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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 13

Nouvelle maîtresse pour Fabien

Inceste
Pendant les quelques jours qui suivirent, Jessica décida de se concentrer sur ses études, estimant que les évènements récemment intervenus dans sa vie lui avaient fait prendre du retard à ce niveau. Chaque matin, elle se levait de bonne heure et passait près de deux heures à réviser ses leçons. La jeune femme rentrait à la maison pour le dîner puis repartait à la bibliothèque pour étudier.En ce samedi midi de novembre, alors qu’elle rentrait dîner après sa séance de révisions, Jessica fut enjointe par Linda de la rejoindre dans le salon. La jeune femme se dévêtit puis retrouva ses parents et son frère.  — Maintenant que tout le monde est là, je vais pouvoir vous annoncer une nouvelle. Alice m’a écrit ce matin. Je vous laisse regarder son message.
[SMS, Alice]<Bonjour Linda, j’espère que tout le monde va bien. Justine et moi avons discuté avec Aleksandra de ce que tu nous as raconté lors de notre dernière rencontre. Nous serions toutes les trois enchantées de passer vous voir. Dis-nous quand ça pourrait jouer pour vous quatre. Bisous et à bientôt.
— C’est une excellente nouvelle, ma chérie. Je vais enfin avoir l’occasion de prendre des nouvelles de mes chères sœurs.— Oui, c’est une super nouvelle, maman. On peut leur proposer de passer cet après-midi ?— Bien sûr, Jessica ! Enfin, si cela ne te fait pas prendre de retard sur tes révisions.— J’ai déjà bien avancé, de ce côté-là.— Bon, dans ce cas…
Linda pianota sur le clavier de son téléphone, proposant à sa belle-sœur de passer à la maison aux environs de quatorze heures. La réponse, positive, ne mit que quelques minutes à arriver.
— Parfait. Il est bientôt midi. Cela nous laisse deux heures pour manger et nous préparer à recevoir nos invitées.
Sébastien et Linda s’affairèrent en cuisine tandis que Jessica et Fabien gagnaient leurs chambres respectives. Le repas se déroula dans une ambiance chaleureuse. Les quatre convives discutèrent de choses et d’autres puis, lorsqu’ils eurent fini, firent la vaisselle et attendirent patiemment l’arrivée de leurs visiteuses.
À quatorze heures tapantes, la sonnette retentit. Linda se leva pour aller ouvrir et accueillit chaleureusement sa nièce et ses belles-sœurs. Sébastien et ses enfants suivirent.  — Bonjour à vous, mesdames. Cela faisait longtemps…— Ne t’en fais pas, Seb. On comprend parfaitement que tes audiences te prennent du temps, surtout au vu de ta réputation.— J’aurais voulu vous voir plus tôt.
— Bonjour Alice, bonjour Justine ! Salut, Aleks ! Trop contente de te voir.— Salut, Jess ! Moi aussi.
Au terme de ces salutations, Linda et Sébastien indiquèrent aux trois arrivantes un endroit où déposer leurs vêtements. En se regardant, Alice et Justine gloussèrent.
— C’est plutôt sympa, votre concept de vivre à poil. Il faut juste s’y habituer.— C’est vrai mais on est en famille donc pas de gêne entre nous.— Bien dit, mon chéri.
Tandis que les maîtres de maison s’installaient à la salle à manger pour prendre leur café en compagnie d’Alice et Justine, Jessica guida Aleksandra jusqu’à sa chambre. Dès qu’elles furent toutes deux entrées dans la pièce, la jeune femme prit soin de refermer la porte, précaution qui amusa sa cousine.
— Tu as un petit secret à me raconter, cousine ?— C’est exactement ça. — Ça a l’air important…— Oui, ça concerne nos cours au centre. Enfin, si on veut.— Comment ça.— Tes mères t’ont certainement dit qu’elles ont croisé la mienne et mon frère au supermarché.— Oui, et ?— Ma mère m’a expliqué que tu avais un peu de peine à trouver un soumis qui te permette de t’entraîner comme tu le voudrais pour les examens.— Oui, ceux du centre sont un peu trop fragiles à mon goût. Je ne peux pas me donner à fond avec eux. Elles m’ont dit que, toi, par contre, tu n’avais aucun problème à ce niveau-là.— C’est justement de ça que j’aimerais te parler.— D’accord. J’aimerais bien savoir comment tu fais pour t’entraîner.— Avant de te le dire, il y a quelque chose que je dois te montrer pour que tu comprennes. Surtout, regarde jusqu’au bout.
Jessica s’empara de son téléphone et lança la vidéo que Linda lui avait fait visionner au sujet de Fabien quelques mois plus tôt. Au terme de la séquence, Aleksandra demeura bouche bée.
— Je vois… Le soumis avec lequel tu t’entraînes, c’est ton frère ?— Oui. Enfin, comme tu l’as entendu, c’est celui de ma mère à l’origine. C’est grâce à elle si je suis devenue l’une des maîtresses de Fabien. Si je t’ai montré cette vidéo, c’est parce que je compte t’offrir ses services à mon tour.— Tu veux que je m’entraîne avec Fabien ? Mais il fait aussi partie du programme spécial, d’après ce que nous a dit la directrice.— Je sais mais il a préféré avoir une condition de soumis le plus tôt possible pour se préparer à ce qui peut l’attendre au centre.— C’est un raisonnement qui se tient. Cependant, si j’avais su que tu allais me proposer un truc comme ça, j’aurais pris mon équipement avec moi.— Ne t’en fais pas : je te prêterai le mien pour aujourd’hui.— Tu en es sûre ?— Oui, pas de problème.— D’accord, dans ce cas, amusons-nous avec notre esclave.— Bonne idée. Je vais le chercher.
La jeune femme se dirigea vers la chambre de son frère. La porte fermée lui indiqua que ce dernier avait souhaité s’offrir un moment de tranquillité. Elle poussa doucement la porte. Ce qu’elle trouva l’amusa. Allongé sur son lit, le sexe à la verticale, Fabien se masturbait frénétiquement en murmurant des paroles que Jessica ne parvint pas à comprendre. En toquant trois fois à la porte, elle le fit sursauter. Par réflexe, Fabien tenta de se cacher sous sa couverture.
— Maî… Maîtresse Jessica ! Je ne m’attendais pas à Votre visite.— Inutile de te cacher, frérot. J’ai bien vu ce que tu étais en train de faire. Laissons cela pour le moment. Viens avec moi, je vais te faire reprendre un peu de service.
À la fois honteux et gêné, Fabien suivit sa sœur jusque dans sa chambre. Le jeune homme afficha un air interrogateur en y constatant également la présence d’Aleksandra.  — Pour faire simple, frérot, notre cousine est désormais au courant de ta condition de soumis. Comme tu le sais, nous aurons prochainement un examen au centre. Contrairement à moi, elle n’a pas eu de quoi s’entraîner correctement. Tu vas donc remédier à cela.— Comme Vous voudrez, Maîtresse Jessica.
Le jeune homme s’agenouilla devant les deux cousines, attendant leurs instructions. À la vue de sa verge encore rigide, Aleksandra gloussa.
— On dirait que la situation l’excite. — Oui, il adore ça. Et tu vas vite le comprendre.
Jessica invita sa cousine à s’assoir à ses côtés sur le lit puis, d’un claquement de doigt, fit venir Fabien à leurs pieds. La jeune femme saisit le crâne de son frère à deux mains et le maintint entre ses cuisses, lui faisant lécher son intimité. Ravie, Aleksandra les regarda en se caressant légèrement.
— Effectivement, vu toute l’ardeur avec laquelle il te lèche la chatte, il n’y a pas de doute : il adore ça.— Oui et, crois-moi, sa langue est bien mieux que les doigts.  Fabien poursuivit son cunnilingus pendant quelques instants avant que sa sœur ne l’en libérât pour lui ordonner de s’occuper d’Aleksandra. Le jeune homme obtempéra sans rien dire. Dès les premiers coups de langue sur son calice, sa cousine gémit de délectation. Afin de maintenir le visage de Fabien entre ses cuisses le plus longtemps possible, Aleksandra serra ses cuisses autour de son cou. Elle profita ainsi quelques minutes encore des léchouilles de son cousin avant de lui faire cesser son activité.
— Tu as raison, Jess ! La langue de ton frère vaut tous les doigts du monde. — Tu verras que sa langue n’est pas la seule chose avec laquelle nous pouvons nous amuser.
Jessica se positionna à quatre pattes et enjoignit son cadet d’adopter la même posture en se plaçant derrière elle. D’un signe de la main, la jeune femme indiqua le tiroir d’une commode à Aleksandra. Cette dernière l’ouvrit et y découvrit le gode-ceinture de sa cousine. Dès qu’elle s’en fut équipée, elle rejoignit Jessica et Fabien sur le lit et s’agenouilla derrière le jeune homme. La première poussée d’Aleksandra fut aussi rapide que brutale. Pourtant, la facilité de la pénétration la surprit puis finit par l’enchanter.
— Eh ben dis donc, cousine ! Tu as dû t’entraîner à fond ! Je me suis enfoncée dans son cul comme dans du beurre !— Je t’avais bien qu’il n’y avait pas que sa langue qui pouvait nous intéresser.  En souriant, Aleksandra appuya ses mains sur le postérieur de Fabien et réalisa une longue série de va-et-vient en y mettant toutes les forces dont elle disposait tandis que le jeune homme s’appliquait toujours à faire jouer sa langue sur la rondelle de Jessica. Le trio demeura dans cette position pendant plusieurs minutes puis, fatiguée par ses efforts, Aleksandra finit par se retirer. Jessica se redressa, libérant son frère de son anulingus. L’érection de ce dernier, encore vive, n’échappa pas aux deux jeunes femmes.
— Ton frère est encore bien dur. Qu’est-ce qu’on fait ? On le fait jouir ou pas ?— Il a fait du bon boulot. Il mérite bien une récompense. Et puis, même si on décidait de ne pas le faire jouir, il trouverait sûrement un moment pour se vider les couilles en douce.— Bien pensé, cousine. Alors, qui s’en charge ? Toi ou moi ? Ou nous deux en même temps ?— Vu que tu es l’’invitée, je vais te laisser l’honneur de le finir, Aleks.— Très aimable à toi, Jess.
Aleksandra fit allonger Fabien sur le dos et entreprit de le masturber. La jeune femme n’eut pas à s’employer longtemps. L’excitation et la stimulation de sa prostate causée par les coups de rein de sa cousine eurent vite fait de le faire répandre sa semence sur son ventre.
— Et voilà le travail. Il est de nouveau tout mou.— Bien joué. Alors, tu as aimé cette petite séance d’entraînement ?— Bien sûr ! C’était génial. Il faudrait qu’on fasse ça plus souvent.— Pas de problème. À partir de maintenant, si tu le veux bien, je te déclare maîtresse de Fabien.— C’est trop d’honneur.— Et toi, frérot, prêt à obéir à Aleks ?— Oui, Maîtresse Jessica.— Dans ce cas, prononce ton serment d’allégeance.— Mon corps et mon âme sont désormais vôtres. Je suis à vos ordres, Maîtresse Aleksandra.
Comme il l’avait avec Jessica quelque temps auparavant, Fabien déposa un baiser sur chaque pied de sa cousine.
— Maintenant que c’est fait, je vais en parler à mon père pour qu’il t’expose tes droits prévus par le contrat.— Vous avez un contrat ?!— Oui, c’est pour définir un cadre dans nos relations maîtresse-esclave.— D’accord.— Au fait, une dernière chose, frérot : quand je suis venue te chercher, je t’ai surpris en train de te branler. À qui est-ce que tu pensais en faisant ça ? Ne nous mens pas ou on te frappera tellement fort que ta queue restera molle pour le restant de tes jours.— Je pensais à Alice et Justine. — Nos tantes… Intéressant. Et qu’est-ce tu les imaginais faire dans tes fantasmes ?— Je les imaginais en train de m’enculer comme vient de le faire Maîtresse Aleksandra.— Très intéressant. Aleks, dis à tes mères ce que notre esclave vient de nous révéler. Je me réjouis de découvrir leur réaction.— Moi aussi, cousine. Envoie-moi la vidéo que tu m’as fait regarder tout à l’heure. Ça m’aidera à leur expliquer.— Pas de problème.
Jessica prit son téléphone et transféra la vidéo à Aleksandra. Une fois cela fait, les deux cousines permirent à Fabien d’aller prendre une douche puis ils descendirent tous trois retrouver leurs parents dans le salon. Vers dix-huit heures, Aleksandra et ses mères prirent congé de leurs hôtes. En passant la porte, Aleksandra lança à Jessica un clin d’œil discret dont elles étaient seules à comprendre la signification.
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