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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 14

Conciliabule entre femmes

Divers
Dans l’incapacité de trouver de trouver le sommeil, Florent s’était endormi très tard dans la nuit. Il n’avait pu s’empêcher de penser à la journée qu’il avait passée et à ce que Rosalie lui avait fait faire. D’une part, il avait honte d’avoir eu à avouer le fait impensable qu’il couchait avec sa propre sœur. D’autre part, le jeune homme savait qu’il avait fait ce qu’il fallait en racontant toute la vérité à celle qu’il aimait.
Victime de ses cogitations, il ne se réveilla le lendemain que dans les alentours des onze heures. En se rendant dans la cuisine pour prendre son petit-déjeuner, il croisa Solange et Manon. Toutes deux étaient en grande conversation et se turent dès son entrée dans la pièce.
— Qu’est-ce que c’est que ces messes basses ?— Nous avons contacté Rosalie pendant que tu dormais. Elle passera ici dans l’après-midi et ta sœur et moi étions en train de réfléchir à la meilleure façon de préparer cet entretien.— D’accord. Et comment était Rosalie au téléphone ?— Très polie. Je l’ai sentie encore sous le choc des révélations que tu lui as faites mais elle me semble aussi très ouverte à la discussion.— Ça me rassure. Vous souhaitez que je sois présent ou pas ?— Mieux vaut que non. Si Rosalie vient ici, c’est pour entendre nos explications. Donc, dans l’idéal, il vaudrait mieux que tu ne restes pas ici lorsqu’elle sera là. Bien entendu, nous te raconterons comment ça s’est passé.— Bon, d’accord. Et à quelle heure vient Rosalie ?— Dans les alentours des quinze heures.— Parfait. Et Papa est au courant de ce qu’il s’est passé entre Rosalie et moi ?— Oui, je l’en ai informé. C’est justement pour ça que j’ai pensé que ce serait bien que vous preniez une journée pour être entre hommes.— Il ne sera pas là non plus pour Rosalie ?— Il a voulu au début mais je lui ai dit qu’il valait mieux que nous soyons entre femmes.— D’accord. J’espère que tout se passera bien.— Nous ferons tout pour, mon chéri.
Rassuré par les paroles optimistes de sa mère, Florent finit sa collation et, après s’être habillé et avoir fait sa toilette, rejoignit Roger dans le garage.
— Bonjour, mon petit gars ! Maman t’a expliqué qu’elle nous « met à la porte » pour la journée ?— Oui. Enfin, elle m’a plutôt dit qu’elle nous donnait notre liberté pour la journée. Qu’est-ce qu’on va faire ?— Des choses qu’on fait entre hommes. Tu verras, j’ai quelques idées qui vont te plaire et te faire oublier le rendez-vous entre ta mère, Manon et ta copine.— Je me réjouis d’avance, dans ce cas.

Père et fils montèrent dans la voiture et prirent la route en direction de la première destination que Roger réservait à son fils. De leur côté, Manon et Solange poursuivirent la conversation qu’elles avaient commencée avant l’irruption de Florent.
— Maman, tu crois que Rosalie va être réceptive à nos explications ?— Elle l’a été avec celles de ton frère. Nous ne ferons que confirmer ce qui a déjà été dit et, éventuellement, répondre à ses questions si elle souhaite plus de précisions.— J’ai quand même peur que tout foire et que notre secret finisse par être raconté à tout le monde.— Mais non, ma chérie. Rosalie a promis de ne rien raconter à qui que ce soit. Je ne la connais pas beaucoup mais je pense que c’est une femme de parole.— Espérons que tu aies raison.
Sur ces mots, les deux femmes décidèrent de manger un petit quelque chose avant de se détendre devant un film qui passait à la télévision, en attendant que Rosalie arrivât. Comme convenu, à quinze heures précises, on sonna à la porte. Solange alla ouvrir et laissa entrer la jeune femme.
— Bonjour, Mademoiselle. Vous devez être Rosalie.— Bonjour, Madame. C’est bien moi. J’imagine que vous devez être Solange, la maman de Florent.— Oui, c’est exact. Venez avec moi dans le salon. Nous y serons plus à l’aise pour discuter.
Rosalie suivit Solange jusque dans le salon où Manon les attendait. Les deux femmes se présentèrent puis Solange lança les débats.
— J’imagine que vous avez beaucoup de questions qui vous viennent à l’esprit. Avant d’y répondre, j’aimerais savoir ce que mon fils vous a dit exactement.— Il m’a avoué qu’il a emmené Manon au motel où je travaille et qu’elle et lui sont frère et sœur. Il m’a aussi expliqué qu’il avait, il y a quelque temps, trouvé Manon « en souffrance », pour reprendre ses termes, et qu’il est allé lui parler pour savoir ce qu’il se passait. Elle lui aurait alors expliqué qu’elle est amoureuse d’un certain Johann et que ce garçon semble avoir une vie sexuelle très riche. Il m’a raconté que Manon a cherché, en vain, sur internet un garçon susceptible de lui prendre sa virginité. Et comme il était le seul garçon susceptible de l’aider, il aurait accepté par amour pour elle.— C’est bien comme ça que ça s’est passé, ma chérie ?— Oui, Maman. Je tiens à ajouter qu’il ne voulait pas au début. Il m’a d’abord dit que j’étais folle, que je lui demandais de commettre un inceste. J’ai insisté et il a fini par accepter.
Rosalie hocha la tête en signe de compréhension puis Manon poursuivit son récit.
— On a d’abord commencé par des préliminaires comme le cunnilingus et la fellation. On a ensuite fait un soixante-neuf puis il m’a suggéré de regarder quelques vidéos pour me faire une idée de ce qu’il s’y passe. J’en ai regardé une puis j’ai noté sur un papier les positions sexuelles que je voulais essayer avec lui. Notre premier rapport incestueux complet s’est déroulé au motel.
Se souvenant de son dîner en tête-à-tête avec Florent, la jeune femme voulut vérifier la justesse d’un soupçon qu’elle venait d’avoir.
— Et ce dîner auquel ton frère m’a invitée ? C’était ton idée ?— Le dîner, c’était son idée. Mais j’ai insisté pour qu’il vienne vers toi parce que j’ai remarqué que tu lui plaisais. Et c’est toujours le cas aujourd’hui. Il me l’a dit pendant nos vacances : il t’aime. Entre lui et moi, c’est temporaire.— Tu nous as donc vus faire l’amour, ce soir-là ?— Oui, mais je voulais simplement voir comment une femme plus expérimentée que moi s’y prenait.
En écoutant les paroles de Manon qui lui paraissaient sincères, Rosalie se prit à sourire.
— Tu me rappelles moi-même quand j’avais ton âge. Je voulais aussi apprendre par l’observation. Je n’ai malheureusement eu que les vidéos porno. Toi, tu as eu la chance de voir un couple en chair et en os devant toi. Pour le moment, ta version et celle de ton frère semblent coller. Cependant, si je comprends mieux la relation entre vous deux, j’aimerais savoir comment, vous, Solange avez pu prendre part à ça.
Solange réfléchit quelques instants puis commença la narration de sa découverte.
— Avant que nous ne partions en vacances, j’ai découvert le papier dont Manon vous a parlé pendant que je préparais les valises. J’ai, bien entendu, d’abord été choquée de voir ça mais mon mari m’a convaincue d’en parler avec Florent et Manon et ils m’ont donné la même explication que celle que ma fille vient de vous livrer. Par amour pour notre fille, mon mari et moi avons souhaité l’aider en lui apportant notre expérience.
Comprenant désormais un peu mieux le puzzle familial qui lui avait été révélé par son jeune amant, Rosalie sentit sa colère et son dégoût s’atténuer. Devant la sincérité des deux femmes, elle décida de s’intéresser à la suite de leur histoire.
— C’est en effet très affectueux de votre part. Sûrement un peu trop mais je comprends votre démarche. Sinon, Florent m’a également raconté que vous l’avez sodomisé, Solange. Il m’a également dit que vous avez enseigné l’art de la domination à Manon. Pourquoi lui avoir enseigné cela aussi vite ?— Avant notre retour de vacances, je voulais savoir où en était ma fille dans ses expériences pour que je puisse avoir une idée de ce que je pouvais lui apprendre. Contrairement à ce à quoi je m’attendais, elle m’a raconté avoir participé à une partouze lors d’une fête en Valais. Comme elle avait déjà vu les préliminaires avec Florent, la seule chose que je pouvais encore lui apprendre était la domination. Bien sûr, Florent n’a pas apprécié tout de suite mais il a fini par comprendre.— Oui, il m’a raconté cet épisode.
Pensant avoir raconté toute l’histoire, Solange sentit qu’elle devait à son tour poser une question à Rosalie.
— Mon fils m’a dit que vous étiez sa « coach » et qu’il vous aimait. Est-ce que vous l’aimez aussi ?— Il m’a dit qu’il m’aime et qu’il veut être avec moi. De mon côté, je me suis attachée à lui mais ce qu’il m’a raconté m’a un peu secouée. Maintenant que je connais la vérité, je pense que ma réaction est due au fait que je l’aime, moi aussi.— Je suis soulagée d’entendre ça parce que, avec Manon, nous avons pensé offrir une fête d’anniversaire mémorable à Florent mais, pour cela, nous avons besoin de vous.— Je crois que je vois de quoi vous voulez parler. Dans ce cas, pas de problème : je vous aiderai avec plaisir. Je pense également que nous pouvons nous tutoyer.— Oui, bien sûr, Rosalie. Tu veux boire quelque chose ?— Ce serait avec plaisir mais je dois aller travailler.— Pas de souci. Je te contacterai en temps voulu pour la fête.— D’accord. J’attends ton appel, Solange. Quant à toi, Manon, si tu as besoin de conseils, je serai là pour toi.— Merci, Rosalie. À bientôt.
Solange et Manon raccompagnèrent Rosalie jusque sur le pas de la porte puis, après un dernier au revoir, firent le bilan de leur entrevue.
— Tu avais raison, Maman. Rosalie s’est montrée très compréhensive. Elle est même d’accord de m’aider.— Je te l’avais bien dit. Bon, il se fait tard et ton père et ton frère ne vont pas tarder à rentrer. Je vais préparer le dîner.
Solange s’affaira dans la cuisine tandis que Manon regagnait sa chambre. Ne sachant que faire, la jeune femme consulta ses réseaux sociaux. En parcourant son fil d’actualité Facebook, elle constata que plusieurs de ses amies avaient répondu à un évènement organisé dans la ville. Curieuse, Manon cliqua sur le lien de l’évènement et fut agréablement surprise en découvrant le nom de l’organisateur. Il s’agissait ni plus ni moins que de Johann, celui pour lequel elle s’était embarquée dans toute cette histoire. La jeune femme constata également que la fête tombait un vendredi soir, la veille de son anniversaire.Tout excitée, elle se précipita dans la cuisine pour en parler à sa mère.
— Maman ! Johann organise une fête ce vendredi soir. Il faut absolument que j’y aille.— Bien sûr, ma chérie. Si tu sens que c’est le bon moment pour tenter de cueillir ce jeune homme, tu as tout mon soutien. Il faudra juste en informer ton père et ton frère.— Pas de problème. Et puis, au pire, si ça ne se passe pas comme je l’espère, j’aurai toujours ma fête d’anniversaire pour me consoler. Et si ça passe bien, ma fête d’anniversaire ne sera que du bonus.
En voyant l’enthousiasme de sa fille, Solange ne put réprimer un sourire en se souvenant de ses jeunes années et du premier baiser qu’elle avait échangé avec celui qui allait devenir son mari.
— J’espère pour toi que tout se passera bien. En attendant, va te préparer. Le dîner sera bientôt prêt.
Manon obtempéra et Roger et Florent revinrent quelques minutes plus tard pour le repas. Comme elle l’avait promis, Solange raconta aux deux hommes l’entrevue que Manon et elle avaient eue avec Rosalie.
— Ça s’est très bien passé. Tu as vraiment bien choisi ta copine, mon chéri.— Elle a même proposé son aide au cas où j’en aurais besoin.— Je suis ravi de l’apprendre. Qu’est-ce qu’elle a dit d’autre ?— Elle a compris pourquoi nous faisons ce que nous faisons et elle a dit qu’elle t’aimait. Elle a aussi accepté de nous aider pour te faire une belle surprise pour ton anniversaire.— Cool. Je me réjouis d’avance.— J’ai aussi une autre nouvelle à vous annoncer. Florent, Papa, vendredi soir, Johann organise une fête.— Et tu comptes te le faire ?— Bien sûr ! Je me sens prête et je vais le faire tomber amoureux de moi.— Je te souhaite de réussir, dans ce cas.— Et toi, Papa, qu’est-ce que tu en penses ?— J’en pense que ce Johann a beaucoup de chance que tu sois amoureuse de lui parce que, par expérience, je peux affirmer sans mentir que tu sais donner du plaisir comme personne. Enfin, presque personne.
Saisissant l’allusion, Solange adressa un sourire à son époux.
— Et vous deux, alors ? Qu’est-ce que vous avez fait de votre journée ?— On est allés manger un burger dans un restaurant américain. Délicieux. Ensuite, on est allés voir un défilé de mode. Les mannequins ont défilé en robe, en maillot de bain et, partie la plus intéressante, en sous-vêtements.— Hum… Intéressant, votre programme. Vous n’avez pas oublié les deux charmantes personnes qui vivent avec vous ?— Bien sûr que non. Comment aurions-nous pu nous permettre pareil outrage ?
Au ton faussement irrité de Roger, tous éclatèrent de rire et le repas se poursuivit dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Tandis que Florent se demandait quelle surprise allaient lui réserver les trois femmes de sa vie pour son anniversaire, Manon réfléchissait déjà à son plan d’attaque pour conquérir Johann.
[ à suivre ]
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