Dès qu’ils eurent franchi le seuil de la porte, Jessica et Fabien se dévêtirent et cherchèrent leur mère dans la maison. Ils finirent par trouver Linda dans le salon, occupée à lire une revue. En les voyant entrer dans la pièce, celle-ci leva les yeux vers eux. — Déjà revenus, mes petits ?— Oui, Maîtresse Linda. Nous sommes allés rendre visite à Alice et Justine.— Vos tantes vous manquaient déjà, apparemment.— Euh… Oui. Mais, à vrai dire, il y a une raison bien précise pour laquelle nous sommes allés les voir. C’est en lien avec leur venue ici.— Ah bon ? Quel est le rapport entre leur visite et votre escapade d’aujourd’hui ?— Je te laisse lui expliquer, frérot.— Oui, Maîtresse Jessica. Lorsqu’Alice et Justine sont venues en compagnie d’Aleksandra, j’ai pu les voir nues en raison de notre pratique du naturisme. Cette vision m’a fait beaucoup d’effet et j’ai eu besoin de me soulager. Je suis donc allé dans ma chambre afin de faire cela discrètement mais Maîtresse Jessica est entrée à ce moment-là. Elle m’a demandé de les rejoindre, Aleksandra et elle, dans sa chambre. Là, Maîtresse Jessica m’a fait avouer que je me masturbais en pensant à mes tantes, les imaginant me faire ce que Vous me faites depuis quelques mois maintenant. Maîtresse Jessica a alors décidé de m’offrir à Aleksandra qui m’a dominé et est devenue ma maîtresse à son tour. Avant que Maîtresse Aleksandra ne s’en aille, Maîtresse Jessica et elle ont décidé de révéler à Alice et Justine les pensées que j’ai nourries à leur égard. Maîtresse Aleksandra n’a pas manqué à sa parole et j’ai été puni par mes tantes en raison de mes agissements. Comme elles ont beaucoup aimé me soumettre, elles m’ont proposé d’entretenir une relations maîtresses-esclave. Comme j’ai aimé ce qu’elles m’ont fait, j’ai accepté leur offre et gagné le plaisir d’avoir deux nouvelles maîtresses à satisfaire. Vous savez tout, désormais, Maîtresse Linda. Surprise d’entendre une telle annonce, Linda écarquilla les yeux puis se plongea dans ses pensées pendant quelques instants. Jessica et Fabien ne surent comment interpréter le sourire qui se dessinait sur le visage de leur mère. — Eh bien, mon petit… Te voilà devenu l’esclave de toutes les femmes de la famille. Si Alice et Justine t’ont offert d’être leur serviteur, c’est qu’elles ont dû apprécier tes talents. Je peux donc dire que tu as fait ma fierté auprès de tes tantes et de ta cousine. Tu seras donc récompensé. Quant à toi, ma petite, tu as agi dans mon dos, et je n’aime pas ça.— Mais… Maîtresse Linda, Vous m’aviez assuré que j’aurais toujours mes droits sur notre esclave. — Oui, c’est juste. Cependant, cela signifiait que tu pouvais le dominer mais pas le partager avec d’autres personnes. Pour cette deuxième chose, tu aurais dû m’en parler et nous aurions décidé ensemble de ce qu’il convenait de faire. Par conséquent, je me vois dans l’obligation de te punir pour te faire retenir la leçon. Linda réfléchit pendant quelques minutes qui parurent interminables pour ses enfants. Son visage finit par s’illuminer, signe qu’elle avait une idée en tête. — Je vais faire d’une pierre deux coups. La récompense de l’un sera également la punition de l’autre. Fabien, mon petit, tu vas me faire le plaisir de bien baiser ta sœur. Ses orifices sont à toi, sans exception. Quant à toi, ma petite, tu vas t’offrir sans retenue à ton frère jusqu’à ce qu’il jouisse. — Comme Vous voudrez, Maîtresse Linda.— Merci, Maîtresse Linda. Sur ces mots, Fabien se positionna face à Jessica et la fit s’agenouiller devant lui. Comprenant ce que son frère désirait, la jeune femme prit son sexe en bouche en en serrant la base d’une main et en malaxant les bourses de l’autre. Elle s’appliqua à faire coulisser ses lèvres le long de la hampe sous les soupirs rauques de Fabien et le regard satisfait de Linda. Au bout de quelques minutes, le jeune homme mit fin à la fellation de sa sœur puis demanda à cette dernière de s’allonger sur le canapé. Se plaçant au-dessus d’elle, il fit lentement, mais avec assurance, pénétrer sa verge dans son intimité. Dès qu’il se fut entièrement enfoncé en elle, Fabien donna de puissants coups de reins, arrachant des gémissements de plaisirs à Jessica. Frère et sœur demeurèrent dans cette posture pendant plusieurs minutes sous l’œil concupiscent de leur mère puis Fabien se retira et demanda à Jessica de se relever pour appuyer ses mains contre un mur du salon.
La jeune femme obtempéra. Dès qu’elle se fut suffisamment cambrée, elle sentit la queue de son frère s’enfoncer violemment dans son petit trou. — Bien, mon petit. Encule bien ta sœur. Après tout ce qu’elle t’a mis, tu lui dois bien ça.— Oui, Maîtresse Linda. Crispant ses mains sur les hanches de Jessica, Fabien réalisa une série de puissants va-et-vient. Savourant la sensation de sa verge engloutie par le petit trou de sa sœur et de ses bourses butant contre le fessier de celle-ci, il se dit qu’il allait la limer de toutes ses forces jusqu’à être complètement vidé. Après quelques agréables mais trop courtes minutes, le jeune homme sentit qu’il allait jouir. Se retirant du postérieur de Jessica, il se caressa au-dessus d’elle mais fut interrompu par Linda. — Jouis sur son visage, mon petit.— Bien, Maîtresse Linda. En réaction à l’ordre de sa mère, Jessica s’agenouilla à nouveau face à son frère tandis que celui-ci se masturbait frénétiquement. La jeune femme n’eut que quelques secondes à attendre avant que quatre jets de sperme ne maculassent son visage et que quelques gouttes se perdissent dans ses cheveux. — Parfait. Ta punition est maintenant terminée, ma petite. Va te nettoyer et nous reprendrons chacun nos rôles.— Merci, Maîtresse Linda.— Quand tu seras à nouveau propre, reviens ici : j’aimerais vous informer de quelque chose, tous les deux.— Oui, Maîtresse Linda. Jessica s’éclipsa du salon et revint quelques instants plus tard. Fabien et elle s’assirent face à Linda. — Au vu de tous ces évènements et de toutes ces maîtresses qui se sont ajoutées à la liste au fil du temps, je pense qu’il est temps d’organiser une réunion entre nous cinq, à savoir : moi, toi, Aleksandra, Justine et Alice. Nous déciderons ensemble de comment nous organiser au mieux pour bien profiter de tes dispositions, mon petit.— Merci, Maîtresse Linda.— Bien, vous pouvez vous retirer, à présent. Jessica et Fabien quittèrent le salon et gagnèrent leurs chambres respectives, non sans un certain mélange d’excitation et d’appréhension au sujet de la réunion que comptait organiser Linda.
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