Il se réveilla, en entendant des coups à la porte. Il était 8 heures, il se précipita et ouvrit la porte de sa maison, vêtu d’un simple boxer. C’était bien Manon et sa voisine avait elle aussi ouvert sa porte. — Sylvain ! fit Manon avec le sourire. Elle entra dans la pièce et le jeune homme échangea un regard avec sa voisine avant de fermer la porte. — Bonjour. As-tu passé une bonne nuit ? — J’ai dormi comme un loir. Et toi ? — Moitié-Moitié. J’ai mis du temps à m’endormir après ça, j’ai dormi comme un bébé. — Tu as oublié de te lever. Bon, douze abdos et sept pompes. — Oui, madame. — Tout nu. Je veux voir tout ton corps au travail. — Oui, madame. Sylvain se remit à faire des pompes et des abdos, il avait des courbatures dans le dos et les muscles de son bas-ventre étaient tendus. Mais il parvint à faire ses deux séries. Il se sentait bien après avoir fait du sport. La jeune femme fit un sourire, elle avait les jambes croisées et l’observer se mouvoir nu comme un ver. Il se redressa et elle lui signe de s’approcher. Elle posa sa main sur ses abdos et lui caressa le bas-ventre, sans aller vers son sexe. — Ferme les yeux. Sylvain ferma les yeux, il entendit des cliquetis et du froid sur son sexe, il ouvrit un œil, elle venait de lui mettre sa cage. — Deux heures aujourd’hui ! commenta la jeune femme. Le jeune homme observa son sexe dans la cage, il soupira et se laissa faire, avait-il vraiment le choix ? Soudain, il eut envie d’aller uriner. Il va falloir qu’il lui demande avant d’aller aux toilettes. Le jeune homme se sentait honteux de cette situation. Comment on demande à une femme pour aller uriner, cela ne lui était jamais arrivé. Un coup fut donné à la porte, il sursauta et se regarda nu avec sa cage. Il ne pouvait pas remettre son boxer. — Oui, j’arrive ! cria Manon, en lui faisant un geste d’aller ouvrir la porte. C’était vraiment une diablesse cette femme. Il prit un coussin pour cacher son entre-jambe et ouvrit la porte. — Oui, bonjour ! — Voilà votre commande. Il y a deux cartons. Voulez-vous bien signer ? fit le livreur.Sylvain se retrouva un peu bête pour prendre le stylo, il va devoir lâcher son coussin. Heureusement, le livreur compréhensible lui tendit son carnet pour signer d’une main. — Merci, monsieur. Bonne journée, à vous.
— Bonne journée. Sylvain parvint à tirer les cartons dans la cuisine de sa maison. Voilà qu’il se retrouva sur le seuil de son appartement, nu. Et Manon assise sur le canapé, à le regarder se dépatouiller avec les cartons. Elle se leva et ouvrit les cartons. Il découvrit de beaux vêtements luxueux. — Tu vas me faire un beau défilé de mode. Commence par les chemises. Il défila pendant une demi-heure, mais il avait trop envie d’aller aux toilettes. — Est-ce que je peux aller aux toilettes ? demanda-t-il. — Tu as envie ? — Oui ! — Bien ! Tu as trois minutes pour faire ton affaire. Manon se leva et vint lui enlever sa cage. Sylvain se rua dans la salle de bain et se mit à uriner, ça fait du bien quand même. Il revint vers elle pour continuer le défilé de mode. Deux bonnes heures plus tard, le défilé était fini, la plupart des vêtements lui allait plutôt bien. Il se sentait plus propre et plus beau. Il s’était quand même bien laissé aller, sans prendre soin de lui. — Nous allons maintenant aller chez le coiffeur. Il vaut mieux t’habiller, tu ne crois pas ?— Et ma cage ? — Ah oui, tu veux que je l’enlève ? — Oui ! Manon se leva et lui enleva la cage autour de son sexe, il s’habilla pour sortir chez le coiffeur. Puis ils se mirent en route. Ils marchèrent quelques minutes, quand Manon lui prit le bras et le poussa un peu sur le côté.— Je veux que tu te montres souriant, que tu souhaites bonjour à tous les gens qu’on va croiser. S’il manque une personne, tu auras quelques coups de cuillères, mais si tu réussis, tu auras une petite récompense. — Bien ! Sylvain regarda le monde dans le parc, s’il devait dire bonjour à tout le monde, il allait finir la journée aphone ou bien la gorge sèche. Il marcha aux côtés de Manon et salua tous les gens qu’ils croisèrent jusque devant chez le coiffeur. Il soupira de soulagement en entrant dans la boutique. Il salua le coiffeur. Il passa encore une heure, assis à se faire coiffer. Voilà il était parfait physiquement. Maintenant, il savait qu’il avait encore des progrès à faire à l’intérieur de lui-même. Changer les habitudes d’une personne, son caractère c’était difficile. Au retour, il se mit à dire bonjour à tous, sans même que Manon le force. Mais elle souriait, satisfaite de lui. Il méritait sa récompense. Ils entrèrent à la maison du jeune homme. Manon le fit asseoir sur le canapé et lui enleva son pantalon, assise à côté de lui, elle commença à le masturber, à faire monter la sauce. Il ferma la tête, posa la tête sur le dossier du canapé et se laissa aller à cette caresse en gémissant. Il savourait cette caresse rare, plus elles étaient rares et plus c’était bon de savourer quelque chose comme ça. Pas de masturbation depuis hier à midi et là c’était vraiment bon. Il comprenait enfin le but de l’abstinence et la chasteté. Il se mit à jouir et à éjaculer. Il eut un orgasme pendant quelques longues secondes de bien-être. — C’était vraiment bon. — Parce qu’elle est plus rare. Manon se leva et se lava les mains. Elle lui tendit un mouchoir pour se nettoyer au mieux. Il se demanda s’il aurait la chance de pouvoir faire l’amour avec cette femme. Il ne l’avait même encore vu nue. Cela devait être quelque chose à voir. Elle avait des seins fiers sur sa poitrine et ses longues jambes promettaient des monts et merveilles. — Est-ce que … tu vas remettre la cage ? demanda Sylvain.— Tu veux ? Sylvain observa la cage, puis leva les yeux vers Manon et finit par hocher la tête, il voulait la rendre fier de lui et des efforts qu’il faisait. Dans le fond, il le faisait pour lui. La jeune femme lui remit la cage et glissa, comme les autres fois, la clé autour de son cou. Il dût se mettre à cuisiner, avec la cage autour de son sexe. Il se sentait bien, ce poids, il commençait à s’y faire…. Et à apprécier. — Merci pour le repas, fit Manon. Elle mangea encore un truc trop cuit et cramé. Mais il faisait des efforts, c’était le plus important. Si cette Justine pouvait voir les efforts qu’il fait pour changer sa vie. — As-tu envie de reconquérir Justine ? demanda Manon. — Je… Oui, je crois que j’aimerais beaucoup. Elle me plait vraiment, je … l’aime. — C’est très beau ! Nous allons tous faire pour ça. Demain, les choses vont être un peu plus compliqué, la semaine passe vite. Nous allons vérifier ton savoir et améliorer ta culture générale. Et tu vas choisir une nouvelle activité, quelque chose que Justine apprécie de faire. — Très bien ! fit le jeune homme en soupirant. Manon quitta les lieux, elle envoya un message à Anora, de retrouver Justine, elle lui donna un nom et un numéro de téléphone. Puis rentra chez elle. Sylvain commençait à correspondre à un grand idéal. Les femmes ont des gouts différents, toutefois il y a une chose en commun, peu importe les désirs, les envies, il y a une chose importante que tous veulent avoir… c’est d’être importante pour quelqu’un. Anora, de son côté, commença les recherches pour retrouver Justine. Rabibocher un couple, lui plaisait bien. Rendre les gens meilleurs et heureux, c’était le but de son projet. Le lendemain matin, Manon arriva à huit heures du matin, elle avait le sourire. Sylvain bien dressé, se déshabilla et se mit à faire les pompes et les abdos du matin. Elle ajouta quelques assouplissements. Puis lui dit de s’asseoir sur le sol devant elle. La jeune femme sortit son téléphone et lança une application de culture générale. — Je vais te poser des questions sur ta culture générale et tu vas y répondre, si tu as faux, tu seras puni, si tu as raison, tu auras une récompense. A chaque bonne réponse, tu auras droit à 10 secondes durant laquelle je te branlerais. A la fin du jeu, tu porteras la cage, le reste de la matinée. Tu es prêt ? — Oui !Pendant une heure, la jeune femme lui posa des questions sur la géographie, l’histoire, les sciences, mise à part en art, où il gagna des points, il n’avait pas beaucoup de réponses sur le sujet. La jeune femme annonça la fin du jeu et lui dit qu’il avait gagné 80 secondes. Il se tourna vers elle, et elle commença à le branler, mais même avec toute la volonté du monde, impossible de jouir en moins de deux minutes. Il savoura quand même son bien-être. Manon s’arrêta et posa la cage à côté de lui. Ils attendirent quelques minutes avant que son sexe ne débande et elle lui mit la cage sur son sexe. Voilà, il se sentait … toujours aussi bizarre, mais ce n’était pas aussi étrange qu’au début Le jeune homme se mit à genoux devant Manon et la regarder humblement à ses pieds, elle était assise sur le canapé, toujours les jambes croisées avec ses hauts talons. — As-tu réfléchi à la nouvelle activité que tu veux faire ? demanda Manon. — Justine aime beaucoup visiter des lieux historiques. Elle a une passion pour l’Égypte. — L’Égypte. Je vois ! Est-ce que tu veux construire un cartouche avec le nom de Justine en hiéroglyphe ? — On peut faire ça ?— Toi qui t’intéresses à l’art, tu n’as pas fait de recherche… Ah oui, mince j’oubliais le foot. Crois-tu que ce soit un ballon qui va te tenir chaud ? — Non… Quand tu dis les choses comme ça, je me sens ridicule. — Mais tu es ridicule… mais un peu moins qu’au début, je te l’accorde. — Merci ! — Bien, maintenant, tu vas faire le ménage de ta maison, dans cette tenue. Je le saurais si tu t’habilles. Je vais aller au travail, je laisse une clé de la cage, mais tu n’as le droit de t’en servir qu’en cas de douleurs et de danger. Si tu veux aller aux toilettes, tu devras m’envoyer un message. Et je compte sur toi, pour que le repas soit prêt à mon arrivée. — Bien ! Manon quitta la maison et Sylvain, nu avec sa cage autour de son sexe, se mit à faire le ménage de sa maison. Il mit un peu de musique et entrainé par la musique, ne vit pas le temps passé. Heureusement quand il leva le nez vers l’horloge, elle indique presque midi. Il se précipita vers la cuisine et se lança dans la préparation d’une omelette. Un truc très simple, qu’il ne devrait pas rater. Le jeune homme soupira de soulagement, la maison sentait bon et l’omelette n’était pas cramé. Manon arriva et le félicita pour son repas. Elle lui ôta sa cage, afin qu’il aille aux toilettes. — J’ai pris ma journée de vendredi, je serais donc là vendredi et samedi toute la journée. Dimanche, tu devras faire un étalage de tes connaissances auprès d’une autre femme. Disons un genre d’examen. — Qui ? — Ça n’a pas encore était décidé, cela dépend d’Anora. — Elle a l’air … particulière. — Anora est une dominatrice très douée. Elle a changé un homme … disons de pouvoirs, qui n’avait aucun respect pour les femmes, en un homme doux et fort à la fois, fit Manon, avec une forme d’admiration pour cette jeune femme, qui pourtant était plus jeune qu’elle. Manon lui annonça le programme du reste de l’après-midi. Il devait remettre sa cage, jusqu’à 18h, sauf en cas de douleurs. Et en plus, il devait potasser des cours, regarder des vidéos sur YouTube, développer sa culture générale pour répondre à d’autres questions. La jeune femme lui promit une récompense, s’il réussissait le prochain quiz. Elle quitta les lieux et Sylvain avait bien l’intention de la rendre fière de lui et d’avoir sa récompense. Au milieu de l’après-midi, il lui envoya un message pour avoir l’autorisation de se rendre aux toilettes. Manon assise à son bureau, sourit, il était vraiment bien ce garçon. Il avait accompli de grandes actions en si peu de jours. Elle avait envie que Justine revienne auprès de lui et qu’il puisse être heureux avec elle et vice-versa surtout. Manon éduquait avant tous les hommes pour qu’ils rendent les femmes heureuses. Si les gens prenaient le temps de passer à l’autre, de vouloir le rendre heureux, ce serait vraiment bien. La jeune femme lui répondit et l’autorisa à ôter la cage et de se rendre aux toilettes. Il allait se remettre la cage tout seul, une première pour lui. Quelques secondes plus tard, un autre message d’Anora arriva. Elle annonçait avoir retrouver la trace de Justine et qu’elle lui rendait visite demain. Manon lui dit qu’elle venait avec elle, puisque le jeudi était le jour de repos de Sylvain. Sylvain venait de quitter les toilettes et s’assit sur son canapé, il tenait la cage en main. Il devait la remettre. Les mains, un peu tremblantes, se posèrent sur son sexe et il dût s’y prendre à plusieurs fois avant de bien mettre la cage et de cliquer le cadenas. Il reposa la clé sur le rebord de son buffet. Il se sentait fier d’avoir réussi à se mettre une cage autour de son sexe. Est-ce que c’était bien normal ce genre de choses ? Il ne s’était jamais senti … soumis de cette façon. Et pourtant, il y trouvait son compte, son bonheur. Il passa le reste de son après-midi à suivre les règles de la jeune femme. Il se sentait être un nouvel homme. Plus intelligent, plus calme, plus propre, plus … attentif aux autres. Manon frappa à la porte, il lui ouvrit avec le sourire. La jeune femme le détailla de la tête au pied, il avait slip sur lui, mais elle pouvait voir sa cage, parce qu’elle avait l’habitude, mais elle pourrait presque passer inaperçu. — Tu es prêt pour tes devoirs ? demanda-t-elle en prenant place sur le canapé. — Oui !Sylvain s’assit devant elle, à même le sol et attendit les questions. Il marqua bien plus de points cette fois-ci. Il avait lu autant de choses qu’il le pouvait. En fait, ce n’était pas compliqué d’ouvrir son esprit à d’autres sujets, à apprendre de nouvelles choses. Tout comme faire un peu de sports pour entretenir son corps ou alors de prendre soin de lui, en utilisant des crèmes et autres petits soins quotidiens. La cuisine n’était pas encore au point, mais il avait apprécié de manger son omelette. En plus de Manon, il savait que sa mère serait fier de lui et … Justine aussi. — Tu as 190 points. Alors soit, je te branle pendant trois minutes et dix secondes. Ou alors tu remets en jeu ces points en jeu, et si tu gagnes le prochain test, tu auras le droit à une fellation. Mais si tu perds, il n’y a rien…. Du tout. — Euh… — Réfléchis, tu me donneras ta réponse après le repas. Que tu dois préparer ! Sylvain se leva et se mit au travail, pour préparer un autre plat, il fit cuire du riz. Ce n’était pas compliqué, et il n’avait même pas pu faire cet effort pour Justine, quand elle rentrait du travail épuisé. Non… il repensa qu’il avait même eut … le culot de lui reprocher qu’un plat n’était pas assez salé. Et que sa cuisine n’était pas aussi bonne que celle de sa mère. Il avait plein de choses à se faire pardonner.
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