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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 14

Réunion de famille

Inceste
Une semaine après leur entrevue avec Quentin et ses deux maîtresses, Johann et sa famille firent route vers le domicile des parents de Manon. La veille au soir, le père de famille avait reçu sur son portable des nouvelles rassurantes de la part de Rosalie. En effet, cette dernière l’avait informé que son mari et son fils aîné avaient bien accepté la situation du cadet et que les grands-parents se réjouissaient de les voir. Dans la voiture, l’heure était à l’enthousiasme.
— Vous croyez que mamie va vouloir s’amuser un peu avec Quentin ?— La connaissant, il y a fort à parier que ce sera le cas. Quand j’avais votre âge, je voyais déjà qu’elle avait un certain attrait pour les relations de domination-soumission, bien qu’elle ne les ait que peu pratiquées.— Nous, en tout cas, on espère qu’on aura à nouveau l’occasion de faire subir à notre cousin le traitement qu’on lui a prodigué la semaine dernière, hein Alice ?— Ça, tu l’as dit, petite sœur.
Cet échange fut accueilli par un léger rire des parents puis ils poursuivirent leur trajet sans discuter davantage. Au bout d’une vingtaine de minutes, ils finirent par arriver à destination. Après s’être convenablement garés devant le garage de la maison, ils gravirent les quelques escaliers qui les séparaient de la porte d’entrée et sonnèrent. Ils furent aussitôt chaleureusement accueillis par les parents de Manon.
— Vous voilà ! On vous attendait avec impatience. Les autres ne sont pas encore arrivés. Installez-vous seulement dans le salon en les attendant.
Les cinq membres de la famille se dirigèrent vers le salon et attendirent l’arrivée des autres invités en échangeant quelques banalités avec leurs hôtes.
— Comment ça va, vous tous ? Vous avez fait bon voyage ?— Oui, de notre côté, tout va bien. Juste un peu de stress pour les enfants qui reprendront bientôt leurs cours à la fac. Et vous, Solange, Roger, comment allez-vous ? Vous avez appris la nouvelle concernant Quentin ?— Pour nous, tout se passe pour le mieux. On profite de notre retraite. On a appris pour Quentin et on doit dire que ça nous arrange parce qu’avec l’âge, Roger et moi ne supportons plus aussi bien les pénétrations que du temps de notre jeunesse.
Solange et Roger interrogèrent poliment leurs petits-enfants sur leurs études avant d’être interrompus par la sonnette. Les deux retraités quittèrent le salon pour accueillir leurs nouveaux visiteurs. Guidés par le couple, Florent et Rosalie, suivis d’Axel et d’Angélique qui tenait Quentin en laisse, allèrent saluer Johann et sa famille avant de prendre place à leur tour sur les fauteuils et canapés disposés dans la pièce pour l’occasion, à l’exception de Quentin qui demeura couché aux pieds de sa sœur.
— Maintenant que vous êtes tous là, Roger et moi comptons encore une fois vous dire à quel point cela nous fait plaisir de vous accueillir ici, dans notre maison, pour cette journée.— Et nous vous remercions de votre hospitalité. D’ailleurs, Solange, nous avons tenu à vous offrir un présent. Si vous le souhaitez, vous pourrez en profiter dès maintenant.
En prononçant cette dernière phrase, Rosalie indiqua Quentin d’un signe de tête. Comprenant l’allusion, Solange sourit.
— Eh bien, comme je l’ai dit à Johann et Manon il y a peu, je ne suis plus vraiment faite pour les relations... Classiques. C’est donc avec plaisir que j’accepte votre présent, Rosalie.
— Parfait. Dans ce cas, si vous souhaitez vous isoler avec lui et nous faire un feedback par la suite, n’hésitez pas : il est à vous.— Pourquoi nous isoler, ma chère ? Cette pièce est bien assez grande et tout le monde ici est au courant de la situation. Il n’y a donc rien à cacher. Et puis, il fut un temps où nous vous accueillions avec du thé et des biscuits. Aujourd’hui, avec l’aide de Quentin, nous le ferons en vous offrant un show privé. Ça nous permettra, à mon mari et moi, d’expérimenter la domination à deux.— Eh bien, si cela ne vous gêne pas de le faire devant nous, nous nous ferons un plaisir d’assister à votre « spectacle ».— Nous allons vous montrer que nous ne sommes pas encore bons pour la maison de retraite.
Sa grand-mère tendant la main vers elle, Angélique lui remit la laisse. Roger, de son côté, excité à l’idée de retrouver une vie sexuelle que l’âge et l’usure du temps avaient considérablement amoindrie, s’empressa de se dévêtir, dévoilant à ses invités une érection demeurée puissante malgré ses soixante-quinze ans passés.
— Roger, mon cher, aurais-tu l’amabilité de tenir notre esclave en laisse le temps que je me mette une tenue plus adaptée ?— Evidemment, ma chère.
Solange confia la laisse à son époux et quitta le salon pour se diriger vers la chambre conjugale. En réapparaissant un quart d’heure plus tard, elle surprit tout le monde, à l’exception de Roger, par la transformation de sa tenue vestimentaire. Sa robe d’été avait fait place à un body en cuir noir à coupes ouvertes au niveau des seins et de l’entrejambe. Ses jambes, auparavant laissées à l’air libre, étaient à présent affublées de collants et, en lieu et place de ses chaussons, elle portait des escarpins assortis à son body. Les accessoires que Solange avait pris avec elle eurent aussi leur effet sur l’assemblée. Dans sa main gauche, les invités devinèrent la présence d’un gode-ceinture tandis que, dans sa main droite, la retraitée tenait une palette noire. La grand-mère s’approcha de son petit-fils et lui asséna un coup de palette sur la joue.
— Il y en a un qui est un petit peu lent à la détente. À poil !
Surpris par le coup et le ton autoritaire de Solange, Quentin obtempéra. Roger le fit allonger sur le dos puis son épouse présenta son sexe à ses lèvres. Le jeune homme s’appliqua à titiller le clitoris de sa grand-mère qui émit rapidement des ronronnements d’aise. Ravi d’assister à un tel tableau, le grand-père se caressa quelques instants, jusqu’à ce que Solange fît changer de position à Quentin. Désormais à quatre pattes derrière son aïeule, le jeune homme lui prodiguait un anulingus. Roger profita de ce moment pour se placer derrière son petit-fils et enfoncer sa verge dans son fondement. Au vu de la souplesse de l’orifice, le grand-père constata avec une excitation non dissimulée qu’il n’en était effectivement pas le premier visiteur. Il prit alors le parti de pilonner son petit-fils de toutes ses forces. Le traitement durait depuis quelques minutes lorsque Solange alla s’équiper de son gode-ceinture.
Roger lui céda alors sa place et présenta sa verge devant la bouche de Quentin pour obtenir une fellation. Le jeune homme surprit tout le monde par la docilité dont il faisait preuve avec son grand-père.
Tandis que Solange pilonnait à son tour le petit trou de son petit-fils, Sébastien échangea des regards mêlés d’excitation et de complicité avec les autres hommes. Tous semblaient avoir le même besoin de se soulager. Comme pour l’encourager, Florent fut le premier à sortir son sexe pour se masturber devant la scène qui se jouait sous leurs yeux. Il fut aussitôt imité par Axel qui exprima son plaisir de voir son jeune frère ainsi traité. Johann et Sébastien finirent par suivre l’exemple des deux autres.
Ne désirant pas être en reste, les femmes finirent par retirer jupes et culottes et décidèrent de s’amuser avec les verges de leurs hommes tout en se caressant. Rosalie et Manon prirent en bouche les sexes de leurs époux respectifs tandis qu’Angélique se mettait à jouer avec celui d’Axel. Sébastien, quant à lui, vit son engin englouti en alternance par les bouches d’Alice et Justine.
Tout en regardant Solange sodomiser Quentin, Sébastien ressentit à nouveau l’étrange mélange de sentiments qu’il avait éprouvés une semaine plus tôt. Une partie de lui était excitée par ce qu’il voyait. L’autre ressentait quelque chose qu’il ne parvenait pas à s’expliquer. À nouveau, l’excitation finit par l’emporter et le jeune homme continua de regarder ses grands-parents s’amuser avec son cousin en savourant les caresses buccales de ses sœurs.
Au bout de quelques minutes, Solange se retira du petit trou de Quentin et échangea sa place avec Roger. Tandis que son époux perforait à nouveau l’orifice de son petit-fils, la grand-mère ordonna à ce dernier de lécher ses escarpins. Quentin s’appliqua à exécuter cet ordre jusqu’à ce qu’il sentît la semence de son grand-père lui remplir l’arrière-train. Cette ultime scène finit également de faire jouir les autres hommes dans les bouches de leurs partenaires. Solange finit par délivrer le jeune homme de sa tâche et remonter dans sa chambre pour se revêtir de la robe qu’elle portait auparavant.
La famille passa ensuite à table pour l’heure du déjeuner. Chacun étant plongé dans ses pensées, aucun mot ne fut échangé pendant le repas. Lorsque tout le monde eut fini, Solange demanda à Quentin de faire la vaisselle. Une fois qu’il eut fini sa tâche, le jeune homme finit par être sollicité tout l’après-midi par les femmes tandis que les hommes prenaient le parti de se balader au centre-ville. Vers dix-huit heures, il fut temps pour les dix invités de rentrer chez eux.
— Alors, Solange, qu’avez-vous pensé de notre soumis ?— Je dois dire qu’il est un petit lent à la détente, mais cela s’arrange. À part ça, je l’ai trouvé excellent. J’aimerais pouvoir m’amuser avec lui de temps en temps.— Très bien. Et vous, Roger ?— Rien de plus à ajouter par rapport à ce que mon épouse vient de dire. Nous nous ferons un plaisir de l’accueillir pour de nouvelles séances.— Dans ce cas, comme je l’ai dit à Manon et aux filles la semaine dernière, si vous désirez passer du temps avec notre soumis, n’hésitez pas à nous contacter. Il est aussi le vôtre, désormais.
Après les derniers au revoir, les dix invités prirent chacun la direction de leur domicile. Les vacances touchant à leur fin, il était temps pour les enfants de préparer leur rentrée à la fac.
[ À suivre ]
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