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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 23

Epilogue

SM / Fétichisme
Bien des années passèrent depuis la réussite de Jessica et Aleksandra à leur examen au centre Laetitia Vaney. Les deux cousines avaient terminé avec succès leurs études de médecine et avaient décidé de s’associer pour ouvrir un cabinet de sexologie dans la région de Montpellier. Grâce à la formation en gestion d’entreprise suivie par Fabien et Kamil, le cabinet des deux femmes employait des méthodes très efficaces pour résoudre les problèmes de sexualité des différents individus et couples qui recouraient à ses services.
En ce début septembre, les températures étaient encore très estivales et la chaleur qui régnait au sein du cabinet étouffante. Ventilateurs enclenchés à pleine puissance, Fabien et Kamil essayaient tant bien que mal de se concentrer sur la saisie des dernières opérations comptables et le suivi des factures.  — Pff… C’est vraiment dur de faire tous ces calculs avec cette chaleur. Tu crois qu’on a le temps d’aller se servir un rafraîchissement à la cafétéria, Kamil ?— Malheureusement, pas tout de suite. Nous devons accueillir un jeune couple qui devrait arriver dans quelques minutes. Il nous faudra tenir bon encore un peu.— Dans ce cas, j’espère qu’ils n’arriveront pas en retard parce que, là, je suis en train de suffoquer.
Le vœu de Fabien fut exaucé. À quatorze heures précises, la sonnette retentit et deux personnes poussèrent la porte du cabinet. Plus prompt que son cousin, Kamil se leva de sa chaise et se dirigea vers la réception.
— Bonjour Monsieur, Dame. — Bonjour. Nous avons rendez-vous avec le Docteur Jessica Lemaire.— Un petit instant…
Kamil consulta l’agenda électronique et remarqua qu’un rendez-vous avait effectivement été planifié au jour et à l’heure indiqués.
— Pourriez-vous me dire vos noms, s’il vous plaît ?— Allan et Zoé. — Oui, c’est en ordre. Je vous laisse patienter dans la salle d’attente. Le docteur Lemaire passera vous chercher bientôt.
Le couple prit le chemin indiqué. Profitant de ce répit, Fabien et Kamil allèrent se servir à boire à la cafétéria. Dans la salle d’attente, le couple demeura muet, la tension étant palpable. Sortant de son bureau, Jessica se dirigea vers Allan et Zoé.  — Bonjour ! Vous êtes bien Allan et Zoé ?— Oui.— Enchantée. Je suis le Docteur Jessica Lemaire. Veuillez me suivre, je vous prie.

Jessica entraîna le couple jusque dans son bureau. Tandis qu’elle prenait place dans son fauteuil, elle indiqua un divan situé en face d’elle, invitant Allan et Zoé à s’assoir. En les détaillant, la sexologue tenta de deviner la raison de leur présence. Le jeune homme lui semblait mesurer plus d’un mètre quatre-vingts. Crâne rasé, yeux gris acier, visage soigné, corps plutôt musclé, Allan paraissait être quelqu’un qui prenait soin de sa personne. Zoé, fille à la taille plutôt fine, voire maigre, et à faible poitrine possédait néanmoins une longue chevelure brune soyeuse et un regard malicieux qui la rendaient somme toute très séduisante. À les voir tous les deux, Jessica leur donna un âge situé entre vingt et vingt-cinq ans.  — D’après l’état de fait que vous m’avez décrit dans votre courrier du mois dernier, vous êtes ensemble depuis bientôt trois ans. Votre relation se déroulait bien jusqu’à un incident datant d’il y a quelques mois. Depuis ce fameux incident, votre couple se retrouve en situation d’abstinence sexuelle totale. Est-ce bien cela ?— Oui, docteur. — Je comprends que cette situation ne doit être facile pour aucun de vous deux. C’est pourquoi nous allons en discuter ensemble afin de trouver une solution adéquate. Lequel de vous deux souhaite s’exprimer en premier ?
Allan se manifesta en levant légèrement sa main droite.
— Pour faire simple, nous avons toujours eu des relations sexuelles régulières depuis le début de notre histoire. Au début, notre sexualité me convenait mais j’ai senti qu’au fil du temps, elle devenait trop routinière et monotone. J’ai donc voulu prendre une initiative en variant un peu les plaisirs.— C’est-à-dire ?— Un soir, j’ai voulu sodomiser Zoé mais elle a refusé en me hurlant dessus et en me traitant de pervers. Depuis, je suis tellement en colère contre elle que je ne souhaite plus la toucher. Je ne souhaite même plus avoir la moindre relation avec une fille.  Cette démarche de victimisation agaça profondément Zoé qui sortit de ses gonds.  — Pendant trois ans, je t’ai donné ma chatte, je t’ai laissé me prendre dans toutes les positions que tu voulais, je t’ai taillé des pipes dans toutes les pièces de l’appartement… je ne t’ai jamais rien refusé jusqu’ici et, maintenant que je te mets une limite, tu te poses en victime ! C’est ma chatte qui est faite pour baiser, pas mon cul !— Dans ce cas, si on suit cette logique, tu aurais dû me refuser aussi ta bouche mais, ça, tu ne l’as pas fait. Tous les trous sont faits pour être visités. Il y a plein de filles qui acceptent de prendre dans le cul sans rechigner et même avec plaisir.— Tu n’as qu’à aller voir ailleurs, si tu tiens tellement à visiter un cul !— Calmez-vous. L’objectif de cette séance n’est pas de détruire votre couple, bien au contraire. Maintenant que j’en sais un peu plus sur cet incident et sur les sentiments de chacun par rapport à cela, je vais pouvoir vous aider à avancer. Tout d’abord, Allan a raison sur une chose : on peut très bien ressentir du plaisir avec la sodomie. Cependant, au vu de votre réaction, Zoé, j’en déduis que vous ne l’avez encore jamais pratiquée, raison pour laquelle elle vous effraie. Je comprends tout à fait ce que vous ressentez. La première fois peut être douloureuse.— Ça ne doit pas faire si mal que ça, Docteur. Lorsque je lui ai fait l’amour pour la première fois, elle était encore vierge mais elle n’a pas souffert. Donc, pour la sodomie, ça devrait se passer de la même manière.— Pas nécessairement, Allan. L’anus est beaucoup moins souple que l’hymen. Dans le cas de Zoé, l’hymen était souple, ce qui a permis une première relation sexuelle peu ou pas douloureuse. En revanche, pour une sodomie, la douleur en fait partie intégrante les premières fois. Ce n’est qu’au bout d’un certain temps que l’on peut vraiment en savourer le plaisir. Allan, pourriez-vous baisser votre short et votre caleçon au niveau de vos genoux et vous positionner à quatre pattes sur le divan. C’est pour les besoins d’un exercice que je souhaite pratiquer avec vous. — Euh…
Gêné par la tournure que prenait l’entretien, le jeune homme demeura hagard pendant quelques instants puis se résolut à obtempérer. Jessica indiqua au couple qu’elle allait s’absenter un court moment. Quittant son bureau, la sexologue se dirigea vers la réception et ouvrit un tiroir dont elle sortit le gode-ceinture qu’elle avait obtenu lors du passage de son examen au centre Laetitia Vaney. Avec un sourire nostalgique aux lèvres, elle s’équipa du sexe factice et retourna dans son bureau.  En la voyant entrer ainsi équipée, Zoé afficha une expression de surprise. Jessica lui fit signe de rester discrète. Allan, ayant adopté la posture exigée quelque temps plus tôt, lui tournait le dos. D’un pas décidé, Jessica alla se positionner juste derrière le jeune homme. D’un coup sec, elle fit pénétrer l’engin jusqu’à la garde dans son fondement.  — AÏE !!! Qu’est-ce que vous faites ?!
Sans se préoccuper de répondre à la question, Jessica réalisa une série de va-et-vient avant de se retirer. Laissant Allan masser sa rondelle endolorie, la sexologue ôta son gode-ceinture pour le tendre à Zoé.  — À votre tour, maintenant.
Allan voulut protester mais il se ravisa, se disant que la manœuvre de Jessica avait pour but de lui faire comprendre quelque chose. Jessica aida Zoé à s’équiper puis, après avoir vérifié que les sangles fussent bien attachées, chuchota quelques mots à l’oreille de la jeune femme.  Suivant à la lettre les conseils de la sexologue, Zoé s’enfonça d’une puissante poussée dans le petit trou de son copain qui émit un gémissement de douleur. La jeune femme lui donna les mêmes coups de butoir que Jessica, quelques instants auparavant, jusqu’à ce que celle-ci lui fasse signe de se retirer.
— Vous pouvez vous rhabiller, Allan. Par ce petit exercice, j’ai voulu vous faire comprendre deux choses : la première est que la sodomie est une pratique douloureuse lorsqu’on n’y est pas habitué. J’imagine que vous avez pu le constater. La seconde est qu’à mes yeux, il s’agit également d’une pratique que j’ai coutume d’appeler « égalitaire ». En effet, Zoé et vous avez tous les deux un postérieur. Il n’y a donc pas de raison que ce soit uniquement celui de Zoé qui reçoive. Voici donc ce que je vous propose : rendez-vous dans un sexshop et achetez-y un gode-ceinture. Durant vos rapports sexuels, pratiquez uniquement la sodomie, dans un sens comme dans l’autre. Ne soyez pas trop pressés. La douleur fait plus rapidement place au plaisir chez certaines personnes que chez d’autres. Nous ferons le bilan de votre situation dans un mois. — Merci.
Allan et Zoé sortirent de la pièce et se dirigèrent vers la réception pour fixer la date de leur prochain rendez-vous. Jessica eut un sourire moqueur au coin des lèvres en voyant le jeune homme sortir du cabinet en boîtant sous l’effet de ce qu’il venait de subir.  FIN
Je tiens à exprimer mes remerciements aux lecteurs et lectrices qui m’ont soutenu par leurs appréciations et leurs commentaires, tant dans cette saga que dans Ce que l’on peut faire par amour et Sébastien, fils à maman, qui sont les deux premiers tomes de cette trilogie. Au plaisir de vous faire à nouveau rêver au travers d’une prochaine histoire.
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