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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 4

Inceste consommé

Inceste
Manon ouvrit les yeux avec difficulté. Il avait fallu environ deux heures pour qu’elle cessât de penser à ce qu’elle avait vu et à ce qu’elle comptait faire avant de parvenir à s’endormir. Après des étirements des bras et des jambes, la jeune femme se sentit la force de se lever et de se diriger vers la cuisine où l’attendaient son frère et ses parents pour prendre leur petit-déjeuner. La conversation finit par déboucher sur les vacances. 
— Nous n’avons pas eu le temps de vous en parler jusqu’à maintenant mais votre père et moi avons trouvé un lieu sympa dans les Alpes valaisannes pour notre randonnée. — Ça reste quand même de la randonnée...— Ne fais pas cette tête, Florent. Laisse ta mère terminer. — Merci, mon chéri. Nous avons trouvé ce lieu sympa car le parcours n’est pas trop ardu et nous avons également entendu dire par les habitants de la région qu’une fête allait être donnée dans l’un des chalets de la montagne à laquelle nous irons. 
Florent demeura dubitatif. 
— Une fête ? Pour qui ? — Pour les jeunes, évidemment. D’après les renseignements que nous avons pu récolter auprès de la jeunesse locale, celui qui organise cette fête est un jeune à qui ses parents ont laissé le chalet pour quelque temps. De ce fait, il en profite. 
Cette fois, le visage de Florent se fendit d’un sourire. 
— Finalement, cette randonnée ne sera peut-être pas aussi ennuyeuse que je le pensais. 
Solange et Roger sourirent. 
— Et toi, Manon, tu te réjouis de cette nouvelle ?
La jeune femme haussa les épaules. 
— Euh... Oui. Plus on est de fous, plus on rit. 
Manon et Florent s’échangèrent un regard complice imperceptible pour leurs parents. Lorsqu’ils eurent fini leur collation, parents et enfants firent la vaisselle et s’habillèrent pour la journée.  

Tandis que Roger et Solange se détendaient en regardant un film à la télévision, Manon et Florent regagnèrent leurs chambres respectives. Alors qu’il s’occupait en jouant à un jeu vidéo, le jeune homme fut surpris par la visite de sa soeur. 
— Dommage qu’on n’ait pas la maison pour nous tout seuls. 
Faisant mine de ne pas saisir l’allusion, Florent haussa les sourcils. 
— Pourquoi tu dis ça ?— À ton avis ? Je veux encore m’entraîner. — Tu auras sûrement l’occasion de le faire quand on sera en Valais. — Il y a un détail que tu sembles avoir oublié dans ton plan : à part quelques pipes, je n’ai pas fait grand-chose avec toi. — Je sais, mais qu’est-ce que tu veux ? Qu’on vire Papa et Maman de la maison pour baiser ? Il te faudra attendre. — C’est justement là qu’est le problème : je n’ai pas beaucoup de temps à disposition. Si...— Johann. Oui, je sais. Bon, si tu y tiens tant que ça, je connais un endroit où on pourrait faire ce qu’on a à faire sans être dérangés. — Et où est cet endroit ?— Il s’agit d’un motel dans lequel j’ai déjà emmené certaines de mes conquêtes. — Tu connais donc les gens de là-bas ? Ils ne se douteront pas de notre lien de parenté ?— Mais non. Ils n’y penseront pas un seul instant. Dans le pire des cas, la réceptionniste me demandera juste si j’amène une nouvelle conquête. — Bon, ça me rassure. Et notre alibi pour la sortie ?— Il fait chaud aujourd’hui. On n’a qu’à dire à Papa et Maman qu’on va à la piscine. — D’accord, ça me va. 
Florent et Manon préparèrent leurs affaires de piscine puis annoncèrent leur départ à Roger et Solange qui les prièrent de rentrer à l’heure pour le dîner. Ils sortirent ensuite de chez eux et marchèrent durant une quinzaine de minutes avant de trouver le motel indiqué par Florent. 
Dès leur arrivée dans l’enceinte de l’établissement, les deux jeunes gens furent accueillis par la réceptionniste, une femme d’environ une trentaine d’années à la longue chevelure blonde et aux yeux verts pétillants qui se mariaient parfaitement aux traits fins de son visage. En voyant la poitrine de la réceptionniste, Manon garda en mémoire une question qu’elle souhaitait poser à son frère. 
— Salut, Florent ! On dirait que l’été te réussit. Tu amènes une nouvelle conquête ?— Salut, Rosalie ! Oui, on peut dire ça comme ça. Tu aurais une chambre de libre à nous proposer ? Avec lit double évidemment. 
Rosalie adressa un sourire entendu à Florent et alla vérifier la disponibilité des chambres sur son ordinateur. Elle leva un regard rieur vers le jeune homme à la vue des résultats de sa recherche. 
— Bonne nouvelle : ta chambre porte-bonheur est disponible. — Parfait ! Nous prendrons donc cette chambre. 
Florent régla la note puis Manon et lui prirent l’ascenseur pour accéder à leur chambre. En voyant le numéro inscrit sur la porte, la jeune femme pouffa de rire. 
— Je comprends mieux pourquoi cette chambre te porte bonheur. 
Sans lui répondre, Florent tourna la clé dans la serrure et la fit entrer avant d’y aller à sa suite et de refermer la porte derrière eux. Manon regarda autour d’elle. L’ameublement de la chambre était très rudimentaire. Sur leur gauche, une porte en bois donnait accès à la salle de bains. En passant le petit couloir qui séparait la porte d’entrée de la pièce principale, elle constata la présence d’un lit double contre un mur situé sur sa gauche. Aux deux côtés du lit, une table de chevet soutenant une petite lampe avait été placée. La jeune femme apprécia tout de même la luminosité qu’offrait la fenêtre située en face d’elle malgré la pauvreté de la décoration. En jetant un coup d’oeil sur sa droite, Manon s’aperçut qu’un téléviseur était posé sur une table basse avec sa télécommande. 
— Alors, qu’est-ce que tu penses de ce petit nid d’amour ?— On ne s’embête pas vraiment avec la décoration ici mais au moins, on y est bien accueillis. 
Sur ce dernier mot, Manon fit un clin d’oeil à son frère. 
— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?— Ne fais pas l’innocent. Tu aimes bien venir ici parce qu’il y a Rosalie. Elle te plaît, n’est-ce pas ? Et mon intuition me dit que c’est réciproque. — N’importe quoi. Elle est jolie mais trop âgée pour moi. Je doute fort qu’elle puisse s’intéresser à moi. — C’est ce qu’on va voir. En attendant, si on faisait ce pourquoi on est venus ?
Florent hocha la tête en signe d’approbation et les deux jeunes gens se rapprochèrent jusqu’à se retrouver enlacés, leurs lèvres s’effleurant. Comme ils l’avaient déjà auparavant, ils se déshabillèrent l’un l’autre tout en prenant soin de retirer le dernier sous-vêtement à l’aide de leurs dents. 
Lorsqu’ils furent tous les deux nus, Florent et Manon s’allongèrent côte à côte sur le lit. Le jeune homme sortit le papier que sa soeur lui avait écrit de la poche de son short et le posa sur la table de chevet la plus proche de lui. 
— Et si on honorait le numéro de cette chambre ?— Bonne idée. 
Manon se mit à quatre pattes au-dessus de son frère, son fessier orienté vers son visage, et le prit en bouche. Florent, de son côté, commença par caresser le postérieur de sa jumelle en y déposant de temps à autre un baiser puis lui lécha alternativement le sexe et le petit trou. 
Sentant sa soeur accélérer le rythme de sa fellation, le jeune homme lui donna quelques petites claques sur les fesses pour lui faire signe de s’arrêter. Il prit le papier sur la table de chevet et prit connaissance de la première position qu’ils adopteraient. 
— Du classique pour commencer. Le missionnaire. 
Florent fit signe à Manon de s’allonger sur le dos puis il se plaça au-dessus d’elle. La jeune femme éprouva un mélange de peur et d’excitation en voyant l’imposante verge de son jumeau qui allait la pénétrer pour la première fois. Comme s’il avait senti sa réaction, Florent tenta de la rassurer. 
— Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement pour commencer. Dès que tu as mal, tu me le dis et on s’arrête. — D’accord. 
Florent se saisit de son sexe et l’enfonça lentement dans le ventre de Manon, guettant la moindre réaction de sa part. Le jeune homme avança ainsi, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que sa verge fût totalement engloutie par la grotte d’amour de sa soeur. Celle-ci n’ayant montré aucun signe de douleur, il se permit d’entamer une série de lents va-et-vient.  
Ne constatant toujours aucune forme de réaction de la part de Manon, Florent augmenta la cadence de ses mouvements. Cette fois, une première réaction de Manon fut provoquée. Tandis qu’il allait et venait en elle, la jeune femme entoura son cou de ses bras et passa ses jambes autour de sa taille. Cette démonstration de plaisir surprit beaucoup Florent qui s’attendait à chaque seconde à devoir se retirer à cause de la douleur éprouvée par Manon. 
Le jeune homme se retira et consulta le papier. 
— La levrette. Encore un classique. 
Florent fit signe à sa jumelle de se mettre à quatre pattes puis il se positionna derrière elle pour la prendre. Cette fois, il y alla directement très fort, ne craignant plus de lui faire mal. Excité, le jeune homme crispa ses mains sur les hanches de sa soeur tout en lui donnant de grands coups de queue. Les cris de plaisir de Manon n’arrangèrent rien à son état et il se sentit rapidement sur le point de jouir. Il se fit cependant violence et se retira pour aller consulter le papier. 
— Union du lotus, voilà qui devrait un peu plus me reposer. 
Il s’assit sur le lit et demanda à Manon de s’assoir sur lui en passant ses jambes autour de sa taille. La jeune femme obtempéra et Florent lui indiqua le mouvement à faire en la faisant s’empaler sur son sexe. Voyant que sa jumelle avait un peu de mal dans l’exécution de ce mouvement, il l’aida en la tenant par les fesses de manière à pouvoir le lui faire faire juste. 
Au bout de quelques minutes, Florent se sentit à nouveau sur le point d’éjaculer. Il se retira à nouveau mais contrairement à la première fois, il n’alla pas consulter le papier, décidant de remettre les autres positions à une autre fois. Il demanda à Manon de s’allonger en gardant la bouche ouverte et se masturba frénétiquement au-dessus d’elle jusqu’à éjaculer sur son visage et dans sa bouche. 
La jeune femme avala le sperme de son frère avec une moue de dégoût et se rendit à la salle de bain pour enlever ce qu’il en restait sur son visage. 
Les deux jeunes gens se rhabillèrent et quittèrent le motel pour se rendre à la piscine et construire l’alibi qu’ils avaient fourni à leurs parents. 
— Alors, ça t’a plu, cette première fois ?— Oui, ce n’était pas aussi douloureux que ce à quoi je m’attendais mais on n’a pas encore tout essayé. — Oui, je sais. On les garde pour une autre fois. — Et à propos de Rosalie ?— Je t’ai déjà dit ce que j’en pensais. Pourquoi tu insistes là-dessus ?— Disons que j’ai aussi besoin de voir comment font les femmes plus expérimentées. Je me disais que si tu parvenais à te la faire...— Voilà que tu veux jouer les voyeuses.— Je veux m’instruire, nuance.— Bon, je vais tenter le coup mais je ne te promets rien. — Merci, frangin. 
Ils poursuivirent leur chemin jusqu’à la piscine sans plus parler de ce qu’ils venaient de faire, voulant profiter de leurs derniers jours avant leur départ en vacances. 
[ à suivre ]
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