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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 28

La dernière de l'année

Orgie / Partouze
Le jour du réveillon, vers dix-huit heures, Sébastien se préparait à passer la soirée chez ses parents en compagnie de Linda et des autres membres de la famille. Après s’être soigneusement parfumé et coiffé pour l’occasion, le jeune homme vérifia une dernière fois qu’il n’y eût pas de faux pli sur son costume. Satisfait de son apparence, il attendit patiemment que Linda vînt sonner à sa porte, comme ils l’avaient convenu. Lorsque la sonnette retentit, Sébastien s’empressa d’aller ouvrir et fit entrer son amie. 
Pour l’occasion, celle-ci s’était parée d’une robe vert émeraude lui arrivant à hauteur des genoux et offrant un décolleté plaisant sur sa poitrine. La jeune femme avait également pris soin de parfaire sa tenue qui soulignait déjà à merveille ses courbes en y ajoutant des bijoux. À son cou pendait un collier aux chaînes dorées et pourvu d’un élégant motif assorti en forme de cœur. Linda portait également des bracelets de la même couleur au niveau des poignets. Sébastien demeura muet pendant quelques instants devant tant de beauté et de raffinement. Les deux jeunes gens échangèrent un baiser puis le jeune homme retrouva ses esprits.— Tu es splendide, ce soir, ma belle. Comme toujours.— Arrête de me flatter, tu vas me faire rougir.— Ce n’est pas de la flatterie mais la vérité, tout simplement.
En souriant, Sébastien prit la main de Linda et tous deux sortirent de l’appartement pour prendre le chemin du domicile des parents du jeune homme. Au bout de sa marche dans le froid glacial de cette fin d’année, le couple parvint à destination. Sébastien frappa à la porte et les deux jeunes gens furent aussitôt accueillis par Manon.
— Ah ! Vous voilà enfin, les amoureux ! On n’attendait plus que vous.— Désolée pour le retard, Madame. J’ai mis un peu plus de temps que prévu pour me préparer.— Ne t’excuse pas. Et puis, après tout le temps que nous avons passé ensemble au cabinet, je pense qu’on peut désormais s’appeler par nos prénoms. Qu’en dis-tu ?— Aucun problème.— Parfait. Bon, entrez ! Vous n’allez quand même pas rester dehors plus longtemps que nécessaire dans ce froid polaire !
Sébastien et Linda suivirent Manon jusque dans le salon où les attendaient les autres convives. À leur entrée dans la pièce, le couple fut accueilli par des exclamations de joie.
— Pas trop tôt, Seb ! Je commençais à avoir faim.— Désolé. Nous avons eu un petit contretemps. Linda, ma chérie, tu connais déjà ma sœur Alice et mon autre sœur Justine. — Linda ? Je rencontre donc enfin la femme qui rend mon fils aussi heureux. Bienvenue dans la famille !— Je te présente mon père. Pour les autres, voici mon oncle Florent, ma tante Rosalie, mes cousins Axel et Quentin et, enfin, ma cousine Angélique.— Enchantée de faire votre connaissance.— Nous de même, jeune demoiselle.
Après avoir terminé les présentations, Sébastien fut surpris par deux choses. La première était la façon dont sa copine venait d’agir avec sa famille. S’il ne se souvenait pas lui avoir tout révélé quelques jours auparavant, il aurait juré que Linda ne savait rien des relations entretenues au sein de la famille. La seconde était le fait que Quentin ne fût ni habillé avec des vêtements féminins ni tenu en laisse par sa sœur ou sa mère. À la réflexion, il finit par se dire qu’il en avait été décidé ainsi pour ne pas risquer de choquer Linda. 

— Bon, maintenant que nous sommes tous là, si nous allions manger ?
La proposition de Manon fut accueillie avec un enthousiasme général. Les onze convives s’assirent autour de la table et les maîtres de maison servirent le repas. L’ambiance fut agréable et chaleureuse et Sébastien remarqua que Linda établissait facilement des contacts avec ses sœurs et sa cousine qui ne cessaient de l’interroger sur leur rencontre et les modalités de leur relation. Lorsque tous les invités eurent fini leur plat, Johann et Manon débarrassèrent assiettes et couverts et le père de famille prit la parole.
— Avant que nous ne passions au dessert, je tiens à honorer l’une de nos plus anciennes traditions qui consiste à faire un bilan de l’année écoulée et ce que nous attendons de l’année suivante. Cette année n’a pas toujours été de tout repos mais j’ai pu réaliser bon nombre de choses que je souhaitais, la plupart grâce à votre amour et à votre soutien. Merci à vous tous. J’espère que l’année qui nous attend sera tout aussi fructueuse et nous réservera autant de bonheur que cette année.
Le laïus de Johann reçut quelques applaudissements puis tous les autres convives suivirent son exemple en exposant leur ressenti et leurs espoirs. Ils savourèrent ensuite leurs desserts puis convinrent que chacun avait quartier libre jusqu’au compte à rebours final. Disposant d’un peu plus de deux heures avant le rendez-vous, Sébastien prit le parti de montrer à Linda la chambre dans laquelle il avait grandi. Le jeune homme guida son amie à travers l’escalier qui menait à l’étage.
— Voilà ma chambre.— Sympa. Tu as bon goût en ce qui concerne la décoration.— Tant mieux parce que j’aimerais qu’on y passe un dernier moment, toi et moi, cette année.— Hum… Coquin ! Tu avais déjà prévu ça, j’imagine.— Ça va te surprendre mais non. Ça m’est venu à l’instant.— Dans ce cas, j’espère que cette porte peut être fermée à clé.— Bien sûr !— Très bien. Alors…
Linda noua ses bras autour du cou de Sébastien et les deux jeunes gens échangèrent un baiser langoureux. Le jeune homme souleva sa copine de terre et la déposa sur son lit. Il se hâta de se diriger vers la porte afin de la verrouiller et garantir à leur couple un moment d’intimité. Les choses ne se déroulèrent cependant pas comme il l’avait prévu.
— Ah, vous êtes là, les amoureux !— Justine ! On est un peu occupés, là ! Et qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ?
En dévisageant sa sœur, Sébastien ne put s’empêcher d’éprouver un mélange d’excitation et de nostalgie à la vue de son corps dénudé et de l’imposant gode-ceinture dont elle s’était équipée.
— Ne t’énerve pas comme ça, Seb. On a bien compris que tu es pris maintenant mais ce serait dommage de ne pas profiter de ce que tout le monde soit là pour nous amuser une dernière fois cette année.— Disons que j’avais plutôt pensé avoir un moment seul à seule avec ma copine, tu vois. Et puis, ne me dis pas que c’est pour moi que tu as mis ce truc.
Justine sourit à cette remarque.
— Quoi ? Tu n’as pas aimé la dernière fois ? Passons. Nous ne serons pas seuls. Alice, Angélique, Axel et Quentin nous attendent avec impatience. Et, pour te répondre, c’est pour quelqu’un d’autre que j’ai mis ce truc, comme tu dis.— Vous êtes bien assez pour votre activité. Vous n’avez pas besoin de nous.— C’est vrai, on est déjà assez, mais ce serait quand même mieux de demander son avis à Linda.
En entendant prononcer son nom, la jeune femme se leva du lit puis se dirigea vers la porte pour prendre part à la conversation. Elle afficha une mine surprise en voyant l’accoutrement de Justine. Finissant par reprendre contenance, Linda relança le dialogue.
— J’ai entendu dire que mon avis était demandé.— Oui. Ma sœur ici présente nous invite cordialement à participer à ce que l’on appelle communément une partouze en compagnie de mon autre sœur, de mes cousins et de ma cousine. Je lui ai dit qu’on voulait être seuls mais elle tient à avoir ton avis sur la question.— Pourquoi refuser une telle offre, mon amour ? C’est une dernière pour l’année, autant finir en beauté. Et puis, des moments en tête-à-tête, nous en aurons plein l’année prochaine.— On dirait que Linda a choisi. On vous attend dans la chambre d’Alice.
Justine repartit, laissant les deux jeunes gens se dévêtir avant de rejoindre le lieu de rendez-vous. En entrant dans la pièce, ils virent Quentin agenouillé aux pieds de ses cousines. Tandis qu’Alice le tenait par les cheveux, Justine taquinait ses lèvres de la pointe de son sexe factice. Assis sur le lit, Axel et Angélique, plutôt tactiles, partaient déjà à la découverte l’un de l’autre de leurs mains. En leur adressant un sourire, Alice décida de lancer les opérations.
— Bon. Je crois qu’on peut enfin commencer.
Sur ces mots, elle força Quentin à se pencher sur ses pieds, lui intimant l’ordre de les lécher orteil par orteil. Profitant de la posture dans laquelle se trouvait son cousin, Justine s’accroupit derrière lui et le pénétra d’une poussée aussi puissante que rapide. Plantant ses mains dans ses hanches, la jeune femme réalisa des va-et-vient du même acabit que l’intromission.
Couché sur le lit, Axel profitait d’une fellation qu’Angélique lui prodiguait. Tout en émettant de temps à autre des ronronnements de délectation, le jeune homme caressa le dos et les fesses de sa sœur. Linda enlaça Sébastien et lui chuchota à l’oreille.
— Finalement, on l’aura quand même notre dernier moment intime de l’année.
Sans répondre, Sébastien échangea un long baiser avec son amie. La faisant ensuite assoir sur la chaise du bureau, il s’agenouilla devant elle et plongea son visage entre ses cuisses, faisant jouer avidement sa langue sur son clitoris. Cette manœuvre eut rapidement pour effet de faire gémir Linda qui l’encouragea à poursuivre. Le jeune homme accéda à cette requête durant quelques instants puis ce fut au tour de Linda de s’agenouiller pour prendre sa verge en bouche. Debout face à elle, Sébastien ferma les yeux en savourant le mouvement coulissant de ses lèvres et le massage que ses mains offraient à ses bourses. 
Le jeune homme eut un regret fugace lorsque Linda mit fin à son sacerdoce. S’asseyant sur la chaise, il fit venir son amie sur lui afin qu’elle s’empalât sur son sexe. Tout en faisant aller et venir la jeune femme dans un mouvement d’ascenseur, Sébastien s’accorda un instant pour observer l’autre duo et le trio. Positionné sur le côté, Axel donnait de puissants coups de reins à Angélique tout en pelotant les seins de celle-ci. Le plaisir pouvait facilement se lire sur son visage. Au sol, Justine et Quentin se tenaient à quatre pattes l’un derrière l’autre. Maintenant d’une main le visage de son cousin contre le fessier de sa sœur, Alice le sodomisait avec violence tout en lui donnant, de temps à autre, des fessées appuyées. 
Revenant à son affaire, Sébastien poursuivit son mouvement pendant quelque temps avant de décider de changer de posture. Comprenant ce qu’il désirait, Linda se détacha de lui et se pencha sur le bureau, sa poitrine s’écrasant contre le bois. Se plaçant derrière elle, le jeune homme s’enfonça à nouveau dans ses chairs intimes, lui soutirant un gémissement d’aise. 
Tout en prenant sa partenaire, Sébastien s’accorda encore une fois un regard sur ce qu’il se passait autour de lui. En voyant Axel se masturber frénétiquement à quelques centimètres du ventre d’Angélique, il comprit que son cousin n’allait pas tarder à jouir. À quelques mètres d’eux, Alice et Justine avaient une fois de plus changé de position. Toujours à quatre pattes entre ses cousines, Quentin se voyait imposer une fellation par la première tout en se faisant prendre par la seconde. 
Ce tableau fit monter d’un cran l’excitation de Sébastien qui accéléra la cadence de ses coups de butoir et finit par se retirer de Linda en répandant sa semence sur le postérieur de la jeune femme. Tandis qu’il se remettait de sa jouissance, le jeune homme constata que les cinq autres s’étaient arrêtés et semblaient les regarder en attendant qu’ils eussent terminé.
— On dirait que la fête est finie, maintenant. Enfin, presque. Quentin, ma petite sissy, tu ne vas tout de même pas laisser Angélique et Linda retrouver nos parents dans cet état ?— Non, Maîtresse Alice.— Alors, qu’est-ce que tu attends ? Exécution !— Oui, Maîtresse Justine.
S’avançant vers Angélique, Quentin s’occupa de lécher et avaler le liquide séminal qui souillait son ventre. La mine de dégoût qu’il afficha fit sourire Alice et Justine. Dans un dernier effort, il fit de même avec le fessier de Linda. 
— Eh bien, il semblerait qu’on soit pile dans les temps. Vingt-trois heures cinquante. Ça nous laisse dix minutes pour nous rhabiller et retrouver nos parents pour le compte à rebours.
Les sept jeunes gens se hâtèrent de se vêtir puis redescendirent vers le salon pour procéder au compte à rebours final et souhaiter une bonne année à leurs familles et amis. Tout en envoyant quelques messages de vœux à quelques camarades de cours, Sébastien songea avec une pointe de tristesse qu’il ne lui restait qu’une semaine de liberté avant de retrouver le chemin de l’université.
[ à suivre ]
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