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Elena vendue à sa maître de stage

Chapitre 2

Lesbienne
Il pleut toujours quand Elena rentre chez elle. Le chauffeur qui la dépose devant le pas de sa porte est neutre, sans mauvaise intention. Pour autant, aucun mot n’est sorti de sa bouche depuis le début du trajet. Elena a encore la culotte mouillée... Elle ose se dire que c’est à cause de l’humidité du vent, mais des papillons d’excitation la ramènent à l’ordre. Encore sous le choc, perdue, elle entrouvre la porte de sa maison et se précipite à l’intérieur. Là, sa mère l’attend, l’œil sévère, comme à son habitude.
— Alors, ce début de stage que tu as trouvé "seule" ? balance-t-elle de sa voix stricte de femme d’affaires.
Elena pose à ses pieds sa veste et son sac, sans un mot. Elle retire ses chaussures, s’essore les cheveux et baisse la tête.
— Sais-tu que j’ai reçu un appel de ta tutrice de stage ? reprend-elle sur un ton confus. Je ne m’y attendais pas, mais visiblement, elle serait très heureuse de t’avoir avec elle. Pire que ça, parce que ça m’étonne de tes "compétences", elle a décidé de "t’acheter" pendant six mois. Donc tu ne pars pas en vacances avec nous, tu vas être à son service pendant tout ce temps. Espérons que tu apprendras enfin à être autre chose qu’une traînée !
Elena lève instantanément la tête vers sa mère, les lèvres bleues et le teint pâle. Elle a tellement froid qu’elle ne peut que trembler sans répondre.
— J’ai accepté. Cela va de soi, conclut-elle sur le même ton.
La jeune fille se mord la lèvre, furieuse. Sa mère l’a carrément vendue ! Impossible de reculer à présent ! Son égo l’empêche de répliquer un "je n’irai pas" qu’elle cache au fond de ses entrailles. C’en est fini, elle va devoir subir plusieurs semaines de torture sexuelle ! Elena bondit dans le couloir et court s’enfermer dans sa chambre... Ce n’est plus possible.
Elle retire avec fureur sa tenue du jour, déchirant au passage ses collants. Comment a-t-elle pu se faire humilier de la sorte ? Et sa mère ? Sa propre mère qui accepte une offre financière de la part de sa pire ennemie ? Elle renverse sa chaise, ses lettres de stage et s’écroule sur son lit. Elle tente de calmer son pouls en respirant profondément, et ferme les yeux. Mais la seule chose qu’elle sent au moment de clore ses paupières, c’est le parfum étrange et puissant de cette femme...Elle se redresse précipitamment.
— Plus question de se laisser faire.
Pourtant, elle sent déjà son entrejambe s’humidifier en repensant à la scène avec ce monstre. Elle imagine ses doigts en elle, son souffle chaud, sa fermeté et même... sa gifle. Elena ressent de la honte, mais en même temps une grande curiosité. Doucement, elle laisse aller. Elle glisse sa main sous sa culotte, et fait de délicieux cercles autour de son clitoris. Très vite, elle gémit en repensant à la tutrice. Mais cette fois-ci, dans ses pensées, c’est elle qui lui ordonne de ne pas bouger. Dans ses rêves, Elena caresse sa maître de stage, jusqu’à la faire abondamment mouiller. Elle imagine les gémissements divins de sa tutrice, ce qui rend le plaisir solitaire encore plus incroyable. Elle se surprend d’ailleurs à haleter en imaginant cette scène interdite et tabou. Elle met en scène Mme Esther en train de sauvagement subir les caresses, la suppliant de la faire jouir. Quand la tutrice hurle de plaisir, l’orgasme d’Elena survient avec violence et puissance.
Elle étouffe son cri avec sa main, accélérant le mouvement de ses doigts sur son clitoris jusqu’à ressentir la chaleur tout au fond d’elle. Elle sursaute sur son lit en se mordant le creux de la paume, un jet de cyprine s’échappant timidement de son vagin...
Elena relâche ses muscles, soupire et ouvre les yeux. Peu importe ce qu’il s’est passé au bureau aujourd’hui, elle aura sa revanche.

Il est tôt quand Elena arrive sur le lieu de son stage. Elle fait mine d’ignorer la vieille à l’accueil et s’enfourne d’un pas rapide dans l’ascenseur. Elle est vêtue d’une chemise pourpre et d’un pantalon parfaitement droit. Aucune chance d’y décerner une courbe ou un sein, cette fois-ci. Elle ne va pas la laisser la déstabiliser.Elle entre sans frapper dans le bureau de Mme Esther, la tête haute. La dame se tient là, debout devant son bureau.
— Ah, tu es là, déclare-t-elle avec une voix satisfaite. Ne te mets pas à l’aise, on va faire les boutiques.
Elena s’arrête net dans sa course. Elle qui avait prévu de saccager le bureau et donner une bonne leçon à cette sorcière... Son désarroi se lit sur son visage. Mme Esther s’empare de son sac à main et attrape le bras d’Elena tandis qu’elle passe à côté d’elle.
— Ta mère ne t’a rien dit ? demande la dame pendant que les deux femmes dévalent les escaliers.— Dit quoi ? halète Elena en sentant chaque marche secouer ses seins violemment.— Non seulement ta mère a accepté mon argent, mais elle ne veut définitivement plus te voir pendant six mois.
Mme Esther s’arrête et se retourne vivement vers la stagiaire.
— Autrement dit, tu es à moi pendant un semestre entier.
Elena devient pâle et ses lèvres se dessèchent. Non, impossible... Sa mère ne l’aurait quand même pas vendue contre trois billets à ce monstre ? Elle roule ses yeux vers le sol, sentant sa nuque se raidir. Tout ceci est un véritable cauchemar...
— Et maintenant que je fais de toi ma chose, commence Mme Esther avec un sourire cruel, je vais pouvoir t’acheter de jolies affaires à porter pour nos événements nocturnes.
Elena ne sait pas comment, mais elle se retrouve dans la voiture de Son Altesse sans aucune once de résistance. L’auto démarre en trombe sur le bitume tandis que la stagiaire s’enfonce dans son siège. Mme Esther, assise à ses côtés, allume une longue cigarette tout en donnant des indications au chauffeur.
— Si ta mère t’a vendue, ne pense pas que je suis fauchée pour autant. Ma corporation américaine me rapporte plus que tu ne le crois.
Elena ne répond rien.
— J’ai de la chance de pouvoir garder ce nom de société, confie la dame en tirant une bouffée de cigarette et commençant à balader ses mains sur les cuisses d’Elena. Normalement, ce n’est pas très juridique selon la France, mais je suis bien entourée.
Elle remonte doucement les doigts vers l’entrejambe de sa stagiaire sans un regard.
— Et puis, on m’a dit cette année enfin que je pouvais prendre un stagiaire. Un jeune d’une école d’avocat, déjà bien majeur, cela va de soi. Et tu es arrivée. Toi et ta vieille mère que je déteste !
Mme Esther appuie fortement ses phalanges sur le bas de sa pouline. Elena gémit de douleur et a un geste de recul. La tutrice daigne enfin porter son regard sur elle en constatant sa violence.
— Tony, tournez à gauche et déposez-nous.
Le chauffeur s’exécute et prend la route indiquée. Quand celui-ci coupe le moteur, Mme Esther attrape les joues d’Elena et plaque ses lèvres sur celle de son élève.
— J’ai de belles surprises pour toi aujourd’hui, souffle-t-elle en ouvrant la porte du véhicule.
Le premier magasin est une boutique de sous-vêtements. Elena feint l’étonnement, mais roule des yeux. "Bien entendu !" Les deux femmes s’engouffrent à l’intérieur tandis qu’il commence à pleuvoir dehors. En passant le pas de la porte, la tutrice se fait immédiatement reconnaître par la vendeuse qui s’empresse de venir à sa rencontre. Elena a donc le temps de faire un tour. En voyant les strings accrochés au-dessus de sa tête, elle recule avec effroi. Jamais elle ne se permettrait de porter ce genre de...
— Elena, ramène-toi ici. Je te présente Marylin.
La vendeuse sourit de toutes ses dents et salue la stagiaire. Sans dire un mot, cette dernière suit la responsable de la boutique derrière les rangées de vêtements, jetant un œil derrière elle. La tutrice est en train de fumer une nouvelle cigarette.
— Voilà, un petit assemblage que Dame Esther a commandé spécialement pour vous ! Bon, bien sûr, nous avons plusieurs tailles si besoin, mais... Oh, je sens que ça va me plaire !
Elena jette un œil à la pile de linge gisant sur un tabouret près d’une glace. Elle se glisse dans une des cabines sans piper mot, se déshabillant avec fatigue. Elle ne contrôle plus son esprit tellement la hantise la gagne. Que va-t-il lui arriver cette fois-ci ?Elle enfile un fin tanga bleu marine avec lenteur, le faisant grimper sur ses deux jambes fines et musclées. Une fois chose faite, elle s’empare du soutien-gorge et...
— Ah, il te va bien !
La cigarette fait tousser Elena quand Mme Esther tire le rideau pour contempler son esclave. Les seins nus et galbés, le ventre plat et ferme, la stagiaire a une allure si sexy que le sourire de sa tutrice se dessine rapidement sur son visage. Elle tire une nouvelle bouffée sur sa longue cigarette et s’approche de sa jeune. Ou plutôt, de ses tétons.
— Ne me touchez pas, dit simplement Elena sans trop y croire, tandis que l’excitation gagne déjà du terrain.
Mme Esther fait mine de l’ignorer en éteignant son mégot sur le mur. Elle passe ses longs doigts sur la poitrine de la jeune fille, effleurant le bout de chaque sein, puis descend le long de son torse et enfin de son bas-ventre. Elena manque de tomber à la renverse et plaque ses deux mains contre les murs de la cabine. Elle jette un regard derrière l’épaule de la femme pour voir si quelqu’un les observe. Mme Esther voit enfin ses yeux alarmés par le risque de découverte et pousse contre le fond de la cabine sa stagiaire. Elle tire le rideau derrière elle et met sa main sur la bouche d’Elena.
— Pas un bruit, murmure-t-elle.
La femme reprend ses gestes lents en direction du bas-ventre d’Elena. Elle commence à caresser son bouton avec précision et délicatesse, couvrant au mieux les gémissements de la stagiaire. Des larmes de jouissance perlent au coin des yeux de la jeune. L’extase monte de plus en plus, elle n’en peut déjà plus. Mme Esther se met doucement à genoux pour se mettre à hauteur du magnifique tanga. Elle plaque doucement ses lèvres sur le tissu fin et humide, jouant avec sa langue sur le pourtour du clitoris. La jeune fille se surprend à attraper les cheveux de la femme pour la rapprocher plus hâtivement de son con. Elle la veut là, maintenant, tout de suite... Si seulement elles étaient seules...
Dame Esther met sur le côté la ficelle du tanga et enfonce une phalange dans le vagin d’Elena. Puis deux, tout en venant titiller le bouton du bout de sa langue. Elena essaie d’étouffer ses cris en coupant sa respiration, faisant grimper le plaisir. Elle se laisse aller contre le mur, sentant les coups de langue de plus en plus fort sur ses lèvres et son clitoris. Les doigts jouent au fond d’elle avec fougue, elle pense devenir folle à maintes reprises. Même posée contre le mur, elle se sent tomber à la renverse. Dame Esther s’engouffre au plus loin dans le vagin, mettant jusqu’à trois doigts avec ténacité. Elle aspire le clitoris pendant de longues secondes, attrapant une fesse de la jeune fille avec la main libre. Elena sent la chaleur monter, encore plus fortement que la veille dans son lit. Les gestes sont si précis, si intenses, elle ne sait pas comment se contrôler. D’un seul coup, l’orgasme arrive.
— Je... Je viens ! Continuez, pitié !
Les coups de langue redoublent d’efforts, et Dame Esther place ses doigts en crochet. Chaque va-et-vient laisse s’échapper des filets de cyprine le long des jambes de la jeune femme.
— Je... Je... Ah !
Elle hurle son orgasme pendant plusieurs secondes, la jouissance n’ayant plus de fin. Elle a en main les cheveux de sa tutrice, la tête bien calée entre ses jambes. Elle sursaute de nombreuses fois contre la bouche de Mme Esther pendant que l’orgasme disparaît peu à peu. La tutrice se retire enfin, heureuse d’avoir permis à son élève de se lâcher. Elle se remet debout, s’essuie la bouche du revers de la manche, un sourire satisfait sur le visage.
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