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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 1

Confessions intimes

Inceste
Sébastien, dix-huit ans, vivait dans une belle propriété de Montpellier avec ses parents, Johann et Manon, et ses deux sœurs aînées, Alice et Justine. Passionné d’échecs, il avait remporté plusieurs tournois régionaux dans cette discipline et faisait partie des meilleurs élèves de sa classe. Cependant, comme tout tableau, celui de Sébastien comportait une ombre : sa vie sentimentale. Intelligent, sensible et séduisant, le jeune homme avait la cote auprès de la gent féminine, mais après trois relations à chaque fois rompues par ses copines, il avait fini par se désintéresser de l’amour pour se concentrer sur ses études et sa passion.
Si son père et ses sœurs ne faisaient pas cas de ses relations éphémères, sa mère, elle, s’en inquiétait et avait la ferme intention de connaître les raisons de ses déboires amoureux. Elle savait néanmoins qu’il lui fallait être seule avec son fils pour obtenir des explications et, en cette période estivale, les occasions n’étaient pas monnaie courante. La chance finit tout de même par sourire à Manon. Un soir de juillet, son époux dut s’absenter pour des raisons professionnelles et ses deux filles allaient dormir chez des amies.
Durant le dîner, elle fit de son mieux pour ne rien laisser paraître, mais en son for intérieur, elle avait hâte de pouvoir éclaircir le mystère de la vie amoureuse de Sébastien. La mère de famille se mêla cependant tout à fait naturellement aux discussions autour de la table, puis vers vingt et une heures, Johann et les deux filles quittèrent la maison après leur avoir dit au revoir, à son fils et elle.
Tout en faisant la vaisselle, Manon attendit que Sébastien fût monté dans sa chambre. Elle en était aux trois quarts de sa tâche lorsqu’elle entendit les pas de son fils sur l’escalier menant à l’étage. La mère de famille décida de finir ce qu’elle était en train de faire avant d’aller voir Sébastien. Après s’être lavé les mains et avoir ôté son tablier, Manon monta à son tour les escaliers qui menaient à la chambre de son fils. Elle frappa deux fois à la porte avant que la voix de Sébastien ne lui répondît d’entrer.Tandis que sa mère s’asseyait en face de lui, le jeune homme posa sur sa table de nuit le livre qu’il était en train de lire. L’air songeur de Manon l’inquiéta et il se risqua à lancer la conversation.
— Quelque chose ne va pas, maman ?— Non, tout va bien. C’est juste que je m’inquiète pour toi.— Comment ça ?— Je sens bien que ces ruptures successives t’ont affecté. Plus que tu ne veux bien le montrer.— C’est seulement pour ça que tu t’inquiètes, maman ? Ne t’en fais pas : à dix-huit ans, on n’est pas vraiment prêt à s’engager. On n’assume pas et, du coup, les amourettes ne durent pas. C’est comme ça.— Navrée de l’apprendre. La dernière petite amie que tu as eue, Lisa, me semblait être très bien pour toi. Vous faisiez vraiment un beau couple. — Comme je te l’ai dit, les amourettes ne durent pas.
En entendant le ton vague sur lequel son fils lui parlait de ses relations, Manon sentit que la versatilité liée aux jeunes de la génération de Sébastien n’était pas la vraie raison de ses échecs.
— Tu es sûr que c’est seulement une histoire d’assumer ou non ? Trois petites amies qui te quittent à cause de ça, ça me paraît bizarre. Tu es certain qu’il n’y a pas autre chose ?— Sûr et certain.
Ces trois mots étaient sortis de la bouche de Sébastien sur un ton exaspéré qui conforta sa mère dans son raisonnement.
— Calme-toi, mon chéri. Il fallait que je sache. Je suis ta mère et je m’inquiète pour toi. Je m’inquiéterai toujours pour toi. Même quand tu auras cinquante ans. Alors, tu es sûr qu’il n’y a rien dont tu souhaites me parler à propos de ces histoires avec les filles ?

Sébastien soupira et son regard se perdit dans le vide. Manon jugea bon de le laisser revenir à lui à son rythme. Au bout d’environ une minute, le jeune homme reprit la parole.
— En fait, oui, il y a quelque chose. C’est... Euh...— Dis-moi. Tu peux tout me dire. Je suis ta mère. Je ne vais pas te juger.
Encouragé par la douceur qui imprégnait la voix de sa mère, Sébastien poursuivit.
— Le problème qui m’a à chaque fois coûté mon couple est ma vision de la femme.— Ta vision de la femme ? Comment ça ?— Pour moi, la femme est une reine pour laquelle je dois tout faire pour qu’elle soit satisfaite sur tous les plans. C’est-à-dire social, professionnel, humain et...— Sexuel ?— Euh... Oui. — Ça m’a plutôt l’air d’être une belle vision de la femme. C’est seulement tes copines potentielles que tu vois comme ça ou les femmes en général ?— Pour moi, toutes les femmes sont des reines.— Je pense en effet que tu es un garçon engagé et que les copines que tu as eues n’étaient pas prêtes à vivre une relation aussi forte que celle que tu pouvais leur offrir, mais j’ai quand même une question : pourquoi est-ce que tu considères les femmes comme des reines ?— Pour deux raisons. La première est le fait que les femmes sont celles qui donnent la vie. La deuxième est plus liée aux échecs. La reine peut faire tous les mouvements sauf un : celui du cavalier. Me voyant comme le cavalier, ça fait qu’à nous deux, la femme qui sera à mes côtés et moi pourrons faire tous les mouvements de l’échiquier.
L’analogie aux échecs faite par son fils impressionna beaucoup Manon. Elle lui répondit par un sourire et un regard surpris. Puis, en se repassant la confession de Sébastien en tête, ce fut à son tour de se perdre dans le vide.
— Ça va, maman ?— Oui, ça va. J’étais juste en train de réfléchir à ce que tu m’as dit. Je trouve que c’est une vision de la femme magnifique et ça me rend d’autant plus triste que ces trois filles n’aient pas voulu saisir la belle opportunité que tu leur as offerte.
Manon s’accorda une pause avant de poursuivre.
— Je sens bien que ces ruptures ont été difficiles pour toi et que ça t’attriste de ne pas trouver une fille qui t’accepte comme tu es. Alors, si ça peut t’aider à aller mieux et à retrouver la foi en l’amour, je veux bien être ta première reine.
Cette déclaration surprit beaucoup Sébastien qui fixa sa mère avec des yeux écarquillés pendant plusieurs secondes avant de se remettre de ce choc.
— Mais maman, ce n’est pas possible. Je t’aime et je pourrais te satisfaire sur le plan des études, du boulot, de la maison... Mais, pour le plan sexuel, ça ne va pas être possible. Tu es ma mère et je ne veux pas non plus trahir papa en faisant une chose pareille.
Manon prit une grande inspiration et expira comme pour se donner du courage.
— En fait, il se trouve que si, c’est possible. À mon tour, maintenant, de te faire une confidence. Ton père et moi ne vous avons jamais raconté ça, à tes sœurs et toi, pour éviter que vous soyez choqués, mais, au vu de la situation, il est temps que tu saches. Lorsque je suis tombée amoureuse de ton père, je n’avais aucune expérience sexuelle alors que lui enchaînait les conquêtes. J’ai alors compris que je devais être la meilleure partenaire sexuelle pour lui si je voulais qu’il devienne mon copain. J’ai essayé de trouver des partenaires sur internet, mais, comme tu le sais, c’est très souvent des faux profils. J’ai finalement trouvé un homme pour me faire perdre ma virginité. Cet homme, c’est ton oncle, Florent.
Cette dernière phrase eut l’effet d’une bombe sur Sébastien. Il n’en revenait pas. Sa mère et son oncle avaient entretenu des rapports incestueux environ trente ans auparavant. Manon le laissa se remettre de ce premier choc avant de poursuivre.
— Au début, il n’était pas très partant, mais j’ai insisté pour qu’il m’aide et il a finalement accepté. Nous avons entretenu des rapports pendant quelque temps puis tes grands-parents ont découvert la vérité. Ils ont d’abord été choqués, mais, quand ton oncle et moi leur avons expliqué pourquoi on faisait ça, ils ont accepté de se joindre à nous et de m’aider à leur manière dans ma quête.
Sébastien fut à nouveau estomaqué à l’écoute du récit de sa mère. Il venait à peine de digérer la nouvelle de l’inceste entre Manon et Florent et voilà que ses grands-parents avaient aussi été de la partie. Cette fois, le jeune homme demanda expressément à Manon de poursuivre.
— Nous avons donc entretenu tous les quatre des relations sexuelles pendant un moment, jusqu’à ce que ton oncle se mette en couple avec ta tante, puis, un soir, ton père a organisé une fête chez lui. J’ai décidé qu’il était temps pour moi de me mettre avec l’homme que j’aimais. Je suis donc allée à sa fête. Nous avons discuté puis je suis parvenue à le séduire et nous avons couché ensemble. Depuis, nous sommes restés en couple. Mais tes grands-parents et ton oncle n’étaient pas convaincus de la loyauté de ton père vis-à-vis de moi. Ils lui ont donc fait faire différentes épreuves à caractère sexuel pour qu’il leur prouve qu’il voulait vraiment être avec moi. La suite est qu’il les a réussies et que, depuis, nous sommes ensemble. Voilà, maintenant, tu sais tout à propos de tout ça.
Abasourdi par ce qu’il venait d’entendre, le jeune homme ne parvenait plus à articuler le moindre son et ses yeux n’osaient plus croiser le regard de Manon. Cette dernière posa la main sur son épaule, dans un geste de réconfort.
— Je comprends que cette histoire puisse te choquer, mais, si je te propose ça, c’est parce que je veux t’aider comme on m’a aidée. Alors, tu es d’accord pour faire de moi ta première reine ?
Sébastien réfléchit quelques instants. Bien que choquant au vu de son contenu incestueux, le récit de sa mère l’avait touché par sa sincérité et son authenticité. Il parvint finalement à regarder Manon dans les yeux.
— Oui, maman. J’accepte de faire de toi ma première reine et je serai ton cavalier.— Très bien. Dans ce cas, je propose que nous commencions dès maintenant. Déshabille-toi.
Le jeune homme obtempéra. Il retira d’abord son T-shirt puis il défit la ceinture de son short. En face de lui, sa mère ôta sa robe et dégrafa son soutien-gorge, se retrouvant en petite culotte. En admirant la poitrine généreuse de Manon, Sébastien sentit son sexe prendre de l’ampleur. Tandis que sa mère jetait sa culotte sur le sol, le jeune homme s’empressa de retirer son short et son boxer, se retrouvant nu à son tour.Manon s’allongea à côté de son fils et commença par caresser ses pectoraux sculptés par les heures passées en salle de sport. Encouragé par ce premier contact maternel, Sébastien lui caressa les hanches en descendant jusqu’à ses fesses. Il se risqua ensuite à pencher son visage vers les seins de sa mère qu’il embrassa avec passion. Mère et fils demeurèrent dans cette position de découverte durant quelques minutes puis, à la demande de Manon, Sébastien se rallongea sur le dos.
La mère de famille se positionna à quatre pattes, ses jambes de part et d’autre du corps de son fils, puis se saisit de la verge imposante qui s’offrait à elle pour la masturber. Sébastien fut d’abord tenté de se laisser aller à la savouration des mouvements de Manon sur son sexe puis, en voyant le fessier de sa mère orienté vers son visage, il comprit d’instinct qu’elle désirait elle aussi qu’il s’occupât d’elle. Le jeune homme posa ses mains sur son derrière puis fit jouer sa langue sur ses chairs intimes. Le gémissement émis par Manon convainquit Sébastien qu’il avait pris la bonne initiative.
Ils restèrent dans cette position pendant quelques minutes, puis, sentant que son fils allait jouir, Manon changea de position pour pouvoir loger la verge de Sébastien dans le sillon de ses seins. Cette ultime branlette ne mit que quelques secondes à faire cracher sa semence au jeune homme.Lorsqu’ils se furent remis de leurs orgasmes et rhabillés, Manon se prépara à quitter la chambre de son fils, mais celui-ci la retint par la main.
— Avant que tu ne partes, je veux juste savoir si ça t’a plu. Comme on n’a pas fait grand-chose ce soir...— Non, ne t’en fais pas. Pour ce soir, je voulais juste que nous nous découvrions. Ça m’a beaucoup plu. Nous irons plus loin en temps voulu. — D’accord, maman. Et merci pour ce que tu fais pour moi.— C’est normal, mon chéri.
Manon sortit de la chambre puis, épuisé par les évènements de la soirée, Sébastien finit par s’endormir en attendant avec impatience la prochaine occasion de satisfaire sa reine.

[ À suivre ]
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