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Einstein

Chapitre 10

Zoophilie
La rechute !
La couleur or du breuvage ajoutait encore un charme supplémentaire aux bulles, qui coulaient dans les verres dans le salon d’honneur du casino. Maryse et sa complice d’un moment buvaient avec un sourire vissé aux lèvres. L’une parce qu’elle avait gagné et l’autre parce qu’elle s’imaginait sans doute que sa fin de soirée allait s’agrémenter de la douceur d’un flirt. Mais Maryse n’avait pas vraiment ce genre de pensées. Elle acceptait volontiers de partager une bouteille, de l’offrir même entière à la jeune femme, mais pas une seconde elle n’avait imaginé que l’autre pouvait espérer un peu plus.
La brune n’avait à aucun moment cherché à se présenter ni à savoir qui était cette femme. Elle recevait du directeur la promesse d’un virement rapide alors que son relevé d’identité bancaire était récupéré par la direction de l’établissement de jeux. Déduction immédiatement faite des impôts, il lui restait une coquette somme. De quoi mettre du beurre dans les épinards un bon moment.
Quand enfin elle eut signé tous les papiers qu’on lui avait présentés, elle sortit avec dans son sillage, l’envahissante compère qui ne la lâchait plus d’une semelle.
— Vous rentrez chez vous ? Vous vivez seule ?— Oui et je me prénomme Maryse et vous ?— Anaïs ! Vous ne voulez pas que l’on aille discuter toutes les deux quelque part ? Vous vivez seule, et loin d’ici ?— Enfin seule... pas tout à fait...— Ah !
Cette Anaïs avait eu comme un voile dans cet unique mot. Un vrai regret qui transpirait. Maryse éclatait de rire.
— Mais je veux bien vous partager avec mon... compagnon, pour un moment.
L’autre l’avait juste regardé, sans sourciller.
— Tu sais Maryse, les hommes, ce n’est pas vraiment mon truc. Je suis plutôt... gazon qu’épine !— Qui t’a parlé d’un homme ? Et puis, quand je parlais de partage, c’était seulement pour le temps. Une heure ou deux et rien de ce que tu envisages là, certainement.
La main de la gagnante venait de toucher le front de sa voisine, alors que toutes deux venaient de prendre place dans la voiture. D’un geste mal assuré, Anaïs tentait d’embrasser la femme qui glissée sous le volant mettait déjà en route le véhicule. Ce baiser prévu n’atterrissait que sur la joue de la brune qui avait volontairement ou non, détournée la tête. Si elle avait été déçue, l’autre n’en montrait rien. Quelques minutes après, elles entraient toutes les deux dans la maison de Maryse.
Sur son derrière, comme à son habitude, Einstein sans impatience attendait sa patronne.
— Voilà Anaïs, je te présente Einstein, celui qui partage ma vie. Donc tu vois, rien à voir avec un homme. Il est sans doute bien plus fidèle.
La rousse ne quittait plus le chien des yeux. Elle restait sur le pas de la porte, sans bouger. Sans doute une crainte qu’il ne soit méchant et qu’il morde.
— Allons ! Avance, il est gentil comme tout. Il ne mord personne.— Et... c’est quoi comme chien... ?— Un berger allemand, tu ne vois pas ?— Non ! Je veux dire... une fille ou un garçon ?— Ah ! oui... c’est un monsieur, un vrai ! Hein mon Einstein ! Mais pourquoi tu me demandes ça ?— Comme ça... pour rien !
La fille aux cheveux rouges avait les yeux qui brillaient et leur couleur impensable reflétait presque sa pensée. Maryse sentait bien que l’intérêt porté à son chien n’avait rien de normal. Intérieurement elle souriait de voir cette inconnue, qui subodorait... qui se demandait si... et elle n’allait pas lui répondre bien entendu. La brune refermait derrière sa visiteuse la porte et désormais c’était à trois que le huis clos se déroulait.
Sans quitter l’animal des quinquets, l’arrivante se frottait à la maîtresse d’Einstein. Cette fois les lèvres qui se collaient aux siennes ne rataient pas leur cible. Du moins Maryse ne pouvait décemment sans le montrer, refuser ce bouche-à-bouche. Du reste elle ne faisait aucune difficulté pour y répondre favorablement. Le clebs lui, allait de l’une à l’autre, tournant autour de ce couple singulier, sentant à coup sûr les effluves de ce qui naissait là.
Maryse finalement sentait aussi une montée d’adrénaline, une envie qui se faisait jour en elle. Les caresses qui commençaient n’avaient pour but avéré que le déshabillage des deux furies qui restaient enlacées. Prestement, une à une les pièces de vêtements de l’une et l’autre s’amoncelaient sur le carrelage et la main de la brune attirait enfin vers le salon la rousse. Les seins lourds des deux femmes se frottaient et les deux visages toujours proches, elles attendaient les deux que le canapé leur offre un confort plus adéquate à leurs folies.
Les mains d’Anaïs n’avaient plus que des chemins lisses parfois à parcourir pour accéder à ce reste de forêt bien taillé. Elle ne s’en privait plus et sa langue devenait la complice idéale pour des doigts qui se gavaient de plis et de replis. Lentement elle se laissait couler à genoux sur la moquette, devant l’assise du divan où était allongée celle qu’elle convoitait depuis de casino. Si Maryse trouvait une différence entre cette manière-là de l’entreprendre et celle des hommes qui l’avaient fait les jours précédents, elle se gardait bien de le dire.
Mais avait-elle encore les moyens de dire quoi que ce soit tans ses soupirs remplissaient le salon. Puis ses pattes ne restaient pas inactives et elle pressait, étirait deux beaux fruits murs, juste à leurs portées. Alors les gémissements de la rousse se synchronisaient sur ceux de la brune. Comme le chien n’était pas sorti, il était à deux pas, le mufle entre les pattes de devant, allongé à deux pas des amantes. Aucune ne se souciait de sa présence, bien trop occupée à donner ou à recevoir ces grands frissons charnels.
Maryse avait maintenant sous les yeux un buisson flamboyant qui attestait, s’il en était besoin que la couleur de cheveux de sa partenaire était naturelle. Quand prise d’une incroyable frénésie, elle écartait d’une langue baveuse les deux pans de la dentelle qui formait les grandes lèvres de sa conquête, un raidissement total du corps d’Anaïs lui confirmait que celle-ci n’attendait que cela. Combien de temps dura cette séance de léchouilles ? Le temps n’avait, dans ces instants, plus une importance capitale. Mais quand tête-bêche, étendue sur le dos, avec sa partenaire sur elle, la brune vit Einstein entrer dans le jeu, elle ne fit rien pour l’en dissuader.
La rousse faisait-elle semblant de ne pas savoir ? Ou bien ne s’était-elle pas rendu compte que deux langues proches s’occupaient de l’ensemble de sa somptueuse fourche ouverte ? Mais elle n’en pouvait plus douter, lorsque tel un amant humain, il cherchait dans quelques tentatives infructueuses à la monter. Il s’y reprenait à diverses reprises et c’était finalement sa maîtresse qui dégageant son bras l’avait guidé dans cette blessure béante de laquelle des filaments d’envie liquide coulaient sur le visage de Maryse.
L’amazone avait marqué une pause dans sa dégustation de la chatte de la brune. Mais Einstein était maintenant bien en elle et ses vigoureux mouvements rendaient folle la cavalière. Les pattes du chien labouraient les flancs de cette femelle qu’il grimpait avec fougue. Mais la femme saillie ne s’en souciait pas et sans doute que Maryse en le voyait pas de sa position très en retrait. Hallucinée elle voyait sortir de ce ventre si semblable au sien, la pine du cabot et elle aussi coulait de cette liqueur impossible à retenir.
De plus les soubresauts de son ventre alors qu’elle suivait le coït en direct, devenait impossible à juguler. Effroyable cette sensation d’envie amorale, ce serrement de ses tripes qui criaient pour réclamer leur part de cette jouissance qui montait de partout dans le corps d’Anaïs. Plus l’animal pistonnait la conquête de Maryse, plus celle-ci finalement la jalousait. L’amant à quatre pattes avait une endurance bien supérieure à celle de la plupart des hommes. Et les râles de la rousse trouvaient un écho dans les gémissements de la brune.
Bien sûr c’était si violent que la femme prise par la bête ne touchait plus sa compagne du moment. Elle ne pouvait plus de toute façon assumer les spasmes qui revenaient en vagues successives apportant à chaque coup de reins des éclaboussures de mouille. Alors de guerre lasse, Maryse avait placé sa bouche de manière à boire ce nectar fait d’un savant mélange d’eau de sa nouvelle amie et de sécrétions de son chien. Et les longs cris des deux femelles en rut se mêlaient aux halètements du cabot.
Aussi vite qu’il était entré en elle, Einstein s’en délivrait. Il donnait encore quelques coups de langue autant sur le visage de la brune que sur la chatte encore béante d’Anaïs, avant de se diriger vers la porte-fenêtre, attendant sans nul doute que sa maîtresse lui ouvre celle-là. Quand elle parvint à se dégager de sa position, Maryse lui libéra le passage et il filait joyeusement laissant les deux nanas à leurs finitions. Mais le départ de l’amant insolite, et les mouvements de la brune avaient rompu le charme fragile de cette union placée sous le signe du trio. Un long silence s’instaurait entre les deux femmes.
Pour ne pas avoir à parler, la maîtresse des lieux caressait encore le corps nu de cette déesse qui, bien sûr, appréciait ses attentions délicates, mais le cœur n’y était plus. L’une comme l’autre ne savait, n’avait pas le courage de reprendre la partie là où Einstein l’avait abandonné. D’une part parce que la rousse semblait maintenant gênée devant cette quasi-inconnue de s’être livrée à ce genre de jeux devant une presque étrangère.
Puis il y avait tout de même au fond de chacune d’elles, ce sentiment de transgression, cette peur aussi du jugement de l’autre. Elles avaient sans doute compris que loin de les rapprocher, le toutou avait fait ressortir à la surface, la honte du fond des esprits. Pour Maryse, celle d’avoir guidé la pine dans la fente largement ouverte, mais aussi et surtout dans la tête d’Anaïs celle d’avoir cédé à ses plus bas instincts. La bestialité de l’accouplement lui avait procuré une joie, un bonheur que peu de fois elle avait trouvé.
Elle essayait bien de se blottir un plus encore dans les bras de la brune qui d’une main lui touchait les seins ou le sexe, mais pour un piètre résultat. Alors, pour rompre le silence pesant qui s’instaurait, Maryse enfin lui demandait gentiment :
— On se boit quelque chose ? Un verre d’alcool ? Une boisson chaude, genre café ?— Oh ! Je ne sais pas trop ! J’ai encore de la route à faire, mais je reviendrai si tu le désires.— Comme tu veux. Je... suis... désolée de ce qui s’est passé.— Mais ne le sois pas ! J’ai adoré ! Trop même et... je reviendrai.
Maryse en la fixant dans les yeux comprenait bien que la forme polie choisie, pour se sauver, faisait dire à cette compagne d’un soir des mots qu’elle ne pensait absolument pas. Elle reviendrait ? De cela, la brune était sûre... du contraire et ne cherchait en rien à retenir cette belle femme qui quelques instants auparavant n’était qu’une chienne en rut. La pression était retombée, pareil à un soufflé sorti trop rapidement du four.
Rien ne la retenait plus et le malaise que ressentait la femme rousse équivalait au sien. Elle ne fit donc pas un mouvement pour empêcher son amie de se revêtir, pour de filer comme une voleuse. En la ramenant sur le parking du casino où était garée la voiture de la rousse, pas un mot n’était échangé. Parfois il fallait savoir accepter l’échec et si le coït avec Einstein avait apporté la jouissance escomptée, il avait aussi surtout rendu impossible une vraie amitié entre ces deux étrangères. Les feux de la voiture d’Anaïs s’éloignaient déjà. Maryse à peine revenue à la maison que le cabot se frottait aux jambes de sa maitresse.
— Non Einstein ! Tu as eu ta ration, alors même si je vois bien que tu en as encore envie... tu n’auras plus rien ce soir. Allez ! Va au salon et laisse-moi tranquille.
— oooOOooo —
La semaine relativement calme n’avait apporté aucun changement notable dans la vie de Maryse. Pourtant ce vendredi vers quinze heures, Victor avait appelé et insistait presque lourdement pour la revoir. Elle avait dit oui finalement pour qu’il fasse un bref passage chez elle, mais avait refusé de l’accompagner dans un dîner où elle se doutait bien que le dessert serait une fois de plus sa petite personne. Il viendrait donc prendre un café sans plus. Encore que...
Une heure plus tard, d’une berline silencieuse avait débarqué l’homme bien fringué comme à son habitude. À la main, un énorme bouquet de roses rouges, il arborait un sourire radieux.
— Tenez Maryse ! Plus je vous regarde et moins je trouve d’éclat à ces fleurs. Vous êtes là...— Flatteur ! Inutile d’aller plus avant dans l’adulation, je ne changerai pas d’avis. Je ne vous accompagnerai pas à votre... sauterie nocturne. Je suppose que vous y retrouverez d’autres amis et surtout des dames plus conciliantes.— Aucune n’aura votre charme. Vous êtes irremplaçable et tellement... unique. Vous aviez sans doute autre chose de prévu ?— Non ! Mais les amis que vous m’avez fait rencontrer, lors des précédentes entrevues... sont par trop envahissants.— Ah ? Vous n’avez donc pas aimé les moments plutôt... chauds qu’ils vous ont offerts. Pourtant ils vous ont tous trouvée fabuleuse.— Peut-être. Mais entre aimer et recommencer, il existe toute une palette de nuances et puis, vous savez sans doute que la peur d’aller trop loin, de ne plus pouvoir se passer de certaines choses... le risque d’escalade...— Mais souvent la peur est une messagère du plaisir. Je ne vous apprends rien et dans ce domaine encore plus que dans d’autres. De toute façon pas question de ne pas respecter votre choix.— Merci. Le respect un maître mot dans ces affaires de... sexualité débridée.— Comme vous y allez, la normalité des uns n’est pas forcément celle des autres et puis... moi aussi j’apprécie les joutes hommes femmes, sans... témoins gênants.
Maryse soutenait le regard de ce mâle qui semblait la déshabiller sans la toucher. Il gardait les yeux au fond des siens et lentement elle se sentait fondre. Un peu comme s’il la dirigeait, sans mot, sans geste, juste en la scrutant fixement. Einstein était lui aussi présent, spectateur attentif et muet de cette étrange scène. La voix de Victor lui revenait feutrée, comme entourée d’une ouate, d’un coton qui recouvrait tout. Elle sentait que son pouls s’accélérait sans savoir trop comment réagir. Et ces quinquets dont les pupilles la transperçaient... ils s’enfonçaient en elle bien loin.
Que racontait-il ? Il parlait, mais si elle voyait les lèvres bouger, elle ne suivait plus vraiment la conversation, hypnotisée, sidérée par les deux billes qui lui mettaient sans qu’elle sache pourquoi, une pression terrible. Il venait aussi d’abandonner le vous trop cérémonieux pour un tutoiement qu’elle ne jugeait pas vraiment déplacé. Et lentement, il lui redisait ses attentes, toute en douceur, sans hausser le ton. Mais c’était sans appel et elle se sentait si... faible, si... conquise encore une fois.
— Tu es belle Maryse. Tu as chaud n’est-ce pas ? Alors, retire ton chemisier.— ...
Les yeux fixes plantés en elle avaient une force de persuasion incroyable.
— Allons ! Ne sois pas si prude. Je te l’ai déjà dit, tu es faite pour être baisée, tu es belle. Une belle salope et je veux seulement te voir à mes pieds, ramper comme une chienne. Être la femelle de ton chien ! Je suis certain que tu aimes ça, que tu adores être saillie par ce bel animal. Allons écoute-moi et fais ce que je te demande.— ...
Incapable de réagir, de bouger, de l’envoyer paître, la brune sentait ses mains qui ne lui obéissaient plus. Ses propres doigts qui avaient une volonté indépendante. Et lentement la liquette qu’elle portait s’ouvrait sous l’efficacité des phalanges qui dégrafaient un par un les boutons du vêtement.
— C’est bien d’être sage et de faire ce que je veux. Maintenant, montre-nous tes deux jolis obus. Retire donc ce soutien-gorge horrible qui nous cache ces deux beaux fruits. Oui, c’est bien, tu es une bonne fille. Dis-moi que tu aimes cela, être une chienne. Allons ! Dis-le-moi, et regarde comme ton Einstein attend cela aussi. Dis-le-moi... dis-le... nous !

À suivre...
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