Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 71 J'aime
  • 6 Commentaires

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 16

Retour aux sources ou presque

Inceste
En se réveillant de bonne heure le lendemain, Sébastien prépara le petit-déjeuner pour lui et Linda. Après avoir mangé et s’être changée, la jeune femme partit à son travail en lui donnant un baiser. Ses cours ne commençant qu’en milieu de matinée, le jeune homme s’accorda un moment de réflexion après le départ de sa nouvelle petite amie. En songeant à la nuit d’amour qu’il venait de passer avec elle, Sébastien ressentit une joie indescriptible, mais aussi un curieux sentiment, comme s’il lui manquait quelque chose pour être pleinement épanoui.
Allongé sur son lit, le regard vers le plafond, il se mit à songer au jour où il avait appris la soumission de son cousin Quentin envers sa mère et sa sœur. Lorsque Rosalie et Angélique leur avaient offert leur esclave sur un plateau, Manon, Alice et Justine avaient pris un malin plaisir à s’amuser avec lui. Sébastien se rappela alors l’étrange sensation qu’il avait éprouvée en plus de son excitation en assistant à la scène. Le jeune homme se concentra longuement sur cette impression pour essayer d’en trouver l’explication. Au bout de vingt longues minutes de cogitation, il parvint à une réponse. En consultant l’heure affichée sur son téléphone, Sébastien constata qu’il était temps pour lui de se rendre en cours.
Il se changea en vitesse et fit une toilette sommaire avant de sortir et de prendre la direction de l’université. En chemin, tout en marchant d’un pas pressé, il décida d’appeler sa mère à son cabinet. La voix de Manon se fit entendre après deux sonneries.
— Oui, mon chéri ? — Salut, maman. Euh... Je t’appelle parce qu’il y a quelque chose dont je voudrais te parler. Comme ce n’est pas le genre de chose qui se dit au téléphone, est-ce que tu pourrais passer chez moi après ton travail ?— Oui, bien sûr. Dis-moi, ce n’est rien de grave ? Tout s’est bien passé avec Linda ?— Non, non, rien de grave. Pour Linda, tout s’est bien passé. Si elle ne te l’a pas encore annoncé, je t’informe que nous sommes devenus un couple.— C’est super, ça, mon chéri ! Je suis très contente pour vous deux.— Merci, maman. Bon, il faut que je te laisse. J’ai mes cours qui commencent bientôt.— D’accord. Bonne journée, mon chéri. À ce soir !— À ce soir !
Le jeune homme raccrocha et prit la direction de l’auditoire dans lequel se déroulait son premier cours de la journée. Sébastien tâcha de mettre son sentiment de côté pendant quelque temps et de se concentrer sur les explications du professeur. La journée se passa ainsi plus vite qu’il ne s’y attendait. En rentrant chez lui, il rangea ses affaires et prit le parti de se reposer en attendant que Manon arrivât.
Environ un quart d’heure plus tard, alors qu’il somnolait, Sébastien fut tiré de son sommeil par la sonnette. Le jeune homme s’empressa d’aller ouvrir la porte pour accueillir sa mère. Il la fit ensuite assoir sur une chaise dans la cuisine.
— Salut, maman. Merci d’être venue.— C’est normal. Alors, de quoi veux-tu me parler, mon chéri ?— Eh bien, c’est à propos de moi. Ou plutôt de ma sexualité.— De ta sexualité ? Comment ça ?— Tu te souviens du jour où on a appris que Quentin était soumis à Rosalie et Angélique ?— Oui, bien sûr.
— Pour être honnête avec toi, avec Rosalie et Angélique, papa et moi vous avons vu, Alice, Justine et toi en train de dominer Quentin.— Ah bon ?— Oui. On a ensuite fait comme si de rien n’était, mais, en ce qui me concerne, en vous voyant, j’ai ressenti un sentiment étrange. Je l’ai mis de côté pendant un certain temps, mais la nuit que j’ai passée avec Linda l’a fait ressurgir en moi et, en y réfléchissant, j’ai fini par me rendre compte que ma sexualité se définit en deux parties. Je peux explorer une partie avec Linda, mais, pour l’autre, j’aimerais que ce soit toi qui me guides, comme lorsque nous avons commencé notre relation la première fois.— Tu veux dire que...— Oui, maman. En te voyant avec Quentin, j’ai eu envie d’être à sa place. Et c’est cette partie de ma sexualité que j’aimerais explorer avec toi.— Eh ben dis donc... Je ne m’attendais pas à ça. C’est très louable de ta part de vouloir explorer toutes les facettes de ta sexualité, mais, quand j’ai dominé ton cousin, je l’ai fait en compagnie de tes sœurs. Tu ne préfères pas attendre leur retour pour qu’elles puissent participer, elles aussi ?— Non, parce que, quand nous avons commencé pendant les vacances, trop de personnes ont fini par être impliquées et ça a pris des proportions auxquelles je ne m’attendais pas. Je veux que, cette fois, ça reste entre toi et moi.— Je comprends. Dans ce cas, je propose que nous rédigions un contrat qui définisse notre nouvelle relation.
Sébastien approuva et alluma son ordinateur. Dès qu’il eut ouvert Word, Manon et lui discutèrent des points à mentionner dans le contrat. Dès que toutes les bases furent posées, Sébastien rédigea le document et le fit lire à sa mère pour approbation.
CONTRAT D’ALLÉGEANCE ENTRE SÉBASTIEN ET MANON

Considérant en fait :
En date du vingt-trois septembre deux mille dix-neuf, Sébastien (ci-après désigné comme le cavalier) a avoué à Manon (ci-après désignée comme la reine) son attrait pour les relations de domination-soumission et son désir de s’engager avec elle dans cette voie.
Le contrat précise :
Point un : Le cavalier devra se conformer à toutes les instructions, orales ou écrites, de la reine.
Point deux : seuls des motifs scolaires ou de force majeure permettront au cavalier de déroger au point un.
Point trois : Dans leur intimité, le cavalier et la reine s’appelleront par « Ma Reine » et « mon cavalier ». En public, les termes inhérents à leur lien mère-fils seront utilisés.
Point quatre : La reine se réserve le droit de sanctionner, de la manière qu’elle estimera la plus juste, tout manquement injustifié de la part du cavalier aux points un et trois.
Point cinq : Toute modification du présent contrat devra être conclue d’entente entre la reine et le cavalier et tenue dans une annexe par ce dernier.
La reine :
Le cavalier :
— Ça m’a l’air parfait. Tu peux l’imprimer.
Sébastien imprima le document et Manon s’empara d’un stylo pour le signer. Le jeune homme voulut faire de même, mais il fut stoppé net par sa mère.
— Toi, tu vas signer autrement, mon cavalier.— Comment, Ma Reine ?— Eh bien, pour commencer, déshabille-toi.— Oui, Ma Reine.
Le jeune homme se dévêtit intégralement, dévoilant son sexe à demi dur à Manon. Celle-ci le prit en main et entama un lent mouvement de va-et-vient jusqu’à ce que la verge atteignît sa dureté maximale. Manon continua de jouer avec la hampe de son fils pendant quelques minutes puis elle augmenta le rythme de son geste jusqu’à le faire éjaculer sur le contrat, à l’endroit prévu pour sa signature.
— Et voilà ! Je vais prendre ce contrat avec moi et le mettre en lieu sûr. Toi, de ton côté, remets-toi bien de ta journée, car je vais repasser très vite, mon cavalier.— Oui, Ma Reine.
Manon rangea le contrat dans son sac puis quitta l’appartement en laissant Sébastien dans l’attente de sa prochaine visite.
[ À suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live