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Elena à genoux

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Le type posa sa main sur le genou d’Elena et l’y laissa en posant la question suivante:
— Combien d’hommes t’ont touchée à ce jour ?— Vous voulez dire... avec qui j’ai couché ?
Elle rougit, se serra un peu plus contre Paul, mais continua à sourire. La main du type était chaude.
— Oui voilà, combien d’hommes t-on baisée ?
Elle regarda son mari.
— Quatre en fait. J’ai couché avec trois hommes avant Paul.— Tu avais donc moins de 19 ans...— Oui, j’en avais 18...— Trois hommes dans l’année de tes 18 ans, hein ?— Oui, c’est ça.— Peut-on dire que tu étais une petite coquine ?
Elena rougissait toujours plus. Sa main dans celle de Paul était moite. Elle n’osait pas le regarder, gardait son regard fixé sur le type.
— Oui c’est possible.
Le gars remonta un peu sa main le long de la cuisse de la jeune femme.
— Pourrait-on dire... une petite salope ?

Elena se tourna vers son mari avec un petit rire nerveux que ce dernier lui rendit.
— Je sais pas.— Tu ne sais pas...
Elena secoua la tête et la renversa sur l’épaule de Paul.
L’homme partit d’un grand rire en remontant sa main entre les cuisses d’Elena. Son index touchait la culotte en coton.
— OK, nous allons voir cela ensemble. Aimes-tu avoir ma main là?
Sans hésiter, Elena souffla "oui".
— Aimes-tu avoir ma main là tandis que tu es collée à ton mari ?— Oui.
Paul respirait presque aussi fort qu’Elena et son visage était barré d’un sourire nerveux.
— Cela nous fournit un indice important, je crois, dit le type. Tu ne crois pas ?
Elena se contenta d’acquiescer. Ses jambes s’étaient ouvertes malgré elle pour faciliter la progression du type. Bouche entrouverte, elle sentait son visage bouillir pendant que l’homme faisait glisser doucement son doigt sur le tissu le long de la fente.
— Paul, as-tu un avis sur la question ?
Paul regarda le type, puis sa femme, puis à nouveau le type.
— Je sais pas trop.— Tu sais pas trop.— Non.
Paul fixa son attention sur la jupe courte de sa femme où entrait le bras épais et poilu du type. Ce dernier avait écarté le coton et commencé à caresser la chatte moite d’Elena, ce que Paul ne pouvait qu’imaginer.
— Tu as connu beaucoup de femmes Paul ?— Pas vraiment.— Pas vraiment combien ?— Je n’ai connu qu’Elena.— OK, et est-ce toi qui as eu l’idée de la faire baiser par d’autres hommes sous ma caméra ?— On l’a eu ensemble.— Vraiment ?— Oui enfin, c’est Elena qui a lancé le truc et j’ai suivi.— Comment elle t’a convaincu ?
Paul se mit à rire.
— Vas-y raconte, on est là pour tout se dire.— Ben... on regardait vos vidéos et elle me suçait.— Ahhh. Elle suce bien ?— Oui très bien, dit le jeune homme avec un petit rire sec.
Elena ne riait plus. Bouche entrouverte, yeux clos, elle se laissait aller à la caresse de l’homme.
— Nous verrons ça, dit-il. Regardela comme elle est contente que je la doigte.— C’est vrai, dit le jeune homme qui pouvait ainsi mieux imaginer ce qui se passait sous la jupe de sa femme.— Veux-tu être ma petite pute aujourd’hui Elena ? demanda l’homme avec une voix douce.— Oui, répondit-elle sans hésiter.— Veux-tu être ma petite pute et celle de mes amis ?— Oui.— C’est très bien. Alors il faudra bien faire tout ce qu’on te demandera.— Oui.— Répète après moi: "oui, je serai une bonne pute pour vous et tout homme que vous me désignerez"

Elena respirait toujours plus fort, manifestement excitée par les mots de l’homme.
— Oui, je serai une bonne pute pour vous et tout homme que vous me désignerez.— Bien. Voyons les détails à présent.
Le type sortit de sous la jupe une main dont l’index et le majeur luisaient.
— Ouvre la bouche en grand.
Elena s’exécuta. L’homme fit glisser aussitôt ses doigts au plus profond de la gorge de la jeune femme, jusqu’à provoquer un haut-le-cœur.
— Détends-toi ma chérie, c’est important de prendre au fond de la gorge. Moi et mes amis apprécions énormément les deep throat. Respire profondément et laisse-toi aller.
Il avait retiré ses doigts de la gorge, mais les avait laissés dans la bouche d’Elena qui les léchait doucement.
— Allez, on recommence.
Cette fois, Elena s’était préparé à l’invasion et l’accueillit plus calmement. Elle eut encore quelques réflexes de renvoi, mais accepta les doigts très profonds, longtemps tandis que l’homme allait et venait de plus en plus brutalement.
Paul, s’il avait souvent plongé son pénis au fond de la bouche d’Elena, n’y avait jamais introduit la main. Il observait avec fascination la dilatation du cou sous le menton à chaque introduction de l’homme. Le bruit liquide que cela produisait l’excitait beaucoup, cela soulignait la vulgarité du geste et la complète acceptation par sa femme de la situation.
— Regarde Paul, je touche du bout des doigts le bord de la trachée, que je franchirai bientôt avec ma queue. Moi et mes amis franchirons la trachée de ton amoureuse en plantant nos bites le plus profond possible. L’idée te séduit ?— Heu... oui, je crois.— Tant mieux. Toi, en revanche, tu n’auras droit que de l’embrasser, quand nous t’y autoriserons. C’est entendu ?— Oui.— Oui Monsieur, corrigea l’homme avec un sourire aimable.— Oui Monsieur.— Bien. Tu comprends, mes amis et moi aimons que chacun reste à sa place: les dominants d’un côté, les dominés de l’autre. Je suis certain que tu comprends ce que je veux dire. Cela fait partie de notre plaisir, mais aussi du tien dans le fond. Le mari doit être tout aussi docile que sa femme, même s’il sera nécessairement moins sollicité.— Heu oui... Je veux dire oui, Monsieur.— Alors, énonçons les règles une fois pour toutes. Tandis que nous baiserons Elena à notre convenance, par tous les trous dont la nature l’a pourvue, tu n’auras pas le droit de la toucher ni de te branler. Tu ne pourras que la soutenir, lui caresser les cheveux, l’embrasser le cas échéant.— Oui Monsieur.— Parfait. L’homme retira sa main de la bouche d’Elena avec un gros "shlop" et la présenta devant Paul, comme pour un baise-main. Sans hésiter, ce dernier s’exécuta.— Hé! s’exclama le type en retirant sa main. Je voulais juste te montrer les sécrétions de fond de gorge de ta dulcinée. Tu ne serais pas un peu gay ?— Heu non, je crois pas, heuu.— Bon en tout cas, c’est pas le cas des autres gars qui vont s’occuper d’Elena. Il arrive que certains se fassent lécher les couilles ou le cul par le mari tandis qu’ils baisent la femme, mais c’est pour le plaisir de l’humilier. Cela te plairait ?— Non, je ne crois pas.— Tu ne crois pas. Bon, nous verrons dans le feu de l’action. Elena, mets-toi à genoux.
La jeune femme s’exécuta, les épaules bien en arrière, la tète droite. Cette position mettait en valeur la cambrure de ses reins. Ses seins ronds pointaient sous son t-shirt. L’homme se leva et posa sa main sur ses cheveux en dégrafant son pantalon de l’autre main. Il eut bientôt sorti un pénis en semi-érection et de grosses couilles poilues qu’il frotta sur le visage d’Elena, comme pour l’en barbouiller.
— Inspire avec le nez ma chérie. Je veux que tu t’imprègnes bien de mon odeur, l’odeur de ton maître. Voilaaaa, comme ça, renifle bien à fond, comme si c’était le grand air des montagnes. Tu es une bonne petite chienne. Regarde Paul, comme ta femme renifle mes couilles. Ca te plaît ?— Euh... oui.— Approche. Agenouille-toi près d’elle. Tu profiteras mieux du spectacle.

Paul s’accroupit près de sa femme, à quelques centimètres de sa bouche et des couilles de l’homme qu’elle léchait du plat de la langue.
Ouvre la bouche en grand.
L’homme enfonça son pénis dans la bouche d’Elena jusqu’à rencontrer la butée du larynx.
Détends-toi ma chérie. Fais comme si tu avalais quelque chose, ouvre ta gorge pour ma bite. C’est très important pour moi. Je veux être le premier à te baiser la gueule, et ce, devant ton mari.
Elena essaya de se décontracter, mais une nouvelle tentative de l’homme se solda par un nouvel échec. Il essaya à nouveau et ne parvint qu’à lui arracher quelques larmes et des quintes de toux.
Relâche-toi petite pute ! cria l’homme en la regardant sévèrement.
Elena respira profondément et reprit position, bouche grande ouverte.
Enfin, l’homme parvint à franchir le larynx et planta son sexe au fond de la gorge de la jeune femme qui se débattit.
C’est très bien Elena. Whaou, tu l’as fait ! Les félicitations de l’homme lui procurèrent un bref sentiment de fierté.
Allez on recommence. Cette fois-ci tu gardes au fond aussi longtemps que tu peux.
L’homme se planta à nouveau dans la gorge d’Elena et agrippant la tête de la femme, poussa aussi profond qu’il put son pénis au fond de sa gorge.
Voiiiiila. Les couilles de l’homme s’écrasaient maintenant contre le menton de la fille tandis que son sexe avait entièrement disparu.
Elena se débattit à nouveau, mais l’homme maintint son visage écrasé contre son pubis. La jeune femme s’accoutuma au ménage, plante dans sa bouche et cessa de bouger. L’homme relâcha enfin sa pression. Permettant à Elena de prendre une grande bouffée d’air.
C’est bien ma petite pute. Tu es une grande fille. Une super pompeuse. Embrasse la Paul pour la féliciter.
L’homme tourna le visage d’Elena comme une poupée, le plaçant face à Paul. Les lèvres de la jeune femme étaient rouges et luisantes. Un filet de bave sentirait encore de sa bouche au sexe de l’homme.
Sans hésiter, Paul embrassa amoureusement sa femme qui lui rendit un baiser passionné. La bouche d’Elena était brûlante et remplie d’un fluide visqueux que Paul savoura quand il eut quitté ses lèvres.
C’est beau l’amour, déclara l’homme en prenant à nouveau la tête de la femme entre ses mains.
Ouvre la bouche salope.
Il cracha dans la bouche d’Elena, s’y enfonça brutalement puis commença de furieux va-et-vient, paraissant ne plus se soucier que de son propre plaisir.
— Tu vois Paul, baiser la gueule d’une pute à la gorge bien ouverte c’est comme se branler. Peu d’effort et un plaisir intense. Garde bien les mains liées dans le dos ma chérie, pendant que je te défonce la bouche. Je crois que j’aurais bien aimé être le premier à l’enculer, mais bon... c’est réservé à quelqu’un d’autre. Entrez les gars, venez profiter du spectacle en direct !
Deux hommes entrèrent, nus, sexes en érection. Paul les reconnut immédiatement. L’un d’eux était leur photographe de mariage. Paul se souvenait d’avoir éprouvé une intense colère vis-à-vis de ce dernier qui n’avait cessé d’effleurer sa femme, y compris lors de la cérémonie, sous prétexte d’ajuster sa robe, de corriger sa posture. Le second était Tom, un collègue de bureau d’Elena que cette dernière détestait, autant pour ses remarques graveleuses que pour son ambition, écrasante pour tous ceux qui se trouvaient en travers de son chemin. Elena, au service comptabilité était de ceux-là. Tom n’appréciait guère son insistance à demander des justificatifs aux petits extras qu’il se permettait souvent sur le dos de l’entreprise.
L’homme relâcha enfin son emprise sur Elena, lui permettant de reprendre haleine.
— Tiens... mais qui voilà ? Dis bonjour à nos invités, Elena !
Lorsque la jeune femme reconnut son collègue, elle aspira un cri et se couvrit instinctivement les seins et l’entrejambe.
— Allons, allons, pas de manières, hein... Tu savais bien que tu pouvais être mise en présence de gens que tu connaissais. C’était écrit dans le contrat, et je t’avais prévenue que c’était le cas en l’occurrence, alors ne fais pas la surprise. Dans le fond, tu espérais que ce soit de beaux salauds bien montés comme ces deux-là qui te feraient ta fête. Allons, remets immédiatement les mains dans ton dos et ouvre tes cuisses bien largement.
Au grand étonnement de Paul, Elena s’exécuta, obéissant une fois de plus à l’homme sans résister.
— C’est bien. Voilà une chienne bien élevée. Par contre, tu m’as fait honte devant mes invités. Excuse-toi auprès d’eux tout de suite.— Excusez-moi.
L’homme prit Elena par le nez et la gifla de l’autre main.
— Pas comme ça, traînée ! Une petite chienne docile lèche les pieds de ses maîtres quand elle a fait une bêtise.
Elena baissa la tête et s’apprêta à se lever quand l’homme la maintint au sol.
— A quatre pattes, chienne.
Ainsi, Paul vit sa femme s’éloigner de lui sur ses genoux et ses mains pour rejoindre les deux hommes. Elle se pencha d’abord sur son collègue qui la regarda lui embrasser et lui lécher les orteils.
— Putain, je le crois pas. Cette pute d’Elena me lèche les pieds. C’est le plus beau jour de ma vie.
Il se pencha en avant et saisit ses fesses à deux mains pour les écarter.
— Je vais bien te dépuceler le cul ma salope. Alors suce un peu ce majeur.
Attrapant Elena par les cheveux, il la mit face à son doigt d’honneur qu’elle avala sans protester. Puis il lui intima de reprendre sa besogne initiale en prenant grand soin de passer entre les orteils avec sa langue tandis qu’il lui fourrait son doigt dans le cul.
— Tiens connasse, voilà, bien au fond de ton fion de pute.
Il claqua ses fesses à toute volée de sa main libre, comme l’y autorisait le contrat signé par Elena. Il y était en effet stipulé que les protagonistes masculins du film pourraient insulter la jeune femme à leur guise tout en lui claquant les fesses aussi violemment qu’il leur plairait et que seul l’homme, garant de la sécurité de chacun, pouvait limiter.
A suivre
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