Ça fait maintenant deux mois qu’Antho et moi baisons dès que possible. Il le reconnaît volontiers, nous sommes devenus totalement hors contrôle dès que nous sommes face à face. Parfois je passe à son bureau par surprise. La porte à peine fermée il sort sa queue et me la colle encore molle dans la bouche. J’adore la sentir gonfler, durcir et me remplir la bouche. Il me lime et j’enfonce mes doigts dans son cul jusqu’à éjaculation. Il y a une certaine violence dans ses va-et-vient mais j’ai appris à aimer ça. Quand mon épouse part tôt je lui envoie un SMS. Je laisse la porte ouverte, me recouche. Allongé sur le dos, la tête pendant en arrière du lit je l’attends. Il entre dans la chambre, se déshabille et se met au-dessus de ma tête sa queue et ses couilles sur mon visage. Je le lèche. Je sais ce qu’il attend. J’ouvre grand la bouche et à la manière d’un avaleur de sabre il fait glisser cette queue énorme jusque dans ma gorge. Je la sens durcir, glisser à l’intérieur de ma gorge. Je lutte contre l’envie de vomir. Malgré mes haut-le-cœur il me pince le nez. J’ai ses couilles qui s’écrasent sur mon visage et il éjacule à de nombreuses reprises. Il essuie sa bite sur mon visage, je peine à retrouver mon souffle. J’avale tout ce que je nettoie. C’est rituel, après il se met à quatre pattes sur le sol, je lui bouffe le cul et l’encule à fond. Il adore quand je jouis sur son visage et dans sa bouche. Il faut dire qu’après notre première rencontre nous avons décidé de nous faire tester sida et MST. Très con, en fait c’est avant que nous aurions dû y penser et nous protéger. Mais heureusement tout était ok et ça à donner le feu vert pour se remplir de tous les côtés sans crainte et le plus souvent possible. Ce matin, Antho, après avoir bien baisé m’annonce que sa femme est mutée, qu’il va devoir la suivre et faire son métier ailleurs.Ils partent en Bretagne. Loin pour des rencontres occasionnelles.Cette nouvelle m’attriste car je sais que ce délire sexe va s’arrêter. Je suis devenu accro à cette bite. Tristesse partagée. Il n’y a pas de sentiments entre nous, on embrasse pas, on baise. Depuis quelques temps on ne se voit pas. Les préparatifs de son déménagement, le transfert de son entreprise. Dans la boîte aux lettres il y a une invitation. Antho et sa femme organisent dans leur maison un buffet avec amis, bons clients, voisins. Ils ont installé des grandes tables dehors et c’est une fête de départ. C’est quand même étrange de se voir avec nos femmes. Mais il y a du monde c’est mieux ainsi. Antho nous présente à sa femme. Elle est très belle, un peu raide et dominatrice. Ma femme pense qu’Antho a quelque chose d’animal et que son épouse doit sûrement tenir à distance les autres femmes (si elle savait). Nous faisons le chat et la souris, dès que possible je lui caresse la queue, le cul. Il fait de même avec moi. A l’oreille il me glisse un " dès que possible je te bourre le cul dans un coin".
L’idée de se faire surprendre est assez excitante même si nous avons exploré plein de lieux : en forêt, toilettes de supermarché, voiture, dans son camion de chantier... Il y a du monde à cette fête. Je ne vois pas trop comment ça va être possible. Nos femmes ont sympathisé et sont en pleine conversation. Au loin je vois Antho qui me regarde. Nos yeux se croisent et il porte sa main à sa queue avant de se diriger vers la maison. Message reçu. Je le rejoins dans la cuisine. Il est en mode taureau. A peine entré les insultes sortent de sa bouche. Je suis sa chienne, je suis la plus grande salope une vraie pute à jus. Si quelqu’un entre impossible de ne pas voir sa bite qui gonfle son short. Je regarde par la fenêtre, la fête continue sans nous. Je ne l’ai pas senti arriver. Il se plaque à moi, me coince contre l’évier. Il descend mon short brusquement. Je flippe à l’idée que quelqu’un arrive. Il est trop excité, par ses insultes, par la possibilité de se faire surprendre. Il prend le beurre sur la table en frotte une partie sur mon cul et sans prendre son temps me pénètre violemment. J’ai failli crier de douleur mais sa main sur ma bouche a retenu mon cri. Toute sa queue est entrée, il me bourre le cul de toutes ses forces. Je gémis tellement c’est bon. Tétanisé je regarde tous ces gens qui ne se doutent pas de se qui se passe. Je veux qu’il continue, je le supplie d’y aller plus fort, de me féconder comme une truie. Ses mains serrent ma taille et se contractent au moment où il jouit dans mon cul. Nous retournons séparément dans le jardin. J’ai le sentiment que tout le monde voit ce que nous avons fait, que ma démarche trahit un cul rempli. Mais non. Antho s’approche de moi et comme d’habitude me demande si ça va, si je n’ai pas mal. On a encore deux trucs à faire avant la fin de la fête. Je dois le sucer et avaler et le sodomiser et jouir dans sa bouche. Il me dit ça comme une liste de courses. Ce type déconcertant me manquera. Il se fait tard et nous installons une très grande table pour le banquet du soir. Tout le monde est d’humeur festive. Ma femme passe une excellente journée nos voisins sont là aussi (futurs complices mais je raconterai plus tard). Antho est assis en face de moi, les vapeurs d’alcool rendent l’ambiance joyeuse. A un moment où personne ne fait attention je me glisse sous la table. Je suis complètement fou. Ma femme est là, elle ne m’a pas vu faire. Antho a sorti sa bite, il sait ce que je vais faire. Sachant que c’est sûrement la dernière fois je savoure sa bite, me caresse le visage avec son gland. Cette érection me met en transe, j’oublie tout et le suce comme jamais. J’aspire, enfonce son gland au fond de ma gorge habituée maintenant. Il me plaque la tête. Son foutre me remplit la gorge et la bouche. Je ne l’ai jamais trouvé si bon. Je ramasse une fourchette tombée au sol et débouche, celle-ci à la main, par le bout de la table. Tout le monde a l’air de trouver ça normal, mon épouse à peine surprise de me voir revenir. Il reste la dernière épreuve si on peut dire ainsi. Il fait nuit maintenant, certains invités partent. Antho a disparu quand je reçois un SMS " derrière la cabane de jardin". Je m’éloigne discrètement et me rends à la cabane éloignée de la maison d’environ cinquante mètres. Il est là à quatre pattes le cul à l’air cambré. Je me précipite lui bouffe une dernière fois ce cul magnifique, branle sa queue raide et comme il me l’a fait l’encule d’un coup. C’est lui qui bouge comme un fou sur ma queue. On entend les conversations au loin. Je le bourre violemment, l’insulte le fesse.Au bord d’éjaculer je me retire lui glisse ma bite dans la bouche et décharge. Il râle de plaisir. C’est fini. Demain ils seront parti. Plus d’Antho, plus de queue pour me remplir. De toute façon c’est mieux ainsi. On devait bien arrêter et point positif j’ai retrouvé le plaisir et la fougue de baiser ma femme. Je n’ai jamais eu de nouvelles d’Antho.
