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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 25

Noël en famille

Inceste
En cette veille de Noël, Sébastien et sa famille attendaient impatiemment l’arrivée de leurs invités. Confortablement installés dans leur salon richement décoré pour l’occasion, les cinq membres de la famille bavardaient tranquillement autour de leurs tasses de thé. Ils furent interrompus par le bruit de la sonnette. Manon alla ouvrir en compagnie de son fils. Ils accueillirent chaleureusement Rosalie, Florent et leurs trois enfants. Comme à son habitude depuis quelque temps, Quentin était affublé de mascara et de rouge à lèvres et portait pour vêtements un pull en laine rose et un pantalon moulant assorti. Également tenu en laisse par sa sœur Angélique, le jeune homme peinait à marcher avec les chaussures à talons qui lui avaient été mises aux pieds.  — Bienvenue à vous tous ! Vous avez fait bonne route ?— Oui, très bonne, Manon. Nous avions hâte de vous retrouver pour fêter Noël tous ensemble.— Nous de même, Rosalie. Venez seulement avec nous dans le salon. Mon cavalier, amène le petit soldat dans ta chambre : je vous y ai laissé une petite surprise.— Bien. Merci, Ma Reine.
Manon guida son frère et sa belle-sœur ainsi que sa nièce et son neveu jusque dans le salon. Se conformant aux instructions de sa mère, Sébastien mena Axel à sa chambre. En entrant dans la pièce, les deux cousins aperçurent, sur le lit, un casque médiéval, des solerets, une veste de treillis et des rangers. À côté de ces accessoires, un mot rédigé de la main de Manon leur indiquait de ne porter rien d’autre que le matériel mis à disposition. Les deux jeunes hommes se dévêtirent et endossèrent leurs tenues respectives. 
— Ça fait bizarre de ne porter que ça. Ça ne cache rien du tout. Autant rester à poil. Pourquoi est-ce que ta mère a voulu qu’on s’habille comme ça, d’après toi ?— Sans doute pour ressembler un peu plus à nos personnages. Moi, le cavalier et, toi, le petit soldat.— Pas bête comme raisonnement. Je n’y avais pas pensé. Bon, et, maintenant, on fait quoi ? On rejoint les autres en bas ou on attend ici ?— Je pense que c’est mieux d’attendre que quelqu’un vienne nous chercher, vu que c’est ma mère qui nous a dit de venir ici et qu’elle ne nous a rien dit d’autre.
L’intuition de Sébastien fut rapidement confirmée lorsque Rosalie vint leur annoncer qu’ils étaient attendus dans le salon. Ils constatèrent rapidement qu’ils n’étaient pas les seuls à s’être déguisés. Leur mère et tante portait un bonnet rouge orné d’un pompon blanc sur la tête. La robe longue et les chaussures qu’elle portait s’accordaient parfaitement avec le couvre-chef. Lorsqu’ils pénétrèrent dans le salon, Axel et Sébastien furent reçus par des acclamations de leurs parents et des gloussements de leurs sœurs respectives. À nouveau, les deux cousins constatèrent que tous les membres de leur famille, à l’exception de Quentin qui, n’ayant gardé que ses escarpins et un soutien-gorge, attendait, debout, nu, leur arrivée, s’étaient parés d’un déguisement de Noël. Tout comme Rosalie, Manon avait opté pour un bonnet rouge et une robe assortie. Alice, Justine et Angélique, elles, s’étaient déguisées en elfes. Sébastien les trouva toutes trois très attirantes avec leurs bérets verts et leurs combinaisons de la même couleur. Johann et Florent s’étaient, quant à eux, déguisés en Pères Noëls.
— Alors, là, il n’y a pas de doute : c’est un bien un cavalier et un petit soldat que nous avons là !Justine et Angélique approuvèrent cette remarque d’Alice en riant. Manon finit par les interrompre. — Du calme, les filles. Ce sont juste des déguisements de Noël. Venons cependant à l’essentiel. Si j’ai souhaité que vous nous rejoigniez dans cette tenue, c’est parce que je compte organiser une joute érotique entre vous trois.— Une joute érotique, Ma Reine ?— Oui, exactement, mon cavalier.— En quoi est-ce qu’elle consiste, cette joute, Maîtresse Manon ?— J’y viens, mon petit soldat. Les règles sont simples : Les trois elfes qui sont là, à savoir vos sœurs, vont chacune masturber l’un d’entre vous. La première qui aura réussi à faire jouir son… personnage, pourra décider du sort de ce dernier. Ta Maîtresse Rosalie et moi allons assurer la surveillance de cette joute. Des questions avant que nous ne commencions ?— Non, Maîtresse Manon.— Non, Ma Reine.
— Non, Maîtresse Manon.— Très bien. Dans ce cas, à vous de jouer, les filles.
Alice se saisit de la verge d’Axel tandis que Justine faisait de même avec celle de Quentin. Sébastien fut donc confronté à Angélique. D’un claquement de doigts de Rosalie, les trois femmes commencèrent leur office. Sébastien constata rapidement que sa cousine était dotée d’un très bon tour de poignet. En quelques secondes de va-et-vient sur son sexe, Angélique était parvenue à lui procurer une érection complète. En jetant un regard sur ses cousins, placés à sa gauche, le jeune homme remarqua que ces derniers étaient encore à moitié mous. Cette joute ne commençait pas très bien pour lui.
Il entendit un mouvement de main s’accélérer. C’était Justine qui s’était mise à caresser frénétiquement la verge de Quentin. Celui-ci bandait dur et des sons rauques émanaient de sa bouche. Sébastien comprit qu’il avait désormais un avantage sur son cousin. Arbitres de la joute, Manon et Rosalie gloussaient régulièrement à la vue des rictus qui se dessinaient sur les visages de leurs fils. Angélique finit par s’inspirer de sa cousine et augmenta le rythme de sa masturbation. Cette décision porta ses fruits. Au bout d’une minute ou deux, Sébastien se sentit sur le point d’éjaculer et il lui était de plus en plus difficile de repousser ce moment fatidique. 
— Stop !
Manon tapa dans ses mains, signifiant que la partie était terminée. Sébastien émit un soupir de soulagement. Tout à sa lutte intérieure, il n’avait pas entendu Quentin râler de plaisir tout en déversant sa semence sur la main et l’avant-bras de Justine.
— Il semble que la sissy a joui la première. Quel sort vas-tu lui réserver, Justine ?— Pour les avoir moi-même testés, je peux certifier que la sissy possède des trous parfaits pour accueillir des bites. Je souhaite que nos pères se fassent leur avis sur la question ce soir.— Parfait. Dans ce cas, la sissy est à vous, messieurs.
Florent et Johann retirèrent leurs pantalons et sous-vêtements, exposant aux regards émerveillés de leurs épouses et de leurs filles des verges épaisses gorgées de sang. Quentin fut mis à quatre pattes par son père puis, d’un accord tacite, les deux hommes convinrent que Florent fût le premier à sodomiser son fils tandis que Johann bénéficiait d’une fellation. Sous les encouragements de Manon, Rosalie et Justine, les deux pères de famille s’agenouillèrent de part et d’autre de Quentin et, dès qu’ils eurent pénétré ses orifices, lui donnèrent de puissants coups de reins, lui arrachant des gémissements étouffés.
De leur côté, Axel et Sébastien regardaient la scène en partageant le soulagement de ne pas se trouver à la place de leur frère et cousin. Les deux cousins ne furent cependant pas spectateurs très longtemps. Alice et Angélique s’étaient agenouillées devant eux et les masturbaient.  — La joute est peut-être terminée mais pas notre travail. Et nous n’aimons pas laisser les choses inachevées.
Convaincus par cette explication d’Alice, Axel et Sébastien laissèrent leurs cousines respectives accomplir leur œuvre. Leurs verges encore endurcies par l’activité à laquelle ils s’étaient livrés et, sous l’effet de l’excitation liée au fait de voir Quentin se faire par leurs pères, ils ne tinrent pas plus d’une minute avant de jouir. Alice vit son visage recouvert de semence tandis qu’Angélique avait expressément demandé à Sébastien de se répandre dans sa bouche. Le jeune homme fut surpris de voir sa cousine avaler son liquide séminal avec une certaine pointe de gourmandise.
Leurs regards se tournèrent ensuite à nouveau vers les six autres convives. Sodomisant Quentin à tour de rôle, Florent et Johann avaient requis l’assistance de Justine qui étouffait les cris de son cousin en le forçant à lui prodiguer un cunnilingus. Les deux hommes, épuisés par leurs efforts qui avaient duré pendant près d’un quart d’heure et excités par les encouragements de Manon et Rosalie finirent par faire agenouiller Quentin devant eux, la bouche ouverte. Florent et Johann se caressèrent pendant quelques instants puis maculèrent de leur jus la langue et le visage du jeune homme.
Lorsque leurs maris se furent remis de leurs orgasmes, Manon et Rosalie proposèrent de passer à table en autorisant Sébastien et ses cousins à se rhabiller. Réunis autour de la table, les dix membres de la famille discutèrent de banalités pendant tout le repas. À la fin du repas, Sébastien décida de s’esquiver dans sa chambre afin de profiter d’un moment de repos. Le jeune homme prit le parti de se détendre en poursuivant la lecture d’un roman qu’il n’avait plus eu le temps d’ouvrir pendant des jours. Durant la lecture, des clameurs et des gémissements parvinrent à ses oreilles. Il n’y prêta cependant pas attention et poursuivit sa lecture.
Alors qu’il avait progressé d’une cinquantaine de pages dans son livre, Sébastien fut interrompu par la visite d’Angélique dans sa chambre. En levant les yeux de son ouvrage, le jeune homme constata avec stupeur que sa cousine était complètement nue, à l’exception d’un gode-ceinture couleur chair dont elle s’était équipée. En jaugeant l’engin du regard, il se dit qu’il était de bonnes dimensions. 
— Ah, tu es là, Seb !— Je voulais juste être un peu seul un moment. Qu’est-ce qui t’amène ?— Eh bien, ça ne se voit pas ?
Angélique montra du doigt son gode-ceinture. 
— Désolé, cousine. Il n’y a que ma mère et la tienne qui ont le droit de me prendre. Et puis, Quentin et Axel ne te suffisent pas ?— J’ai demandé à ta mère, enfin Ta Reine, la permission de te prendre. Permission accordée. Et tu ne voudrais pas t’attirer ses foudres en refusant d’exécuter l’une de ses volontés ?
Pendant un court instant, Sébastien se demanda si sa cousine n’était pas en train de bluffer. Il dut cependant se rendre à l’évidence. Ce qu’Angélique venait de lui dire était la pure vérité.
— Bien sûr que non. Je n’ai donc pas le choix. Mais tu n’as toujours pas répondu à ma question : Quentin et Axel ne te suffisent pas ?— Ils pourraient me suffire s’ils n’étaient qu’à ma disposition, ce qui n’est pas le cas. Et puis, ça me ferait plaisir de tester un autre petit trou de la famille.— Bon, dans ce cas, tu pourras te faire un avis, grâce à ma mère. D’ailleurs, que font les autres, maintenant ?— C’est un peu l’orgie. Tes sœurs sont en train de baiser avec Axel pour le consoler des coups de queue que je lui ai mis tout à l’heure. Quant à la sissy, nos parents s’amusent comme des petits fous à la sodomiser dans le salon, dans toutes les positions possibles et imaginables.— C’était donc ça les bruits que j’ai entendus tout à l’heure… Bon, j’imagine que nous n’allons pas jouer les enfants sages.— Ce serait idiot de notre part.
Sébastien se dévêtit intégralement et Angélique le rejoignit sur le lit. La jeune femme fit ensuite lever les jambes de son cousin, ses pieds touchant ses épaules, puis elle entoura ses cuisses de ses bras afin de stabiliser la posture. Dès qu’elle eut fait pénétrer son sexe factice jusqu’à la garde en lui, le jeune homme se rendit compte que sa cousine possédait une maîtrise de l’engin qui n’avait rien à envier à celle de Manon ou celle de Rosalie. Angélique entama une série de puissants va-et-vient en soulignant la souplesse de son petit orifice. Ce stimulus poussa Sébastien à se masturber en calant ses mouvements sur ceux de sa cousine.  Ils demeurèrent dans cette position pendant quelques minutes avant qu’Angélique ne décidât d’en changer. Sébastien se positionna à quatre pattes sur le lit, sa cousine agenouillée derrière lui. Dès qu’il fut prêt, Angélique s’enfonça à nouveau dans son fondement d’une forte poussée, suivie rapidement par des coups de reins du même acabit. À nouveau, le jeune homme se caressa en synchronisant son mouvement avec celui de la jeune femme.
Au bout de quelques minutes de chevauchée, Sébastien prévint sa cousine de sa jouissance imminente. Cette dernière se retira de lui puis s’allongea en l’invitant à se vider sur son ventre. Le jeune homme joua avec sa verge quelques instants avant d’exaucer le vœu d’Angélique dans un râle d’extase.
Dès qu’elle se fut nettoyée, Angélique quitta la chambre de son cousin en lui annonçant qu’elle avait beaucoup aimé le rapport qu’ils venaient d’entretenir et qu’elle souhaitait qu’ils pussent un jour recommencer. Sébastien lui répondit évasivement puis lui souhaita une bonne nuit. Épuisé par les évènements de la journée, il finit rapidement par s’endormir.
Son sommeil ne fut cependant pas aussi paisible qu’il s’y était attendu. Au bout de cinq heures, il se réveilla avec le besoin de boire un verre d’eau. Le jeune homme descendit lentement les escaliers menant à la cuisine. Arrivé en bas, Sébastien vit de la lumière dans le salon. Surpris de constater que quelqu’un était encore éveillé à une heure aussi tardive, il s’approcha de la pièce. Ce qu’il y vit le figea sur place. Couchée sur un canapé, Angélique subissait les assauts de Florent tandis qu’à quelques mètres d’eux, Alice et Justine jouaient avec la verge de Johann. Ce spectacle aussi choquant qu’inattendu lui fit oublier sa soif. Il remonta les escaliers aussi lentement qu’il les avait descendus puis il s’empara de son téléphone et descendit à nouveau les escaliers. 
Entretemps, Johann s’était mis à baiser ses filles à tour de rôle tandis qu’Angélique s’empalait désormais sur la verge de son père. Sébastien s’approcha prudemment de la scène puis, après s’être assuré que le son fût coupé et le flash désactivé, prit plusieurs photos aussi rapidement et discrètement que possible. Après avoir examiné ses clichés, Sébastien remonta dans sa chambre en se promettant d’aviser Manon et Rosalie de ce qu’il venait de voir dès qu’il en aurait l’occasion.
[ À suivre ]
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