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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 8

Voyeurisme en famille

Voyeur / Exhibition
Après un long et agréable sommeil, Florent et Manon se sentirent d’attaque pour la randonnée qui les attendaient. Ils se levèrent dans l’intention de prendre leur petit-déjeuner mais ils furent surpris par l’absence de collation sur la table et par l’heure indiquée sur l’horloge accrochée au mur de la cuisine. Il était midi. En lisant la surprise dans les yeux de ses enfants, Solange les salua d’un ton amusé. 
— Vu l’heure à laquelle vous vous levez, j’en déduis que vous êtes rentrés tard hier soir. Vous vous êtes bien amusés ?— Oui, Maman, c’était super. 
Solange sourit et voulut poser une question à ses enfants mais elle se ravisa, connaissant à l’avance la réponse qu’ils allaient lui donner. Elle décida qu’il était temps de leur exposer le programme de la journée. 
— Comme vous pouvez le constater, je n’ai pas préparé de petit-déjeuner. Comme vous vous êtes levés tard et que nous allons bientôt partir, votre père et moi avons décidé de préparer un pique-nique que nous mangerons lorsque nous aurons atteint le sommet de la montagne. De cette manière, vous aurez sûrement plus d’appétit. 
Florent et Manon approuvèrent. Solange poursuivit. 
— Je vais finir de préparer nos affaires pendant que vous vous changez. Dès que vous serez prêts, attendez-nous à l’extérieur. — D’accord. 
Les deux jumeaux regagnèrent chacun leur chambre pour se parer de vêtements adéquats à la montagne puis firent rapidement leur toilette avant de sortir du chalet où ils attendirent quelques minutes, le temps que leurs parents finassassent de préparer leurs affaires. 
— Bon, c’est parti. 
Sur ces trois derniers mots, ils entamèrent tous les quatre l’ascension de la montagne, Roger et Solange en tête. Durant la marche, Florent et Manon laissèrent volontairement un écart entre eux et leurs parents. Cet écart étant à la fois assez petit pour ne pas les perdre de vue et assez grand pour ne pas être entendus d’eux, les deux jumeaux parlèrent de leurs activités de la veille. 
— Au fait, tu ne m’as pas dit comment tu as fait pour brancher ta blonde aussi rapidement hier soir. — Je suis simplement allé vers elle et lui ai demandé si elle venait souvent à ce genre de fête. Elle m’a répondu que oui et elle m’a posé la même question. Je lui ai répondu que c’était la première fois mais que j’allais revenir plus souvent parce que ça faisait toujours plaisir de voir des filles aussi jolies qu’elle. Elle m’a remercié du compliment et j’ai insisté en disant que j’étais sincère. J’ai ensuite pris mon air de chien battu et je lui ai dit que je mourrais d’envie de l’embrasser. Elle a été un peu attendrie et on s’est embrassés une première fois puis une deuxième et une troisième jusqu’à ne plus se lâcher et on a fini par baiser dans le bois. Et toi ? Comment tu as fait pour te retrouver impliquée dans une partouze ? Je t’avoue que ça, je n’en reviens toujours pas. 
Manon sourit. 
— En fait, c’est plutôt un concours de circonstances. J’étais en train de prendre un verre au bar. Ensuite, il y a eu un type qui m’a touché l’épaule. Au début, j’ai cru que c’était toi qui me faisais une mauvaise blague. Je me suis retournée et j’ai vu que c’était le gars qui organisait la fête. On s’est présentés et on a un peu discuté. On a ensuite dansé un slow et, comme je te voyais fricoter avec ta blonde, je l’ai embrassé. Il m’a rendu mon baiser et il m’a proposé d’aller plus loin. J’ai accepté et on a voulu aller dans la chambre. Là, on a été interpellés par une autre couple qu’il connaissait et qui voulait aussi aller dans la chambre. Au début, il a voulu les faire attendre mais je lui ai proposé de les inviter à baiser avec nous. Il leur a proposé et ils ont accepté. 
Florent émit un sifflement d’admiration et de surprise. 
— Eh bien dis donc... Je me demande si j’ai encore quelque chose à t’apprendre, moi. — Ne sois pas idiot. Je manque encore d’expérience et tu es l’une des seules personnes qui puissent m’aider à résoudre ce problème. 
Florent et Manon interrompirent leur conversation et accélérèrent le pas pour rattraper leurs parents. Ils marchèrent durant une trentaine de minutes pendant lesquelles ils bavardèrent de choses diverses avec Roger et Solange. 
Lorsqu’ils atteignirent finalement leur objectif, Florent et Manon eurent à peine la force d’attendre que leur mère eût fini de disposer la nappe sur laquelle ils allaient manger avant de s’y laisser tomber, épuisés par leurs efforts. À l’inverse, Roger et Solange semblaient revenir d’une simple balade de santé. Ce constat amusa beaucoup le père de famille qui décida de lancer une petite pique à ses enfants. 
— Eh bien, on dirait qu’il y en a qui se laissent aller. 
Roger et Solange éclatèrent de rire tandis que Florent et Manon les regardaient d’un air las. Suite à cette rigolade, enfants et parents disposèrent leurs victuailles sur la nappe et se préparaient à prendre un repas bien mérité lorsqu’ils furent interrompus par des bruits suspects. 
D’un signe, Roger informa les trois autres qu’il allait voir de quoi il en retournait. Il marcha quelques mètres en direction d’une petite forêt située en contrebas. En identifiant la provenance des bruits, il demeura quelques instants figé sur place puis fit le chemin inverse en courant. 
— Vous n’allez jamais me croire. Il y a un couple en train de baiser dans la forêt. — Sérieusement ?— Oui. 
Solange se tourna vers sa fille. 
— Eh bien, on dirait que tu as une occasion d’avancer un peu dans ton initiation. 
Interloquée, Manon voulut s’assurer de bien comprendre ce que signifiaient les paroles de sa mère. 
— Tu veux dire... Qu’on va aller regarder ce couple s’envoyer en l’air ?!— Exactement. Enfin, si tu le souhaites, bien sûr. — Tout est toujours bon à prendre. Allons-y. — Très bien. Dans ce cas, je propose que nous nous séparions. Les garçons, vous irez vous cacher d’un côté et Manon et moi irons de l’autre. 
Roger et les enfants approuvèrent et les deux groupes se positionnèrent comme convenu pour regarder la scène qui se déroulait sous leurs yeux. 
Dissimulés derrière des arbres ou des buissons, ils purent observer un couple d’environ une quarantaine d’années s’adonner aux plaisirs de la chair. Ils supposèrent qu’ils n’en étaient qu’aux préliminaires au vu du fait que la femme prodiguait une fellation à son compagnon et que tous deux étaient encore très habillés. 
Les quelques minutes que durèrent le traitement furent suffisantes pour donner de la vigueur aux verges de Roger et Florent. Sans gêne, le premier sortit son sexe de son pantalon et se masturba lentement, savourant la scène. Le second décida d’attendre que le couple passât aux choses sérieuses. 
Il n’eut pas à attendre longtemps. L’homme repoussa le visage de sa compagne et tous deux retirèrent leurs vêtements, semblant totalement ignorer qu’ils étaient épiés. Sans davantage de préliminaires, la femme s’empala sur le sexe de son partenaire et celui-ci lui imposa un rapide mouvement d’ascenseur. 
Excité par cette vision, Florent sortit à son tour sa verge et se masturba du même lent mouvement que son père, ne souhaitant pas jouir trop rapidement. Il observa ainsi le couple durant quelques minutes avant qu’il ne changeât à nouveau de position. 
Alors que la femme s’appuyait contre un arbre afin de permettre à son compagnon de la prendre par derrière, Florent aperçut Solange depuis sa cachette. Celle-ci avait ouvert les boutons de sa veste, laissant apparaître ses deux seins à l’air libre. Le jeune homme en apprécia tout de suite le volume. Il remarqua également que sa mère avait glissé une main dans son pantalon, à hauteur de son sexe, tandis que l’autre malaxait sa poitrine. 
En voyant ce tableau insolite, Florent sentit son excitation changer de cible. Le couple qui s’envoyait en l’air à quelques mètres de lui ne l’intéressait soudainement plus et il préféra contempler Solange en train de se donner du plaisir. Il jeta un coup d’oeil à son père. Toujours absorbé par les deux quadragénaires, celui-ci ne semblait pas remarquer son trouble, ce qui ajoutait une dose d’excitation supplémentaire chez Florent à l’idée de se toucher sur sa mère. 
Le jeune homme fixa son regard sur Solange. Celle-ci se caressait toujours les seins d’une main tandis que l’autre titillait son clitoris. Durant un court instant, il essaya de repérer Manon depuis l’endroit où il se trouvait mais il n’y parvint pas et braqua à nouveau son regard vers sa mère. Les seins de Solange toujours exposés à l’air libre, Florent s’imagina les malaxer à pleines mains. Inconsciemment, le jeune homme accéléra le mouvement de sa main sur sa verge. Il s’imaginait désormais déverser sa semence sur la poitrine qui l’avait nourri. Il ralentit cependant le rythme de sa caresse car il se dit qu’avec un peu de chance, il en verrait davantage du corps de Solange. 
Sa patience finit par payer. Alors que le couple s’apprêtait à se mettre en position du missionnaire, il vit sa mère baisser pantalon et culotte au niveau de ses genoux, lui laissant une vue imprenable sur son intimité poilue qu’elle caressait avec force. 
Florent se masturba aussi fort qu’il le pouvait. Dès l’instant où il avait pu admirer l’entrejambe de Solange, il lui importait de peu de jouir avant son père. Tout ce qu’il désirait, c’était se vider en regardant sa mère se masturber. 
Le jeune homme jeta un nouveau regard à Roger. Au bord de la jouissance, celui-ci regardait encore le couple impudique faire des galipettes et ne semblait toujours pas s’être rendu compte que son fils se masturbait en regardant sa femme. 
Au bout de quelques instants, Florent entendit l’homme râler de plaisir et le vit éjaculer sur le visage de sa compagne. À sa gauche, le jeune homme put voir Roger jouir contre un arbre. Comprenant que le temps lui était compté, il accéléra son mouvement, l’image de sa mère en tête, et finit par verser son sperme au sol. 
Le couple parti, Roger et Florent retournèrent au sommet de la montagne pour y retrouver Solange et Manon et manger leur pique-nique. Parents et enfants discutèrent en riant de la scène qu’ils venaient de surprendre. 
— Finalement, elle est plutôt torride, cette randonnée. — Tu vois qu’il n’y a pas que "l’ennui", comme tu dis, à la montagne. 
Sur ces mots, ils finirent leur pique-nique et prirent le chemin de leur chalet pour organiser les derniers moments de leur séjour valaisan. 
[ à suivre ]
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