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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 12

Solange s'occupe du cul de son fils

Inceste
Florent avait passé la nuit à se repasser en boucle dans son esprit l’image de Solange et Manon vêtues de leurs tenues de cuir et harnachées de leurs godes-ceintures. Lorsque sa mère avait annoncé qu’elle et son père allaient poursuivre l’initiation de sa sœur, il ne s’attendait pas du tout à ce que cela se fît de cette façon. Pour lui, le fait qu’un homme accepte de se faire sodomiser, que cela fût par un autre homme ou par une femme, relevait de la soumission volontaire. Et il savait pertinemment qu’il n’était pas le genre d’homme à se soumettre aux caprices féminins. Il avait ensuite pensé à son père. Cet homme, qu’il avait toujours connu fort et solide, n’avait pas réagi à la vue de sa femme et de sa fille équipées de leurs verges factices. Pire : il avait accepté sans broncher de se faire prendre par elles. Il avait beau s’interroger sur les raisons de la réaction de son père mais il ne comprenait pas.
Le jeune homme se leva de son lit sans avoir beaucoup dormi. Machinalement, il se dirigea vers la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. Il croisa Solange dans la pièce mais ne lui adressa pas la parole. Il remarqua également l’absence de Roger et Manon. Dans un premier temps, il voulut interroger sa mère mais il se ravisa, décidant finalement qu’il s’en fichait pas mal. Sans un regard pour elle, Florent mangea sa tartine et but sa tasse de lait avant de remonter dans sa chambre. Il tira les rideaux et ouvrit la fenêtre afin d’aérer la pièce. Il s’habilla et alla faire sa toilette. Ne sachant que faire ensuite, il s’allongea sur son lit et repensa aux évènements de la veille. Sa réaction avait été plutôt véhémente mais il ne la jugea pas disproportionnée au vu de la situation. Lorsqu’il avait quitté la maison, il avait, dans un premier temps, erré sans but dans les rues de Montpellier. Puis, dans un second temps, en passant devant le motel qui employait Rosalie, il avait songé à la jeune femme et à leur relation de maîtresse à élève. Elle lui avait énormément manqué durant ses vacances et il voulait la retrouver. Ayant constaté qu’elle ne se trouvait pas au motel, il l’avait contactée et la jeune femme lui avait donné rendez-vous chez elle.
Leurs retrouvailles avaient été plutôt intenses. En voyant celle dont il pensait désormais être amoureux, Florent n’avait pu résister à la tentation de l’embrasser goulûment. Rosalie lui avait rendu son baiser et les deux amants s’étaient empressés de gagner la chambre de la jeune femme pour poursuivre leurs ébats. Le fait de déshabiller sa « prof » lui avait fait beaucoup de bien et lui avait permis, pendant quelque temps, d’oublier la colère qu’il ressentait à l’égard de ses parents. Le mélange de sensations obtenu par la colère et l’excitation avait procuré une forte passion qui s’était ressentie dans ses caresses, baisers et coups de reins envers Rosalie.
Après leur accouplement, ne se sentant pas encore prêt à rentrer chez lui, Florent avait insisté auprès de la jeune femme pour passer l’après-midi en sa compagnie. Devant la persévérance de son amant, elle avait fini par accepter et le couple était sorti dîner au restaurant avant se promener dans la ville et de retourner chez Rosalie pour de nouvelles retrouvailles intimes.
À ce souvenir, le jeune homme sentit son sexe prendre de l’ampleur. Désirant se soulager, il baissa son short et son boxer à hauteur de ses genoux puis se caressa en faisant de puissants mouvements de va-et-vient. Sachant que Solange allait, à un moment ou à un autre, débarquer dans sa chambre pour lui parler de l’incident de la veille, il se souhaitait se vider rapidement. Quelques minutes plus tard, Florent se félicita de sa clairvoyance. Alors qu’il venait de jouir dans un mouchoir en papier en murmurant le prénom de Rosalie, il eut tout juste le temps de se réajuster et de jeter le mouchoir dans sa poubelle avant d’entendre sa mère frapper à la porte et de la voir entrer.
— Coucou, mon chéri !— Coucou, Maman.
En constatant le ton utilisé par son fils pour la saluer, Solange comprit que les évènements de la veille lui restaient encore en travers de la gorge. Elle en déduisit qu’elle était dans l’obligation de bien choisir ses mots afin de ne pas provoquer une nouvelle crise.— Je me suis beaucoup inquiétée pour toi, hier.— Ah bon ? Tu ne semblais pas trop t’inquiéter de ce que je pouvais penser quand tu as débarqué dans le salon comme une dominatrice.— Justement. J’y ai beaucoup pensé pendant la soirée d’hier. Je me rends compte maintenant que le fait de nous avoir vues, ta sœur et moi, dans ces tenues a dû te faire un choc. Sur le moment, je n’ai pas pensé à mal puisque, juste avant qu’on parte en vacances, tu m’as dit que tu voulais aider Manon.— Et je veux toujours l’aider. Mais pas en perdant ma dignité.— Si je comprends bien, c’est le fait de te faire prendre qui te révulse ?— Oui. Franchement, toutes les fois où j’ai vu des hommes se faire prendre, j’ai ressenti de la honte pour eux.— Quand tu dis que tu as vu des hommes se faire prendre, tu parles de ces vidéos pornographiques qu’on trouve sur internet ?— Oui.— Dans ce cas, je ne suis pas surprise de ta réaction. Tu sais, dans ce genre de vidéos, l’industrie du porno veut mettre certaines idées dans la tête des gens qui les regardent. C’est pour cela que beaucoup de jeunes pensent comme toi.— Si beaucoup de gens pensent comme moi, c’est que c’est vrai.— Détrompe-toi, mon chéri. Le fait de se faire prendre ne rabaisse pas forcément un homme. Tout dépend du cadre dans lequel ça arrive.
— Comment ça ?— Il peut arriver qu’un homme soit pris dans le cadre d’une relation maîtresse-esclave, c’est vrai. Mais cela peut aussi arriver dans une relation qui fonctionne sur la base de l’égalité.— De l’égalité ?— Exactement. Pour t’expliquer ma façon de penser, je vais te poser une question. Si une femme fait une fellation à un homme, pourquoi est-ce qu’elle n’aurait pas le droit à ce que l’homme lui fasse un cunnilingus ?
Florent réfléchit quelques instants. Cette discussion avec sa mère lui avait permis de voir un peu plus clair dans cette situation. En faisant le rapprochement entre les évènements de la veille et la question que Solange venait de lui poser, il comprit que celle-ci lui avait implicitement révélé les bases de sa relation avec Roger.
— Je crois que je comprends mieux. Si je vois juste, tu essaies de me dire que, comme Papa te sodomise, tu le sodomises à ton tour ?— Exactement. Notre relation est basée sur l’égalité et la réciprocité.— D’accord. Je me sens stupide, maintenant. J’ai été très dur avec Manon et toi en disant que je vous ne laisserais jamais faire de moi une tapette. Je suis désolé.— Ce n’est pas bien grave. Maintenant que nous nous sommes expliqués, chacun de nous comprend mieux l’autre. Je suis contente que nous ayons pu parler à coeur ouvert.— Moi aussi. Au fait, où sont Papa et Manon ?— Ils ont décidé de s’accorder une journée entre père et fille pour nous laisser discuter tranquillement d’hier. Ils reviendront ce soir. Et puisqu’on parle d’hier, où est-ce que tu étais pendant toute la journée ?— Au début, j’ai marché en ville. Après, je suis allé voir Rosalie.— Rosalie ? C’est une nouvelle conquête ?— Pas tout à fait. Elle est réceptionniste dans un motel dans lequel j’ai emmené certaines filles, y compris Manon.— Elle ne sait pas que Manon et toi êtes frère et sœur ?— Non, elle ne sait rien.— C’est juste une amie, alors ?— Non, elle est ma « coach ».— C’est-à-dire ?— Elle m’apprend à bien baiser.— C’est donc seulement un plan cul ?— Ça en a peut-être l’air comme ça mais je pense que j’ai des sentiments pour elle.— Elle a quel âge, cette fille ?— Vingt-huit ans.— Un peu âgée pour toi, non ?— Peut-être mais je l’aime.— Eh bien, je suis surprise d’entendre ça. Raconte-moi comment est né ce sentiment.
Florent lui expliqua que Rosalie lui avait souvent loué les chambres du motel à des tarifs préférentiels et que, pour la remercier, il l’avait invitée à dîner un jour où elle et Roger étaient de sortie. Le jeune homme lui raconta qu’il avait déclaré sa flamme à Rosalie et qu’elle et lui avaient, depuis, une relation de maîtresse à élève.
— C’est plutôt romantique comme histoire. Tu étais donc avec elle pendant toute la journée d’hier ?— Oui, Maman.
Solange sourit à son fils, soulagée d’apprendre cette agréable vérité.
— Rosalie est donc ta prof ?— Oui, on peut dire ça.— D’accord. Avant de te laisser, j’aimerais savoir si je peux t’apprendre quelque chose à mon tour.
Le jeune homme comprit de suite où sa mère voulait en venir. Il repensa à leur discussion et à ce qu’il avait appris. Son avis sur la question avait bien changé.
— Puisque c’est avec toi, je veux bien essayer.
Solange sourit.
— Parfait, mon chéri. Nous allons bien nous amuser, toi et moi, je te le promets. Mets-toi à l’aise. Je reviens tout de suite.
Florent s’empressa de se dévêtir. En songeant au corps de sa mère qu’il avait pu contempler lors de leur séjour en Valais, il eut très rapidement une puissante érection. Solange reparut à son tour, dans la chambre, entièrement nue, son gode-ceinture à la main.
— Whaou ! Quelle queue tu as, mon chéri !— Ça, c’est grâce à toi. Tu es très belle aussi.
Solange remercia son fils du compliment par un sourire et s’allongea à ses côtés. Excité par l’idée de pouvoir toucher le corps de sa mère, Florent posa une main sur sa hanche tandis que, de l’autre, il caressait son visage. Le jeune homme déposa un baiser furtif sur ses lèvres puis il lui caressa les seins avant de les téter avec avidité.
— Eh bien, on dirait que mes seins te plaisent.— Oui, Maman. Ils sont magnifiques.
Florent continua de téter la poitrine maternelle pendant quelques minutes avant d’embrasser ponctuellement son corps jusqu’à parvenir à son intimité bien fournie.
— Je peux te lécher, Maman ?— Bien sûr, mon chéri. Mais on va se mettre plutôt comme ça pour que tu puisses profiter de mes deux trous pendant que je m’occupe de ta superbe bite.
Solange passa ses jambes de part et d’autre de son fils et orienta son fessier vers son visage. Dès qu’elle l’eut pris en bouche, elle sentit la langue de son fils s’activer sur sa fente et son petit trou. Elle en fut tout émoustillée et accéléra le rythme de sa fellation. De son côté, Florent ne réalisait pas encore tout à fait qu’il était en train de s’occuper du plaisir de celle qui lui avait donné la vie et sur laquelle il s’était rincé l’œil une semaine auparavant. Pris dans un tourbillon de passion, il s’appliquait à avaler toute la cyprine qui coulait du sexe de Solange en prenant le temps d’en savourer le goût à chaque gorgée.
Sentant son fils désireux de passer à autre chose, Solange cessa sa fellation et s’allongea sur le dos aux côtés de Florent.
— Allez, mon chéri. Fais profiter mes trous de ta belle queue. Baise-moi jusqu’à la jouissance et fais-moi goûter ton jus.
Obéissant aux instructions de sa mère, le jeune homme s’enfonça jusqu’à la garde dans ses chairs intimes et entreprit de la pilonner aussi fort qu’il le pouvait afin de lui faire rapidement ressentir du plaisir. Dès les premiers va-et-vient, Solange gémit de plaisir.
— Oh oui, mon chéri ! Je sens ta queue en moi ! Elle me remplit bien la chatte ! Oui, vas-y, Florent ! Baise-moi bien fort !
Excité par les encouragements de Solange, Florent agrippa ses seins et continua de la prendre de toutes ses forces en les malaxant avec frénésie. Il voulut rester jusqu’à la fin dans ce fourreau duquel il était sorti vingt-deux ans plus tôt mais les désirs de sa mère étaient clairs. Elle souhaitait qu’il la prenne par ses deux orifices. Un peu à contrecœur, il s’en retira pour s’enfoncer dans son rectum. Dès que son sexe fut aspiré par le fondement de sa mère, le jeune homme mit à nouveau toute son énergie à la pilonner.
— Oh oui, c’est bon ! Continue, mon chéri ! Encule-moi bien !
Ces nouveaux encouragements eurent vite fait de motiver Florent, qui n’en avait pas vraiment besoin, à poursuivre son œuvre. Au bout de quelques minutes, le jeune homme sentit qu’il allait jouir. Il se retira et, comprenant ce qu’il se passait, Solange ouvrit la bouche et son fils y répandit sa semence. Elle en avala la totalité puis ils reprirent tous deux leur souffle.
— Apparemment, tu as déjà appris pas mal avec ta Rosalie. Tu baises vraiment très bien !— Merci, Maman. Toi aussi, tu es très bien.— Merci, mon chéri. Bon, maintenant que tu as joui, tu es prêt pour la suite ?— Oui, Maman.
Solange s’empara de son gode-ceinture et le tendit à son fils.
— Comme c’est la première fois que tu te fais prendre, nous allons lubrifier à la fois le gode et ton petit trou. Suce bien mon engin pendant que je te lèche.
Florent s’exécuta tandis que sa mère s’appliquait à laisser le plus de salive possible sur sa rondelle. Lorsqu’elle estima que son fils était prêt, Solange s’équipa du gode-ceinture.
— Ce gode-ceinture mesure vingt-cinq centimètres de long pour quatre de large. Du coup, même en lubrifiant à fond, je doute qu’il puisse entrer entièrement en une fois. Voilà comment ça va se passer : je vais m’enfoncer en toi le plus lentement possible et, dès que tu as mal, tu me le dis et je recommencerai l’opération jusqu’à arriver au bout.
Florent hocha la tête en signe de compréhension puis Solange poussa les premiers centimètres de sa verge factice dans son fondement. Le jeune homme ressentit une première douleur au bout des dix premiers centimètres. Sa mère se retira et enduisit à nouveau le sextoy et sa rondelle de sa salive avant de recommencer l’opération. Pour ce deuxième essai, Solange parvint à enfoncer les vingt premiers centimètres du gode-ceinture avant d’être stoppée par son fils. Une nouvelle fois, elle recouvrit son engin de sa salive tandis que Florent l’aidait en se badigeonnant le petit trou de la sienne. Finalement, suite à cette troisième tentative, Solange s’enfonça jusqu’à la garde dans le rectum de son fils.
— Je suis au fond, maintenant. Ça va ?— Oui, Maman.— D’accord. Je vais te baiser lentement. Si tu as mal, tu me le dis.
Florent hocha la tête et Solange entama une série de lents va-et-vient sans constater le moindre signe de douleur chez le jeune homme.
— Ça va ? Je peux y aller plus fort ?— Oui, Maman.
Solange accéléra le rythme de ses va-et-vient. À sa grande surprise, Florent ne manifesta aucun signe de souffrance. Elle décida donc de le pilonner à son tour de toutes ses forces.
— Tu aimes, mon chéri ?— Oui, Maman. C’est meilleur que je ne le pensais. Vas-y à fond !
Encouragée par son fils, Solange crispa ses mains sur les hanches de son fils et le sodomisa de toutes ses forces jusqu’ à en être essoufflée. De son côté, Florent était tout excité de subir ses coups de reins et cela se traduisait par sa verge érigée qu’il masturbait. Le jeune homme finit par jouir à l’instant même où sa mère se retirait de son orifice. En voyant le sperme répandu sur le ventre de son fils, elle eut un sourire ravi.
— Apparemment, ça t’a plu que je te prenne.— Oui, Maman. C’était super. On peut recommencer quand tu veux. Même avec Manon, pourquoi pas.— Oui, c’est une très bonne idée. En attendant, est-ce que je peux lécher ce délicieux jus qu’il y a sur ton ventre ?— Oui, si ça te fait plaisir.
Solange lécha le ventre de son fils pour avaler tout le liquide qui s’y trouvait.
— D’ailleurs, en parlant de recommencer, il y a une autre personne avec laquelle tu pourrais revivre cette expérience.— Qui ?— Eh bien, ta chère Rosalie.— Rosalie ? Mais si je lui dis ce qu’il se passe, elle ne voudra plus jamais me voir.— Si tu l’aimes, tu dois lui dire la vérité au sujet de Manon et toi. Et si elle t’aime, elle comprendra les raisons de tes actes et pourra s’adapter.— D’accord. Je lui raconterai tout demain, quand je la verrai.— Très bien.
Solange et Florent se rhabillèrent puis dînèrent léger avant d’attendre Roger et Manon pour le repas du soir. L’ambiance étant à nouveau un peu plus chaleureuse, les conversations tournèrent autour de leurs aventures en Suisse et en Espagne. Le jeune homme y prêta une oreille distraite, inquiet de ce qu’il pouvait advenir de sa relation avec Rosalie.
 [ à suivre ]
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