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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 29

Une nouvelle maîtresse pour Quentin

SM / Fétichisme
En ce jour de l’an, Sébastien se réveilla péniblement. La nuit avait été plutôt longue entre les festivités et les trajets parcourus entre le domicile de ses parents et celui de Linda puis du domicile de son amie jusqu’à chez lui. Ne s’étant couché qu’aux environs de quatre heures du matin, le réveil lui fut difficile, bien qu’il fût déjà onze heures trente. En rallumant son téléphone, le jeune homme constata que Manon avait tenté de le joindre à trois reprises depuis le début de la matinée. Pensant qu’il s’agissait de quelque chose d’important, il s’empressa de rappeler sa mère. Cette dernière décrocha après la deuxième sonnerie.
— Allô, mon chéri ?— Salut, maman. J’ai vu que tu as essayé de me joindre. Désolé de te rappeler autant de temps après. Je viens de lever.— Ça ne fait rien. Je comprends. La nuit a dû être longue pour toi.— En effet. Sinon, tu voulais me dire quelque chose en particulier ?— Oui. Aujourd’hui est un jour particulier.— Pourquoi ?— Tu comprendras assez vite. En attendant, retrouve-moi en bas de chez toi dans une demi-heure.— D’accord. À tout à l’heure !— À plus tard !
Lorsque la communication fut coupée, Sébastien se demanda en quoi cette journée était si spéciale et pour quelle raison Manon avait été aussi vague dans ses explications. Ne trouvant aucune hypothèse plausible, il se hâta de s’habiller et de se préparer un café qu’il but en vitesse afin de se donner un peu d’énergie. Le jeune homme fit un brin de toilette puis, voyant l’heure tourner, sortit de son appartement et attendit l’arrivée de sa mère. 

Quelques minutes plus tard, il vit la voiture de Manon entrer dans le parking de l’immeuble. Sébastien fut surpris de constater la présence de Rosalie sur le siège passager ainsi que celle d’Angélique et Quentin sur la banquette arrière. Le jeune homme entra dans le véhicule par la portière arrière droite puis salua les autres occupants. Durant le trajet, Sébastien ne put s’empêcher de questionner Manon. 
— Maman, est-ce que tu pourrais m’expliquer ce qu’il se passe ?— Quentin, est-ce que tu pourrais répondre à la curiosité impatiente de ton cousin ? Je n’aime pas vraiment être dérangée lorsque je conduis.— Oui, Maîtresse Manon. Pour répondre à ta question, aujourd’hui est un grand jour vu que j’aurai peut-être une nouvelle maîtresse. Si tout se passe bien, j’irai vivre avec elle.— Tu sais de qui il s’agit ?— Non, mais Maîtresse Manon m’a dit bien la connaître donc je lui fais confiance.
Sébastien ne poursuivit pas la conversation. Bien qu’il avait trouvé l’explication à la présence de sa tante et de ses cousin et cousine, le jeune homme ne comprenait toujours pas en quoi sa présence était nécessaire. Tout à ses cogitations, il observa le paysage défiler à travers la vitre. Au bout de vingt minutes de trajet, Manon arrêta la voiture devant une maison. Ils en sortirent tous les cinq puis montèrent les marches qui menaient au seuil. Manon sonna puis des bruits de pas se firent entendre de l’autre côté de la porte qui s’ouvrit. Sébastien afficha une mine surprise à la vue de la personne qu’ils étaient venus voir.
— Bonjour, Maître Lemaire.— Bonjour, Laetitia. Appelez-moi seulement Manon.— Très bien, Manon.— Comme je vous l’ai annoncé par téléphone, il y a quelques jours, je vous amène un jeune homme très intéressé à demeurer avec vous. 
En prononçant ces mots, Manon désigna Quentin d’un geste de la main. 
— Intéressant…— Afin de juger de la réalisation d’un tel projet, je vous présente Rosalie et Angélique, qui sont ses maîtresses actuelles. Vous avez également déjà rencontré mon fils, Sébastien, suite à votre audience. Il sera là pour donner une touche masculine à nos délibérations.— Très bien. Dans ce cas, je propose que nous commencions tout de suite. Que je voie ce dont votre esclave est capable.
Manon approuva la proposition d’un hochement de tête puis Laetitia guida ses invités à travers une série d’escaliers menant à la cave. En entrant dans la pièce, Sébastien sentit un frisson lui parcourir le dos. Spécialement aménagée, la cave n’était pas destinée à entreposer les denrées alimentaires. Contre le mur opposé à la porte, une croix de Saint-André était posée et des attaches avaient été fixées à chacune de ses extrémités. À quelques mètres de la croix, dans un coin, le jeune homme remarqua la présence d’une cage en fer forgé qui lui parut de suffisamment grande taille pour enfermer un adulte, pour autant qu’il y entrât à quatre pattes. Au centre, trônait une table sur laquelle étaient disposés différents accessoires SM. En plus d’un gode-ceinture de couleur rouge qu’il jugea long et épais, Sébastien vit également un bâillon-boule ainsi qu’une tapette et une cravache. Le jeune homme remarqua également la présence de quatre chaises disposées les unes à côté des autres et en déduisit qu’elles étaient pour lui et les trois femmes. 
— Installez-vous seulement, Mesdames, Monsieur. Quant à toi, esclave, désape-toi et attends-moi bien sagement. Je n’en aurai que pour une minute.
Sébastien et les trois femmes prirent place tandis que Quentin se dévêtait. Une fois nu, ce dernier s’agenouilla au sol en attendant le retour de Laetitia. Comme elle l’avait promis, la maîtresse de maison ne mit que peu de temps à reparaître. À nouveau, Sébastien fut choqué à la vue de la jeune femme. Vêtue d’une combinaison noire en latex et chaussée d’escarpins à talons hauts assortis, Laetitia lui faisait un drôle d’effet. Un mélange de peur et d’excitation. Seuls les gants, en latex également, détonnaient avec la tenue par leur couleur or. 
— Relève-toi.
Quentin obtempéra de suite puis, guidé par Laetitia, recula jusqu’à la croix de Saint-André. La jeune femme l’y attacha par les mains et les pieds puis s’empara de la cravache posée sur la table. En faisant glisser les lanières sur le corps de Quentin, Laetitia toisa ce dernier de la tête aux pieds.
— Eh bien, je constate que même Mère Nature a décidé que tu n’étais bon qu’à servir les femmes en te donnant une queue aussi ridicule que celle que tu as là. Sais-tu ce qu’on peut faire avec les machins inutiles comme le tien ?— Non, Madame Laetitia.
Sans crier gare, Laetitia fit claquer les lanières de la cravache en plein sur les parties génitales de Quentin qui ne put réprimer un hurlement de douleur. 
— Pour commencer, appelle-moi Maîtresse Laetitia. Ensuite, les petites quéquettes comme la tienne, on peut en faire ce qu’on veut. Et, pour finir, je ne supporte pas les braillards dans ton genre. Je vais t’apprendre à souffrir en silence.
La jeune femme s’empara du bâillon-boule et le plaça sur le visage de Quentin. 
— C’est mieux comme ça. 
Laetitia continua de promener la cravache sur le corps de Quentin puis le frappa une nouvelle fois, à hauteur de poitrine. Bâillonné, Quentin ne put qu’émettre un gémissement et afficher un rictus sur son visage en réaction à la douleur. Laetitia opéra de la même manière à quelques reprises puis détacha Quentin. 
— À quatre pattes, maintenant !
Quentin s’empressa d’adopter la posture exigée. Laetitia leva une jambe et fit lentement entrer un talon dans le petit trou du jeune homme afin d’en tester la souplesse. En constatant le résultat, un sourire illumina son visage.
— Hum… Je constate que tes maîtresses se sont déjà bien occupées de toi, à ce niveau-là.
Laetitia s’équipa de son gode-ceinture puis s’empara de la tapette. Sans se soucier de la réaction de Quentin, la jeune femme s’enfonça en lui d’une violente poussée et entama une série de va-et-vient du même acabit qu’elle agrémenta de coups de tapette sur son postérieur. Cette fois, une autre réaction fut perceptible de la part de Quentin. À la douleur initiale succédait le plaisir. Sans s’en préoccuper, Laetitia poursuivit son mouvement jusqu’à épuisement puis retira le bâillon-boule à Quentin avant de le faire entrer à quatre pattes dans la cage et de l’y enfermer à clé.
— Mesdames, Monsieur, j’en ai terminé avec lui. Pour cette fois, tout du moins. J’attends vos retours.
Rosalie fut la première à prendre la parole.
— Vos méthodes sont bien plus dures que les nôtres mais je pense que mon soumis sera très bien avec vous.— Tout comme elle, en tant que maîtresse, je pense que notre esclave sera très heureux avec vous, malgré la dureté de vos pratiques.— Quant à moi, en vous proposant ce jeune homme comme esclave à plein temps, je savais qu’il se plairait avec vous. Donc, si notre candidat vous a satisfaite, c’est avec grand plaisir que nous ferons de vous sa nouvelle maîtresse.— En ce qui me concerne, je vous avoue que vous m’avez fait sacrément peur en faisant ce que vous venez de faire. Cependant, je sais que ce jeune homme ne trouve son bonheur que dans la soumission. Donc, j’estime que vous êtes la personne qu’il lui faut, Laetitia.— Merci pour ces retours très positifs, Mesdames. Quant à toi, jeune homme, je suis ravie que tu aies eu peur parce que ce que je fais, c’est précisément pour que plus aucun homme n’ose se comporter avec moi comme l’ont fait les immondes individus dont j’ai été victime. Pour en revenir à votre esclave, je serai très heureuse de l’accueillir ici.— Très bien. Dans ce cas, il est à vous.— Merci, Mesdames. Sachez cependant que si l’envie de vous amuser avec lui vous reprend, n’hésitez pas à me contacter. Manon possède toutes mes coordonnées. En attendant, en tant que nouvelle maîtresse, je vais déjà donner mon premier ordre.
Laetitia ouvrit la cage et en fit sortir Quentin. 
— Je pense qu’il serait poli de ta part de dire au revoir à tes anciennes maîtresses et de récompenser nos invités de s’être montrés aussi sages durant notre séance. — Oui, Vous avez raison, Maîtresse Laetitia.
Comprenant ce à quoi Laetitia faisait allusion, Rosalie déboutonna son pantalon et le baissa avec sa culotte jusqu’à ses chevilles. Dès que son fils fut suffisamment proche d’elle, elle plaqua le visage de ce dernier contre son sexe, le forçant à lui prodiguer un cunnilingus. Les coups de langue adroits du jeune homme rompu à l’exercice la firent rapidement jouir. Angélique suivit l’exemple de sa mère et profita durant quelques minutes des léchouilles de son frère sur son intimité jusqu’à la jouissance. Contrairement aux deux autres, Manon exigea expressément de Quentin qu’il lui léchât le petit trou. Le jeune homme obtempéra puis, après quelques instants, s’occupa de prodiguer une fellation à Sébastien qui, en raison de la gêne occasionnée par la situation, mit plus de temps à jouir que les trois femmes.
Le visage couvert de cyprine et de sperme, Quentin s’entendit ordonner par Laetitia de retourner dans la cage. Le jeune homme obtempéra et se vit à nouveau enfermé.
— Merci pour cette délicate attention, Laetitia. Nous reviendrons certainement nous amuser avec notre ancien esclave et, ainsi, verrons comment il se porte à votre service.— Vous serez toujours les bienvenues ici, Mesdames. D’ailleurs, avant que vous ne partiez, il y a une chose dont j’aimerais m’entretenir avec vous.— Bien sûr. Seb, attends-nous dehors. Nous n’en aurons pas pour très longtemps.
Sébastien quitta la cave, suivi des quatre femmes qui s’assirent confortablement dans le salon. Depuis l’extérieur, grâce à la fenêtre ouverte, le jeune homme put entendre distinctement leur conversation.
— L’expérience que j’ai vécue a été très traumatisante pour moi. Aujourd’hui, je surmonte cette épreuve au moyen de la domination. Cependant, je ne suis de loin pas la seule victime de ce genre d’individus et toutes les victimes n’ont pas la même chance que moi. J’aimerais changer cela en ouvrant un centre de formation à la domination pour les femmes afin qu’elles puissent se défendre contre les individus comme ceux dont j’ai été victime. Malheureusement, au vu de la nature du projet, il m’est difficile de trouver les fonds nécessaires. — Ne vous inquiétez pas pour les fonds. Au vu du nombre important de clients et clientes que j’ai représentés durant ma carrière, je dispose d’un réseau suffisamment étendu pour vous trouver les fonds nécessaires à la construction et aux équipements de votre centre de formation. Cependant, il vous faudra également des esclaves, si je puis m’exprimer ainsi. Cela, en revanche, est beaucoup plus difficile à trouver, au vu des mentalités.— Je pense qu’il nous suffira de faire une bonne campagne de communication expliquant que le but n’est pas d’enlever aux hommes toute dignité mais simplement de nous aider à nous défendre contre les comportements déviants de certains. Ils seraient même plutôt des héros dans ce cas-là.— Dans ce cas, je marche avec vous, Laetitia. — Vous feriez cela, Manon ?— Bien sûr, car je crois en votre projet. Je n’émettrai qu’une seule condition.— Ce que vous voudrez.— Je souhaite que ma belle-sœur, ici présente, et moi-même puissions officier à vos côtés en qualité d’instructrices.—  Aucun souci. J’accepte votre offre.— Très bien. Dans ce cas, je vais m’occuper de faire jouer mon réseau pour trouver les fonds nécessaires aux infrastructures et aux équipements de votre futur centre de formation. Pour ce qui est de la communication, je pense qu’Angélique vous sera d’une très grande aide. Elle a toujours été très douée pour faire passer les messages.— Avec plaisir. Merci, Manon.— Tout le plaisir est pour moi, Laetitia.
Sébastien entendit les quatre femmes se saluer puis la porte d’entrée s’ouvrir. Sur le trajet du retour, le jeune homme ne cessa de s’interroger sur ce mystérieux centre de formation que Laetitia avait l’intention de fonder.

[ À suivre ]
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