eut vérifié que les sangles fussent suffisamment serrées, elle s’agenouilla derrière Fabien et commença la pénétration. Les premiers centimètres arrachèrent un grognement de douleur à son cadet puis les précédents passages de Linda finirent par porter leurs fruits, lui permettant de s’enfoncer entièrement en lui. Crispant ses mains sur les hanches de Fabien, Jessica le sodomisa en effectuant de rapides mouvements de va-et-vient, sous les gémissements à la fois d’encouragement et de satisfaction de leur mère.
Tout en agrémentant ses coups de reins par des fessées appuyées, Jessica se retira, épuisée, après une chevauchée d’une dizaine de minutes. S’harnachant à son tour de son gode-ceinture, Linda fit signe à sa fille qu’elles allaient échanger leurs positions. La jeune femme lui répondit par un sourire et, comme l’avait fait sa mère avant elle, se positionna devant son frère afin de profiter de ses léchouilles sur son postérieur. Pendant plusieurs minutes, Jessica put savourer le contact de la langue de Fabien sur sa rosette et le bruit des cuisses de Linda butant puissamment contre les globes jumeaux de ce dernier.
Fatiguée, elle aussi, par ses allées et venues, la mère de famille se retira et fit allonger Fabien sur le dos. Ôtant son sexe factice, Linda adressa un nouveau signe à Jessica. La jeune femme en saisit à nouveau le sens. S’agenouillant aux côtés de son frère, elle se saisit de sa verge et initia une masturbation. D’abord lent, le mouvement de sa main finit par s’accélérer, jusqu’à atteindre sa vitesse de croisière. Apparemment excité par ce qu’il se passait, Fabien ne mit pas longtemps à se répandre sur son propre ventre.
— Voilà, mon petit. Punition terminée pour aujourd’hui. Prêt à découvrir ta surprise ?— Oui, Maîtresse Linda.
Le repositionnant à genoux, Linda lui retira son bandeau. Dans un premier temps, Jessica put lire l’incrédulité sur le visage de son cadet puis, dans un second temps, elle remarqua que sa verge semblait connaître un début d’érection.
— Surpris, mon petit ?— Je dois vous avouer que oui, Maîtresse Linda.— Parfait. C’était le but recherché et, pour revenir à ce qu’il vient de se passer, d’après ce que j’ai pu voir, tu as bien plu à ma surprise. Et toi, mon petit, prêt à obéir à ta sœur ?— Oui, Maîtresse Linda.— Dans ce cas, je te laisse prononcer ton serment d’allégeance.
Fabien s’avança à quatre pattes en direction de Jessica.
— Mon corps et mon âme sont désormais vôtres. Je suis à vos ordres, Maîtresse Jessica.
Le jeune homme ponctua sa phrase en déposant un baiser sur chacun de ses pieds.
— Très bien. Maintenant que serment a été prêté, tu pourras te rendre au cabinet de ton père afin de prendre connaissance du contrat qui régit les droits dont tu disposes en ta qualité de maîtresse. Je l’informerai de ce qu’il s’est passé dès qu’il rentrera.— D’accord, maman.
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