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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 6

Après la reine, les princesses

Inceste
Effarées par la scène à laquelle elles venaient d’assister, Alice et Justine se réunirent en catimini dans la chambre de l’aînée pour définir leur plan d’action.
— Tu le crois, ça ? Maman et Seb qui baisent ensemble ?! C’est incroyable. Comment est-ce qu’ils peuvent oser faire ça ? — Je partage ton avis. En plus, je pense à papa. S’il apprend qu’il a été fait cocu par sa femme et son propre fils, je n’ose pas imaginer sa réaction.— Il vaut mieux qu’il ne l’apprenne pas. Sinon, notre famille volera en éclats.— Tu as raison. C’est pour ça que nous devons parler à maman et lui faire comprendre qu’elle et Seb doivent arrêter leurs rapports. Il n’y a que de cette manière que nous pourrons nous assurer que papa n’apprenne jamais la vérité.— Dans ce cas, je propose qu’on parle à maman une fois qu’elle est seule. Je vais voir ce qu’elle fait. Si une occasion se présente, on y va.
Sur ces mots, Justine quitta la chambre. Elle descendit les escaliers qui menaient au rez-de-chaussée et constata la présence de Manon dans le salon. Cette dernière était en train de visionner un film qu’elle avait enregistré au préalable. Comme elle ne vit pas Sébastien, la jeune femme décida de remonter vers la chambre de son frère afin de vérifier que celui-ci s’y trouvât bel et bien. Parvenue à l’entrée de la pièce, elle en poussa doucement la porte et vit Sébastien, lui tournant le dos, occupé à disputer une partie d’échecs en ligne. Voyant là l’opportunité que sa sœur et elle attendaient, Justine s’empressa de rejoindre Alice.
— C’est bon, Seb est occupé sur son ordinateur. On peut aller parler à maman.— Parfait. Je prends juste les preuves et on y va.
Alice s’empara de son téléphone et suivit Justine le long de l’escalier et entra dans le salon. En les voyant entrer, Manon mit son film sur pause.
— Bonjour mes chéries. Je viens de voir votre message. Vous vous êtes bien amusées chez votre amie ?— Oui, c’était sympa, mais c’est justement de notre message que nous voulons te parler. Nous avons été très surprises que tu ne nous répondes pas pendant autant de temps et, en rentrant, nous en avons compris la raison. Comment tu peux faire ça à papa ? Le tromper avec Seb ? Votre propre fils !— Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, les filles. Si je ne vous ai pas répondu tout de suite, c’est parce que j’étais occupée à faire le ménage.— Nous savions que tu tenterais de botter en touche. C’est pourquoi nous avons pris soin de produire une preuve.
Alice alluma son téléphone et montra à Manon le cliché qu’elle avait pris peu de temps auparavant. L’image, nette, montrait très clairement Sébastien et Manon, nus, dans une posture sans équivoque. De plus, les traces de sperme sur le fessier de Manon étaient bien visibles et il était impossible de prétendre qu’elles ne vinssent pas de Sébastien. En voyant la photographie, la mère de famille dut se rendre à l’évidence : ses filles avaient découvert sa liaison avec son fils. Elle prit une inspiration.
— Puisque vous connaissez notre secret, à votre frère et moi, autant tout vous expliquer. — Je me demande s’il y a quelque chose à expliquer pour un acte aussi odieux que celui-là.— Je comprends votre sentiment, mais laissez-moi vous expliquer comment nous en sommes arrivés là, Sébastien et moi. Comme vous le savez, votre frère a vécu trois ruptures successives. Même s’il ne laissait rien paraître, j’ai senti que ces échecs lui pesaient plus qu’il ne voulait bien l’admettre. Je suis donc allée le voir pour lui demander pourquoi ses relations s’étaient toutes terminées de la même manière. Au début, il a été évasif, mais il m’a finalement avoué que le problème qui a fait que ses relations se sont terminées est sa vision de la femme.
— Sa vision de la femme ?— Oui. Il m’a expliqué que pour lui, les femmes sont des reines qu’il doit satisfaire sur tous les plans, que ce soit humainement, professionnellement ou sexuellement. Il m’a aussi dit que les raisons qui le poussent à penser ainsi sont le fait que les femmes sont celles qui donnent la vie et le fait qu’aux échecs, la reine peut faire tous les mouvements sauf celui du cavalier. Il se voit donc comme le cavalier et, pour lui, lui et sa partenaire peuvent faire tous les mouvements de l’échiquier à eux deux. — Bon, sa vision de la femme paraît belle, mais ça n’explique pas pourquoi vous avez décidé de trahir papa de la sorte.— Je n’ai pas fait ça dans le but de trahir votre père, croyez-moi. Au début, votre frère ne voulait pas que je devienne sa reine, car il pensait ne pas pouvoir me satisfaire sur le plan sexuel, mais j’ai finalement réussi à le convaincre en lui racontant une histoire que votre père et moi avons toujours pris soin de vous cacher pour ne pas vous choquer. — Et qu’est-ce que c’est que cette fameuse histoire que papa et toi ne vouliez pas nous raconter ?— Je vais y venir. Je vous demanderai juste de m’écouter jusqu’au bout.
Alice et Justine hochèrent la tête en signe de compréhension et Manon leur livra le récit qu’elle avait exposé à Sébastien quelques semaines plus tôt. Tout comme leur frère, les deux jeunes femmes furent choquées d’apprendre ce qu’il s’était passé entre leurs parents, leurs oncle et tante et leurs grands-parents. Manon conclut son histoire en insistant sur le fait qu’elle voulait aider Sébastien comme elle avait été aidée du temps de sa jeunesse.
— Maintenant que vous connaissez la vérité sur ce qu’il se passe entre votre frère et moi, je vous laisse libres de gérer la situation comme vous l’entendez. Faites ce que bon vous semble.— Personnellement, j’ai été touchée par ton histoire, maman. J’estime aussi que si papa doit un jour apprendre la vérité, ce n’est pas de notre bouche.
Justine confirma les dires de sa sœur d’un hochement de tête.
— J’ai une question par rapport à votre relation : si tu es la reine de Sébastien, ça signifie qu’il fait tout ce que tu lui demandes ?— Oui, en quelque sorte. Du point de vue sexuel, les rapports se déroulent uniquement sur mon initiative et je décide également de leur nature.— De leur nature ?— Oui, disons que j’ai tenu à montrer à votre frère différentes pratiques.— Je vois. Nous allons de ce pas parler à Seb. Il mérite de savoir. Nous effacerons la photo dès que nous lui aurons parlé.— Très bien. Je vous remercie, mes chéries.
Alice et Justine prirent congé de leur mère puis montèrent à nouveau les escaliers pour gagner la chambre de Sébastien. Elles frappèrent à la porte et leur frère leur répondit d’entrer.
— Salut, petit frère. On t’a manqué ?— Un peu. Je commençais à me sentir un peu seul par moments. Et vous, vous vous êtes bien amusées chez votre copine ?— Oui, oui. Mais si on est venues, c’est pour te parler d’autre chose. — D’accord, et de quoi est-ce qu’il s’agit ?
Alice montra à Sébastien le cliché qu’elle avait pris le matin même. À la vue de l’image, le jeune homme pâlit et, sous l’effet de la honte, baissa les yeux au sol. En voyant les larmes envahir peu à peu les yeux de son frère, Justine le prit dans ses bras pour le rassurer.
— Ne t’en fais pas, Seb. On n’est pas là pour t’accabler. On a déjà parlé avec maman et elle nous a expliqué l’histoire que tu lui as racontée avec la reine et le cavalier.
Soulagé par la douceur qu’il décelait dans la voix de sa sœur, Sébastien reprit peu à peu contenance. Réprimant ses larmes, il s’efforça de poursuivre.
— Vous n’êtes pas choquées de ce que vous avez découvert ?— Au début, oui, mais maman nous a aussi raconté ce qu’il s’est passé entre elle, papa, tonton Florent, tata Rosalie et nos grands-parents et pourquoi elle a décidé de devenir ta reine.— D’accord, mais vous n’allez rien dire à papa ?— Non, on a promis à maman de ne rien dire et de supprimer la photo dès qu’on aurait fini de parler. De toute façon, ça ne doit pas venir de nous, mais de maman.— Du coup, qu’est-ce que vous allez faire, maintenant que vous savez pour maman et moi ?
Alice et Justine se regardèrent quelques instants. L’aînée finit par hocher la tête en adressant un sourire à la cadette. Cet échange muet laissa Sébastien perplexe, mais le jeune homme n’osa pas en demander la signification.
— Etant donné que nous sommes tes sœurs, on s’est dit qu’on pourrait nous aussi t’aider, si tu veux bien de nous comme reines.
Durant de longues secondes, Sébastien demeura sans voix. Au moment où Alice lui avait montré la photographie, il s’attendait à être rabroué par ses sœurs. Leur proposition lui paraissait d’autant plus surprenante. Il lui fallut encore quelque temps pour pouvoir reprendre le contrôle de ses paroles.
— Je dois dire que je ne m’attendais pas du tout à ça quand vous m’avez montré la photo, mais la perspective de pouvoir satisfaire deux femmes de plus est réjouissante. Etant donné que maman est la reine, je veux bien faire de vous mes princesses. Ça revient au même au niveau de mon objectif. Il n’y a que le nom qui change.— Princesse Alice et Princesse Justine, ça sonne bien. Bon, trêve de bavardages. Tu veux commencer maintenant, Seb ?
Sébastien n’eut pas le temps de répondre. Justine avait posé sa main sur son short, à hauteur de son sexe, et en éprouvait la rigidité. La jeune femme sourit et proposa à Alice de réaliser le même test. Tout comme sa sœur, Alice constata que la verge de son frère était devenue dure.
— Je crois que Seb n’a pas besoin de dire quoi que ce soit. Sa queue parle pour lui.— C’est ce que je crois aussi, Alice.
Tandis que Justine déboutonnait le short de son frère, Alice se dévêtit, laissant à Sébastien le plaisir d’admirer ses courbes. Le jeune homme détailla sa courte chevelure brune puis nota que cette coupe, avec la couleur noire de ses yeux, donnait à sa sœur un air plus sévère, mais tout aussi sexy. Il contempla ensuite sa poitrine généreuse puis promena son regard le long de ses hanches et apprécia la vue du sexe intégralement épilé. Il retira son T-shirt pour se retrouver également nu puis, alors qu’Alice se penchait vers sa verge pour lui faire une fellation, il regarda Justine se déshabiller à son tour. Tenant plus de son père, la jeune femme possédait de longs cheveux blonds et des yeux bleus dans lesquels Sébastien se perdit quelques instants. Le jeune homme constata avec plaisir que, tout comme Alice, Justine comptait également une poitrine sublime parmi ses atouts.
Il parcourut du regard le corps de sa sœur et observa que celle-ci avait laissé un fin triangle de poils au niveau du pubis. À la vue de toute cette beauté féminine, Sébastien sentit son sexe se durcir davantage dans la bouche d’Alice, toujours appliquée à y faire coulisser ses lèvres dans un rythme lent et régulier.
Ne désirant pas être en reste, Justine se blottit contre son frère et caressa ses pectoraux en y déposant quelques baisers ponctuels. Sébastien en profita pour faire jouer ses doigts avec les cheveux de sa sœur puis sa main descendit le long du cou long et gracile pour se poser délicatement sur son sein qu’il malaxa avec tendresse. Tout en poursuivant leur jeu de mains, Sébastien approcha lentement son visage de celui de Justine et ils échangèrent un baiser à la fois tendre et langoureux.
Après avoir interrompu leur baiser, le jeune homme fit signe à sa sœur de positionner ses genoux de part et d’autre de son visage. Justine obtempéra et sentit la langue fougueuse de son frère lui titiller le clitoris tandis que les mains de Sébastien lui caressaient les fesses. Les gémissements de satisfaction de Justine, occasionnés par la pratique, ne manquèrent pas de rendre Alice envieuse.
Elle tapota trois fois l’épaule de sa cadette et lui proposa d’un signe de main d’intervertir leurs rôles. Justine accorda encore quelques coups de langue à Sébastien puis céda sa place à Alice. Le talent de son frère n’étant plus à prouver en matière de cunnilingus, la jeune femme prit rapidement plaisir à sentir son clitoris excité par les mouvements frénétiques de Sébastien. Justine, de son côté, commença par lécher la verge de son frère sur toute sa longueur puis embrassa ses bourses avant de lui faire une fellation. Contrairement à Alice, la jeune femme décida d’opter pour un rythme rapide, ce qui l’amena plusieurs fois à interrompre son œuvre pour reprendre son souffle avant de poursuivre.
Souhaitant aller plus loin que les préliminaires, Alice mit fin au cunnilingus de Sébastien puis invita Justine à cesser sa fellation. Dirigés par Alice, les trois frère et sœurs se positionnèrent à quatre pattes sur le sol l’un derrière l’autre, Justine en tête, suivie par elle-même et Sébastien fermant la marche. Comprenant ce qu’Alice désirait faire, le jeune homme enfonça sa verge dans ses chairs intimes. Dès qu’il eut pénétré dans son intimité jusqu’à la garde, Alice titilla le petit trou de Justine de sa langue. Les coups de reins de Sébastien et les léchouilles d’Alice provoquèrent un duo de cris de jouissance des deux femmes avec, pour tempo, le bruit des bourses du jeune homme butant sur le fessier de son aînée.
Le trio adopta cette posture pendant environ une demi-dizaine de minutes puis, tacitement, Alice et Justine convinrent d’échanger leurs places. Tout comme il l’avait fait pour Alice, Sébastien fit lentement pénétrer son sexe dans celui de Justine jusqu’à ne plus pouvoir avancer. Dès le premier coup de queue, Justine lécha le postérieur de sa sœur et le même concerto de gémissements et de claquements reprit pendant quelques minutes. Sentant sa jouissance se rapprocher inexorablement, Sébastien se retira de l’intimité de Justine.
— Je vais jouir, les filles !
Sans lui répondre, Alice et Justine s’agenouillèrent en face de lui tandis qu’il se masturbait avec frénésie.
— Vas-y, petit frère. Jouis où tu veux sur nos corps.
Excité par cet ultime encouragement de Justine, le jeune homme accéléra davantage le rythme de sa masturbation puis, après quelques secondes, répandit sa semence sur les visages et les poitrines de ses sœurs. Dès qu’ils se furent remis de leurs orgasmes, tous trois se rhabillèrent. Avides de connaître les impressions de leur frère par rapport à leur acte, les deux jeunes femmes l’interrogèrent.
— Alors, Seb ? D’après toi, est-ce qu’on a mérité nos titres de princesses ?— Oh que oui ! Avec maman, vous êtes les femmes les plus incroyables que je connaisse.— Merci du compliment, petit frère. Dans ce cas, maman et nous allons faire de toi le plus heureux des fils et le plus heureux des frères.— Et moi, je ferai de vous la plus heureuse des mères et les plus heureuses des sœurs.— Je pense qu’on va bien s’amuser. Qu’est-ce que tu en dis, Justine ?— Je confirme. Au fait, petite question : par rapport aux échecs, si maman est la reine et toi le cavalier, nous, on serait quoi comme pièce ?— Je pense les tours. Grâce au roque, vous êtes les seules à pouvoir mettre le roi à l’abri tout en prenant le risque de vous trouver au centre.— Ça a l’air plutôt cool, ça.
Sur cet échange, Alice supprima la photo, comme elle l’avait promis puis, en quittant la chambre de leur frère, les deux jeunes femmes décidèrent de faire un compte rendu de la nouvelle situation à Manon.
— Il n’est pas encore fini, ton film ?— C’est presque la fin. Alors, vous avez parlé à votre frère ?— Oui, c’est pour ça qu’on est là. Nous avons le plaisir de t’informer que Justine et moi sommes devenues les princesses de Sébastien.— Les princesses ? Vous voulez dire que...— C’est exact. Nous avons décidé de nous joindre à toi pour aider Sébastien dans sa quête de la femme qui lui convient.— C’est fantastique. Sinon, vous avez supprimé la photo ?— Oui, maman.— Très bien. Dans ce cas, je sens qu’à nous trois, nous pourrons faire bien des merveilles pour votre frère. Je suis sûre qu’il n’attend plus que de nos nouvelles pour saisir une occasion de nous satisfaire.
Sans le savoir, Manon ne se trompait pas en prononçant ces mots. À l’étage du dessus, Sébastien, en se repassant le film de ce qu’il venait de se passer entre lui et ses sœurs, imaginait déjà des scénarios, tous plus excitants les uns que les autres, les impliquant toutes les trois et attendait avec impatience le prochain moment d’intimité qu’il vivrait avec sa reine et ses princesses.
[À suivre]
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