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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 5

Pris sur le fait

Inceste
Contrairement à ce qu’il espérait, il ne se passa rien entre Sébastien et Manon durant tout le reste de la journée. Leurs activités communes s’étaient résumées au dîner et au visionnage du téléjournal. Dès lors, chacun avait passé la soirée à vaquer à ses occupations. Le jeune homme, encore sous le coup de ce que sa mère et lui avaient fait un peu plus tôt dans la journée, se passa inlassablement les coups de reins qu’il avait subis, au début, avec douleur puis avec un plaisir non dissimulé. Ces pensées obscènes eurent vite fait de donner de la vigueur à son sexe. Il décida de ce fait de profiter de ce que Manon le laissât tranquille pour s’accorder un plaisir solitaire.
Lorsqu’il eut joui, Sébastien alla prendre une douche puis poursuivit la lecture d’un roman avant de se coucher. À son réveil le lendemain, il nota avec une pointe de déception qu’il ne se souvenait pas des rêves qu’il avait faits. Le jeune homme espérait en effet que le sommeil put lui permettre de revivre les instants aussi agréables qu’immoraux que sa mère et lui avaient partagés. En descendant prendre son petit-déjeuner, il trouva Manon qui était déjà en train de savourer son repas matinal et une tasse de café. En face d’elle étaient posées une tartine et une tasse de lait. Sébastien prit place en face d’elle en la saluant.
— Bonjour maman.— Bonjour mon chéri. Tu as bien dormi ?— Oui, et toi ?— Très bien, merci. D’ailleurs, puisqu’on y est, j’aimerais que nous reparlions de ce qu’il s’est passé entre nous hier, maintenant que nous sommes à tête reposée.— Euh... Oui, bien sûr, pas de problème.— Bon. J’aimerais te poser une question. Hier, j’ai opté pour des rapports peu habituels pour un jeune homme comme toi. Est-ce que ça t’a vraiment plu ou tu disais ça pour me faire plaisir ?— Ça m’a vraiment plu. Je trouve ça bien de pouvoir changer les rôles de temps en temps. De cette manière, on comprend mieux ce que l’autre ressent. Et puis, si ce genre de rapport te fait plaisir, il n’y a aucun problème pour moi, maman.— C’est aussi ce que je pense par rapport à ça. Dans ce cas, je maintiens ma proposition de varier nos rapports selon mon initiative.— Aucun problème.
Les souvenirs de la veille, ranimés par cette discussion, procurèrent à nouveau une puissante érection à Sébastien. La bosse ainsi formée sous son pyjama ne manqua pas de sauter aux yeux de Manon qui rit aux éclats.
— Eh bien, mon chéri, je constate que tu es plutôt matinal, en fin de compte.
Surpris par la réaction de sa mère, Sébastien fit mine de ne pas comprendre l’allusion.
— Comment ça ?— Ne fais pas celui qui ne comprend pas. Je parle de la bosse qui déforme ton pyjama. Finissons notre petit-déjeuner, que je puisse m’occuper de ça. D’autant que je t’ai un peu négligé hier soir.
Mère et fils se dépêchèrent de finir leur collation puis Manon entreprit de baisser le pyjama de Sébastien jusqu’à ses genoux et prit son sexe en bouche. Le jeune homme ferma les yeux et se laissa aller à la savouration du coulissement des lèvres maternelles sur sa verge et du massage de ses bourses. Alors que la fellation durait depuis quelques minutes, le téléphone de Manon sonna au salon.
— Tu ne veux pas répondre, maman ?— Je verrai ça plus tard, quand nous aurons fini.
Manon mit fin à son œuvre puis retira sa robe de chambre, apparaissant nue aux yeux de son fils. Sentant qu’elle voulait aller plus loin, Sébastien la souleva de terre et la déposa sur la table. Après l’avoir allongée, il se pencha entre ses cuisses et passa sa langue sur le calice maternel tout en tillant son clitoris. Cette manœuvre arracha des gémissements de satisfaction à Manon. Lorsqu’il sentit que sa mère était satisfaite de ce préliminaire, il s’enfonça lentement dans ses chairs intimes, jusqu’à la garde. De suite, le jeune homme crispa ses mains sur les hanches de sa mère puis lui donna de puissants coups de reins pour la faire jouir rapidement. Les deux amants adoptèrent cette posture pendant quelques minutes puis Manon décida de changer de position.
Elle se releva puis posa son torse contre le plan de travail, exposant son fessier à Sébastien. Le jeune homme comprit immédiatement par quel orifice sa mère désirait être prise. Comme il l’avait fait quelque temps auparavant, il enfonça lentement sa verge dans le petit trou de Manon puis, après avoir pris appui sur ses hanches, la pilonna de toutes ses forces. Les hurlements de plaisir de Manon s’intensifièrent à mesure que les bourses de son fils butaient violemment contre ses fesses. À nouveau, le téléphone de Manon sonna puis une nouvelle sonnerie annonça qu’elle avait reçu un message.
— Continue à me baiser bien fort, mon chéri. Je répondrai après.
Cette instruction était inutile, car pris d’une frénésie irrépressible, Sébastien la sodomisait toujours sans ralentir son rythme. Au bout de quelques minutes, la fatigue se fit sentir. Le jeune homme décida d’en finir. Rassemblant ses forces, il poursuivit son œuvre jusqu’à la jouissance. Lorsqu’il sentit son éjaculation se rapprocher inexorablement, il se retira et quatre jets de sperme maculèrent l’arrière-train de Manon.
Tout en reprenant leur souffle, les deux amants se rhabillèrent puis retournèrent chacun à leurs occupations tout en se promettant de remettre ça aussi tôt que possible. Cependant, galvanisés par leur désir et leur excitation, ni Manon ni Sébastien n’avaient entendu la porte de la maison s’ouvrir pour accueillir Alice et Justine, rentrées plus tôt que prévu de leur séjour, et qui, après n’avoir obtenu aucune réponse à leurs salutations, s’étaient dirigées vers la cuisine et, à leur insu, avaient assisté en spectatrices médusées à la fin de leurs ébats.
[À suivre]
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