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Elena vendue à sa maître de stage

Chapitre 1

Lesbienne
Elena affiche un sourire satisfait. Bien que sa mère soit quand même l’une des plus grandes avocates du pays, elle n’a de cesse de se rappeler les nombreuses remarques de sa génitrice : "ton stage, tu le trouveras seule", "démerde-toi", et les fameux "je n’ai pas le temps, je pars en séminaire". Et bien sûr, grâce à son nom de famille bien réputé, il a suffi qu’elle claque des doigts pour trouver le fameux stage de fin d’études du CAPA. Diplômée d’un master II en droit des affaires, membre de la digne lignée des Brown, Elena ne peut pas réellement se sentir fière de son stage trouvé grâce à une sorte de Pédigrée juridique, mais soit. Elle a pris le temps de bien lire chaque lettre reçue, chaque message valant acceptation. En réalité, chaque papier ressemble au suivant. Une hypocrisie douteuse en lisant le nom "Brown" sur la candidature, des propos exagérément arrondis pour que le maître de stage soit sûr qu’Elena le choisisse.
Car avoir comme stagiaire la digne fille de Katerina Brown Alexandreï, ce n’est pas rien. Mais Elena est comme sa mère...
Prétentieuse, orgueilleuse, elle veut le meilleur tout en tirant parti de son nom de famille réputé. Alors, bien sûr, elle affiche ce sourire satisfait.Elle s’ennuie pourtant en regardant la trentaine de feuilles sur son lit. Toutes les lettres vont dans le même sens. Elles puent des relais d’opportunisme, et ça, ce n’est pas acceptable pour une future avocate comme Elena. Mais bien sûr, parmi ces pages et ces pages sentant mauvais le léchage de cul, son 6ème sens fait tilt. Une des enveloppes retient son attention... Du papier sobre, presque crème. Un tampon rouge pour enfermer une lettre au doux parfum de rose et de musc. Elena ne sait pas pourquoi, mais les mots simples de cette lettre lui intiment l’ordre de choisir ce stage en droit des affaires : "Lundi, 7h, interdiction d’arriver en retard". Suivi bien entendu d’une adresse bien éloignée de son domicile...
Il est déjà lundi, et Elena s’habille. Le dur réveil l’a tiré du lit à 5h30, mais heureusement que son père l’emmène sur les lieux, elle l’espère, de sa future collaboratrice. Oui, Elena voit loin. Mais l’ambition familiale coule dans ses veines. Elle enfile avec sensualité une jupe noire et courte, un chemisier sexy bleu marine et se maquille avec grâce. Pas un détail ne doit venir gâcher cette première journée de stage. À peine a-t-elle fini de s’apprêter que son père vient toquer à sa porte. La voiture est prête, et l’unique fille de la famille aussi. Elena esquisse un sourire ravageur, mais terriblement insultant à son père, qui lève les yeux au ciel.
La pluie frappe le pare-brise de la voiture pendant que l’Audi traverse la ville à vive allure. Elena se remémore son texte de présentation... "Jeune élève de 24 ans, je suis honorée de vous rejoindre". Elle sent le stress monter petit à petit, et cette angoisse finit de l’achever quand l’immense bâtiment vient s’imposer face à la voiture au tournant d’une rue. Lawyer Corporate, l’entreprise de renom, le bureau d’avocat le plus réputé de la ville, bien moins que les Brown bien sûr, fait son apparition. Son père lui intime l’ordre de vite sortir de la voiture. Peut-être n’aime-t-il pas le quartier, la pluie ou encore sa fille un peu garce, mais il ne souhaite pas traîner. Elena se sent comme poussée hors du véhicule. Elle court sous le tonnerre en direction du bâtiment, manque de trébucher et vient vite sonner à l’interphone. La porte s’ouvre avant même qu’elle ne puisse dire son nom.
En entrant dans le bâtiment luxueux, elle s’étonne de ne trouver personne... "Il n’est que 6h45", se rappelle-t-elle pour se donner de la conviction et du courage. Elena s’approche doucement de l’accueil. Personne. Elle appuie donc son doigt sur une petite sonnette posée sur le comptoir. Une vieille femme, en tailleur, gracieuse et l’œil sévère arrive aussitôt. Elle toise machinalement la jeune étudiante devant elle des pieds à la tête. Il faut dire que la petite blonde au chignon ne paie pas bonne mine devant la chargée d’accueil. Le teint pâle malgré le blush timide de ses joues, elle ruisselle d’eau de pluie. Sa jupe est trempée, et son chemisier colle à ses seins. "Flûte... Si seulement j’avais arrêté de jouer à la rebelle et si j’avais au moins enfilé un soutien-gorge... Je suis foutue", pense-t-elle avec regret. La vieille pie lui montre d’un doigt l’ascenseur en lui maugréant un "5ème" résonnant dans tout le bas étage. Elena s’enfuit dans l’ascenseur sans un mot.
Le 5ème étage semble bien différent de l’accueil. Des tapis rouges ornent le sol, les murs sont remplis de tableaux de la Renaissance. Elle se prend les pieds dans un de ces tapis majestueux et se rattrape de justesse à une table basse placée dans le couloir. "Ressaisis-toi nom de Dieu", souffle-t-elle dans sa barbe.La porte vient mettre une barrière entre la maîtresse de stage et elle. Hésitante, Elena a perdu tout orgueil et vient toquer si doucement qu’elle ne sait pas si quelqu’un dans ce monde a pu entendre ce bruit... Elle arrête sa respiration en espérant fortement que le son a pu traverser le mur... Fort heureusement, après cinq secondes interminables, une voix de femme retentit.
— Entre, Elena !
La jeune blonde ne se fait pas prier. Elle pousse la porte, tremblante, et entre dans la pièce.
— Bonjour madame... Je... Jeune étudiante de...— Je sais qui tu es !
Cette soudaineté dans la voix franche de la femme laisse Elena de marbre. Face à elle, une dame à l’allure sûre d’elle s’impose à la jeune fille. Les cheveux noirs en chignon, les pommettes hautes et des lunettes sévères, une chemise en soie blanche avec une veste noire, Mme Esther la toise du regard.
— Pardon, je ne voulais pas..., commence la jeune fille.— Ne reste pas plantée comme un âne devant ce mur, ferme la porte et viens ici, ordonne-t-elle.
Elena sent ses joues rougir de colère et de honte. Elle s’exécute et vient honteusement s’asseoir sur la chaise que la femme lui désigne d’un doigt blanc et long.Un grand silence pesant vient s’installer pendant une minute. Mme Esther tape fortement sur son clavier, mais ne semble pas s’intéresser à la jeune fille. Après la 70ème seconde, elle pousse un soupir et retire ses lunettes.
— Bien, grogne-t-elle en nettoyant avec soin ses deux verres. J’imagine que tu as dû recevoir énormément de lettres de la part de mes confrères, au vu de ton nom. Je me trompe ?
Elena hoche lentement la tête sans oser la regarder dans les yeux.
— Et pourtant, sans aucune indication dans mon message, tu m’as choisie moi comme maîtresse de stage. Je me trompe ?
Elena reproduit son geste en serrant les mains sur ses genoux.
— Tu sais jeune fille, ici, on aime pas les prétentieuses dans ton genre. Les Brown, on en a par-dessus la tête. Vous êtes une famille de nobles, de bourgeois, de riches, je ne sais quoi... Et tout ce que tu as gagné, tu l’as obtenu parce que ta mère rafle procès sur procès avec un talent inégalé, mais aussi un comportement digne d’une véritable pétasse.
La jeune étudiante sent ses larmes couler. Mais que fait-elle ici ? Ne doit-elle pas commencer un stage passionnant ? Au lieu de cela, elle se fait insulter ouvertement pas une concurrente directe de sa propre mère. Elle a envie de se cacher dans un trou de souris.
— Ici, tu as pu remarquer que nous sommes loin de ton habitat. Et je souhaite que tu restes vivre ici le temps de ton stage de six mois. Tu auras le droit de rentrer les week-ends, mais ici, les heures sont très larges... 7h 20h. Voire même plus, mais... C’est encore tôt.
A ces mots, Mme Esther sourit malicieusement à Elena qui vient à peine de relever sa tête.
— Ici, reprend la femme aux allures de prêtresse toute de noire vêtue, tu vas apprendre ce qu’est la solidarité. La cohésion... La... Passion, souffle-t-elle avec un timbre de voix très étrange. Je vais t’expliquer ce qu’on va faire. Tu vas passer une matinée de stage avec moi. Si ce travail te convient, alors seulement je pourrai t’accueillir six mois dans ma demeure. Tu es d’accord ?
Elena ne sait pas quoi dire. La femme a un comportement si borderline que cela lui procure des frissons de gêne et de dégoût. Non, bien sûr que non... Tout ce que veut cette élève, c’est partir le plus loin possible de ce monstre infâme.
— Nous allons commencer aujourd’hui par un petit exercice pour voir tes compétences, Elena. Résous-moi ce cas pratique en une petite heure, je vais nous chercher de quoi grignoter pour parler de la suite du programme.
La femme disparaît sans attendre de réponse. Devant Elena, une pile de feuilles, une fiche d’exercice, un stylo à encre noir. Elle rapproche lentement l’exercice devant ses yeux... Et soupire de soulagement. Le cas pratique est largement faisable au vu de ses compétences. Elle se met vite à la tâche pour montrer à cette vipère qu’on n’insulte en aucun cas la digne lignée des Brown.
Une heure plus tard, Mme Esther revient avec un gros plateau de viennoiserie et du café. Elena semble toute fatiguée après avoir travaillé sur ce devoir plus dur qu’il n’y paraît. Sa tête, lourde, est coincée dans ses bras croisés sur le bureau. Un grand coup de règle vient directement la remettre sur pied.
— Est-ce une façon de se tenir dans mon bureau ? tonne la voix de la maîtresse dans la pièce.
Elena sursaute comme elle n’a jamais sursauté. Cette femme est réellement le mal incarné... Comment a-t-elle pu défendre des victimes dans un procès ?
— Bien, mange, il y a de quoi se remplir le ventre pour trois jours.
Elle s’empare du devoir de son élève pendant que la jeune fille croque timidement dans un croissant.
— Bien, tu m’as l’air doué. Au moins, pour le travail, on ne manque pas de talent chez les Brown, ajoute-t-elle. Mais comment vas-tu te débrouiller avec les consœurs ? Ou avec moi ?— Comment ça madame ?
Elena ouvre enfin la bouche, sortant d’un temps considérable de silence. Elle ne comprend pas les dires de cette femme.
— Ici très chère, c’est "maîtresse" tout d’abord, répond avec une voix froide et sexy Mme Esther. Primo, jamais d’autre nom. Secundo, tu vas me montrer tes talents physiques.
Elena ne se sent plus de joie et se met debout.
— Vous savez, maîtresse, j’ai gagné le concours d’éloquence de ma licence il y a de cela...
Elle se tient la joue. Le bruit résonne dans toute la pièce, voire même dans la rue. Mme Esther vient de violemment gifler Elena au visage.
— Comment oses-tu me soumettre un de tes faux talents d’orateur ? Oublie tout de ta lignée ici, mademoiselle, et fais-moi le plaisir d’enlever ce visage meurtri de mon regard ! Tu es là pour me montrer tes talents corporels, je ne veux rien entendre d’autre ! Mais si tu le désires, tu peux partir de suite !
La jeune fille pleure à présent devant la maîtresse si sévère. Elle n’a qu’une envie, prendre ses jambes à son coup. Mais, peut-être est-ce l’orgueil de sa mère, elle ne veut pas se démonter devant cette tigresse. Impossible de se laisser impressionner par une simple concurrente de sa famille. Jamais !
— Très bien, que voulez-vous voir, maî-tresse ? répond-elle froidement malgré les larmes dans la voix.— Enlève donc ce chemisier. De toute façon, tu as omis un soutien-gorge. Pas bien sérieux pour un premier jour si je ne m’abuse.
Elena ne se fait pas prier. Elle retire avec fermeté son chemisier qui lui colle à la peau, laissant paraître deux superbes seins blancs face à la femme. Celle-ci change subitement de regard, passant du sévère à l’envieux en un claquement de doigts. Elle s’approche de son élève et vient directement effleurer le téton pointant en sa direction. "Le froid et la pluie n’aident pas", se dit intimement Elena en comprenant peu à peu que le temps n’est pas responsable de l’état de la poitrine. Au contact du doigt fin et pâle de Mme Esther, Elena tressaute.
Mme Esther attrape le sein de sa main, le malaxe et commence à souffler fort. Son parfum de rose et de musc emplit les narines de la jeune diplômée qui hume l’air comme une innocente découvrant la vie. Très vite, elle ferme les yeux et pousse de légers soupirs face à la concurrente de sa génitrice. La bouche de cette dernière vient à la rencontre du sein d’Elena, laissant sa langue se balader d’un bout à l’autre. Elena sent son entrejambe s’humidifier. Elle ne ressent ni la colère ni la honte à ce moment-là. Elle veut plus.
Mme Esther vient doucement descendre la main du sein jusqu’au ventre d’Elena, puis s’infiltre lentement sous sa jupe. Elle la remonte jusqu’en haut de sa cuisse, caressant ce bout de chaire comme jamais Elena n’avait été caressée. Elle se perd dans des gémissements de plus en plus appuyés, si bien que la maîtresse se sent obligée de mettre sa main sur la bouche de sa victime du jour.
— Silence, lui murmure-t-elle à l’oreille tout en venant passer la langue dans son cou lisse et chaud.
Elena n’en peut plus... Le plaisir monte encore plus quand la maîtresse passe la main au plus près de son entrejambe. Les doigts viennent écarter avec professionnalisme le tanga de la jeune fille, dérapant sur une toison parfaite et humide. Un doigt vient caresser son bouton d’or d’une manière si douce et subtile qu’Elena en jouit presque instantanément. Elle doit s’accrocher à sa maîtresse de stage pour ne pas s’effondrer sur le sol. Les doigts se font plus insistants, et l’un d’eux rentre même timidement dans le vagin serré de l’étudiante. C’en est trop... Elena semble au bord de l’évanouissement. Son cœur s’accélère, ses seins palpitent, son clitoris grossit. Elle est sur le point d’exploser. Des larmes de plaisir perlent au coin de ses yeux.Soudain, Mme Esther stoppe tout mouvement. Elle retire ses doigts, remet en place le tanga, relâche la jupe de la jeune fille et ôte la main de sa bouche.
— Reviens demain si tu es prête à suivre ce stage particulier pendant un semestre entier. Tu as jusqu’à demain 7h pour réfléchir et revenir avec ta valise. Pars maintenant. Une voiture t’attend dehors, elle va te reconduire chez toi.
Mme Esther caresse de la pulpe des doigts la marque rouge sur la joue de son élève.— On espère te revoir vite, vient-elle lui glisser à l’oreille.
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