Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 45 J'aime
  • 3 Commentaires

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 24

Le cavalier devient également étalon pour les Princesses

Inceste
Deux mois s’étaient écoulés depuis la réunion qui s’était tenue chez Sébastien et la résolution qui s’en était suivie. Durant cette période, le jeune homme avait été régulièrement sollicité par Manon et Rosalie, parfois en compagnie d’Axel, parfois sans la présence de celui-ci. En ce samedi matin pluvieux de la mi-décembre, Sébastien profitait des vacances de Noël pour rattraper le retard qu’il avait pris sur ses révisions. Il travailla pendant près de deux heures et demie avant de se préparer à dîner. Il mangea son repas avec appétit puis se fit un café qu’il prit le temps de savourer. 
Estimant qu’il avait mérité un moment de détente, Sébastien s’allongea sur son lit, un roman à la main. Il lut l’ouvrage avec un intérêt croissant au fil des pages qu’il tournait. Il était parvenu à la cinquantième page lorsqu’il entendit la vibration de son téléphone, signe caractéristique d’un nouveau message. Le jeune homme posa son livre et s’empara de portable. Comme il l’avait supposé, il avait reçu un SMS. Il fut cependant surpris en voyant le nom de l’expéditrice. S’attendant à être contacté par sa mère ou sa tante, Sébastien constata que la personne qui l’avait contacté était sa sœur Alice.
[SMS, Alice]< Salut, petit frère ! Justine et moi sommes rentrées depuis hier soir. Tu nous as beaucoup manqué. Maman nous a dit, à papa et nous, qu’il s’était passé beaucoup de choses ces derniers temps et que tu allais nous raconter. Tu penses passer bientôt à la maison ?
En lisant le message qu’il avait reçu, Sébastien comprit que Manon souhaitait que les autres membres de la famille fussent informés le plus tôt possible des évènements des deux précédents mois. Il réfléchit longuement avant de répondre à Alice. Ayant toujours appréhendé l’instant où il révèlerait son secret, une part de lui souhaitait toujours repousser l’échéance. D’autre part, il savait pertinemment que cette étape devait finir par se réaliser, d’autant plus que sa mère avait déjà lancé le sujet en leur indiquant qu’il avait des révélations à leur faire. Il finit par se résoudre à affronter son destin.
[SMS, Alice]< Salut, petit frère ! Justine et moi sommes rentrées depuis hier soir. Tu nous as beaucoup manqué. Maman nous a dit, à papa et nous, qu’il s’était passé beaucoup de choses ces derniers temps et que tu allais nous raconter. Tu penses passer bientôt à la maison ?>Je passerai cet après-midi, vers seize heures. Vous m’avez aussi beaucoup manqué, Justine et toi.
Dès qu’il eut informé sa sœur de son passage, Sébastien vit à l’heure affichée sur son téléphone qu’il était quatorze heures. En exceptant le temps nécessaire au trajet entre son domicile et celui de ses parents, cela lui laissait une heure et demie pour se préparer et trouver la meilleure façon de formuler les choses. Après une heure de cogitations, le jeune homme finit par trouver un fil conducteur pour son entrevue. Content de cela, il passa les trente minutes qui lui restaient à se détendre en poursuivant la lecture de son roman.
À l’heure de partir, Sébastien sortit de chez lui d’un pas pressé. Une partie de lui était impatiente de revoir Alice et Justine mais l’autre partie appréhendait les conséquences de ce qu’il était sur le point de leur raconter. Il arriva à l’heure prévue chez ses parents. Après avoir sonné à la porte, il fut accueilli chaleureusement par ses sœurs. En les voyant après les trois mois qui s’étaient écoulés, il se prit à penser qu’il les trouvait plus attirantes encore qu’à l’été précédent.
— Alors, Seb ? Comment ça se passe, ces études et cette vie indépendante ?— Ça se passe plutôt bien. Et vous, comment c’est à Paris et à Lille ?— À Paris, ça va. Je dois juste supporter quelques gosses de riches qui me snobent parce que je viens du sud.— Moi, à Lille, je suis plutôt tranquille, de ce point de vue, mais je dois dire que comme la plupart des gens finissent par se saouler tous les vendredis et samedis soir, je m’ennuie un peu là-bas.
Sébastien et ses sœurs n’eurent pas le loisir de poursuivre leur conversation. Manon leur avait indiqué de la rejoindre dans le salon. En entrant dans la pièce, le jeune homme constata que son père les attendait déjà, assis dans son fauteuil. La mère de famille prit place sur le canapé, aux côtés de son fils, tandis qu’Alice et Justine s’asseyaient de part et d’autre de Johann.
— Maintenant que nous sommes tous là, il est temps que vous sachiez quelques petites choses.
— C’est en rapport avec ce que Seb doit nous annoncer ?— Oui, Justine, c’est ça.— Ce n’est rien de grave, au moins ?— Non, non, Alice. Ne t’en fais pas.— Bon, dans ce cas, je propose d’écouter tranquillement ce que notre fils a à dire, ma chérie.— Bien entendu. Seb, mon chéri, nous t’écoutons.
Sébastien prit une grande inspiration et se lança dans son récit en regardant tour à tour les membres de son auditoire.
— Comme vous le savez, durant l’été, j’ai d’abord commencé par entretenir des relations intimes avec maman. Ensuite, ça a été le cas avec vous deux et puis il y a eu ces rebondissements avec l’histoire de Quentin. — On sait tout ça. Où est-ce que tu veux en venir ?— J’y viens. Depuis quelque temps, j’éprouvais aussi une attirance pour Linda, la secrétaire de maman. J’ai décidé de tenter ma chance avec elle et nous sommes devenus un couple depuis bientôt trois mois.— C’est génial, ça, Seb ! Tu t’es finalement remis de tes précédents échecs sentimentaux ?— Oui, mais ce n’est pas le seul changement qui s’est produit dans ma vie depuis la rentrée. Ma relation avec Linda a fait surgir en moi un sentiment spécial. Un sentiment que je n’éprouvais qu’en voyant Quentin être pris par l’une d’entre vous. En y réfléchissant, je me suis rendu compte que ma vie sexuelle n’aurait pas été complète si je m’étais contenté de ma relation avec Linda. Il me fallait autre chose. Et cette autre chose, j’ai fini par comprendre que c’était le fait d’être soumis à une femme. J’en ai parlé à maman et elle a accepté de jouer ce rôle. Nous avons défini notre relation à travers un contrat.
Johann et ses deux filles furent surpris d’entendre ces paroles sortir de la bouche du jeune homme.
— Si je comprends bien, c’est le fait d’avoir vu Quentin être dominé qui t’a donné envie de te mettre au service de ta mère ?— Oui, papa, mais, comme je l’ai dit, c’est juste une partie de ma sexualité. L’autre partie est, disons, plus conventionnelle.— Je vois… Et toi, tu n’aurais pas pu m’en parler plus tôt ?— Seb a mentionné notre contrat et celui-ci précise que tout changement de sa situation doit être convenu d’entente entre lui et moi.— Bon, d’accord. Et est-ce que c’est déjà arrivé, que la situation change ?— Oui, c’est arrivé une fois. Maman a voulu voir ce que je valais en face d’un autre soumis. Ce soumis, c’était Quentin. Du coup, Rosalie a été informée de la situation et elle est aussi devenue ma maîtresse.
À nouveau, la surprise put se lire sur les visages du père et des filles. Manon décida de prendre le relais de Sébastien.
— En effet, Rosalie a été surprise du dévouement dont Seb faisait preuve à mon égard et elle a émis le souhait de pouvoir recourir à ses services. J’ai ensuite demandé à Seb s’il était d’accord d’être également au service de Rosalie et il a accepté. Je tiens à préciser que cet état de fait a été consigné dans une annexe de notre contrat. Depuis lors, nous avons appris avec stupeur que la soumission de Quentin n’avait pas déteint que sur votre frère. Axel a également formulé le souhait d’être dominé par sa mère. En ce moment-même, Rosalie est sûrement en train d’expliquer à votre oncle et à votre cousine ce que Seb et moi vous racontons maintenant.
Alice et Justine s’échangèrent des regards perplexes.
— Maintenant que vous savez tout de la relation que votre frère et moi entretenons actuellement, que pensez-vous faire ?
Les deux sœurs se retirèrent du salon en expliquant qu’elles éprouvaient le besoin de se concerter. Elles revinrent quelques minutes plus tard, l’air résolu.
— On a bien compris que la soumission envers maman et Rosalie est pour toi un moyen de compléter ta vie sexuelle. On respecte ça mais, pour nous, il est aussi important de varier les plaisirs. Étant donné qu’on a déjà Quentin pour ce qui est de la domination, on va faire appel à toi, mais en tant qu’étalon. D’autant que tu as des arguments tout à fait valables de ce côté-là.— C’est une idée séduisante que vous avez trouvée, là, les filles. À voir si votre mère et votre frère sont d’accord pour que vous entriez dans leur relation de cette manière.— Au vu de la situation, je propose que nous fassions un test. Pour ma part, votre idée m’enchante, d’autant plus que je souhaitais au départ que vous soyez vous aussi impliquées dans notre relation, au vu du fait que nous dominions Quentin à trois. Si, après ce test, votre frère valide cette idée, elle sera également consignée dans l’annexe.— Ça marche comme ça. Viens avec nous, bel étalon.
Sébastien sortit du salon avec Alice et Justine. Le trio se réunit dans la chambre de ses parents puis chacun se dévêtit intégralement. Le jeune homme éprouva un vif plaisir à la vue des corps dénudés de ses sœurs. Cette sensation se traduisit par une puissante érection qui fit sourire les deux femmes. Ils s’allongèrent tous les trois sur le lit conjugal puis Alice fut la première à prendre le sexe de son frère en bouche. Tandis qu’il appréciait la fellation qui lui était prodiguée, Sébastien regarda avec complaisance Justine titiller le clitoris d’Alice de la pointe de sa langue. N’étant pas insensible à ce contact, le corps de celle-ci fut pris de légers spasmes et des gémissements étouffés par la verge de Sébastien émanaient de sa bouche.
Au bout de quelques minutes, les deux sœurs échangèrent leurs places. À l’inverse d’Alice, Justine réalisa sa pipe tout en massant les bourses de son cadet. La jeune femme sentit néanmoins deux doigts pénétrer dans ses chairs intimes. Tout comme sa sœur quelques instants auparavant, elle fut prise de secouée par un orgasme dont les manifestations sonores étaient coupées par la verge qu’elle avait en bouche.
Justine mit fin à sa fellation et se redressa sur ses genoux. Elle invita son frère à adopter la même posture puis ils échangèrent un langoureux baiser. Tout en l’embrassant, Sébastien savoura avec un malin plaisir le contact des seins lourds et des fesses rebondies sous ses mains. Alice, de son côté, fit jouer sa langue en alternance entre la verge de son frère et le calice de sa sœur, les faisant tour à tour ronronner de délectation.
Les deux sœurs intervertirent leurs positions et Sébastien savoura avec le même plaisir les caresses qu’il donnait sur la poitrine et le fessier d’Alice. Tout comme cette dernière avant elle, Justine lécha et embrassa à tour de rôle les sexes de son cadet et de son aînée. Dès que le baiser fut interrompu, Justine et Alice se positionnèrent à quatre pattes l’une derrière l’autre. Sébastien se plaça derrière Justine et comprit ce qu’elle souhaitait sans qu’elle n’eût à prononcer le moindre mot. Il fit doucement pénétrer sa verge dans sa grotte d’amour puis entama une série de puissants va-et-vient. Il alterna ainsi ses assauts entre le vagin et la rondelle de Justine tandis que celle-ci s’appliquait à prodiguer un anulingus à Alice.
Sébastien fut rapidement excité par les deux femmes qui criaient leur plaisir à l’unisson. Cela se confirma par un ralentissement de ses coups de reins. Justine le fit se retirer d’elle et permuta avec Alice. Le jeune homme pilonna les orifices de sa sœur aussi fort et longtemps qu’il le put. Cela dura quelques minutes avant qu’il ne les prévînt de sa jouissance imminente.
Il se retira de la rondelle d’Alice puis les deux femmes s’allongèrent l’une à côté de l’autre en se caressant les seins, comme pour lui indiquer qu’elles souhaitaient qu’il éjaculât dessus. Le jeune homme se masturba pendant quelques secondes puis plusieurs jets de sperme vinrent maculer les poitrines de ses sœurs.
Ils reprirent leurs esprits puis, tout en se rhabillant, Alice et Justine interrogèrent leur frère sur la relation qu’il entretenait avec Manon.
— Au fait, maman et toi avez vos petits surnoms lors de vos relations ?— Oui. Maman m’appelle « mon cavalier » et, moi, je l’appelle « Ma Reine ». Quant à Rosalie, je l’appelle « Maîtresse Rosalie ». Le surnom d’Axel est « le petit soldat » et celui de Quentin est désormais « la petite sissy ». Je pense que vous finirez bientôt par comprendre pourquoi.— Sympa. Si maman est la reine, cela fait de nous des princesses. Je propose que tu nous appelles « Princesse Alice » et « Princesse Justine » pendant nos relations. Quant à nous, on t’appellera « bel étalon ». — Ça me plaît.
Les trois frère et sœurs rejoignirent leurs parents dans le salon. Johann fut le premier à les interroger.
— Alors, les enfants ? Que va-t-il se passer entre vous, maintenant ?— J’ai accepté de devenir leur étalon. Elles m’appelleront « bel étalon » et moi, en retour, je les appellerai « Princesse Alice » et « Princesse Justine ».— Très bien. Dans ce cas, je te laisserai mettre ce nouvel état de fait dans l’annexe de notre contrat. Je dois dire que cette décision ne me surprend pas. Votre père et moi avons pris le temps de vous observer tout à l’heure et avons remarqué la complicité sexuelle qui vous lie tous les trois.
Les trois enfants s’échangèrent des regards incrédules qui firent beaucoup rire Johann et Manon. Sébastien prit ensuite congé en promettant à sa mère de se renseigner sur la situation de son cousin Axel.
En arrivant chez lui, le jeune homme s’empressa de mettre à jour l’annexe.
ANNEXE DU CONTRAT D’ALLÉGEANCE ENTRE SÉBASTIEN ET MANON

Modification numéro une : en date du trois octobre deux mille dix-neuf, Rosalie, tante du cavalier, a été mise au courant de la relation qui subsiste entre lui et La Reine. Dans le cadre d’un duel l’opposant à la sissy de sa tante, il a été convenu entre le cavalier et La Reine que son allégeance irait également à Rosalie. Ce nouvel état de fait implique les points suivants :Un : le cavalier et Rosalie s’appelleront désormais par « mon cavalier » et « Maîtresse Rosalie ».Deux : les dispositions du contrat d’allégeance s’appliqueront à cette nouvelle relation. Trois : Toute modification du contrat se conclura désormais d’entente entre La Reine, Maîtresse Rosalie et le cavalier.
Modification numéro deux : en date du vingt décembre deux mille dix-neuf, Johann, Alice et Justine, père et sœurs du cavalier ont été informés des évènements qui se sont déroulés entre le vingt-trois septembre deux mille dix-neuf et la date de la présente modification. À la suite de ces confidences, il a été convenu entre le cavalier et la Reine qu’Alice et Justine peuvent désormais faire appel à ses services en qualité d’étalon. Cela implique :Un : le cavalier et ses sœurs s’appelleront désormais par « bel étalon », « Princesse Alice » et « Princesse Justine ».Deux : les dispositions du contrat d’allégeance ne s’appliqueront pas à cette relation, en raison de sa nature.
Une fois le document mis à jour, il appela son cousin Axel. La communication s’établit après la deuxième sonnerie.
— Allô ?— Salut, cousin. C’est moi, Seb.— Salut, cousin. Ça va ?— Oui, avec ma mère, on vient d’informer mes sœurs et mon père de ce qu’il s’est passé entre nous et nos mères.— Nous aussi, on a fait ça aujourd’hui.— Et comment ça s’est passé ?— Plutôt bien. Angélique a décidé qu’avec moi, elle alternerait les plaisirs. Parfois, c’est moi qui la baiserai, parfois c’est elle qui jouera avec mon cul. Et toi, avec tes sœurs, ce sera comment ?— Elles ont décidé que Quentin leur suffisait pour la domination. Elles ont donc fait de moi leur étalon.— Cool ! Tu t’en tires mieux que moi.— Tu auras peut-être une chance avec elles, toi aussi.— On verra. Allez, il faut que je te laisse. Ciao !— Ciao !
Dès qu’il eut raccroché, Sébastien envoya un message à Manon l’informant de la conversation qu’il venait d’avoir avec son cousin.
[ À suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live