Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 7 Commentaires

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 12

Rencontre avec les fous

Inceste
Johann n’étant rentré que tard la veille au soir, la famille ne fut à nouveau réunie que lors du petit-déjeuner du lendemain. Ne sachant que dire, Sébastien et les femmes demeurèrent silencieux pendant tout le repas, de peur de froisser davantage encore le père de famille. Ce fut donc ce dernier qui finit par briser le silence.  -         J’ai une excellente nouvelle pour toi, Seb. -         Ah oui ? -         Oui. Mes recherches m’ont finalement permis de trouver deux fous. Elles t’attendent pour cet après-midi à cette adresse.
 Johann lui tendit un bout de papier sur lequel étaient inscrites des coordonnées et une heure de rendez-vous. Sébastien apprit alors qu’il devait se trouver au point de rendez-vous pour quatorze heures.  -         Elles ? Ce sont des femmes ? -         Oui, pour ton plus grand plaisir, d’après ce que je sais. -         Oui, ça me fait plaisir. Tu peux nous dire de qui il s’agit ? -         Non, je préfère te laisser la surprise. Je pense néanmoins qu’elles vont te plaire. -         D’accord. Et pour le deuxième cavalier ? -         Je ne l’ai pas encore trouvé mais les deux fous m’ont promis de m’aider dans mes recherches.
 Les cinq convives finirent leur collation puis, après avoir lavé les assiettes qu’ils avaient utilisées, retournèrent chacun vaquer à leurs occupations. Occupé à rêvasser dans sa chambre, Sébastien s’interrogeait sur l’identité des deux femmes qu’il devait rencontrer quelques heures plus tard. Son père s’était absenté pendant toute une soirée pour trouver deux personnes. En y réfléchissant, le jeune homme parvint à la conclusion que Johann avait certainement dû leur exposer la situation, ce qui aurait pu expliquer le temps mis par celui-ci pour rentrer à la maison. 
Ne trouvant pas d’autre hypothèse plausible, Sébastien décida de passer le temps en disputant quelques parties d’échecs en ligne. Le jeune homme défit ses adversaires un à un pendant près d’une heure et demie. En consultant le réveil posé sur sa table de chevet, il s’aperçut qu’il était déjà onze heures quarante-cinq. Cela lui laissait un peu plus de deux heures pour se préparer mentalement pour son rendez-vous. Il décida d’occuper une partie du temps qu’il avait à disposition à lire un roman afin de se distraire et de se vider l’esprit. Lorsqu’il eut achevé la lecture d’une trentaine de pages, Sébastien regarda à nouveau l’heure affichée sur son réveil. Treize heures.  N’ayant pas faim, le jeune homme descendit à la cuisine où Manon s’affairait à préparer le dîner. Sébastien lui expliqua que le trac lié à sa future rencontre avec les deux femmes mystère lui avait coupé l’appétit et qu’il désirait aller faire un tour en ville pour chasser ses mauvaises pensées. Manon lui promit de lui laisser sa part de côté puis il sortit.
Errant sans but de café en café et de shop en shop pendant près de trois quarts d’heure, Sébastien prit finalement la direction de son lieu de rendez-vous. À son entrée dans l’établissement, il découvrit un hall élégamment meublé et il en trouva l’ambiance plutôt chaleureuse. Il s’annonça auprès de la réceptionniste qui lui indiqua aimablement de monter vers la chambre trois cent deux. Constatant qu’il était arrivé avec cinq minutes d’avance, le jeune homme monta à pied les escaliers qui le séparaient du troisième étage de l’hôtel. Parvenu devant la porte de la chambre indiquée, Sébastien prit une grande inspiration et frappa à trois reprises. Dès qu’on lui eut répondu d’entrer, il tourna la poignée et pénétra dans la pièce. En découvrant l’identité des deux femmes qui l’attendaient, le jeune homme resta, durant de longues secondes, figé de surprise avant de reprendre contenance.  -         Rosalie ! Angélique ! Qu’est-ce que vous faites là ? -         Bah, on est là pour prendre du plaisir avec toi, cousin.
 -         C’est donc vous que mon père a… -         Oui, exactement. Ton père nous a raconté les relations que tu entretiens depuis quelque temps avec ta mère et tes sœurs. Il nous a aussi expliqué le lien entre ça et les échecs. Ce qui fait que, du coup, il nous a choisies pour être les fous ou les folles, en l’occurrence. -         Pour être honnête, je ne sais pas si ça me soulage ou si ça me fait peur de savoir que c’est vous que mon père a choisies. -         Ne t’inquiète pas, Seb. Au vu de ce que ton père nous a dit à ton sujet, on a toutes les raisons de croire que tu vas assurer avec nous comme tu l’as fait avec Manon, Alice et Justine.  -         Mais Florent… Est-ce qu’il sait que vous êtes là ? -         Non. Ton oncle ne sait rien de notre rendez-vous d’aujourd’hui mais, si tu t’inquiètes de la santé de notre couple, je peux t’assurer que si je lui explique la situation, il saura être compréhensif. Donc, ne t’en fais pas pour ça. Bon, si tu n’as pas d’autres questions, montre-nous ton équipement.
 Sébastien fit glisser la braguette de son short puis fit tomber le vêtement au sol avant d’adresser un regard gêné aux deux femmes.   -         Vu sa tête, je pense qu’il faut que nous l’aidions un petit peu à se mettre à l’aise, maman. -         Oui, tu as raison.
Rosalie et Angélique retirèrent leurs tops, exposant leurs seins aux yeux ravis du jeune homme qui s’accorda quelques secondes pour lorgner sur la poitrine particulièrement généreuse de sa tante. Il détailla également celle de sa cousine. Légèrement plus petits mais tout aussi agréables à voir, les seins d’Angélique lui rappelèrent ceux de Linda, la secrétaire de Manon pour laquelle il commençait secrètement à nourrir quelques fantasmes. La vue des deux poitrines dénudées finit par procurer à Sébastien une puissante érection qu’il s’empressa de dévoiler aux deux femmes.  -         Eh bien ! On dirait que nos nichons lui plaisent ! -         Je vois ça, maman. Moi, personnellement, c’est sa queue qui me plaît. -         Oh oui ! Longue, large et dure ! Mon neveu est bien monté, contrairement à quelqu’un d’autre. -         Allez, viens, cousin. Fais-nous profiter de cette merveille que tu as entre les jambes.
Sébastien rejoignit sa tante et sa cousine sur le lit sans se demander de qui parlait Rosalie en mentionnant quelqu’un d’autre. Angélique lui retira son T-shirt puis se dévêtit à son tour. Les deux femmes le firent ensuite s’allonger sur le dos puis la fille prit le sexe de son cousin en bouche, lui offrant une fellation à rythme lent mais agréable. La mère, de son côté, pencha son buste dans sa direction, ses seins arrivant à hauteur de ses lèvres. Le jeune homme s’empressa de téter goulument la poitrine offerte en caressant le dos et les fesses de sa propriétaire. Après quelques minutes, Angélique interrompit sa fellation.  -         Sa queue est super bonne. Tu veux l’essayer, maman ? -         Avec plaisir, ma chérie.
 Rosalie retira jupe et culotte pour se retrouver intégralement nue puis elle prit la place de sa fille pour prodiguer le même traitement à son neveu. Angélique posa ses genoux de part et d’autre du visage de Sébastien, son intimité frôlant ses lèvres. Le jeune homme sortit sa langue et s’appliqua à titiller le clitoris de sa cousine qui gémit de plaisir dès les premiers coups. Afin de stabiliser la position d’Angélique, Sébastien lui attrapa le postérieur qu’il malaxa tout en poursuivant son cunnilingus. Brusquement, Rosalie mit fin à la fellation qu’elle prodiguait à son neveu pour chevaucher sa verge. Désirant regarder le spectacle auquel elle tournait encore le dos, Angélique s’allongea à côté de Sébastien et admira le mouvement d’ascenseur effectué par sa mère sur le sexe de son cousin. Le plaisir se lisait sur son visage.  -         Alors, maman ? Elle est aussi bonne qu’elle en a l’air, la queue de Seb ? -         Oh oui ! Elle me remplit bien.  -         Dans ce cas, j’ai hâte de l’essayer, moi aussi.
Rosalie poursuivit son mouvement quelques instants avant d’y mettre fin dans un râle de plaisir. Angélique se positionna à quatre pattes sur le lit et fit signe à Sébastien de se placer derrière elle. Le jeune homme ne se fit pas prier et s’enfonça jusqu’à la garde dans le corps de sa cousine à laquelle il donna de puissants coups de reins, la faisant rapidement hurler son plaisir. Pour ne pas être en reste, Rosalie s’agenouilla en face de sa fille et plaqua son visage contre son sexe pour bénéficier à son tour d’un cunnilingus.  Les gémissements des deux femmes et le rythme effréné avec lequel il pénétrait Angélique finirent par provoquer la jouissance imminente de Sébastien. Le jeune homme se retira et les prévint qu’il allait jouir. Rosalie et Angélique le firent à nouveau s’allonger sur le dos puis logèrent sa verge entre leurs seins pour le masturber. Après quelques secondes de ce traitement, il finit par répandre sa semence sur les deux poitrines. Le trio s’accorda quelques instants pour se remettre de ses émotions puis Sébastien finit par se rhabiller.  -         Il faut dire, Seb, que tu es un amant incroyable ! Toutes les femmes qui croiseront la route de ton engin auront beaucoup de chance. Sinon, tu peux déjà dire à ton père que nous avons une idée de la personne qui pourrait faire office de deuxième cavalier. -         D’accord. Et qui est-ce ? -         Ça, c’est une surprise. Tout ce qu’on peut te dire, c’est qu’il s’agira d’un garçon.  -         Très bien. Dans ce cas, je vais en aviser mon père et le reste de la famille. Quand est-ce que vous comptez nous le présenter ? -         Nous avions pensé demain, dans l’après-midi, si ton père est d’accord. -         Je lui dirai et il vous contactera pour vous communiquer sa réponse.
 Sébastien prit ensuite congé des deux femmes puis reprit la direction de son domicile. À son arrivée, il fut accueilli par son père qui le conduisit dans le salon. Là, se trouvaient Manon, Alice et Justine qui semblaient impatientes de connaître l’identité des deux femmes qu’il venait de voir.  -         Alors, Seb ? Qui sont ces deux femmes que tu as vues ? -         Eh bien, il s’agit de tante Rosalie et de notre cousine Angélique.
 Cette annonce causa la stupeur des trois femmes. Johann dissipa leur émotion par une explication.  -         J’ai préféré que cette histoire reste dans la famille. Sinon, tu as aimé être avec elles ? -         Oui, elles sont géniales, elles aussi. Tu as bien choisi les fous, papa. -         Ravi de l’apprendre. Et est-ce qu’elles ont dit autre chose ? -         Oui. Elles ont une idée de qui sera le deuxième cavalier. -         Et qui est-ce que ce sera ? -         Elles n’ont pas voulu me le dire. Tout ce que je sais, c’est que ce sera un garçon. -         Eh bien, nous aurons tous le plaisir d’avoir la surprise et, cette fois, pour votre plus grand plaisir, à vous, les filles. -         On l’espère. -         Elles ont aussi dit qu’elles comptaient nous le présenter demain après-midi, si tu es d’accord, papa. -         Qu’est-ce que vous en dites, les filles ? Pressées de rencontrer le deuxième cavalier ?
 Manon et ses filles répondirent à l’unisson par l’affirmative.  -         Très bien. Dans ce cas, je vais contacter Rosalie pour lui faire part de notre réponse.
 Johann envoya un message à sa belle-sœur et rendez-vous fut pris pour le lendemain, à quinze heures.   [ À suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live