Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 167 J'aime
  • 0 Commentaire

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 1 - Ce que l'on peut faire par amour

Chapitre 19

Test d'endurance

Hétéro
Au lendemain du défi lancé par Roger, Johann reçut un SMS de Florent lui indiquant de le retrouver à la gare de Montpellier dans l’après-midi dans le cadre de son épreuve. Le jeune homme se demanda aussitôt pour quelle raison le frère de celle qu’il aimait lui fixait un rendez-vous en dehors de la maison familiale et ce que cela pouvait bien cacher. Il se garda cependant de questionner son examinateur, anticipant une réponse évasive de la part de ce dernier.
Tout en mangeant sa collation sans faim, Johann essaya de trouver une idée de ce à quoi il pouvait s’attendre avec Florent. Il repensa d’abord à ce moment passé à satisfaire les désirs de Solange jusqu’à laisser celle-ci le prendre. À ce souvenir, le jeune homme sentit honteusement son sang durcir son sexe. Le jeune homme se remémora ensuite sa séance avec Roger durant laquelle il avait dû sortir de sa zone de confort.
Johann finit son petit-déjeuner avec, en tête, le constat frustrant que Florent lui imposerait certainement une épreuve à caractère sexuel comme ses parents l’avaient fait avant lui mais qu’il n’avait pas la moindre idée quant à sa nature. Le jeune homme finit par se changer et regarder la télévision en attendant l’heure de son entrevue avec Florent.
Aux alentours des treize heures, il sortit de chez lui et prit la direction de la gare. En pénétrant dans le hall, il aperçut un jeune homme qui lui faisait signe et l’identifia rapidement comme étant Florent. Johann s’avança vers lui pour le saluer.
— Salut, Florent. — Salut, Johann. Merci à toi d’être venu pour mon épreuve. — C’est normal mais pourquoi m’avoir fait venir ici plutôt qu’à la maison ?— Je vais t’expliquer. Viens.
Les deux jeunes hommes quittèrent la gare pour se rendre dans une ruelle peu fréquentée à l’écart des passants.
— La raison pour laquelle je t’ai fait venir ici est que nous allons nous rendre chez une amie de ma sœur qui est de mèche avec moi pour aujourd’hui. — Qu’est-ce que tu attends de moi, Florent ?— Je veux que tu la baises comme tu le fais avec Manon. — Mais tu es complètement cinglé ?! J’aime Manon et je ne veux pas la tromper. Et encore moins avec l’une de ses copines. — Je le sais bien mais je veux tester ton endurance. Ce serait très embêtant pour ma sœur si elle devait se coltiner un éjaculateur précoce. — Premièrement, je ne suis pas du tout un éjaculateur précoce. Deuxièmement, si tu tiens tant que ça à savoir si je suis endurant ou pas, pourquoi tu ne l’as pas demandé à Manon ou une autre fille avec laquelle j’ai partagé mon lit ?— Manon est amoureuse. C’est pourquoi elle manque d’objectivité. Quant aux autres filles que tu as pu baiser, elles ne se souviennent peut-être pas de combien de temps ça a duré. Pour ces raisons, je veux vérifier ça par moi-même. — Tes arguments se tiennent mais tu oublies que tu me demandes de tromper Manon. — Je te garantis qu’elle n’en saura jamais rien et, même dans le cas où elle venait à l’apprendre, je lui expliquerai que c’est entièrement ma faute puisque c’est moi qui t’aurai poussé à le faire. Comme je te l’ai dit, c’est ton endurance que je teste et pas ta fidélité. Alors, tu relèves le défi ou pas ?— Je vais sans doute regretter ma réponse mais, oui, je relève le défi... Pour Manon.
— Je préfère ça.
Florent et Johann quittèrent la ruelle et marchèrent durant quelques minutes jusqu’à parvenir à l’entrée d’un immeuble récemment rénové. Florent sonna à l’interphone puis, après quelques mots échangés avec son interlocutrice, un grésillement se fit entendre et les deux jeunes hommes pénétrèrent dans l’immeuble. Ils montèrent deux étages à pied avant d’être accueillis par une jeune femme à la longue chevelure couleur de miel et aux yeux bleu électrique. Son sourire et son sens de l’hospitalité rassurèrent quelque peu Johann.
— Salut, Florent ! Ça va ?— Oui, bien et toi, Laure ?— Ça va. J’imagine que ton nouveau copain est le fameux Johann dont Manon est folle dingue. — Oui, c’est bien cela. — Hum... Je la comprends. Plutôt beau mec.
Laure s’avança de quelques pas vers Johann et caressa ses épaules et son torse.
— Tu es bien bâti. Tu fais du sport ?— Euh... Oui... Fitness. — Continue comme ça, beau gosse. Tu me rends jalouse de ta copine.
Tout en lui adressant un sourire coquin, la jeune femme fit glisser sa main le long des hanches de Johann jusqu’à parvenir à son bas-ventre. La dureté qu’elle découvrit à cet endroit élargit davantage son sourire.
— Apparemment, je te plais plutôt beaucoup.
Rougissant, Johann ne sut plus comment réagir. À la fois amusé et agacé par ce spectacle, Florent décida d’intervenir.
— Et si nous poursuivions tout ça à l’intérieur ?
Laure approuva et entraîna Johann avec elle. Les trois jeunes gens s’installèrent dans le salon et Florent tendit un talkie-walkie à Laure.
— Dès que vous en aurez fini, tu me contacteras via ce talkie. À ton message, je stopperai le chronomètre et l’épreuve s’achèvera. Tu as bien compris ?— Cinq sur cinq, chef.
En riant, la jeune femme esquissa un salut militaire. Florent poursuivit en s’adressant à Johann.
— Quant à toi, comme je te l’ai dit tout à l’heure, baise Laure comme s’il s’agissait de Manon. OK ?— OK.
Laure et Johann se retirèrent dans la chambre à coucher de la jeune femme tandis que Florent enclenchait le chronomètre. Dès qu’elle eut refermé la porte derrière eux, Laure se montra rapidement entreprenante en déboutonnant le pantalon de Johann. Ne voulant pas laisser toute l’initiative à sa partenaire, le jeune homme lui retira son top. Les hauts et les bas tombèrent au sol les uns après les autres, jusqu’à ce que les deux jeunes gens se retrouvassent dans le plus simple appareil.
Instinctivement, en voyant Laure dénudée, Johann la compara à Manon. Les deux jeunes femmes semblaient avoir quelques points communs, à commencer par leur chevelure aussi longue que délicate. L’espièglerie animait leurs deux regards et la rondeur de leur visage les rendaient toutes deux délicieuses. Laure et Manon étaient également toutes deux dotées de poitrines généreuses et de hanches aux courbes bien dessinées qui se prolongeaient par un fessier à la fois rond et ferme et une agréable paire de jambes. Ce constat l’aida à jouer le jeu que Florent lui avait imposé.
Laure enlaça Johann et, tout en collant ses lèvres aux siennes, fit descendre sa main pour caresser son sexe dur. Dans un premier temps, le jeune homme voulut tout arrêter mais les mots de Florent lui revinrent en tête et Laure était très attrayante. Il se décida à rendre son baiser à la jeune femme et caressa son corps en commençant par ses hanches jusqu’à remonter lentement jusqu’à sa poitrine qu’il prit plaisir à malaxer.
Laure finit par interrompre leur baiser et prit Johann par la main pour le guider jusqu’à son lit. Le jeune homme s’y allongea sur le dos et sa partenaire se positionna à quatre pattes à ses côtés. Dès le premier contact entre la langue de Laure et son sexe, Johann songea à Manon et lui trouva avec amusement un autre point commun avec son amie. En effet, toutes deux semblaient prendre plaisir à titiller ses testicules et à lécher sa verge du bout de leur langue avant de la prendre en bouche non sans une certaine gourmandise.
Le jeune homme savoura la fellation de Laure durant quelques instants puis il surprit cette dernière porter la main à son entrejambe. Il en déduisit qu’il était temps de mettre un terme aux préliminaires. À son initiative, Laure cessa son activité buccale et s’étendit de tout son long sur le lit. Johann se plaça au-dessus d’elle et, tout en la pénétrant, il se remémora le soir où il avait fait l’amour à Manon pour la première fois.
Se laissant envahir par ce souvenir, il cramponna ses mains sur les hanches de la jeune femme et réalisa une série de puissants va-et-vient. Les gémissements de sa partenaire lui indiquèrent qu’il avait trouvé le rythme adéquat pour la satisfaire. Johann poursuivit son œuvre dans cette position quelque temps puis il se retira pour suggérer à Laure de se mettre sur le côté et la prendre dans cette posture.
Comme il l’avait fait peu de temps auparavant, le jeune homme alla et vint en Laure à un rythme rapide qu’il soutint durant une certaine période avant de changer à nouveau de position. Cette fois, il choisit de prendre sa partenaire en levrette. Se trouvant dans sa configuration de prédilection, Johann eut tout le loisir de faire valoir sa puissance physique et, par ses gémissements et ses cris plus prononcés qu’au début de l’acte, Laure lui signala que cela lui plaisait davantage.
Johann maintint son effort pendant un moment puis il sentit son sexe palpiter dans celui de la jeune femme, signe révélateur de sa jouissance imminente. Dans un ultime avertissement rauque, le jeune homme se retira et macula le fessier et le bas du dos de sa partenaire.
Constatant que leur rapport était terminé, Laure contacta Florent par le biais du talkie-walkie qu’il lui avait donné, lui signifiant d’arrêter le chronomètre. Cette formalité réglée, les deux jeunes gens se rhabillèrent.
— Là, je suis vraiment jalouse de Manon. Un mec bien bâti, bien monté, qui baise bien. J’aimerais bien trouver ça, moi. — Si je n’étais pas déjà avec Manon, tu ferais certainement une excellente petite amie pour moi. — Oh, comme c’est mignon. Bon, allons rejoindre Florent au salon avant qu’il ne se demande ce qu’on fait.
Laure et Johann quittèrent la chambre et rejoignirent Florent dans le salon. Après avoir bu un verre et échangé quelques banalités, les deux jeunes hommes quittèrent le domicile de Laure que Florent remercia pour sa participation.
Une fois arrivés à la hauteur de la gare, avant qu’ils ne se séparent, Florent prévint Johann qu’il recevrait prochainement des nouvelles de Rosalie en rapport avec son prochain test.
[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live