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L'éducation d'un soumis

Chapitre 1

Un cinéma bien rempli.

Gay
La salle est vide, la lumière s’éteint, une fine ligne vient s’écraser sur l’écran.J’entends la porte claquer, des bruits de pas se rapprochent des sièges, s’installe dans une rangée supérieur. Il y a quelque jour j’ai « rencontré » un homme dans une soirée. Je n’ai aucun souvenir de son visage, ni de ce qu’on a pu se dire, mais au matin un mot dans la poche me proposait de le retrouver au cinéma le lundi suivant. Alors m’y voilà, je l’attend, sans me souvenir réellement de quoique ce soit excepté le désir que j’ai pu ressentir lorsqu’il était face à moi.Je suis dans mes pensées, le film commence, j’entends du mouvement derrière moi, je ne bouge pas.
— Je savais que tu viendrais. Je peux ? 
Je reconnais sa voix, j’hésite à me retourner, finalement je souris et lui répond par l’affirmative. Il met sa main dans mes cheveux, elle est ferme et pleine d’autorité, je m’amuse à la contester et à l’accompagner en bougeant ma tête. Sa main gauche vient se poser sur mon cou, sa main droite me caresse la joue. La situation commence à m’exciter, j’ouvre la bouche et frôle ses doigts de mes lèvres, je sens son souffle qui s’accélère sur le bas de ma nuque. Il descend sa main vers mon torse, m’agrippe, me caresse, me pince, me griffe, au fil des secondes je le sens descendre de plus en plus jusqu’à finir sous mon short. J’ouvre ma braguette pour faciliter l’entrée, je suis de plus en plus excité et mon sexe durci sous ses caresse. Après m’avoir branlé quelques secondes, comme pour mesurer mon excitation, il retire ses mains.
— Retourne toi. 
Lentement, je me met à genoux sur le siège et m’exécute. Sans surprise je me retrouve avec un membre fier à hauteur de mes lèvres entrouvertes, la surprise vient de sa verge, impressionnante. 19 cm de chair d’une épaisseur qui me font sourire presque mécaniquement, elle est sublime, droite comme un I et son odeur m’enivre instantanément. Il me caresse la joue, je lève la tête. Je le reconnais, c’était un chargé de TD de mon ex, Ercan Çetin, un homme superbe de 35 ans, brun, musclé et poilu, il a les traits dur et le sourire fin, la perspective de me soumettre à cet homme puissant me donne des frissons de plaisir.
— Quel regard de chienne. Elle te plait ma grosse queue ?— Aaah… Oui beaucoup monsieur…Il attrape mes cheveux.— Alors suce moi et ferme la.
J’ouvre grand mes lèvres et le regarde dans les yeux pendant que sa colonne glisse dans ma bouche, un léger haut-le-cœur m’atteint alors qu’il n’est qu’à la moitié, j’ai de la salive au bord des lèvres, Ercan pose sa main sur mon visage. Tout en continuant à sucer et à regarder langoureusement mon amant, je place mes mains au niveau de ses pectoraux, recule mes fesses et me cambre afin d’aligné ma gorge et ma bouche, puis je m’enfonce de plus en plus sur l’énormité et descends mes mains au même rythme. Je suis de plus en plus impressionné par son épaisseur, je m’étouffe légèrement arrivé à la base et de la salive coule le long de mon menton. Le sourire plein de malice, Ercan soupire :
— C’est bien 
Ses mains se rapproche, elles me paraissent gigantesques, il pourrait m’encager la tête sans problème, elles se posent sur mon visage.
— Je peux ? 
Je le regarde dans les yeux, la bouche encore haletante, et d’un signe de tête affirmatif je m’offre totalement à sa maîtrise.D’une force et d’une autorité que je n’aurais jamais imaginer connaître, il m’enserre alors la tête et pénètre ma gorge. Je me cambre d’autant plus en croisant mes bras dans le dos. Arrivé à la base je m’étouffe une nouvelle fois, mais Ercan me maintient, je ferme les yeux en m’abandonnant, je crache de plus en plus, il relâche et commence à faire de lent mouvement de vas-et-viens, un râle de plaisir m’échappe.
— Une belle petite putain obsédé par les gros chibres !
Alors que je pensais cela impossible, sa force augmente encore, je ne peux plus bouger ma tête, et d’un coup d’un seul il me transperce de tout son pieu et investit le fond de ma gorge. Ces vas-et-viens se font de plus en plus rapide, de plus en plus fort, chaque coup explore plus loin mon arrière-gorge que le précédent, ses couilles poilus viennent claquer mon menton à chaque aller-retour, ça ne cesse d’accélérer, ma bouche n’est plus qu’un vulgaire trou qu’il s’acharne à bourrer, il me possède de toute sa hampe, le mélange de transpiration, de larme et de salive s’écoule sur mon visage. Après quelques minutes d’empalement divin, je le sens se cambrer par à-coup, il me plaque contre son bas-ventre.
— Tiens, prend mon foutre salope ! 
Je me détend au fil de ses giclées, sa quantité et son épaisseur me remplisse complémentent, son sperme chaud coule dans le fond de ma cavité et s’échappe à la commissure de mes lèvres. Je lui pince les tétons comme pour le remercier de ce qu’il m’a offert. Alors qu’il se maintient en moi en me caressant les cheveux, je me redresse dans l’idée de nettoyer son sexe. Il me met alors une gifle étourdissante.
— Tu crois que j’en ai fini avec toi ? Tu vas apprendre à encaisser un vrai mâle ! 
Il me perfore de plus belle, je n’avais jamais ressentit autant de puissance venant d’un homme, les odeurs de sperme se mélange parfaitement avec le parfum déjà présent, mon visage est totalement recouvert de sécrétion, je ne vois plus rien et suis totalement envoûté par ce que me fait Ercan. Il me défonce sans aucune douceur, ses à-coups ne sont que brutalité et frénésie, il ne me maintient plus qu’à une main – bien que je ne sente pas la différence – l’autre me gifle, me claque les fesses et m’étrangle par intermittence. Je sens qu’il n’est plus que l’ombre de lui même, il m’insulte de pute, de salope, de chienne, de n’être qu’un gouffre à grosse queue, je suis terriblement excité, et pendant ce bourrage sans fin, je jouis dans mon caleçon d’un orgasme que je n’avais jamais éprouvé. Tout mon corps se détend pendant cette jouissance, ce qui offre à Ercan une fenêtre parfaite pour en profiter une dernière fois et m’étouffer de sa barre, et juter encore plus de foutre que tout à l’heure, j’avale ce que je peux et recrache le reste qui coule tout le long de mon t-shirt.
Ercan me passe la main sur la joue, je le regarde, sous le charme, en nettoyant de ma langue son organe qui s’amollit. 
— Toi je vais plus pouvoir te lâcher, on ne fait que commencer !— Je suis tout à vous.À suivre...
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