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Elena

Chapitre 1

Trash
Un fantasme, une réalité...... je ne sais plus trop...... parfois, la réalité et la fiction se mêlent et se confondent sans jamais se croiser...
Je suis assis dans cette cuisine devant cet homme que je rencontre pour la première fois, et assis à la gauche de cette femme que j’ai si bien connue...
Moi, c’est Laurent. J’ai dépassé la quarantaine et j’ai décidé il y a une quinzaine d’années que je vivrai à fond. Cette philosophie que la vie m’a imposée m’a permis de fréquenter et côtoyer tant de situations et tant de femmes.Dont fait partie Elena, la trentaine, d’origine asiatique. Je l’avais connue il y a déjà longtemps, et nous avions vécu quelques mois d’une intense passion charnelle. Elle avait la vingtaine passée, menue, petite, de fines fesses, et de petits seins très sensibles. Elle est maintenant assise à ma droite, avec des formes plus généreuses, mais toujours ce même regard qui m’avait envouté.En face de moi, son mari qui répond au nom de Jérôme. Plutôt mince, une élégance de cadre un peu coincé.
Trois cafés légèrement fumants... Pourquoi suis-je là ? Simplement, Elena et moi sommes toujours restés en contact. Léger. Quelques messages par an nous ont suffi. Et de passage dans leur région dans le centre de la France, je me suis fait inviter. La discussion est tout ce qui fait dans la banalité des conversations inutiles. Je sens que Jérôme n’est pas dans son assiette. Ma présence l’indispose. Il n’a rien à craindre, pourtant. Mon histoire avec son épouse est si ancienne...Puis la discussion va soudainement basculer. Je demande simplement :
— Et vous deux, ça fait un moment que vous êtes ensemble et mariés. Ça doit bien aller et se passer. C’est sympa.— Oui... non... En fait, c’est un peu spécial ; répond Elena.— Hein ? Comment ça ?— En fait, mon très cher mari a eu l’excellente idée de me tromper, et je l’ai appris. Donc, l’ambiance n’est toujours pas géniale. Mais on a convenu d’une chose. Nous resterons ensemble et passerons l’épreuve ensemble. La condition est que je me venge. Que je le trompe, quand je serai prête. Et qu’il le sache, afin qu’il se retrouve dans ma situation, et que nous soyons quittes.— Ah oui, en effet, c’est étrange.— Mais, dis-moi, Laurent, tu ne voudrais pas être celui avec qui je le fasse ?
Ma tête explose et se met à fonctionner à plein. Tout mon corps se réchauffe et monte en température. Comme si la demande d’Elena venait de me faire replonger dans des souvenirs qui semblaient en sommeil. Je jette un œil au mari qui reste complètement silencieux, et il me fait un léger hochement de tête pour approuver la demande de son épouse.
— Ecoute Elena, c’est bizarre... mais si je viens à accepter votre demande, je veux donner une condition.
— Ah oui, laquelle ?— C’est maintenant, ici, et tout de suite !
Et je me lève en tendant la main vers la jeune femme. Il y a un instant de flottement et de silence autour de la table. Elena regarde rapidement son homme qui la fixe. Ils se connaissent assez, et Elena lance son corps pour se lever et attrape ma main.
Je repousse ma chaise et attire Elena à moi. Sans aucune forme de préavis, mes lèvres s’écrasent sur sa bouche qui s’ouvre instantanément, et nos langues se lancent dans un long baiser. Très vite, je fais glisser les vêtements de mon ancienne amante, elle est maintenant nue devant moi. Je connais ce corps et son fonctionnement. J’attrape ses seins et le bout de mes doigts se pose sur ses tétons. Je sais qu’Elena adore cela, et qu’elle prendrait son plaisir juste comme cela. Je viens caler les fesses de la jeune femme contre le bord de la table. Ma bouche vient glisser sur le haut de ce corps et attrape un téton pour le sucer, mordiller, torturer. Mon autre main sur l’autre sein. UN très long bal de mouvement sur ses deux gros seins commence. La jeune femme est déjà en gémissement et soupir saccadé. J’appuie plus fort sur le buste d’Elena qui s’incline lentement en arrière et qui se retrouve maintenant allongé sur la table, sa tête vers son mari qui ne bouge plus.
Il a l’air pétrifié, les yeux rougissants, acceptant la sentence de son écart.Tout en appliquant de longues succions sur les tétons droits et compléments durs, je quitte rapidement mes habits. Je vais glisser et descendre sur le ventre et je viens appliquer mes lèvres sur l’entrée du sexe d’Elena. Je tends ma langue pour la faire passer entre les lèvres de la jeune femme, et déjà je goûte la mouille. Je remonte vers son clitoris, et je me mets à l’aspirer en le pinçant entre ma langue et mes dents. Le corps entier se cambre, et un long soupir se fait entendre.
Elena est tremblante, retenant son plaisir. Elle gémit fortement. Elle a toujours été expressive dans le plaisir. Je me relève et je fais tourner sur lui-même le corps de la belle. Elle se retrouve sur le ventre sur la table. Je passe derrière elle. De cette façon, nous pouvons voir le mari face à nous. Son regard fixe les yeux de sa femme. Elena prend appui sur ses avant-bras. Je prends dans ma main mon sexe et le place à l’entrée du vagin devant moi et qui coule de cyprine. Elle mouille vraiment beaucoup. Elle dégouline même. Ça coule le long de ses jambes. La position précédente a fait remonter de la mouille tout le long de ses fesses, dans sa raie, et même le bas du dos est trempé. Je pousse très lentement et très facilement ma verge. Un long soupir s’échappe. Je commence les longs va-et-vient, toujours lentement. Les jambes d’Elena qui pendent sur le bord de la table se mettent à trembler légèrement. JE connais bien ces mouvements. JE sais qu’il ne faudra pas très longtemps pour entendre des cris de plaisir. Je vais de plus en vite et de plus en plus fort.
Maintenant, je martèle la jeune asiatique. Des bruits de claquements de mon corps qui s’écrasent sur ses fesses se font entendre au milieu de ses petits cris. Des éclaboussures de sa mouille s’éparpillent tout autour de nous. Tout mon pubis, ses fesses, ses cuisses coulent du jus de son plaisir. Je me mets à la pilonner de toute la force de mes poussées de bassin. Mon sexe s’enfonce toujours plus loin. Les petits cris se sont arrêtés, et ont laissé place à de forts hurlements de plaisir. Soudain, tout son corps se tétanise, et Elena se crispe avant de lâcher un long cri mélangé d’un long soupir de plaisir. Elle vient d’avoir un orgasme. Tout son corps se met à trembler. Je ne bouge plus, entré au fond d’elle.
Puis je me retire, mon sexe dégouline du liquide de sa mouille. Je prends le bout de mon sexe et viens immédiatement le poser devant sa rosette et l’enfonce de quelques petits millimètres.
— Non, attends... je ne fais jamais ça... je ne veux pas...
Je relève les yeux vers le mari, comme Elena qui le supplie.Celui-ci a l’air d’hésiter, mais quelques secondes suffisent avant d’incliner la tête.Elena qui a du mal à contrôler ses spasmes de plaisir s’est enfoncée encore un peu plus sur mon pieu, sans douleur.Devant l’accord de son mari, elle a le temps de souffler le non de son désaccord. Mais déjà, je pousse un peu plus et le gland de mon sexe est entré. La lubrification naturelle de mon sexe facilitait l’introduction. Même si le corps devant moi se crispe, je glisse facilement entre ses fesses.
Un de mes bras vient attraper les deux bras d’Elena et les tire en arrière. La belle se redresse malgré elle. La main de libre attrape le téton dégagé, et tire dessus. Ce qui fait soupirer longuement la jeune femme. Elle fixe son mari qui a les yeux rougis de désespoir.
Je suis entré au fond des entrailles de mon ancienne amante. Et cette fois, sans ménagement, je commence à prodiguer de grands à coups, je la sodomise profondément. A chaque aller-retour, je pince et tire sur son téton plus fort et plus long. Elle se met à crier de douleur dans un premier temps, mais ses cris se transforment en cris de jouissance très longs. De longues minutes et de grandes et fortes pénétrations s’enchaînent. Un très long et fort oui dans la bouche de la jeune femme, mais aussi un long jet de mouille entre ses jambes s’étale. Elle vient de nouveau de jouir. Ses jambes n’arrêtent plus de trembler.
Devant le spectacle de sa jouissance, je sens que je vais exploser. Je me retire et fais tirer sur le bassin d’Elena pour la basculer à terre. Elle se retrouve à genoux devant moi. Sans laisser le temps ni demander une permission à personne, j’enfonce mon sexe dans sa bouche et l’enfonce au plus profond de sa gorge. A peine le temps de m’installer dans cette position, que me voilà aussi à prendre mon orgasme, et d’éjaculer au fond de la bouche de ma partenaire. Elena se trémousse et a l’air de suffoquer. En quelques petites secondes, que je me retire déjà. Elena avale, et tente de retrouver son souffle et son esprit.
Je me recule et récupère mes habits pour les remettre. Le pauvre mari a l’air tétanisé. Il ne bouge plus. Complètement hagard. Je regarde vaguement les deux amants. Elena est toujours assise au sol. Elle est mouillée de partout, du sperme coule de son anus.
— A votre service les tourtereaux. Et n’hésitez pas à m’appeler si je peux vous rendre service.
En sortant, j’entends une petite voix, celle d’Elena, dire juste :
— Merci... je crois que je ne manquerai pas de t’appeler.
Une réalité, un fantasme...... je ne sais plus trop...... parfois la fiction et la réalité se mêlent et se confondent sans jamais se croiser...
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