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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 12

Arrangement entre père et fille

Inceste
Au terme d’une bonne nuit de sommeil, Jessica se leva aux environs de dix heures. Affamée, la jeune femme descendit vers la salle à manger pour prendre son petit-déjeuner. En y constatant la présence de Sébastien, occupé à savourer sa tasse de café, elle afficha une mine surprise qui amusa son père.  — Bonjour, papa ! Je ne m’attendais pas à te voir ici.— Bonjour, ma petite coquine ! Au vu de ce qu’il s’est passé ces derniers temps, j’ai décidé de m’accorder un congé.— C’est bien. Comme ça, tu auras plus de temps à passer avec nous. D’ailleurs, où sont maman et Fabien ?— Ils sont partis faire quelques courses. Ça nous laissera un peu de temps pour discuter.— Discuter ? À quel sujet ?— De ce qu’il s’est passé hier soir, notamment.— Tu trouves que c’est allé trop loin ?— Non, pas du tout. Tout le monde a eu l’air de trouver son compte. Et puis, j’aimerais aussi te parler de nos aventures à mon cabinet.— Tu regrettes ?— Non, mais finis d’abord ton petit-déjeuner. Je t’en parlerai plus en détail après.
Jessica hocha la tête puis s’empressa de manger sa tartine. Dès qu’elle eut également bu sa tasse de lait, la jeune femme rangea les couverts dans le lave-vaisselle puis retrouva Sébastien dans la salle à manger.
— Alors, papa ? Qu’est-ce que tu as à me dire par rapport à ce qu’il s’est passé entre nous ?— Tout d’abord, j’ai beaucoup repensé à tes visites. J’y pense encore, pour être honnête. Tu m’as fait penser à ta mère et moi, lorsque nous avions ton âge. En y réfléchissant, je suis parvenu à la conclusion que, depuis quelque temps, tu es devenue un peu comme ma seconde épouse. Officieusement, bien sûr. — Et ça te dérange ? Lors de ma première visite, je t’ai dit que je voulais avoir un homme qui puisse me donner du plaisir autrement qu’en m’étant soumis. Et nos rapports m’ont apporté ça. Donc, si tu te sens dérangé, ne le sois pas parce que, pour moi, ça a été un pur bonheur de faire ces expériences avec toi.— Je ne me sens pas dérangé du tout. Enfin, si, un petit peu par rapport à ta mère mais, quitte à la tromper, autant que ce soit avec toi. Merci à toi de m’avoir communiqué ce que tu ressens par rapport à nos expériences. Cela me conforte dans l’idée de te parler de ce qui va suivre.— Je t’écoute.— Pour en revenir à hier soir, je dois dire que j’ai été très impressionné par ta maîtrise du gode-ceinture. Visiblement, cette Séverine dont tu m’as parlé doit être une excellente instructrice. Mais laissons cela. Ce que je souhaite te raconter concerne ta mère et moi. Dès le début de notre relation, nous avons toujours considéré l’égalité comme une base solide. Y compris sur le plan sexuel. — C’est-à-dire ?— Eh bien, cela concernait surtout la sodomie. Pour faire simple, si je prenais son cul, elle prenait le mien tout de suite après. — C’était un arrangement plutôt sympa.— Merci. Au vu de ce qu’il s’est passé entre nous et de ce que j’ai vu de toi hier soir, ma question est la suivante : est-ce que ça te plairait que nous appliquions le même principe à notre relation ?
— J’en serais ravie, papa !— Très bien. Dans ce cas, je t’attends dans ma chambre.— Quoi ? Tu veux faire ça, ici, tout de suite ?— Pourquoi pas ? Nous avons du temps devant nous. Et puis, tu m’as offert ton cul lors de ta dernière visite. À mon tour de t’offrir le mien, histoire de remettre les compteurs à zéro.— Euh… D’accord.
Sébastien et Jessica remontèrent en direction de leurs chambres respectives. La jeune femme s’équipa de sa verge factice puis rejoignit son père dans la chambre parentale. Assis sur son lit, ce dernier affichait une érection nette et elle en déduisit que la situation lui plaisait.  — Vu de près, ton engin est encore plus impressionnant, ma petite coquine. — Tu es sûr de vouloir y goûter tout de suite ? — À cent pour cent. Pas besoin de préliminaires avec moi. Tu n’es pas la première à me prendre. Vas-y à fond.
En voyant son père se positionner à quatre pattes sur le lit, le visage tourné en direction des coussins, Jessica comprit qu’il souhaitait qu’elle le prît en levrette. La jeune femme s’agenouilla derrière Sébastien et, se conformant à ses indications, s’enfonça en lui d’une puissante poussée. Prenant appui sur les hanches de son géniteur, elle initia une série de va-et-vient dans lesquels elle tâcha de mettre autant de force qu’elle le pouvait. Semblant ravi de retrouver la sensation d’être pénétré, Sébastien émit plusieurs grognements de satisfaction afin d’encourager sa fille à poursuivre.  Comprenant que la pratique qu’ils étaient en train d’appliquer procurait du plaisir à son père, Jessica redoubla d’efforts pour maintenir une vitesse et une puissance élevées dans ses coups de rein. Après quelques minutes dans cette posture, Sébastien fit signe à la jeune femme de se retirer afin qu’ils pussent en changer. Le père de famille s’allongea sur le dos en levant ses jambes aussi haut que possible. Jessica fit à nouveau entrer son sexe factice dans le petit trou de Sébastien puis, entourant les jambes de celui-ci afin de gagner en stabilité, recommença à le pilonner de toutes ses forces.  Les allées et venues de sa fille en lui plurent rapidement à Sébastien qui profita du confort offert par sa posture pour se caresser au rythme des coups de rein de Jessica. Au bout de quelques minutes, la jeune femme se retira, épuisée.  — Je n’aurais jamais pensé que tu puisses être aussi endurant, papa. Je suis complètement crevée et j’ai l’impression de ne pas t’avoir rassasié. — C’est vrai que j’en veux encore. Ton engin fait tellement de bien qu’on ne s’en lasse pas. Tu as beaucoup donné, ma petite coquine. Allonge-toi : c’est à moi de bouger un petit peu.
Jessica se coucha sur le dos tandis que Sébastien se saisissait de son sextoy dans le but de s’y empaler. Le père de famille fit lentement entrer la verge factice dans son conduit puis, tout en réalisant un mouvement d’ascenseur, entreprit de se masturber. La jeune femme le tint par les hanches afin de lui faire conserver une certaine stabilité. Sébastien ne mit quelques instants à sentir qu’il allait jouir. Après avoir fait sortir le sextoy de son arrière-train, il finit par éjaculer abondamment sur le ventre et la poitrine de sa fille.  Tandis que son père nettoyait son gland à l’aide d’un mouchoir, la jeune femme en profita pour prendre une douche sommaire et laver son gode-ceinture. Après s’être essuyée et avoir rangé son sextoy, Jessica entendit la porte de la maison s’ouvrir.
— Hello ! Nous sommes rentrés.— Bonjour, ma chérie. Vous avez fait plutôt long avec vos courses.— Bonjour, maman. Bonjour, frérot.— Bonjour, Jessica. Oui, en effet, nous avons mis plus de temps que prévu. Figure-toi que nous avons rencontré tes sœurs au supermarché, mon chéri.— Ah bon ? Et qu’est-ce que vous vous êtes dit ?— Nous avons essentiellement discuté des cours de Jessica et Aleksandra au centre. Alice et Justine nous ont dit qu’Aleksandra souhaite s’entraîner sérieusement pour l’examen mais que les soumis qu’elle a bookés au centre ne lui apportent pas beaucoup de satisfaction et, qu’en raison de ce fameux programme spécial, elle préfère ne pas toucher à Kamil. Nous sommes ensuite allés prendre un café chez elles. Elles nous ont demandé des nouvelles de Jessica. Nous leur avons dit que Jessica ne manquait de rien pour s’entraîner et j’ai estimé qu’il était judicieux de leur parler de notre nouveau mode de vie. — C’est-à-dire ? Le naturisme ?— Exactement. Je leur ai expliqué que, depuis le cours particulier de Séverine auquel j’ai assisté, j’ai pensé que vivre dans le plus simple appareil était un concept intéressant.— Et qu’est-ce qu’elles ont dit ?— Elles se sont montrées très intéressées par l’idée.— Tu les as donc invitées à venir ici ?— Pas tout à fait. Alice et Justine m’ont dit qu’elles en discuteraient avec Aleksandra et qu’elles nous contacteraient pour nous dire ce qu’elles comptent faire. — Très bien. Connaissant Aleksandra, elle ne voudra pas rater une occasion de voir sa cousine. De mon côté, je me dis que ça fait un bon moment que je n’ai plus eu de contact avec mes chères grandes sœurs.
Sur ces dernières paroles, Linda rangea les commissions puis commença à préparer le repas tandis que ses enfants et son époux vaquaient à leurs occupations.
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