Linda se leva de bonne heure le lendemain, la nuit ayant été longue pour elle. Tout en se préparant une tasse de café, la mère de famille se plongea dans ses pensées. Ces dernières furent orientées vers son fils et la relation qui les liait, elle et lui ainsi que les autres femmes de la famille. Après avoir retiré sa tasse de la machine, elle ajouta de la crème et du sucre dans sa boisson puis s’assit sur un fauteuil en la sirotant. Deux sentiments se bousculaient en elle. D’une part, elle était fière de constater que Fabien était en mesure de satisfaire ses envies ainsi que celles des femmes de manière générale. D’autre part, elle avait la sensation que la situation commençait à lui échapper depuis le jour où elle avait fait part de la soumission de Fabien à Jessica. Depuis lors, trois autres femmes s’étaient ajoutées à la liste des maîtresses du jeune homme. De ce fait, Linda craignait que la situation devînt incontrôlable pour elle et sa famille. La mère de famille débattit ainsi intérieurement pendant près de deux heures qu’elle ne vit pas passer. En voyant la position des aiguilles sur l’horloge du salon, elle constata qu’il était déjà neuf heures passées. Etant parvenue à une solution à son énigme, Linda monta les escaliers qui menaient à la chambre de Jessica puis entra dans la pièce. Constatant que la jeune femme dormait encore, elle la réveilla en la secouant gentiment. Celle-ci ouvrit péniblement les yeux et s’étira de tout son long.— Bonjour, Maîtresse Linda. En s’entendant appeler de cette façon, la mère de famille sourit à sa fille. — Tu n’as plus besoin de m’appeler comme ça, ma chérie. Tu as déjà payé pour ton erreur. Tu es donc déliée de l’obligation de me servir.— Merci, maman.— Si je t’ai réveillée, c’est parce que je compte organiser une petite réunion entre nous cinq.— Nous cinq ? Tu veux dire toi, moi, Aleks, Alice et Justine ?— Exactement, Jessica. Je vais les appeler dès que tu seras prête.— D’accord, maman. Linda quitta la chambre pour gagner le salon et y attendre sa fille. Cette dernière la rejoignit quelques minutes plus tard. La mère de famille s’empara de son téléphone et composa le numéro de sa belle-sœur Alice. — On ne prévient pas Fabien ?— Nous le ferons après la réunion, lorsque nous serons parvenues à un accord.— Très bien. Trois sonneries se firent entendre avant que Linda eût son interlocutrice au bout du fil.
— Allô ?— Salut, Alice. C’est Linda.— Linda ! Que me vaut le plaisir de ton appel ?— Je t’expliquerai en temps voulu. Tu pourrais venir à la maison avec Justine et Aleksandra ?— Oui, bien sûr. Quand est-ce que tu veux qu’on se voie ?— Tout de suite, si ça joue pour toi.— Oui, pas de problème. Je vais avertir Justine et Aleksandra. À tout à l’heure.— À tout à l’heure. Jessica tenta de scruter le visage de sa mère afin d’y déceler ses intentions. L’expression de détermination qu’elle releva la convint que l’entrevue allait être bien plus qu’une visite de courtoisie. N’osant interroger Linda, la jeune femme se tut jusqu’à la sonnette retentît, près d’une demi-heure plus tard. Jessica s’empressa d’aller ouvrir pour accueillir chaleureusement ses tantes et sa cousine. Les trois visiteuses se mirent en tenue d’Eve et suivirent Jessica jusque dans le salon. Elles saluèrent Linda qui les invita à prendre place sur les fauteuils.— Je ne vais pas faire durer le suspense plus longtemps. Si j’ai tenu à organiser cette rencontre, c’est pour vous parler de Fabien, qui est désormais notre esclave à toutes. Afin d’éviter que la situation ne nous échappe, j’ai estimé qu’il était temps que nous nous organisions.— Tu as raison, Linda. Mais qu’entends-tu par « organisation » ?— C’est assez simple, Justine. Dans mon idée, je deviendrai la maîtresse référente de Fabien. De ce fait, il faudra m’informer de toutes les séances prévues avec lui et ne donner le titre de Maîtresse à aucune autre femme sans mon accord. Pensez-vous que nous pouvons continuer ainsi ?— Pour ma part, c’est une bonne idée. Il serait effectivement mieux d’éviter de mêler trop de personnes à notre histoire.— Merci, Alice.— Pareil pour moi.— Très bien, Justine. Et vous deux, les filles ?— Pour moi, ça joue comme ça. — Pour moi aussi. Cependant, j’aurais une suggestion. Au vu de la satisfaction que mon frère a apporté à chacune d’entre nous, je pense que nous pourrions lui faire une faveur en le laissant choisir sa maîtresse référente. Ou plutôt son corps.— Son corps ?— Oui. J’ai pensé que nous pourrions chacune à notre tour nous frotter contre sa queue et que celle qui parviendrait à le faire jouir le plus rapidement devienne sa maîtresse référente.— Très intéressant, comme idée. Je n’ai rien contre un peu de compétition. Et vous ?— Je suis partante.— Moi aussi.— Pareil.— Parfait. Je vais de ce pas aller chercher notre soumis pour lui expliquer ce que nous avons décidé. Linda monta les escaliers qui menaient à la chambre de son fils. Elle trouva le jeune homme encore légèrement endormi. Elle le secoua gentiment et celui-ci ouvrit doucement les yeux. — Bonjour, Maîtresse Linda.— Bonjour, mon petit. Viens avec moi. J’ai une petite surprise pour toi.— Oui, Maîtresse Linda. Fabien et sa mère redescendirent les escaliers et gagnèrent le salon. En y constatant la présence de ses tantes et de sa cousine, le jeune homme écarquilla les yeux, réaction qui fit rire Jessica et les trois autres.— On dirait que ma surprise te plaît, mon petit. — Oui, Maîtresse Linda.— Je vais maintenant t’expliquer pourquoi j’ai réuni toutes tes maîtresses aujourd’hui. Au vu de la situation, nous avons décidé de nous organiser au mieux pour pouvoir profiter pleinement de tes services. Nous avons donc convenu que l’une d’entre nous serait ta maîtresse référente. Ce serait donc à cette maîtresse que tu obéiras en premier. Les autres devront l’informer de toutes les séances prévues pour toi et obtenir son accord pour l’entrée d’une nouvelle maîtresse dans ta vie. As-tu des questions ?— Une seule, Maîtresse Linda : qui sera ma maîtresse référente ?— Ça, c’est ce que nous allons déterminer avec ton aide. Pour faire simple, nous allons chacune à notre tour frotter notre postérieur à ta queue jusqu’à te faire jouir. Celle qui y sera parvenue le plus rapidement deviendra ta maîtresse référente. D’autres questions ?— Non, Maîtresse Linda.— Très bien. Dans ce cas, caresse-toi juste assez pour être bien dur. Nous allons commencer.— Bien, Maîtresse Linda.
Le jeune homme se masturba jusqu’à ce que sa verge eût atteint son plus haut niveau de rigidité. Pendant ce temps, Jessica alla chercher son téléphone dans sa chambre afin de l’utiliser comme chronomètre. — Il a l’air prêt. Qui commence ?— C’est toi qui l’as soumis la première, maman. À toi, l’honneur.— C’est gentil, Jessica. Personne n’a d’objections ? Dans ce cas, je vais ouvrir le bal. Linda s’avança vers Fabien puis cala son fessier contre sa verge. Dès qu’elle eut commencé à se déhancher, Jessica lança le chronomètre. Le jeune homme savoura cette caresse aussi agréable qu’inattendue et prit plaisir à voir son sexe apparaître et disparaître entre les fesses de sa mère. Il se promit de tenir le plus longtemps possible afin de profiter au maximum de la situation. De son côté, mue par l’esprit de compétition, Linda faisait son possible pour trouver le rythme adéquat pour faire jouir son fils. Au bout de quelques instants, elle sentit la verge de ce dernier palpiter dans le sillon de ses globes jumeaux puis y déverser sa mixture. Jessica stoppa le chronomètre. — Voilà pour moi. Qui veut poursuivre ? Tu es la deuxième à avoir pris notre esclave en main, Jessica. Pourquoi ne pas te charger de la suite des festivités ?— Ce serait avec joie mais je pense que je vais laisser mes aînées passer en premier.— Très bien. Dans ce cas, Alice, Justine, laquelle de vous deux se frottera en premier à son neveu dès qu’il aura repris un peu de vigueur ?— Honneur à la jeunesse. Justine, tu t’en chargeras.— Comme tu veux, Alice. Les cinq femmes attendirent patiemment que Fabien se remît d’aplomb après sa première jouissance puis, lorsque le jeune homme afficha une érection à leur convenance, Justine se colla à son tour à lui et Jessica démarra le chronomètre. Comme cela avait été le cas lors du passage de sa mère, le jeune homme apprécia de voir sa verge apparaître et disparaître entre les fesses de sa tante. Il se prit également à se demander ce qui allait arriver si l’une de ses tantes ou sa cousine venaient à remporter le petit jeu auquel ses maîtresses l’avaient fait participer en qualité de juge.Jouant de son expérience, Justine trouva rapidement la position et le rythme à tenir pour pousser son neveu à l’éjaculation. Après quelques frottements, et malgré la volonté de Fabien de tenir plus longtemps afin de profiter au maximum du contact, elle finit par recevoir la semence tant désirée sur son postérieur. Le chronomètre fut à nouveau arrêté. — Et voilà le travail ! Alice, tu auras intérêt à nous montrer ton plus beau coup parce que j’ai l’impression d’avoir placé la barre très haut.— Ne crie pas victoire trop tôt, petite sœur. J’ai bien l’intention de faire cracher notre neveu en deux temps trois mouvements. À nouveau, Fabien eut un peu de temps pour récupérer. Dès qu’il se sentit apte à reprendre, le jeune homme se caressa de manière à bander aussi fort que possible. Alice s’avança à son tour vers lui et, dès que le chronomètre fut lancé pour la troisième fois, commença à se frotter contre son sexe. Le jeune homme fut cette fois surpris de la stratégie de sa tante. Alors que les deux autres avaient choisi de faire glisser leur fessier le long de sa verge, Alice la lui tapotait. Il trouva le contact agréable mais moins sympathique que ce qu’il avait ressenti lors des passages de Linda et Justine. Cette sensation se vit également accentuée par l’impression que la jouissance mettait plus de temps à arriver. Au bout de quelque temps, il finit cependant par se vider pour la troisième fois sur le fessier d’Alice. Jessica mit fin au chronomètre. — C’est fait pour moi, maintenant. À vous deux, les jeunes !— Tu veux y aller ou j’y vais, Aleks ?— Tu es sa sœur donc à toi l’honneur.— D’accord. Dès qu’elle eut constaté que son frère bandait à nouveau, elle confia le soin à Aleksandra de chronométrer sa prestation puis commença à faire jouer ses fesses sur la queue de Fabien. Ce dernier ressentit une excitation toute particulière en se voyant masturber par son aînée. Le mouvement était fluide et lui plaisait. Pendant un court instant, il fut tenté de l’encourager mais il se ravisa de peur d’offenser les autres. Dans cette situation, Jessica ne mit pas bien longtemps à le faire jouir. Aleksandra arrêta le chronomètre. — C’est fait. Il ne reste plus que toi, Aleks.— Je sais. Qu’il se dépêche de récupérer : moi aussi, j’ai envie de le faire cracher. Les cinq femmes laissèrent un peu de répit à Fabien puis, dès qu’il se fut remis de son orgasme et fut à nouveau au garde-à-vous, Aleksandra s’avança vers lui et commença à faire bouger ses fesses le long de sa tige. Le jeune homme fut absolument ravi de la prestation de sa cousine qu’il jugea équivalente à celle de sa sœur. Les allées et venues, lentes mais puissantes, n’eurent besoin que de peu de temps pour faire palpiter sa verge jusqu’à l’éjaculation finale. Jessica arrêta le chronomètre.— Voilà, nous sommes toutes passées. Alors, ma chérie ? Dis-nous qui a gagné.— Euh… Vous voulez que je vous communique uniquement le nom de la gagnante ou le classement entier ?— Le classement entier, pourquoi pas.— D’accord. Alors : en cinquième position, avec un temps de quatre minutes et dix-sept secondes, nous avons Alice.— Eh bien, grande sœur, on dirait que ta méthode n’a pas vraiment fonctionné.— Rira bien qui rira la dernière, Justine.— En quatrième position, avec un chrono de quatre minutes et huit secondes, c’est toi, maman. — Je dois dire que j’espérais mieux comme classement mais bon, j’ai eu des adversaires de valeur. Bravo à toutes. — En troisième position, avec un temps de trois minutes et cinquante-deux secondes, nous avons Aleksandra.— Je suis sur le podium, c’est déjà ça. — Et celle qui remporte ce concours en ayant fait jouir notre esclave en trois minutes et treize secondes… Justine !— Eh bien, on dirait que ma technique et mon expérience ont fait de moi la meilleure branleuse pour Fabien. Félicitations à vous toutes quand même.— Je suis donc deuxième avec un temps de trois minutes et vingt-sept secondes.— Bon, dans ce cas, tu es désormais la maîtresse référente de notre soumis, Justine, avec les privilèges qui vont avec.— Je saurai m’en montrer digne, Linda. D’ailleurs, je pense que Fabien devrait venir s’installer chez nous. Comme ça, Kamil se sentira un peu moins seul et il me sera plus facile de tenir mon rôle.— Je n’y vois pas d’objection. Suite à cette discussion, Fabien alla préparer ses affaires et quitta la maison en compagnie de ses tantes et de sa cousine après avoir dit au revoir à Linda et Jessica.
