Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 261 J'aime
  • 6 Commentaires

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 15

Manon fait ses preuves

Hétéro
Le jour J arriva plus vite qu’elle ne le souhaitait pour Manon. En ce vendredi soir, à la veille de son anniversaire, elle avait la ferme intention de séduire celui qu’elle aimait. Cependant, plusieurs éléments rendaient cette soirée difficile à appréhender. D’une part, la jeune femme s’attendait à ce que Johann fût particulièrement sollicité par la gent féminine, ce qui ne laissait qu’une faible probabilité pour qu’elle se trouvât seule en sa compagnie. D’autre part, elle savait que le choix de sa tenue allait jouer un rôle primordial dans le succès ou l’échec de son opération.
Aux alentours des dix-huit heures, au terme d’une journée passée à la fois sous le coup de l’impatience et celui de l’appréhension, Manon, devant sa glace et ses tenues jetées en désordre sur son lit, hésitait. Elle voulait avoir un style vestimentaire suffisamment provoquant pour attirer le regard de Johann mais suffisamment sage pour ne pas subir d’injures de la part des autres invités de la fête. Vêtue uniquement d’un soutien-gorge et d’une petite culotte, la jeune femme essaya plusieurs tenues sans qu’aucune ne lui parût convenir. À la fois furieuse et abattue, Manon s’allongea sur son lit en lançant un juron.
Alertée par la voix de sa fille, Solange entra dans sa chambre.
— Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ? Pourquoi tu t’énerves comme ça ?— Je n’ai aucune tenue qui puisse taper dans l’œil de Johann et ça m’énerve.
Solange inspecta les vêtements empilés sur le lit de Manon.
— Pour taper dans l’œil d’un homme, il faut que tu portes une tenue qui souligne tes atouts. Dans ton cas, tu es plutôt fine, tu as une magnifique poitrine et un beau visage. Selon moi, tu devrais porter une robe assez moulante. Et, pour chauffer ces gorges masculines, je te conseille même de ne pas mettre de soutien-gorge.
Manon parut interloquée par le dernier conseil de sa mère.
— Tu es sûre que ça ne fait pas un peu « pute » de ne pas mettre de soutien-gorge ?— Pas du tout. Tant que ta robe arrive au moins à hauteur de tes genoux, ça ne posera pas de problème.— Bon, d’accord. Dans ce cas, qu’est-ce que tu me suggères comme tenue ?
Solange chercha quelques instants parmi les robes entassées sur le lit de sa fille et finit par jeter son dévolu sur une robe bleu marine.
— Je pense que cette robe pourrait te convenir. Enlève ton soutien-gorge et mets-la.
Manon obtempéra et se regarda dans le miroir.
— Ça donne vraiment bien. Merci, Maman !— Avec plaisir, ma chérie. Et si tu montrais ta tenue à ton père et ton frère pour voir ce qu’ils en pensent ?— Bonne idée ! Comme ça, j’aurai au moins une opinion masculine. Je finis de me préparer et je descends.
Solange redescendit à la cuisine tandis que Manon finissait sa mise en beauté en soulignant légèrement ses yeux avec du mascara et en se parfumant. Afin d’ajouter une touche personnelle à sa tenue, la jeune femme décida de se parer d’un collier en or que ses parents avaient reçu en cadeau à sa naissance. Lorsqu’elle descendit pour le dîner, elle fut tout de suite accueillie par les sifflements admiratifs de Roger et Florent.
— Vous me trouvez bien ?— Même très bien. Tous les gars n’auront d’yeux que pour toi, frangine.— Merci, frangin. Et toi, Papa, tu en penses quoi ?— J’en pense que ma fille est une vraie bombe. Tu peux avoir n’importe quel garçon, ma chérie.— Merci, Papa. J’espère que tu dis vrai.
Le dîner se déroula tranquillement puis, après avoir aidé les trois autres à faire la vaisselle, Manon mit ses plus belles chaussures à talons et sortit pour se rendre à la fête. Portée par son impatience et son amour pour Johann, la jeune femme ne mit que quelques minutes à trouver le lieu des réjouissances. Dès qu’elle passa le seuil de la porte, Manon chercha de suite Johann du regard et le trouva près de la table de mixage en compagnie de deux filles et de quelques-uns de ses amis.
Tout en gardant un œil sur le jeune homme, elle se dirigea vers le bar aménagé spécialement pour l’occasion et se servit un verre de rhum-coca. Manon dégusta sa boisson tout en observant Johann. Attirées par une chanson qui devait leur plaire, les deux filles l’avaient quitté pour la piste de danse. Ne faisant pas cas de cet évènement, le jeune homme discutait toujours avec ses amis. En les voyant rire, la jeune femme voulut connaître l’objet de leur discussion. Afin de rester discrète, elle s’approcha doucement de la table de mixage, son verre à la main, tout en restant à bonne distance pour ne pas les alerter. Par chance, malgré le volume élevé de la musique, Manon put entendre leur conversation.
— Alors, mon pote, tu comptes te faire une meuf ce soir ?— Bien sûr ! Tu crois quoi ? C’est ma fête. Je peux coucher avec n’importe quelle fille.— Ah oui ? Dans ce cas, pourquoi tu n’as pas essayé de draguer les deux meufs qui étaient avec nous tout à l’heure ?— Pour la simple et bonne raison que ce sont juste des pouffiasses. Elles chauffent et, au moment de conclure, elles te disent qu’elles ne sont pas prêtes. Je veux trouver une meuf qui ne soit pas coincée.
Ces premiers échanges rassurèrent Manon. Elle savait désormais que Johann ne souhaitait pas coucher avec n’importe quelle fille. Forte de ses convictions, elle décida d’attendre que Johann fût délaissé par ses amis pour aller lui parler. En attendant, elle décida de continuer à écouter la discussion entre les deux jeunes hommes.
— Tu en as pourtant décoincé plus d’une. De pucelles, certaines sont devenues de vraies salopes grâce à toi.— Peut-être mais, ce soir, je ne veux pas de ce rôle. Je veux trouver une fille qui a un minimum d’expérience.— Dans ce cas, bonne chance, parce que là, je n’en vois pas une qui ait l’air de répondre à tes critères. Bon, je vais aller chercher des bières.— Oui, bonne idée.
Voyant là sa chance, Manon attendit que Johann fût effectivement seul pour s’approcher de lui.
— Hé, Johann ! Tu vas bien ?— Salut, … Manon, c’est ça ?— Oui. Très belle fête, ce soir.— Tu le penses vraiment ?— Bien sûr. Tu n’es pas convaincu, toi ?— Pas vraiment. Je m’attendais à ce que garçons et filles aillent plus les uns vers les autres. Là, je ne vois que des clans de gars et des clans de filles. C’est un peu barbant, ce genre de trucs.— Oui, j’avoue. Ça fait un peu gamin.— C’est justement pour ça que je commence à regretter d’avoir organisé cette fête.— Il ne faut pas désespérer. Avec le temps et l’alcool, il y aura peut-être des choses qui vont se passer.— Tu as peut-être raison. En attendant, une petite danse ?— Euh… oui, pourquoi pas mais quel genre de danse ?— Tu es marrante, toi. Un slow, bien sûr.— Oui, c’est vrai. Désolée, je peux être complètement à côté de mes pompes, parfois. Oui, un slow me conviendrait parfaitement.
Johann se dirigea vers la table de mixage. Il attendit que la chanson fût passée avant de lancer le premier slow de la soirée. À sa grande surprise, il constata que quelques couples de danseurs s’étaient formés. Il attira Manon sur la piste de danse et tous deux dansèrent en se collant inconsciemment de plus en plus l’un à l’autre. Tout au long du morceau, la jeune femme sentit le regard de celui qu’elle aimait lorgner sur sa poitrine. Flattée, elle tâcha pourtant de faire comme si elle n’avait rien remarqué et continua à danser jusqu’à la fin de la chanson.
Sentant le besoin de ses invités de bouger sur un rythme plus rapide, Johann passa un morceau de hip-hop et il invita Manon à prendre un verre au bar. La jeune femme accepta la proposition et les deux jeunes gens bavardèrent joyeusement.
— Ça fait bien longtemps que je n’ai plus dansé le slow.— Ah bon ? C’est plutôt surprenant. Je pensais que tu le faisais un peu plus souvent vu que les jeunes filles apprécient les bons danseurs.— Oui, effectivement. Mais, tu vois, je ne cherche plus des jeunes filles mais des jeunes femmes.— Je vois. Et quelle serait la différence entre une fille et une femme d’après toi ?— Les filles que j’ai connues et la majorité de celles qui sont ici ce soir sont le genre à chauffer un mec jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et décide d’aller plus loin mais, quand le moment M arrive, elles se dérobent sous dieu sait quel prétexte. Les femmes, elles, s’assument. Elles assument leur caractère, leurs désirs, leur tenue…— D’accord. Et tu as vu des femmes ici ? Enfin, selon tes critères ?— Oui, mais très peu. Heureusement, j’ai eu la chance de danser avec l’une d’entre elles.— Je dois donc comprendre que tu me vois comme une femme ?— Oui, exactement. Et une femme très attirante et très…— Très attirante et très… ?— Euh… Désirable.— Je le prendrais volontiers comme un compliment mais tu es sincère ou tu dis ça pour me faire plaisir ?— Je suis sérieux, Manon. Je peux comprendre que tu puisses me voir comme un coureur de jupons au vu du nombre de relations que j’ai eues mais je ne suis plus intéressé par ça. Avant, je disais aux filles ce qu’elles voulaient entendre pour les mettre dans mon lit mais, maintenant, je leur dis réellement ce que je pense.— Apparemment, tu as l’air d’avoir changé. Est-ce que je peux le vérifier ?— Demande-moi ce que tu veux et je le ferai.— Tu n’as pas besoin de faire grand-chose. Juste de te laisser faire.
Sous le regard interrogatif du jeune homme, Manon posa sa main sur son pantalon, à l’endroit où était situé son entrejambe. Johann eut d’abord un petit sursaut de surprise puis il se ravisa en voyant la jeune femme lui sourire.
— C’est vrai. Tu ne m’as pas menti.— Euh… Manon… Ces choses, ça ne se contrôle pas.— Je sais. Mais ça peut prouver beaucoup de choses. Apparemment, je te plais.— Tu es juste à tomber ce soir.— Merci du compliment mais tu veux savoir ce que je veux vraiment ?
Sans laisser le temps à Johann de répondre, Manon lui prit la main et la porta à ses seins. Le jeune homme sentit quelque chose de petit et dur sous ses doigts.
— Tes tétons sont tous durs. Ça veut dire que…— Qu’il se pourrait bien que tu me plaises aussi.
Sur ces derniers mots, la jeune femme donna un baiser sur les lèvres de Johann que celui-ci lui rendit.
— Tu embrasses sacrément bien. Tu te sens prête pour aller plus loin ?— Si tu connais un endroit où on peut être tranquilles, je te dis oui tout de suite.— Ma chambre est fermée à clé. Le lit est assez grand pour nous deux et personne ne risque de venir nous déranger.— Eh bien, dans ce cas, ça me va.
Après avoir échangé un dernier baiser langoureux, Manon et Johann prirent la direction de la chambre à coucher du jeune homme. Johann s’empressa de refermer la porte derrière eux et entreprit d’effeuiller Manon. Il fit glisser la fermeture éclair de sa robe qui tomba au sol, dévoilant sa poitrine généreuse et ses hanches sculptées. Le jeune homme admira également les jambes fuselées de Manon. Seul son sexe était encore dissimulé par sa petite culotte. Excité par cette vision,  Johann voulut enlever le dernier bout de tissu qu’il restait sur le corps de la jeune femme mais celle-ci l’arrêta en souriant.
— Laisse-moi nous remettre à égalité, petit coquin.
Manon ôta la chemise de Johann et admira son torse musclé qu’elle caressa avec envie. La jeune femme s’attaqua rapidement à son pantalon qui glissa le long de ses jambes pour rejoindre sa chemise sur le sol, ne lui laissant plus que son boxer. Sur le moment, elle voulut l’enlever de suite avec ses mains mais elle eut une pensée pour Florent et le petit jeu auquel ils avaient joué au début de son initiation.
— Tu as envie de jouer un petit peu, beau gosse ?— Tu penses à quoi comme jeu ?— Disons que si tu veux ma chatte, il te faudra me retirer ma petite culotte avec tes dents.— Petite coquine ! J’accepte le défi.
Johann s’agenouilla devant Manon et mordit dans le tissu. Maladroitement, il fit glisser le sous-vêtement. Peu à peu, le jeune homme arriva à ses fins, faisant tomber la petite culotte de la jeune femme au sol. Il se releva pour contempler son corps.
— Tu es une vraie beauté…— Tu n’es pas mal non plus. À mon tour.
La jeune femme s’agenouilla à son tour devant son partenaire. Plus adroite, elle ne mit que peu de temps à le débarrasser de son dernier sous-vêtement.
— Encore plus belle que je ne le pensais, ta queue !— Tu y es pour beaucoup.
Johann et Manon échangèrent un nouveau baiser, leurs mains partant à la découverte du corps de l’autre. Lorsqu’ils interrompirent leur baiser, le jeune homme souleva sa partenaire de terre et la déposa sur le lit avant de se vautrer lentement sur elle. Comprenant que Johann n’était pas du genre patient, Manon décida tout de même de faire durer le plaisir.
— Pas si vite… On a tout notre temps. Allonge-toi. Je vais te faire du bien.
Johann s’allongea sur le dos et Manon joua quelques instants avec sa verge et ses testicules avant de commencer une fellation.
— Hum… Oh oui, Manon ! Continue comme ça ! Tu suces vraiment trop bien.
Encouragée par ces propos, la jeune femme poursuivit son œuvre durant quelques minutes puis elle décida qu’il était temps d’accueillir Johann en elle. Elle s’allongea à son tour sur le dos et invita son partenaire à venir la prendre mais, à sa grande surprise, celui-ci voulut ajouter une autre étape avant ce moment crucial.
— Attends, ma belle. Comme tu l’as dit, on a tout notre temps. Aucune fille ne m’a jamais sucé comme tu l’as fait. Il serait normal que je te rende la pareille.
Sur ces mots, Johann plaça son visage entre les cuisses de Manon et lui prodigua un cunnilingus. Au vu de la maladresse de ses coups de langue, la jeune femme comprit rapidement qu’elle était certainement l’une des premières, si ce n’était la première, à recevoir un tel traitement de sa part. Cependant, elle fut assez satisfaite de la capacité de Johann à comprendre rapidement les choses. Au bout de quelques minutes, le jeune homme comprit où et comment il fallait lécher pour lui donner un peu de plaisir et Manon ne tarda pas à avoir un premier orgasme.
Le visage éclaboussé de cyprine, Johann fit preuve de classe en absorbant le breuvage au risque de ne pas en apprécier le goût.
— Alors, j’ai bon goût ?— Hum, hum.
Manon sourit et se positionna à quatre pattes sur le lit, incitant le jeune homme à la prendre en levrette. Dès la première poussée, la jeune femme comprit que le parcours qu’elle avait suivi avec Florent et ses parents n’avait pas été inutile. Les mains crispées sur ses hanches, Johann la baisait avec force, lui arrachant des cris de plaisir.
— Hum… Oh oui ! Baise-moi bien fort, Johann ! Je te veux en moi !
Excité par ces encouragements, le jeune homme accéléra le rythme de ses mouvements jusqu’à sentir la jouissance le gagner.
— Manon ! Je vais jouir !— Non ! Ne le fais pas tout de suite.
La jeune femme retira la verge de Johann de son intimité puis se rallongea à nouveau sur le dos en levant ses jambes aussi haut qu’elle le pouvait.
— Vas-y, Johann ! Je veux que tu t’occupes de mon autre trou.— Tu es sûre ?!
Manon hocha la tête et Johann s’enfonça lentement dans son fondement, de peur de lui faire mal. Constatant que la jeune femme ne souffrait pas, il se mit à la pilonner de toutes ses forces sous ses encouragements. Au bout de quelques minutes, le jeune homme se sentit à nouveau sur le point de jouir.
— Manon ! Cette fois, je vais jouir !— Vas-y. Jouis sur mon corps !
Tandis que son partenaire se retirait de son arrière-train, la jeune femme ouvrit la bouche pour l’inviter à y déverser sa semence. Johann se caressa durant quelques secondes au-dessus de Manon puis il éjacula sur ses seins, son visage et dans sa bouche. Après avoir avalé le sperme qui se trouvait dans sa bouche, Manon nettoya la verge de Johann d’une ultime fellation puis les deux jeunes gens se rhabillèrent.
— Eh bien, Manon ! Tu es un sacré coup. Il faudrait qu’on se revoie.— Ça dépend pour quoi on se revoit. Si tu veux un simple plan cul, c’est non. Mais si tu veux construire une relation sérieuse avec moi, je veux bien te donner une chance.— Je veux être avec toi, Manon.
La jeune femme sourit et les deux jeunes gens s’échangèrent leur numéros de téléphone. Dès que la fête eut touché à sa fin, Manon et Johann, aidés de quelques amis, rangèrent la maison puis elle reprit la direction de son domicile, impatiente de tout raconter à son jumeau et à ses parents.
[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live