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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 11

Repas en famille

Inceste
À son réveil, Jessica s’habilla. En raison de l’heure matinale, la jeune femme était encore la seule à être éveillée dans la maison. Ne se sentant pas l’envie de se préparer un petit-déjeuner, elle décida d’en acheter un sur le chemin du cabinet de son père. Afin de ne pas interrompre le sommeil de Linda et Fabien, Jessica ouvrit et referma la porte de la maison aussi précautionneusement que possible et quitta la propriété.  À mi-parcours, elle tomba sur une boulangerie. La jeune femme y acheta un croissant et un café qu’elle dégusta tout en reprenant sa route. Au bout de quelques minutes de marche, Jessica arriva à destination. Elle grimpa les quelques marches qui menaient au cabinet puis, se conformant aux instructions gravées sur la plaque à proximité de la porte, sonna et entra. Comme elle s’y attendait, la réception était encore vide. Seule une lumière provenant du bureau de Sébastien indiquait une présence au sein du cabinet. Jessica se dirigea en direction de la pièce et toqua deux fois afin de signaler sa présence. L’avocat parut surpris de la voir.  — Bonjour, ma petite coquine ! Je ne pensais pas te voir aussi tôt dans la journée.— Il faut que je te raconte quelques petites choses. Je me suis dit que ce serait plus facile si je venais tôt.— Tu as bien fait. J’ai effectivement une audience importante dans quelques heures et je dois peaufiner ma plaidoirie.— Je ne compte pas te déranger longtemps, papa. Pour commencer, hier soir, j’ai eu mon cours particulier chez Séverine, mon instructrice. — Ah oui ? Comment ça s’est passé ?— Très bien. Aleksandra était aussi conviée et j’ai demandé à maman de m’accompagner pour qu’elle se faire une idée de l’enseignement de Séverine. — J’imagine qu’elle a dû apprécier.— Oui. Nous avons dîné toutes les quatre. Les deux soumis de mon instructrice, Ted et Will, ont assuré le service et maman a pu punir l’un d’eux.— Eh bien, je devrai faire attention à ne pas l’énerver, dans ce cas.
Sébastien et Jessica rirent tous deux de cette boutade puis la jeune femme reprit son récit.
— Il y a aussi un petit détail que tu dois connaître par rapport à cette soirée : chez Séverine, tout le monde se balade nu dans la maison. Maman a tellement adoré le concept qu’elle souhaite l’appliquer chez nous. C’est aussi pour ça que je suis venue te voir. — D’un côté, la perspective de voir les deux femmes les plus importantes de ma vie en tenue d’Eve me séduit. Surtout au vu de leur incroyable beauté. Cependant, la situation risque de devenir un peu gênante si mon corps trahit l’attrait et le désir que je peux ressentir à votre égard.— Ne t’en fais pas pour ça. Si cela devait arriver, je suis sûre que maman se ferait un plaisir d’y répondre favorablement. Et puis, si, par hasard, elle devait ne pas être là pour le faire, n’oublie pas que je suis là, moi aussi.
L’avocat eut un sourire amusé en entendant les derniers mots de Jessica.  — Je suppose que, ça aussi, ça fait partie des quelques petites choses que tu voulais me raconter.— J’ai beaucoup aimé ce que nous avons fait lors de ma dernière visite mais mon but était de te convaincre d’adhérer au projet du naturisme à la maison. Je pensais simplement avoir à parler mais, si je peux te donner un argument supplémentaire, je n’y vois pas d’objection.
La jeune femme verrouilla la porte du bureau et se dénuda lentement en fixant son père d’un air sensuel. Dès qu’elle se fut retrouvée entièrement nue, Jessica s’avança vers Sébastien qui commenta avec une satisfaction non dissimulée le corps qui s’offrait à ses yeux.
— C’est un magnifique aperçu que je vois là.  Sans répondre, Jessica s’assit sur le bureau et laissa les mains de l’avocat se balader sur ses cuisses pour remonter le long de ses hanches, jusqu’à parvenir à sa poitrine qu’elles malaxèrent plaisamment. Sébastien desserra son étreinte pour embrasser le sein de sa fille dont le durcissement du téton dénotait une appréciation favorable à ce contact. L’avocat finit par abandonner le sein de la jeune femme pour déposer des baisers fougueux sur son ventre jusqu’à entrer en contact avec son intimité. Jessica sentit la langue de son père jouer avec ses lèvres et titiller habilement son clitoris. Cette sensation lui arracha des gémissements de délectation qui encouragèrent Sébastien à poursuivre. Au bout de quelques minutes, l’avocat cessa son cunnilingus puis défit la ceinture de son pantalon. Jessica l’aida à s’en débarrasser puis baissa son boxer jusqu’à ses genoux, découvrant sa verge rigidifiée d’excitation. À cette vue, la jeune femme lui adressa un sourire ravi puis le masturba d’un mouvement lent mais puissant du puissant du poignet avant de lui prodiguer une fellation en faisant lentement coulisser ses lèvres le long de sa hampe.  — Oh, ma petite coquine… Tu fais ça bien !
En réponse à ce commentaire, Jessica accéléra le mouvement de ses lèvres sur le sexe de Sébastien tout en lui massant les bourses. La jeune femme poursuivit sur ce rythme jusqu’à ce que son père repoussât son visage.  — Je vais reformuler ce que j’ai tout à l’heure : tu fais ça trop bien, ma petite coquine. J’ai failli jouir trop tôt. À ton tour de voir ce que je sais faire avec mon engin.
L’avocat souleva la jeune femme et la déposa sur le bureau, les fesses de cette dernière sur le bord. Sébastien fit ensuite allonger sa fille puis frotta son gland violacé contre l’intimité de Jessica. Alors qu’il allait s’enfoncer en elle, Sébastien fut interrompu dans son geste par la jeune femme.
— Tu as déjà eu droit à ma chatte, la dernière fois. J’ai un autre trou qui attend ta visite, papa.— Tu… Tu en es sûre, ma chérie ?— Oui, papa. Je veux être entièrement dépucelée par tes soins.— Très bien. Dans ce cas…
L’avocat titilla la rondelle de Jessica pour en tester la souplesse. Trouvant la cavité un peu rigide, Sébastien enduisit un doigt de salive et en badigeonna le petit trou de la jeune femme. Souhaitant vérifier l’utilité de cette précaution, il y enfonça lentement sa verge, guettant une réaction de la part de sa fille. Lorsqu’il eut fait pénétrer la moitié de sa hampe en elle, Jessica afficha un rictus de douleur. Sébastien se retira et décida de recouvrir son sexe de salive, en plus de l’anus de la jeune femme. Fort de ce lubrifiant improvisé, l’avocat s’enfonça à nouveau dans le sombre conduit de Jessica. Cette fois, il put faire pénétrer l’entier de sa verge sans que la jeune femme n’exprimât la moindre douleur.
Sébastien entama quelques lents va-et-vient afin de voir comment Jessica allait supporter ce rapport anal. Elle lui adressa un sourire ravi qui l’encouragea à augmenter la cadence de ses mouvements. Crispant ses mains sur le bassin de sa fille, l’avocat sodomisa celle-ci aussi fort qu’il le pouvait. Les feulements de Jessica le convinrent que la douleur avait fait place au plaisir et il continua ses allées et venues en elle jusqu’à sentir son sexe palpiter et éjaculer dans le corps de la jeune femme.  Après s’être retiré, l’avocat se rhabilla et remit un de l’ordre dans les documents qui traînaient sur le bureau. Jessica en fit autant.  — Alors, ma chérie, ça a été, cette première sodomie ?— Oui, papa. Tu as été un parfait initiateur. J’ai eu un peu mal au début mais, après, ça m’a plu.— Ravi de l’entendre, ma petite coquine. Je me serais encore bien amusé avec toi mais je dois absolument me concentrer sur ma plaidoirie, d’autant qu’il s’agit d’une audience importante pour ce cabinet.— Je comprends, papa. Je vais rentrer et dire à maman que tu es d’accord d’appliquer notre idée. À ce soir !— À ce soir, ma petite coquine.
Jessica quitta le cabinet et se dirigea vers son domicile. Souhaitant dissimuler les traces de son rapport avec Sébastien, la jeune femme s’empressa de prendre une douche, une fois arrivée chez elle. Après s’être changée, elle retrouva sa mère dans le salon.  — Bonjour, maman !— Bonjour, ma chérie ! Tu es partie très tôt, ce matin.— Oui, je me suis dit que ce serait mieux de me laisser un maximum de temps pour discuter avec papa de notre projet.— Tu es allée voir ton père ? Qu’est-ce qu’il a dit ?— Je lui ai raconté ce qu’il s’est passé chez Séverine et expliqué notre envie de vivre de la même manière. Il a trouvé l’idée intéressante. Il est même séduit à l’idée de te voir nue, au vu de, je cite, ton incroyable beauté.— Il ne cessera jamais de me flatter… Dans ce cas, je suppose que je dois prendre cela pour un oui.— Oui. Au fait, où est Fabien ?— Je savais que tu réussirais à convaincre ton père. J’ai donc déjà préparé un peu le terrain. J’ai demandé à ton frère de rester dans sa chambre jusqu’à ce soir. Tu verras : il sera transformé. En attendant, je propose que nous appliquions d’ores et déjà notre nouveau mode de vie.— Excellente idée, maman.
Les deux femmes se débarrassèrent de leurs vêtements et passèrent l’après-midi à vaquer à leurs occupations. Vers dix-neuf heures, Linda alla préparer le dîner. Environ une demi-heure plus tard, Sébastien franchit le pas de la porte. Jessica et Linda s’empressèrent d’aller l’accueillir.  — Bonsoir, mon chéri. Comment s’est passée ta journée ?— Excellente. D’ailleurs, ça continue. Vous êtes belles, toutes les deux, dans cette tenue. Ou plutôt sans tenue.— Merci pour le compliment, papa. Toi aussi, tu seras parfait sans rien.— C’est ce que nous verrons. Je vais prendre une douche et je vous rejoins pour le dîner.
Le père de famille se dirigea vers la salle de bain tandis que les deux femmes prenaient place autour de la table. Jessica y remarqua la présence d’une clochette dorée, à l’endroit où Linda s’était assise. Intriguée, elle songea durant un court instant à interroger sa mère, mais, se souvenant de la conversation qu’elles avaient eue toutes les deux un peu plus tôt dans la journée, la jeune femme se ravisa, pensant que la clochette avait un lien avec Fabien.
Sébastien finit par rejoindre Jessica et Linda. À la vue de sa verge érigée, les deux femmes sourirent. En balayant la salle à manger du regard, le père de famille constata l’absence de son fils.
— Où est Fabien ?— Elle est là, je vais l’appeler.— Elle ?
Sans répondre à la question de son mari, Linda fit tinter la clochette. Fabien sortit de la cuisine et apparut aux regards médusés de Sébastien et Jessica. Méconnaissable, le jeune homme portait une perruque blonde et avait les yeux maquillés au mascara. Du gloss avait été passé sur ses lèvres. Etant donné sa nudité, Jessica et Sébastien remarquèrent que la verge de leur fils et frère était enfermée dans une cage de chasteté.
— Pour ce soir, Fabien s’en va pour faire place à Floriane. Je me suis dit que ce serait plus sympa d’avoir une serveuse pour ce soir. Evidemment, afin de ne pas avoir à assurer notre service l’estomac vide, elle a déjà mangé sa part du dîner peu avant nous. Floriane, sers-nous l’entrée et les boissons. — Bien, Maîtresse Linda.
Floriane disparut à nouveau dans la cuisine et en revint avec trois assiettes de salade qu’elle déposa devant chaque convive. Elle remplit deux verres de vin pour Sébastien et Linda et un verre d’eau pour Jessica avant de se retirer. Encore sous le choc de ce qu’ils venaient de voir, père et fille mangèrent leur entrée sans articuler le moindre mot. Lorsqu’ils eurent tous trois fini leur assiette, Linda fit à nouveau sonner la clochette. Floriane débarrassa les assiettes et, sur ordre de sa mère, revint les bras chargés de plats. Elle eut toutes les peines du monde à les déposer devant chaque personne sans que la sauce ne débordât.  Sébastien et Jessica étant désormais plus détendus, la conversation commença à s’animer autour de la table.  — Comment as-tu eu l’idée de transformer Fabien de la sorte, ma chérie ?— Je me suis inspirée de Séverine, l’instructrice de Jessica. J’y ai toutefois ajouté ma touche personnelle.— On peut dire que c’est réussi. Je ne m’attendais pas à ça. — Moi non plus, maman. — Cela devait être une surprise pour vous deux. J’ai bien réussi mon coup, on dirait.— Oui. J’avoue que j’ai été un peu choquée au début mais, maintenant, je commence à m’y faire.— Et toi, mon chéri ? Si tu penses que je suis allée trop loin, n’hésite pas à me le dire. Je veux que cette soirée soit parfaite pour nous tous.— Comme Jessica, j’ai été choqué mais, après tout, Fabien ou, maintenant, Floriane, a décidé de son plein gré d’être ton esclave puis celui de Jessica donc, je vais m’habituer à ce que vous lui réserverez.
Sur ces mots, les trois convives finirent le plat principal puis Linda appela à nouveau Floriane au moyen de la clochette. La mère de famille lui commanda les desserts puis Floriane repartit d’où elle était venue en emportant les plats et les couverts. Elle déposa les coupes de glace et les cuillères devant chaque membre de la famille. Alors qu’elle s’apprêtait à quitter la pièce, Linda lui demanda de rester. Floriane obtempéra et demeura debout, sans bouger, dans l’attente de nouvelles instructions. Jessica et ses parents finirent tranquillement leur dessert et les discussions s’animèrent à nouveau.
— Tu m’as dit que tu avais un procès très important aujourd’hui, mon chéri. Comment ça s’est passé ?— Très bien. J’ai obtenu l’acquittement de mon client, ce qui n’était pas gagné. L’accusation a martelé un scénario, erroné certes, mais bien ficelé. Il m’a fallu ramer pour le démonter point par point. Cependant, le résultat est là : mon client est acquitté et il m’a exprimé sa gratitude en me qualifiant de meilleur avocat au monde.— Bravo, mon chéri ! Une telle victoire mérite une récompense. Floriane, ton père est venu à bout d’une journée particulièrement rude. Je te laisse le soin de te mettre à sa disposition pour le détendre. — Comme Vous voudrez, Maîtresse Linda.— Tu en es sûre, ma chérie ?— Oui. Floriane a montré de très bonnes qualités avec Jessica et moi mais je veux voir ce qu’elle vaut en face d’un homme.— Très bien. Dans ce cas…
Sébastien recula sa chaise afin de laisser de l’espace à Floriane. Cette dernière s’agenouilla aux pieds de son père et entreprit de lui faire une fellation. D’abord maladroit, le coulissement des lèvres de Floriane sur la verge de Sébastien se fit plus assuré et le père de famille se laissa aller à l’encourager dans ses œuvres. Appréciant le spectacle, Linda et Jessica se caressèrent doucement, une main jouant avec leur intimité, l’autre avec leurs poitrines. Sébastien laissa Floriane le sucer pendant quelques instants avant de retirer son sexe de sa bouche. Le père de famille l’invita à se coucher à plat ventre sur ses genoux. Floriane n’eut d’autre choix que d’obtempérer. Les fesses exposées aux mains de son père et sa verge encagée pendouillant entre les jambes de celui-ci, elle se retint à grand-peine de verser des larmes devant l’humiliation que représentait cette situation à ses yeux.  Floriane sentit les mains de Sébastien se balader sur son dos puis sur ses fesses. Les mains du père de famille s’y firent plus insistantes, en jouant avec et en les pétrissant. L’instant qu’elle redoutait le plus finit inéluctablement par arriver. Sébastien administra une première claque sur son postérieur. Les rires de Linda et Jessica la blessèrent et elle se retint, courageusement à nouveau, de laisser les larmes couler le long de ses joues. Après avoir donné plusieurs claques sur les fesses de Floriane, Sébastien joua avec sa rondelle et fit mine d’y insérer un doigt pour en tester la souplesse.  — Je constate que son petit trou est plutôt souple. Très intéressant.  Sébastien indiqua à Floriane de se positionner à quatre pattes sur le sol puis, lorsque la posture exigée fut adoptée par cette dernière, le père de famille s’agenouilla derrière elle et enfonça sa verge dans son fondement. Agréablement surpris par la facilité de la pénétration, Sébastien entama une série de puissants va-et-vient, crispant ses mains sur les hanches de Floriane. Excitées par ce spectacle, Linda et Jessica se caressèrent frénétiquement, leurs mains se baladant ardemment sur leurs sexes et leurs seins.  Dopé par les gémissements des deux femmes, Sébastien sodomisa Floriane de toutes ses forces jusqu’à répandre sa semence en elle dans un râle de délectation. Tout en reprenant son souffle, le père de famille finit par se retirer.  — Ben dis donc… Floriane a de grandes qualités en tant que soumise. Tu as vraiment fait du bon travail avec elle, ma chérie. — Merci, mon cœur, mais n’oublie pas que Jessica y a aussi contribué. — C’est vrai. Bravo à toi aussi, Jessica.— Merci, papa.— Au fait, je pense même que le travail a été trop bien fait. J’ai donné tout ce que j’avais et, pourtant, Floriane ne semble pas être complètement rassasiée.
Linda et Jessica se regardèrent durant quelques instants. Sans se parler, elles comprirent qu’elles en étaient arrivées à la même conclusion.
— Tu as raison, mon chéri.
Mère et fille se retirèrent temporairement de la salle à manger pour gagner l’étage. Les deux femmes refirent leur apparition quelques minutes plus tard, portant chacune un gode-ceinture. Sébastien apprécia intérieurement les dimensions des sexes factices. Linda ordonna à Floriane de poser ses mains contre le mur le plus proche d’elle et de se cambrer un maximum. Floriane obéit puis la mère de la famille la pénétra d’une puissante poussée. Agrémentées de claques sur les fesses de Floriane, les allées et venues de Linda se firent immédiatement aussi rapides que violentes. À ce rythme, les coups de reins durèrent plusieurs minutes avant que Linda ne se retirât, épuisée.  Souhaitant prendre Floriane de face, Jessica demanda l’assistance de Sébastien pour la poser sur la table. Lorsque Floriane eut été positionnée selon ses préférences, Jessica lui demanda de lever ses jambes aussi que possible. À l’instar de sa mère, la jeune femme s’enfonça avec force dans le petit trou de Floriane. Lui tenant les jambes à l’aide de ses bras, Jessica la sodomisa en donnant autant de puissance qu’elle le pouvait à ses mouvements de reins.  À quelques mètres d’elle, la jeune femme vit Linda tenter de redonner de la vigueur à la verge de Sébastien en lui prodiguant une fellation. Se concentrant sur ce qu’elle était en train de faire, Jessica monta d’un cran dans la force de ses va-et-vient et parvint à tenir cette cadence pendant près de dix minutes.  Entretemps, Sébastien avait retrouvé sa rigidité et Linda et lui se retirèrent dans la chambre conjugale. Après avoir repris son souffle, Jessica regagna également sa chambre, laissant le soin à Floriane de débarrasser les vestiges de leur repas.
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